Identité : Amaury Griffe-Tonnerre
Âge : 20 ans
Sexe : Masculin
Race : Créature (demi vampire... ouais.)
Sexualité : Bisexuel sans doute. Peut-être même pansexuel, allez savoir ! Il est encore vierge.
Physique : Amaury est un jeune homme de vingt ans qui garde encore une allure de jeune garçon, à cause de son côté vampirique. Ses cheveux sont blonds comme les blés et mi-long, tombant sur ses épaules. Il a de grands yeux rouges assez saisissants qui brillent sans mal dans la nuit et lui permettent de voir dans l'obscurité totale comme en plein jour. Sa peau est douce et pâle, ses lèvres fines et son corps bien que gracieux n'est pas bien grand, tout juste 1m60. Il n'est pas très musclé non plus mais le sang de vampire qui coule dans ses veines lui procure une force supérieure à celle d'un humain, bien qu'elle ne lui permette pas non plus de briser un mur ou de soulever des montagnes, loin de là. Il est bien moins puissant qu'un vampire de pur sang.
Le jeune homme est le plus souvent vêtu de noir et surtout d'un uniforme très princier de noir et d'or ainsi qu'une large cape de fourrure noire. Il est toujours très bien habillé et prend soin de son apparence.
Enfin, contrairement aux idées reçus, il ne craint pas la lumière du soleil et ses parents non plus d'ailleurs.
Caractère : Sous des airs calmes et une apparence parfois flegmatique, Amaury est un être nerveux, complexe et indéfinissable au premier abord. Froid et inhibé, la cérébralité domine chez lui. C'est un penseur et un intellectuel. Il est curieux de tout, a l'esprit critique et analytique, et tend au scepticisme. Marginal, il peut apparaître inadapté, rigide, très possessif, surtout sur le plan affectif. Il est aussi très entêté. Une partie de lui-même le pousse à agir vite, alors que sa vie se déroule en réalité lentement. Après de nombreuses hésitations, sa voie trouvée, il s'y engouffre avec détermination. Il s'y révélera un travailleur acharné qui n'aura de cesse qu'il n'arrive à ses fins, au risque parfois d'avoir une vue trop limitée ou trop étroite. On le trouve souvent plongé dans ses livres car il aime entretenir la connaissance et la créativité qui existe en lui. Malgré son côté vampirique, sa santé est fragile et sa vitalité faible. Elle nécessite de l'exercice physique et de la détente chez ce grand nerveux.
Amaury aime le calme, la réflexion, la méditation et le refuge dans des spéculations philosophiques ou scientifiques. Il apprécie aussi de s'amuser, de se détendre et se montre très sensible aux plaisirs de ce monde. Ainsi oscille-t-il entre ces deux tendances qui lui sont, chacune, nécessaires. Sentimentalement, il est très réservé et peu expansif. Il ne faut pas attendre de lui des démonstrations d'affection exubérantes. Cela ne met pas en cause la profondeur de ses sentiments, mais il est fait ainsi, il faut le découvrir avec toutes ses valeurs humaines pour l'apprécier et l'aimer.
Autre :Amaury porte toujours sur lui un katana que son père lui a apprit à utiliser.
Il est en pleine maturité sexuelle et ne cache pas son désir d'en apprendre plus à ce sujet...
Histoire : Londres – 5 Décembre 1860https://www.youtube.com/watch?v=BGBM5vWiBLoLe Grande Cloche sonne. Sous la grande horloge, perchée en haut de la tour du Parlement britannique, de nombreuses calèches se croisent, tirées par deux puissants chevaux. Les piétons resserrent leur manteau et marchent d'un pas pressés, la tête basse tandis que la pluie s'abat en trombe sur la ville. Il pleut depuis trois jours, les gens sont maussades, désespérés par ce mauvais temps qui n'en finit pas. Les routes pavées sont devenues de gigantesques flaques boueuses, renvoyant l'image des maisons qui les longent, comme un effet de miroir.
Toute la ville semble plongée dans une profonde lassitude, priant pour que le soleil revienne. Seuls quelques enfants s'en moquent et sautent dans les flaques, ignorant les remontrances de leurs parents serrés sous un large parapluie.
En ce jour gris et fade, une jeune fille est en deuil. Elle appartenait à une petite famille à la réputation bourgeoise, assez aisée. Elle se retrouve désormais avec un petit groupe réunit dans un petit cimetière détrempé où repose un cercueil, déposé sur des trépieds pour l'occasion. Cela ne ressemble guère aux enterrements habituels. Il n'y a que peu de fleurs, très peu de moyens, il n'y a qu'une petite dizaine de personnes devant ce pauvre cercueil de seconde main. Sur celui-ci, il y a un petit cadre photo représentant un homme brun, avec une fine moustache, arborant un large sourire. Un léger sanglot éclate finalement et une jeune femme s'avance, une rose blanche à la main. La fleur est déposée délicatement près du cadre, d'une main frêle et tremblante.
La jeune femme en question s’appelle Elsa (
https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/564x/08/11/e0/0811e09f5ab7e25bbc49cd253103be5b.jpg), elle a 22 ans, possède une beauté stupéfiante et vient d'enterrer la seule famille qui lui restait, son père, la personne qu'elle admirait et aimait le plus au monde. Henry Young avait été un homme d'affaire brillant, jusqu'à ce que sa femme meurt de la tuberculose et qu'il ne soit obligé de fermer son entreprise, tout cela dans un délai d'un mois seulement. Brisé et ruiné, l'homme s'est tout de même battu jusqu'au bout pour tenter de garder quelques biens et sa maison afin que sa fille chérie puisse vivre sans manquer de rien. Malheureusement, tous ses efforts furent vains et il finit par mourir à son tour d'une crise cardiaque foudroyante, laissant sa petite Elsa seule et sans un sou. Les personnes qui entouraient la jeune femme n'étaient donc pas de proches parents, mais simplement quelques amis de la famille et d'ancien domestiques venus rendre un dernier hommage à cet homme au grand cœur.
A la fin de cette cérémonie, des hommes finirent par descendre le cercueil dans les profondeurs de la terre. Quelques individus y jetèrent une fleur, puis tout fut recouvert de terre. Peu à peu, les gens quittèrent cérémonieusement le cimetière. Il ne restait plus qu'Elsa, le visage inondé de larme et Mary, une femme légèrement enrobée au visage doux qui fut la nourrice d'Elsa durant toute son enfance. Celle-ci avait décidé de prendre soin de la petite comme elle pouvait en la logeant le temps qu'elle trouve un petit boulot et trouve son indépendance. Après quelques minutes supplémentaires à se recueillirent, les deux femmes quittèrent à leur tour les lieux, trempées jusqu'aux os.
Paris – 24 Décembre 1862https://www.youtube.com/watch?v=oVv7-Js-Ew8Les rues de la célèbre capitale sont éclairées de milles feux et milles couleurs. Quelques flocons de neige tombent délicatement du ciel. Les rues sont pleine de mondes et à chaque coin de rue un petit groupe de choriste s'égosille sur des chants de noël. Le temps semble s'être arrêté, les visages rayonnent de bonheur et d'émerveillement. Certains groupes font même la ronde au beau milieu des rues, les enfants courent dans tous les sens en criant de joie, les couples s'enlacent. C'est noël.
Elsa est emmitouflée dans un vieux manteau. Une écharpe blanche est enroulée autour de son cou et elle porte entre ses petites mains protégée par des gants de laine un petit paquet recouvert de papier kraft et d'une ficelle. Elle rêvasse en observant le monde autour d'elle tout en se frayant un chemin dans la foule. Elle aurait aimé chanter et danser avec eux, mais elle n'en avait pas le temps. Elle continue son chemin sur plusieurs mètres jusqu'à une lourde porte menant à l'intérieur d'un riche appartement haussmannien, typiquement parisien. Elle tourne la grosse poignée et pénètre dans une petite cours décorée de guirlandes et de boules multicolores pour l'occasion. Elle pousse une autre porte au bout de la cours, puis gravit quelques marches qui craquent sous ses pas. Enfin, elle frappa à une petite porte et pénètre dans un vaste appartement. Elle entre dans la cuisine et pose le paquet un instant sur un meuble avant d'enlever son manteau et ses gants qu'elle pend à un crochet dans le petit cagibi adjacent.
Une vois masculine et forte l'appelle. Elle quitte la pièce avec empressement et rejoint l'immense salon ou trône un superbe sapin décoré et une cheminée dans lequel crépite un grand feu. L'homme d'une cinquantaine d'année est installé dans un fauteuil en compagnie de sa femme et leur fils. Celui-ci lui ordonne de terminer le repas en ne lui accordant qu'un bref regard.
Aussitôt, Elsa retourne dans la cuisine et s’exécute. Au menu, une dinde farcie cuite au four accompagnée de pomme de terre, un délicieux gâteau à la crème et de belles bouteilles de vin.
Depuis un an déjà, elle a rejoint la France et s'est trouvé une place de domestique dans cette petite famille. Ils sont plutôt gentils avec elle et elle n'est pas malheureuse, même si elle rêve toujours de liberté. Elle aimerait pouvoir retourner à Londres et racheter cette belle maison de son enfance, mais ce n'est qu'utopie, même si elle préfère ne pas y penser.
Une fois le dîner prêt, elle met en place la table ronde à la nappe blanche immaculée, ainsi que les précieuses assiettes de porcelaine et l'argenterie familiale. Elle se charge évidemment du service toute la soirée durant. En récompense de son travail, elle reçoit un petit cadeau de noël, un livre d'un célèbre auteur britannique, ainsi qu'une bonne assiette avec quelques reste du repas.
Elle emporte le tout dans le petit grenier aménagé pour elle et engloutit tout son repas avant d'enfiler une petite robe de chambre et de s'installer dans son lit pour débuter sa lecture. Dehors, on entend encore les cris de joie et les chants joyeux...
Paris – Février 1863Il fait nuit noire et le froid glacial souffle sur la ville, paralysant tout sur son passage. Frigorifiée, Elsa tente tant bien que mal de se protéger du vent en serrant sa capuche autour de son visage. Dans sa main droite, elle porte une petite valise dans laquelle se trouve tout ce qu'elle possède.
La petite famille parisienne avait décidé de se séparer d'elle parce que les affaires allaient mal et qu'ils ne pouvait plus la payer. La jeune femme avait eu une douloureuse sensation de déjà vue en quittant l'appartement quelques heures plus tôt. Désormais, elle errait seule et sans but dans les rues gelées, sans savoir où aller. Parfois, elle frappait à une porte et demandait si quelqu'un avait besoin d'une domestique, mais à chaque fois c'était un échec.
Désespérée et épuisée, elle finit par s'asseoir sur le bord du trottoir, repliée sur elle-même, tremblant de froid et retenant à grande peine les larmes qui arrivaient. C'est alors qu'elle entendit des pas claquer non loin et se rapprocher. Elle n'y prêta guère attention sur le moment, jusqu'à ce que les pas s'arrêtent net à son niveau et qu'une voix chaleureuse ne s'adresse à elle.
- Qu'est-ce que tu fais là toute seule, jeune fille ?Elsa redressa la tête et se tourna vers l'individu. (
http://img15.deviantart.net/c7ca/i/2011/185/7/8/sabin_duvert_by_fuchsiart-d3ky4fn.jpg). Elle fut assez surprise du charisme et de la prestance de l'individu qui se trouvait prêt d'elle. Il était bien habillé, vêtu d'un long manteau noir, d'un écharpe et d'un haut de forme sombre. De longs cheveux d'un blanc étonnant encadraient son visage avenant aux grands yeux gris et ses mains nues malgré le froid portaient de lourdes bagues en pierres précieuses ainsi qu'une canne fine et élégante. Il devait avoir une trentaine d'années. Timidement, elle parvint à répondre :
- Je viens de perdre mon travail et je n'ai nulle part où aller, Monsieur.L'homme plongea alors sa main dans l'une de ses poches et en sortit une montre à gousset qu'il observa une seconde avant de la ranger.
- Comment t'appelles-tu ?- Elsa, Monsieur.- Bien Elsa. J'ai justement besoin de quelqu'un comme toi. Suis-moi.L'homme commença alors à s'éloigner. Surprise, mais heureuse de cette rencontre fortuite, Elsa le suivit sans attendre.
L'individu la fit marcher pendant un bon bout de temps avant de l'inviter à entrer dans une petite maison mitoyenne. Il faisait bon et chaud à l'intérieur et la jeune fille se sentit aussitôt rassérénée. L'homme lui proposa d'enlever son manteau et de l'accrocher, puis il la guida jusque dans un petit salon. Les lieux n'étaient pas très grand, mais elle devinait à la décoration que ce mystérieux individu avait pas mal d'argent. Au moins, il aurait de quoi la payer.
Elsa se retrouva alors assise dans un confortable fauteuil, un chocolat chaud à la mains en train de répondre aux nombreuses interrogations de son nouvel employeur. Elle lui raconta tout. Son enfance, comment elle avait atterrit à Paris, pour qui elle avait travaillé, ce qu'elle savait faire. Puis la conversation dériva sur ce qu'elle aimait lire ou manger, les endroits qu'elle préférait à Paris, ce genre de chose.
Lorsqu'il commença à se faire tard, l'homme qui s'était finalement présenté sous le nom de Nathanaël Leclerc la fit monter à l'étage et la guida jusqu'à une petite chambre sommaire qui serait désormais la sienne. Elle était bien plus grande que la petite mansarde qu'elle avait connu autrefois et en s'y installant, Elsa se dit qu'enfin, la chance lui souriait.
Paris – Août 1863Petit à petit, Elsa apprit à connaître cet homme mystérieux pour qui elle travaillait. C'était quelqu'un d'assez secret qui quittait la maison très tôt et ne revenait qu'en plein milieu de la nuit. Pourtant, lors des rares fois où ils se croisaient, il prenait plaisir à discuter avec elle. Il lui avait laissé l'accès à sa bibliothèque et aimait l'interroger sur ses lectures et ses activités. Elsa était incroyablement libre. Comme son employeur était souvent absent, elle n'avait que peu de choses à faire si ce n'est un peu de ménage et de rangement. Alors elle passait son temps à découvrir Paris et ses merveilles. Bien payée, elle pouvait se permettre d'aller visiter des musées ou des galeries pour assouvir sa curiosité et son amour pour l'art et la culture. Mais ce qu'elle aimait par-dessus tout, c'était les soirées passées en compagnie de Nathanaël. Plus le temps passait, plus elle le trouvait merveilleux et... séduisant. Bientôt, elle ne parvint plus à nier une certaine attirance pour cet homme incroyablement beau et cultivé. Elle ne pouvait s'empêcher de le regarder et rougissait parfois lorsqu'il lui souriait.
Un jour, la curiosité d'Elsa se fit plus dévorante. Elle décida discrètement de suivre Nathanaël alors qu'il quittait le domicile, fort matinal comme à son habitude. Le soleil n'était même pas encore levé. Elle le suivit à bonne distance pendant un bon moment, jusqu'à ce que subitement, en tournant à l'angle d'une rue... elle s’aperçut qu'il avait disparut. Cette rue était longue et assez éclairée. Impossible qu'il ait pu lui échapper comme ça d'un coup ! A moins qu'il ne soit entré dans un des bâtiments...
Soudain, une main se posa sur son épaule. Elsa sursauta et se retourna, faisant face à un Nathanaël souriant.
- Je me demandais quand tu allais finir par craquer. On dirait que ce jour est arrivé.- Oh je... Pardon je suis désolée, je voulais simplement savoir...- Tu n'as pas à t'excuser, Elsa. Allons, viens avec moi. Je vais te montrer puisque tu y tiens. Interloquée, elle le vit s'engouffrer dans la rue et le suivit jusqu'à ce qu'il entre dans une vieille boutique abandonnée et presque en ruine. L'intérieur était recouvert de poussière et était plongé dans le noir. Nathanaël attrapa sa main et la guida jusque dans l'arrière boutique avant de lui faire descendre un petit escalier. Contrairement à elle, il ne semblait pas gêné par le noir qui régnait ici.
Un peu anxieuse, elle se laissa guider sans rien dire, se demandant où il pouvait bien l'amener comme ça. Et puis soudain, elle entendit un grincement et une lumière vive l'aveugla. Et lorsqu'elle parvint à rouvrir les yeux...
Terra, Contrées du Chaos – Deux ans plus tard.Nathanaël lui avait tout raconté, tout avoué. Il n'était pas un être humain ordinaire, mais un vampire. Un vampire à la fois très différent et très proche de ceux dont on contait les légendes dans les livres. Il lui avait fait découvrir ce nouveau monde où il l'avait emmenée, lui avait faire réaliser à quel point tout était différent. Elle avait mit du temps pour avaler tout ça, mais elle avait finit par s'y faire. Elle avait une confiance aveugle en Nathanaël. A tel point qu'elle avait finit par lui avouer ses sentiments et s'était alors sentit pousser des ailes lorsqu'il lui confia ressentir la même chose.
Ce nouveau couple intrigant vécu alors entre ces deux mondes. Parfois dans la petite maison de Paris, d'autres fois dans ce petit manoir somptueux sur Terra où le vampire avait quelques domestiques, tous plus étranges les uns que les autres. Puis Elsa tomba enceinte. La nouvelle était très inattendu car les vampires étaient des êtres normalement stériles. Pourtant le miracle était là, inexplicable, mais fantastique. Et neuf mois plus tard, un petit garçon naquit. A la fois humain et vampire. Ils l'appelèrent Amaury. Amaury Griffe-Tonnerre car tel était le véritable nom de Nathanaël.
Ce dernier prit la décision de mordre sa chère et tendre afin que jamais plus le temps n'ait d'emprise sur elle et qu'ils puissent vivre ensemble à jamais. Et Elsa devint plus belle que jamais (
https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/564x/93/e1/d5/93e1d57691892e57314ce7b1dad8770f.jpg).
De part sa nature semi-vampirique, Amaury n'était pas destiné à vivre l'éternité. Tout en le sachant, ses parents de parvenaient néanmoins pas à ressentir une quelconque tristesse. Sa seule existence était un miracle et rien ne pouvait détruire le bonheur de l'avoir auprès d'eux.
Aujourd'huiAmaury a grandit. Et malgré son air toujours un peu juvénile et angélique, il a déjà 20 ans. Bien qu'il ne soit pas immortel, il semble toujours garder un physique plus ou moins enfantin malgré le temps passé. Il a été fort bien éduqué par ses parents. Il sait bien entendu lire et écrire, compter aussi, bref toutes les bases. Mais il a aussi apprit à combattre à l'épée grâce à son père, il est doué en musique et possède une culture générale plutôt impressionnante pour son âge. Sans compter qu'il parle plusieurs langues, que ce soit humaines ou autres. Lui aussi a effectué quelques allers-retour entre la Terre et Terra et continue par ailleurs de le faire bien qu'aujourd'hui, Amaury ait quitté le domicile familial pour vivre sa propre vie et découvrir les deux mondes de ses propres yeux.
FIN.