Quand la vampire veut pièger une baraque.( Pv Hiryuu)

Ha ! enfin le weekend, c'est saoulant de faire cours toute les jours, celui qui à créer l'éducation scolaire aurait mieux fait de mourir d'une chute du dixième étage, après avoir marché sur une peau de banane.

Quoi qu'il en soit j'avais décidé de faire un tour du côté de la place publique, bon j'avais prit ma tenue d'écolière, la flemme de chercher mes affaires. de plus il fallait que je passe un peu pour voir si il y avait du sang frais qui circulais. Toute la matinée je cherchais des proie potentiel, j'avais vu deux trois nonnes, mais elles étaient trop surveillées, dommage. Tous ça pour dire que la matinée fut infructueuse, heureusement je gardais sur moi une pochette de sang au cas où. Je me mit dans l'ombre d'une ruelle et prit mon repas du midi, avec un dessert, une esclave terranide, mi femme, mi félin. Son goût était tellement exquis que je bu jusqu'à la dernière goutte, la pauvre, elle croyait avoir trouvée un gentille femme et se retrouve dans l'au delà.

J'y peut rien moi si son sang était excellent et elle n'avais pas à me faire du charme. Bon une fois mon repas digéré, je me dirige vers les vieilles habitation, celle où l'on peut s'amuser à poser plein de piège et attendre que quelqu'un mordre à l'hameçon, pour moi piéger une baraque c'était l'équivalent à la pêche pour les humains, la chasse étant vraiment la traque et la dégustation. Je passai par des petite rue, c'est vrais que si l'on voulais venir ici en voiture, il faudrait vraiment vouloir écraser quelque piéton. Je fit différente baraque et en trouva une parfaite, son locataire ne semblait pas être là, aussi autant lui faire une bonne blague.

La maison commence par un porche agrémenté de cinq marche, avec une porte qui n'avait plus de fermeture, je pose mon doigt sur la porte et la pousse gentiment en disant.

- Pardon pour le dérangement.

Mon ton n'avais rien d'une personne qui s'excusait, c'était celui de la vampire qui allais s'amuser à poser beaucoup de piège et en cascade s'il vous plait.(rire) La salle ne semblait pas très bien décoré, c'était un bureau typique d'une personne faisant des boulots à droite et à gauche. Donc encore plus marrant à piéger, je me mis à l'ouvrage, je commence par piéger la porte, de tels sorte que la personne se ramasse un sceau d'eau sur la tête, puis se trouve aveuglé, puis en supposant ces pas, je met divers piège de mon crû pour qu'il tombe sur le billard, qui sous le poids et un autre de mes pièges, envoi les boule sur le jukebox qui met du Mozart et active un autre piège qui finit par lui envoyer la télé HS à deux centimètre de sa tête. Voilà pour le piège de l'entrée. Passons à un autre piège, celui de la chaise en cuir où est supposé se poser le locataire, un système de balancier sent le poids et active une corde qui fait tomber  le sofa, normalement une personne se lève pour allez le relever, c'est la qu'un deuxième piège s'active, un collet enlace la cheville de la personne et le fais tomber, si il avait eut un bais vitré j'aurais put le faire pendre dans le vide, mais il n'en avait pas et il n'était pas à l'étage.

Je regarde mes deux chef d'œuvre et réfléchis si il ne manque pas un piège. Le tous était presque invisible, il suffisait qu'il y ai vraiment de la chance, mais quand je dit chance c'est autant que de survivre à une chute d'un météore de dix mètre de diamètre sur soi.

- Bon il manque le fauteuil et la table basse, hum … Je trouve pas ce que je pourrais rajouter, sinon cela tuerais la beauté des deux autres.

Vous l'aurez remarquer, pour moi la pose de piège est un art où même le côté esthétique entre en jeu, j'allais tenter une dernière chose quand j'entendis des bruit de pas, sans faire attention je me planque sous le bureau, il ne pouvait me voir que si il/elle s'asseyait sur la chaise, et encore si je ne faisais pas de bruit il/elle ne pourra pas me voir. L'ennui c'est que j'avais déjà un fou rire à l'idée de sa figure qu'il/elle ferais quand les pièges s'activeront.

Un adolescent marchait dans la rue. Il portait des vétements de "Voyous" et avait, sur son dos, une grande épée dont la crosse montrait un crâne. Ce dernier monta les marches, mettant sa main derriére sa tête et regarda la porte qui avait été ouverte. Soupirant, il ouvra la porte et un seau d'eau tomba sur le sol, déversant son contenu sur le sol. S'abaissant pour prendre le seau, il recula et le lança sur la droite. Prenant un rebond, le seau rebondit sur un mur avant de tomber pile poil dans une poubelle. Rentrant et fermant la porte, il dit d'une voix froide :

-Encore des enfants qui voulaient me tendre ce type de piéges...

Ce dernier retira son épée du foureau se trouvant sur son dos et le lança en direction du bureau. Se plantant dans l'avant du bureau, il passa à quelques centimétres de la figure de l'inconnue et, sans même le savoir, marcha en soupirant, s'installa dans le fauteuil et posa ses pieds sur la table basse. Les croissant, il mit ses mains derriére la tête et ferma les yeux. Il manquait de son, il trouvait. Il prit un simple objet dans sa poche et lança sur le jukebox qui s'alluma, donnant cette musique : http://www.youtube.com/watch?v=MXE2jCHfb-4&feature=PlayList&p=3C04FD83F24E8D5C&index=40

Après avoir allumé le jukebox, il commença à dormir, fermant les yeux et ne bougea plus, laissant ses jambes croisées et ses bras derriére sa tête comme si c'était un oreiller.

Le son du sceau d'eau qui tombe me fit pouffer de rire, heureusement mes mains étouffaient ce rire nerveux, mais je rigolai moins entendant la voix du proprio, car c'était un homme et apparent pas un tendre. De plus je n'entendais pas le bruit de l'activation de mes piège et pour courroucer le tous une lame passa devant mon nez, si j'avais avancée ma tête de dix centimètre j'aurais eus très mal. J'entendis un bruit sur le jukebox qui sortie une autre musique que prévu, je la connaissais, mais ce n'était pas le moment de trainer, mon premier piège était éventé, il ne restait plus que de sortir sans se faire prendre. Je murmura.

- Bon il doit être sur le fauteuil et avec ce boucan je peux pas savoir si il regarde dans ma direction, j'aurais du emporter ma faux.

Je sortie ma tête du bureau, pas complètement non plus, et vit un beau mecs dormir, enfin il semblait endormi. Je pouvais sentir l'odeur de sa peau et si je n'étais pas pressée de partir j'aurais bien voulut goûter un peu de son sang. Je me mit à plat ventre et me déplace avec mes bras, c'était un moyen de ne pas se faire voir, mais la faiblesse c'était la vitesse. Je passe derrière le fauteuil, non sans retenir ma pulsion de vouloir faire apparaître mes crocs et déguster son sang. Je fut à l'autre extrémité du fauteuil et continue mon avancée, quand j'arrivais vers la porte, je  sentit un regard, je me retourne et vit le visage du proprio me regarder. Tout en restant à plat ventre je dis avec une voix enfantine.

- Je voulais visiter et c'était ouvert.

Un gros bobard que même un ange ne pourrait pas gober tellement cela l''étoufferais de le croire.

L'adolescent était là, bras derriére sa tête et jambes croisées sur la table basse et faisait une sieste. Il dormait réellement lorsqu'un bruit l'attira. C'était le grincement de la vieille porte qui, quand on la bougeait juste un peu, grinçait comme si il y avait eu un meurtre. Ouvrant les yeux, l'adolescent regarda la jeune fille qui était étalée sur le sol et se releva lorsqu'elle avait finit de parler. Se dirigeant vers elle, il la porta par le col avant de la tirer dans la direction inverse. Contournant le bureau, il mit la jeune fille sur le fauteuil qui, évidement, activa un de ses piéges. Main dans les poches, il la regarda avant de soupirer. Il posa ses fesses sur le bureau et la regarda d'un air sans émotion avant de lever sa main droite. D'un coups, l'épée se retira et, allant vers la rue, fit demi-tour pour se placer dans la main de l'adolescent qui, d'un geste, mit la lame devant le nez de la jeune fille. La regardant comme pour dire "Tu fais un geste, je te tue.", il ne bougeait pas, la regardant de haut en bas et bas en haut avant de remarquer que c'était, effectivement, une fille ayant plus ou moin le même "âge" que lui. Il dit d'une voix menaçante qui disait "Tu ments, je te tue" :

-Qui es-tu et que viens-tu faire ici avec tes fameux piéges? Et surtout, pourquoi une écoliére viendrait dans un quartier si mal fréquenté où régne les vendeurs d'esclaves et les violeurs? Surtout que tu possédes une légere tache de sang sur ton habit.

Frappant du pied le côté du bureau, un tiroir s'ouvrit comme par magie et laissa apparaitre un autre habit, une robe rouge pouvant rentre une personne dans la noble famille. La prenant de l'autre main, il tendit le tissu en la regardant avant de continuer :

-Je te conseille de te changer, sinon, tu ne feras pas de vieux os. En cas où, pour pas que tu ne fuis, je te demanderai de le faire ici.

Il avait toujours son épée en main, la pointant au visage de la jeune femme et la regarda toujours.

Décidément weekend rimait avec mauvaise journée. Je vis le locataire se lever, je ne bougeai pas, on ne sait jamais peut être qu'il voulais me détailler du regard. Mauvaise pioche, il me prit par le col pour me diriger vers le bureau, il me jeta, ouais on peut utiliser ce mot, sur la chaise en cuir, je voulut me lever et l'un de mes piège s'activa me faisant tomber, prit dans un de ces propre piège, la honte.

Je me leva et constata que la lame enfoncée dans le bureau avait disparut, mon nez eut le droit de savoir où elle était passée et le regard de ce type montrait qu'il pouvait me tuer sans hésitation. Bon comme j'étais un vampire assez puissant j'allais pas crever facilement, sauf si le fer était fais dans une croix baigné pendant un an dans des eaux sacrée, mais se régénérer était très douloureux et crevant surtout. Aussi je ne cherchai pas d'embrouille, puis il me parle sur un ton qui ne permettait pas de mentir. En temps normal j'aurais inventer quelque chose, mais je n'aimais pas l'idée d'avoir une épée en travers de la gorge, je cacha des mensonges dans la vérité.

- Je m'appelle Henrietta Van Hellsing, je suis venu ici car cela me semblait marrant de poser des piège, bien que je ne pensais pas que quelqu'un vivait ici. Pour le lieux c'est justement par ce que l'on ne s'attend pas à voir une lycéenne, et non une collégienne, que c'est plus sur. Quand à la tâche de sang c'est parce que je me suis coupée avec le grillage dehors.

Effectivement je m'était coupée, mais ce sang n'était pas le mien. Il était d'un chiant ce type, la personne qui n'a pas la moindre goutte d'humour. Il me donna une robe rouge et me dit de m'habiller ici, tout en continuant à me menacer.

- Tss ! Dis plutôt que c'est pour me mater ouais. Pervers.

Mon arrogance naturel était revenue, ouf, il allait en baver ce pervers. Je retira mes chaussures, mes chaussettes, je fit tomber en douceur ma jupe et retira mon haut, j'étais en sous-vêtement. ces dernier étaient noire à bord rouge. Je restai un moment dans cette tenue pour voir si la robe n'avait pas de défaut, si il en avait je ne l'aurais mise sous aucun prétexte, mais elle était comme neuve.

- T'as de la chance qu'elle soit jolie.

Je l'enfile, l'ajuste bien. Cette robe moulait mes formes, je n'aime pas trop les robes moulante, ni les robes tous court, ça fait trop aristocrate. Je soupira devant ce constat peu réjouissant.

- Voilà t'es content mossieur l'pervers.

Si il fallait deux mot pour me qualifier se serait, peste et ... peste.

Le jeune adolescent ne portait même plus un seul regard sur la jeune lycéenne, pourtant, il avait son haut et regarda particuliérement la tache de sang. D'un sourire, ce dernier ne dit rien avant de retirer l'épée du nez de la jeune fille et de se relever. Tendant le haut à la jeune fille, il plaça son épée sur son dos avant de lui dire d'un ton où il s'empêchait de rire :

-C'est rare, du sang rouge provenant d'un vampire, non?

Il avait tout comprit depuis le début, mais, c'était évident, il n'y avait aucun grillage, dehors. Et lorsqu'elle s'est déshabillée devant lui, il avait pu jeter un oeil sur la fameuse blessure qui était pratiquement partie. Dur dur, la vie d'un vampire. C'était aussi pour cette raison qu'il avait reconnu la vampire et il partit avant de s'installer sur son fauteuil, posant ses pieds sur la table basse, les croisant et mettant ses bras derriére sa tête. Il ferma les yeux, ayant son épée juste à côté de lui, sur le sol et ne dit rien pendant quelques minutes avant de dire, juste au moment où elle aurait essayée de partir :

- Je te conseille de venir t'assoir ici, car, lorsque je suis rentré, tu n'as plus aucune chance de sortir, mademoiselle l'exhibitionniste.

Il dit ça d'un ton ironique, mais, il avait toujours ses yeux fermés, ne dégageant aucune aura meurtriére et encore moin une aura puissante.

Il ne me prêtais même pas attention, occupé à regarder mon haut de lycéenne. Puis il rengaina son arme pour me tendre mon haut que je pris sans remercier et prit un ton moqueur en disant de manière subtil qu'il avait trouvé ma vrais nature, mais tant que mes canines n'apparaissait pas, il ne pouvait rien prouver, à part que je guérissait vite de mes blessure.

- Vampire ? Cette race existe ? Je suis humaine, pas un suceur de sang.

Je devais me carapater et vite, cette endroit me déplaisait, comme si j'avais été entouré de mes frères et sœurs au moment où ils avaient tous besoin de sang. Je le vit s'assoir et pioncer, j'attendis deux minute et voulut sortir par la porte, mais le pervers me déconseilla de fuir, soi disant parce que je ne pouvait plus sortir et il me traita d'exhibitionniste.

- A qui la faute ?! C'est pas moi qui est voulut me changer dans cette salle pleine de poussière, d'ailleurs vous devriez faire le ménages de temps à autre.

Je m'approcha de la table de billard et posa mes fesses dessus, enclenchant mon piège. La télé me vint dans les bras et je le lui balança sur la tête, tout en essayant de sauter pas l'une des fenêtre, j'eus la mauvaise sensation que l'on me prit la cheville, me laissant choir de manière grotesque sur le parquet.

- Mais tu vas me lâcher oui ?!! Pervers !! Voyeur !!

Soupirant, la télé passa à quelques centimétres de sa tête. mais, à part sa chevelure, il n'avait pas bougé et se réveilla lorsqu'elle crut qu'il la tenait. Se relevant, Hiryuu prit son épée avant de se diriger vers la jeune fille et, levant l'arme, souria comme si il allait aimer tuer celle qui l'ennuyait. Abaissant son épée et entendant un bruit de tranchement, quelques minutes s'écoulérent avant qu'il remit son épée sur son dos et prit la "gamine" par le col, la portant pour, ensuite, se diriger vers le salon où il la posa sur le canapé avant de s'assoir sur le fauteuil, jambes sur la table basse et croisées et les bras derriére sa tête, fermant les yeux. Il dit quelque chose après quelques minutes de silence :

- Je t'ai, pourtant, prévenu. Dés que je suis rentré ici, tu ne peux plus fuir. La preuve, tu t'es fait arrétée par un démon étant dans le mur. Maintenant, arréte de faire la gamine et reste là jusqu'à mon départ, mademoiselle l'exhibitionniste. Car, tu aurais pu me supplier ou bien, demander d'aller te changer derriére la batterie ou derriére une armoire. Tant que je pouvais voir ta tête, ça ne me dérangais pas. Et puis, tu aurais pue relever le siége en cuir et te déshabiller derriére.

Il resta comme ça, son épée à côté du fauteuil et étant loin de la jeune fille. Ce dernier faisait sa sieste pendant plus d'une heure avant de se réveiller, restant dans sa position et ouvrant les yeux. Il constata qu'elle était toujours sur le fauteuil avant de se relever sans faire un bruit, allant au bureau, ouvrant un tiroir de la main et prenant un jeu de cartes avant de retourner sur le fauteuil pour attendre le réveil de cette derniére.

Je regardai derrière moi et vit une main, une main hideuse me tenir ma jambe, la main ... d'un démon.
Je vit le pervers venir vers moi l'arme à la main prêt à me fendre, aussi quand il frappa je fermais les yeux en criant.  J'entendis un "Swiff" me frôler et du sang gicler, je rouvrit les yeux et vit la main du démon tranché, bien que sa paume me tenait encore la jambe dans un dernier élan de vie. Normalement une main de démon se désagrège, mais là il était encore bien réel.

Je fus arrêté dans mon raisonnement quand le proprio me prit par le col, puis me déposa sur la canapé, flûte un de mes pièges surprise n'avais pas fonctionné, la faute à un ressort qui sous le poids de deux corps avait sauté. Le pervers me fit la moral, comme quoi j'aurais pus un minimum me montrer suppliante ou autoritaire.

- Tu crois qu'avec le caractère que tu montres toujours, quelqu'un se permettrait de dire quoi que se soit ?!

Peine perdu, il était endormit, il est vraiment énervant, j'aurais pus m'en sortir, sans son aide. Je me mit à retirer cette main de démon qui commençais à être un peu collante, n'y arrivant pas, je regardais si il n'y avais pas de quoi couper ces doigts répugnants. Je vit le manche de l'épée, je vérifia qu'il était bien endormis et utilisa l'épée pour couper les jointures des doigts, l'ennui fut que je me coupais et cette épée ne m'aimais pas. une fois la main arraché, elle partie en poussière comme une grande, je reposa l'épée et étant épuisée, par le contact de cette épée et mes coupures, je m'endormis.

Alors que le proprio revenait avec ces cartes, Belphegor apparut, puis se posa sur moi, le manche entre mes jambes et la partie tranchante effleurant mon côté droit du visage, la faux était toujours venu quand elle me sentait  triste. Car je n'aimais pas être enfermer comme-ca, cela me rappelai mes parents qui me disaient de faire mes devoirs avant de venir boire le thé, bien sur après il était hors de question que je sorte m'amuser. Je rouvrit les yeux et sentit ma faux et dit d'une manière gamine.

- ... hmm ... Belphegor arrête de m'embêter.

Puis tournant ma tête peu réveiller vers la gauche voyant le visage du pervers et toujours avec moi voix d'endormi je balbutia.

- Oh, non, je suis toujours chez l'autre abrutie.

Le réveil chez moi se traduisait par deux de tension, voir zéro.^^

L'adolescent la regarda qui, par la même occasion, l'avait traitée d'abrutie et ne fit rien, voyant son épée qui avait bougée. Il était vrai qu'il ne s'était pas réveillé, surement une de ses fameuses siestes à longue durée. Regardant denouveau la jeune fille, l'adolescent plaça son pied gauche sous la lame de l'épée avant de la lancer en l'air, déposant la tasse de sang frais et prenant l'épée au vol pour trancher à quelques centimétres de la tête de la jeune fille qui, par la performance, avait eue quelques cheveux découpés. Mais, avant même qu'elle ne parle d'une voix furieuse, un poids apparut sur son dos et, d'un glissant lugubre, un cadavre d'un démon apparut à côté d'elle. Lorsqu'elle prit enfin son "thé ensanglanté", l'adolescent reposa son épée sur le sol, se remet dans son fauteuil, les pieds sur la table basse et tappa celle-ci avec son pied droit, faisant volé la deuxiéme tasse de thé dont l'adolescent le récéptionna sans rien faire tomber. Puis, il croisa ses jambes avant de boire son thé. Depuis qu'elle avait dit "Abrutie", aucun son n'était encore sorti. Les yeux fermés, les pieds sur la table basse ainsi que ses mains tenant la tasse de thé aux cerisiers, seul brevage qu'il pouvait boire. A un moment donné, il ouvrit ses yeux, regardant la couleur de son thé avant de dire quelque chose :

-Dis-moi, qui est ce fameux belphegor? Un démon de classe supérieur? je te rassure, je ne lui ferai rien.

D'un coups, sa voix était devenue plus gentille et aimable, elle était moin froide qu'avant, surement du au thé qu'il buvait. Cependant, on pouvait distinqué une touche de sérieux lorsque l'adolescent regarda l'épée sur le sol qui, elle, avait une forme fort lugubre. Refermant ses yeux pour boire denouveau le fameux thé, il les réouvrit avant de reposer une question :

-Dis-moi, Henrietta. Que ressens-tu lorsque tu bois du sang ? Et surtout, pourquoi fais-tu ça? Car, il y a plusieurs façons pour un vampire de survivre sans boire de sang.

Mon esprit était encore brumeux quand il me fit un thé de sang, si j'avais été plus réveillé, j'aurais refusée en disant que je n'étais pas un vampire, mais j'avais faim. Je déposa Belphegor sur le côté, tout en gardant le manche entre mes jambe et fit tourner l'hémoglobine dans la tasse avant d'en prendre une gorgée. Le pervers lui semblait boire un thé composée de fleur de cerisier, j'aime pas cette odeur, mais bon cela semblait lui plaire. Puis il posa une question indiscrète, n'étant pas encore totalement réveillé, je lui répondit.

- Qu'est-ce que cela peut te faire, avec lui je tranche ce que je veux et c'est un cadeau donc, je sais pas ce qu'il est, pour moi c'est mon arme point barre.

Je ne pensait pas au mot que j'avais parlé, Belphegor était mon seul compagnon et je n'en aurais pas d'autre, sauf pour manger. Je fit tourner nerveusement ma tasse et bu le reste du sang d'un trait, car il commençait à refroidir et du sang froid c'est pas bon pour la digestion, ni pour le goût d'ailleurs.

- C'est chiant de rester sans rien faire.

Puis une autre série de question virent de la bouche du pervers, étant enfin réveillée, je lui dit, non sans montrer un sourire, tout en ne faisant pas apparaitre mes crocs.

- Je répondrais pas au question d'un pervers.

Je tournai la tête en prenant une mine de boudeuse, puis je me dit qu'il m'avais offert son sang, donc autant répondre aux question et tenter encore une fois de se barrer. cette fois là avec Belphegor avec moi aucun démon ne me bloquera.

- Primo, tu arrêtes de me poser des question, ensuite le sang pour moi c'est tous les jour donc je me sent vivante, après si je fais ça c'est que ma famille à couper les ponts,donc j'ai plus accès à quoi que ce soit et enfin, j'ai essayée tes sois disant autres façon, j'tle jure, mais c'est dégueu à force, alors que le sang ça change de goût avec les personnes.

Je me lève et allai vers la porte, deux démon voulurent m'agripper, Belphegor apparut dans ma main droite et je fendit le mur et criant.

- Allez voir mon oncle. déchet !

Les démon s'extirpèrent du mur coupé en deux, je posa la faux sur mon épaule droite. Le mur n'avais pas de cicatrice, hormis une trainée de sang là où la lame était passée

- J'peux partir maintenant ?!

Ne bougeant pas de son fauteuil, il continua à regarder sa tasse de thé et a en boire avant de sortir un objet et de le lancer à l'arriére. L'objet glissa et montra du sang rare nommé "AB négatif". Il ne bougea toujours pas et but son thé lorsqu'un bruit sourd apparut devant la jeune fille. L'épée que le jeune adolescent utilisait était sorti du sol et resta devant la porte, les empêchant de continuer leur route. Déposant sa tasse de thé, le jeune adolescent se remit convenablement, les mains derriére la tête avant de dire lorsque l'épée voulue trancher la jeune fille et la faux :

- laisses-les, alastor. Elle veut partir, laisses-là. J'avoue que je n'ai pas été aimable, mais, si elle refuse l'hospitalité pour juste passer la nuit et ma cargaison de sangs AB négatif ainsi que d'autres races, tu n'as qu'à la laisser partir.

Le jeune adolescent ne faisait rien, il restait là et l'épée s'enteta à les laisser passer jusqu'à ce qu'elle se dirigea vers l'adolescent qui l'attrapa au vol, la posant sur la table et dit tout en se remettant :

- Si tu veux partir, fais donc. Cependant, saches que, la nuit ne porte pas bonheur même pour un vampire, dans ce coin. Je te souhaite bonne route, même si je connais les démons à l'extérieur qui ne te laisseront aucune chance. Pour me répondre, tu n'auras qu'à refermer la porte. Soit tu pars et tu refermes la porte, soit tu restes.

J'entendis quelque chose glisser près de mon pied, je fixe le sol et vit, un joyaux, un sachet de sang AB négatif, un des plus rare et plus délicieux sang que l'on puisse gouter, je voulus faire un pas de plus vers la sortie et l'épée du pervers, me barra le chemin, il brillais d'un éclat de colère, je me prépara à contrer une attaque de sa part, il était rapide, mais pas assez, si il avait continué sont attaque ce tas de ferraille aurait goûter à ma colère, ainsi qu'à celui de Belphegor.

Puis j'écoutai l'offre, même si elle était très tentante, j'ouvris complètement la porte et dit d'une vois solenel.

- J'y vais au revoir mossieur le perv ...

J'avais fait un pas dehors et je pouvais sentir la soif des créatures dehors, ils avaient soif de puissance, une soif que je serais à même de comblé, c'était vraiment différent la nuit, rien à voir avec la Terre. Je fit un pas en arrière, Belphegor bouillonnait, il voulait écharper ces créatures dehors, mais je n'avais pas sa folie du sang, surtout si je risquais d'y passer. Je referma la porte et me tourne vers le proprio.

- Finalement je vais rester, je ne voudrais pas faire de victime dehors.

Et puis avoir de la bouffe gratuite sans s'épuiser, c'était idéal le soir. Mais je ne regrettais pas de mettre tirée de la baraque de la "famille". C'est vrai quoi, quand on se retrouve comme moi à préférer rester dans une baraque avec un pervers, on se demande ce qu'il y a de bien de naître dans une "famille" noble, il y a rien de bien, sauf la bouffe .

- Au faite, à moi de poser des questions, qu'est-ce que t'es ? Comment tu sais que je suis une vampire et est-ce que tu aurais une douche ?

Après que la jeune fille termina de parler, le jeune adolescent ne bougea pas comme si il dormait. Sa tasse de thé tremblait légerement et, en une fraction de seconde, de la lumière rouge apparut à l'extérieur avec un bruit de flammes et des cris de souffrances. C'était belle et bien la nuit de l'effroi, elle devait surement penser qu'il était lugubre à venir vivre ici parmis ces monstres. Défaisant ses pieds et les posant sur le sol, il se releva, retirant ses mains de sa nuque et, sans même s'abaisser, prit l'épée dans sa paume. L'épée qui était sur le sol s'était élevée toute seule, remontant jusqu'à la paume de la main de son propriétaire et, mettant sa main gauche pour, ensuite, la resortir, il le lança sur le jukebox qui se mit en route, mais, avec une autre musique. Tournant son regard vers la jeune fille, il lui dit :

- Comme je te l'ai dit, je ne suis qu'un simple vagabond, un vagabond voyageant dans le monde de terra, de tehkos, du chaos et de la terre pour ses recherches. Ensuite, ce n'est que plus évident, puisque vous dégagez une aura ensanglantée. Et pour finir, il y en a bien une, cependant, vous devriez attendre un peu, histoire que ça se dégage.

Subitement, la musique douce disparut pour laisser place à une musique forte, une musique aliant avec le combat. Mais, dés qu'elle apparut, du bruit se forma vers la porte de gauche se trouvant au bureau et, d'un coups, elle tomba sur le sol, laissant plaçe à des démons qui étaient rentrés à cause d'une maladresse de la part de l'adolescent.

http://www.youtube.com/watch?v=rAAwqYrL5Vc&feature=PlayList&p=3C04FD83F24E8D5C&index=30

Ayant son épée dans la main, il les regarda avant de regarder la porte sur le sol et, soupirant, dit :

- Vous devrez me payer une porte, ce n'est pas moi qui vait réparer vos bétises, non plus.

Aussitôt a-t'il fini de parler qu'un démon apparut derriére lui, venant du plancher. Les yeux fermés, il se retourna, tranchant le démon en deux avant que les autres ne se précipitent vers lui et la jeune fille. Esquivant avant de trancher net les démons, il regarda la jeune fille, il regarda surtout ses actions.

Il y eus de l'agitation dehors, les aura des démons avaient disparut d'un coup, comme si le néant les avaient happés. Il y eus un flash rouge et une ambiance que je connaissais. Cela c'était déjà produit dans les résidence secondaire de ma famille, tous les servante ont été retrouvées le matin, écorchées vive, certaine violées, d'autre agonisaient encore, même si je suis un vampire, cette vision m'avait fait trembler. Tous cela à cause d'une entourloupe que mon ancêtre a fait à un générale démoniaque du nom  de Mathurbe. Il l'avait encore dans la gorge apparemment.

Le pervers répondit à ma question, enfin il m'avait donné des réponse vagues, sauf pour l'aura et la douche. Sentant les démon près de la porte, je recula doucement, sans être apeurée, cela aurait été une erreur mortel. Mon poing serrant Belphegor tremblais, pas de peur de rage, si il y avait des démon mineur, il y aurait d'autres plus dangereux, ceux là étaient pour moi, de plus cela passerais le message que Miss fouteuse de merde n'est pas si faible. La porte tomba au sol et tous ce que le pervers put dire c'est qu'ils allaient lui rembourser sa porte. Il était vraiment débile.

- Laisse m'en, j'ai une furieuse envie de me défouler sur les petits, avant de me taper les grands. Pour la douche, j'espere que l'eau est bien froide.

Alliant le geste à la parole, je m'écarte du pervers pour être bien en vue. Je jeta Belphegor à terre, qui disparut et dit avec ma grande gueule en frappant des mains.

- Hè ! les toutous, venez voir maman.

Les démons ne refusèrent pas de foncer sur une proie désarmée, dix démons voulurent me buter.

- Phantom.

Maintenant, c'était dix cadavre, mon bras droit perlant du sang de mes victimes et à chaque paume un Belphegor. Certaine armes peuvent se dédoubler, la faux avait cette particularité. Je me dirige vers la porte, donnant des coups de pied et de faux à quiconque me gênais, je fut repoussé par un coup au ventre.

- Alors petite peste on se promène ?

Je regarda le connard qui m'avais mit ce coup et le reconnut, avec sa balafre.

- Tient j'avais pas vue ta sale gueule depuis longtemps, tu cherches quoi encore cette fois, une résidence familiale à démolir ? Désolé, mais tu t'es trompé d'adresse. Le pervers tu me le laisse celui-ci, je dois parler avec mon copain.
- Disons que j'ai sentit ta présence et que je voulais embarquer ton sang pour pouvoir enfin me hisser plus haut.
- Désolé, mais mon sang n'est pas à vendre.

Même si l'ambiance était tendu, on pouvait en sentir plus entre moi et ce démon. Puis il y eus un combat acharnée, le but était simple, chacun devait décapiter la tête de l'autre, sans crever. C'est dans ce genre de situation que l'on se dit que faire des heures sup, pour maîtriser Belphegor, est utile. Cela se finit par la tête du démon  qui roule par terre et moi, bien amochée, je prit le premier démon mineur qui passait et aspira tous son sang dans un bruit sordide, il fallait bien compenser le sang que je perdait, le temps que mes blessures se résorbent, les autres démon furent un peu dans la mouise, et oui, sans chef ils étaient comme des mouton, des mouton qui finissaient en kebab sous les coup du pervers. Mais je finit par m'évanouir de fatigue, ne voyant pas la suite des évènements, Belphegor avait reprit sa forme d'unique faux et décapitait tous démon s'approchant de moi.