Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Leona

Humain(e)

En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )

vendredi 21 octobre 2016, 13:25:52

Finalement ça devient lassant va t'en, aller va t'en avant que je change d'avis.

Le coups de pieds dans la fesses droite de l'élève la fait couiner et un léger soubresaut agite son corps pour la faire basculer. Un nouveau jouet de plus épuisé que je laisse partir sans même prendre la peine de lui délirer les mains. Elle aurait au moins pu attendre que je ne retire ses liens mais l'opportunité de fuite avait visiblement été plus alléchante, au cas ou je changeais là encore d'avis pour quelques heures supplémentaires. Combien de temps je l'avait garder d'ailleurs celle là ? Même pas une journée entière ? C'était peu tristement cette situation arrivait de plus en plus avec le temps. Je me lassais de mes jouets avec une rapidité alarmante, je ne m'amusais plus correctement et je tournais en rond dans des punitions qui me paraissaient à force enfantines... Pourtant ce n'était pas de la suite dans les idées qui me manquaient mais beaucoup d'entre-elles étaient déjà exploités sous diverses variantes et surtout, un corps humain normal n'était peut-être pas apte à supporter toutes mes idées loufoques. Allais-je progressivement perdre gout envers la domination ? Envers mon amour pour l'humiliation et les punitions qui allaient toujours plus loin ? Hors de question ! Mais je devais trouver l'esclave parfaite, celle capable d'endurer toutes mes idées tordues, dangereuses... Une soumise possédant un corps à toute épreuves que je pourrais couvrir de divers sévisses jusqu'à épuiser toutes mes idées les plus discutable... Une telle soumise existait-elle ?

C'est à cause de cette réflexion que j'avais fini plus tôt dans la journée à zoner sur internet en séchant mon cours de maths, cherchant encore et encore une escort girl capable de subir tout ce qu'ont lui demandait, ou une vilaine soumise qui mettrait son corps en vente sur un site isolé. En vain, elles me paraissaient toutes banales et les quelques pistes avaient décrochés la fenêtre de tchat au moment ou j'exposais certaines de mes idées en matière de punition. Celles-ci n'étaient visiblement pas assez solide mentalement pour encaisser le choc.

Il me fallait un peu plus d'une heure et demi pour tomber sur un site qui avait l'air aux premiers abord d'une blague. BIOGENIX, une drôle d'entreprise au nom presque futuriste et qu'on croirait sortie d'une firme tiré d'un film de science fiction. Après tout peut-être que c'était vraiment une blague, mais je décidais de jouer le jeu devant l'une des annonces. En échange d'un tarif plutôt couteux ou nous proposait certains service disons... discutable avec une des agents du groupe. L'histoire aurait pu s'arrêter là mais on proposait en plus un point de rendez-vous tout proche d'ici, dans un bar qui avait toujours été très peu fréquenté... Y avait-il un lien ? Toujours est-il qu'au vu de mon compte en banque bien portant et de mon envie de voir la chose de mes propres yeux j'avais loué les services d'un des agents, sans même voir à quoi elle ressemblait... J'aurais surement pu mais là aussi je voulais la surprise si tout ceci n'était pas qu'une plaisanterie. Même la phrase que je devais annoncer au barman semblait tirer d'une mauvais film à bas budget...

Voila finalement comment je m'étais retrouvé dans ce bar, un café à la main et vêtue d'une jupe noir, d'un corset et d'une paire de bottines à talons pas très hauts. Le bar-man semblait lui attendre quelque chose, cette fameuse phrase pour vérifier que j'étais une cliente ou une simple passante. Phrase que je n'arrivais pas à sortir de ma bouche tant elle semblait ridicule... Mais après avoir lancer un coups d'oeuil à droite et à gauche pour être sure que personne ne m'entendais je posais la tasse avec une tête déconfite, en annonçant d'un air hésitant.

Je suis... une cliente de BIOGENIX ? Je m'appelle Leona...

J'espère qu'ils n'allaient pas demander ma carte d'identité pour vérifier si j'étais majeur... A moins que ce ne soit pas un problème pour eux qu'une lycéenne s'adonne à ce genre d'activité ?

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )

Réponse 1 samedi 22 octobre 2016, 12:09:27

Le barman est un homme grand, mince, à la chevelure poivre et sel. Élégamment vêtu d'un costume trois pièce noir, il pose un regard policé et bienveillant sur la ravissante jeune femme et lui sourit.

Courtier de l'Agence - Madame [Nom de famille de Léona], soyez la bienvenue dans notre agence, c'est un plaisir de vous recevoir. Monsieur Malon, remplacez moi au comptoir je vous pris, j'ai une cliente à servir.

Qui que soit les agents de cette étrange société, la jeune femme se rend immédiatement compte qu'ils sont mieux renseignée sur elle qu'elle sur eux. Le serveur, vêtu plus modestement d'un pantalon noir et d'une chemise à veston, s'approche du comptoir et lui répond en hochant simplement la tête. Le barman s'écarte alors du comptoir et s'approche d'une porte au fond des locaux. Il insère une carte clef dans une encoche habilement dissimulée entre deux lambris et ce qui semblait n'être qu'une simple planche en bois se scinde en deux parties égales pour laisser apparaitre un ascenseur luxueux.

Dans le bar, aucun des rare clients ne s’étonne ou ne daigne même se retourner, ils continuent de parler et de boire comme s'il ne voyaient et n'entendaient rien...

Le barman entre et invite Leona à le suivre. Une fois qu'elle l'a rejoint, il presse l'unique bouton du panel et l’ascenseur se met à vrombir alors qu'il amorce une longue descente.

Courtier - Excusez nous pour tout ce secret, je comprend que cela paraisse inquiétant mais certaines activités de la firme ne sont pas du gout des autorité terr... excusez moi, locales dirons nous plutôt. Les services que vous recherchez se heurte hélas à la légalité et nous devons tout mettre en œuvre pour protéger nos clients et notre société. BIOGENIX offre la sécurité et la qualité à tout ceux et celles qui louent ses services.

Dit il avec fierté. L’ascenseur s'arrête enfin, le sas s'ouvre sur un long couloir aux murs lisses et blancs, éclairés par une lumière tamisée. De part et d'autre du couloir, des portes à judas. Celles de droite portent toute l'inscription "Laboratoire", celles de gauche l'inscription "Chambre d'usage". Le courtier guide la jeune femme dans le couloir en continuant de lui expliquer le fonctionnement du complexe.

Courtier - Vous êtes libre d’emmener votre "commande" où bon vous semble pour en jouir chez vous ou dans tout autre endroit. Mais BIOGENIX offre aussi à ses clients un accès illimité à ses locaux et à son matériel. Les laboratoires sont conçu pour satisfaire la curiosité à la foi sexuelle et scientifique, quant aux chambre d'usage, elle permettent de jouir de nos produits avec tout les instruments possible et imaginable. Si vous voulez vous faire une idée plus précise, je vous en prie, n'hésitez pas à regarder par le judas du laboratoire 1 et de la chambre 5, les clients qui y séjournent ont autorisé qu'on les regarde.

Quand elle décide d'ouvrir le judas de la porte 1, Leona assiste à un spectacle déconcertant et comprend alors qu'elle a eu raison de s'adresser à la firme, même si cette révélation fait presque froid dans le dos. Oui, BIOGENIX ne connaissait pas de limite, et les seuls tabou qu'elle rencontrerait serait les siens. Derrière la vitre, elle voit une pièce qui fait penser à un bloc opératoire. Au centre, une jeune femme, brune elle aussi, est attachée à un siège qui lui écarte les bras et les jambes en étoile et révèle son vagin et son anus outrageusement exposés au regard. Chacun de ses orifices, même son minuscule urètre est obstrué par un plug vibrant dont elle essai désespérément de se libérer en tortillant des hanches. Des pinces en cuivre mordent les tétons de la captive et lui infligent de petites décharges qui font sautiller ses mamelons sur son torse en sueur. Mais c'est surtout sa tête  qui surprend Léona. Posé sur chacune de ses tempes, des électrodes grésillent et lancent de petit arcs énergétiques à mesure qu'elles noient le cerveau de la pauvre cobaye d'un flux débilitant de décharges. A chaque décharge, ses yeux se révulsent et elle ouvre grand la bouche pour hurler en silence alors que sa langue pend de manière obscène sur ses lèvres.

Courtier - La cliente du laboratoire 1 ne parvenait pas à séduire sa meilleur amie. Elle à donc fait appel à nos services pour expérimenter le lavage de cerveau et la destruction de volonté sur celle-ci. Comme vous pouvez le voir, elle est libre d'aller aussi loin qu'elle le désir pour parvenir à ses fins.

Comme pour illustrer les propos du courtier, la cliente de la salle 1 se détourne de son établi armée d'une seringue remplie d'un liquide rose. Sans écouter les récriminations de son "amie", elle se rapproche et lui insère l’aiguille d'acier directement dans l'oreille jusqu’à ce qu'elle pénètre la matière grise. Puis elle presse le piston et les yeux de la captive s'écarquillent, ses iris s’ouvrent grand et elle cesse de ce débattre. Le Courtier referme le judas et invite Léona à le suivre vers la chambre 5.

Cette fois si le décor à changé, la pièce est une chambre sobre avec un lit, entouré de meubles équipés de tout les instruments de sexe et de torture possible. Sur le lit, un homme d'une cinquantaine d'année, gros et moche se tient assis. Entre ses jambes écartés, une femme au visage totalement masqué de latex est en train de lui sucer la queue avec lenteur de haut en bas. Ses bras sont liés dans son dos, pris dans un gant en latex qui épouse la forme délicate de ses mains qui se crispent de dégout à chaque fois que le pénis de son tortionnaire empli sa gorge.

Le ventre de la jeune femme est gonflé comme si elle était enceinte. Ses lèvres pubiennes sont obstruée par un bouchon vaginal dégoulinant de sperme encore chaud et sous pression qui essai de se frayer un passage. A coté du lit, Léona remarque une grande pipette à insémination et une bassine portant encore quelques résidus de semence.

Courtier - Monsieur X, appelons le comme ça, est professeur dans une école supérieur de Droit, il est tombé très amoureux d'une de ses plus brillantes et intelligente élève et à voulu avoir un enfant d'elle. Elle ne voulait pas alors il nous a contacté et nous l'avons aidé à réaliser ses désirs. Pour ce faire nous utilisons un sérum de notre création qui provoque une ovulation spontanée à la femme à qui il est administré. Il ne restait plus qu'a utiliser le fruit des plaisirs solitaires de Monsieur X pour l'inséminer.


Il referme à nouveau le judas et entraine Léona vers la dernière porte au fond du couloir. Il l'ouvre et révèle un bureau élégant en bois d'ébène équipé de deux fauteuil luxueux.

Courtier - Je vous en prie, installez vous, je vais préparer le contrat et demander à votre "commande" de nous rejoindre. Sachez que nous avons choisit l'esclave qui nous a semblé la plus adaptés à vos hautes attentes. Elle est très résistante, peut survivre à n'importe quel sévices même ceux qui sont communément mortels. Mais nous n'avons aussi choisit parce qu'elle garde un esprit rebelle et indépendant que la dominatrice que vous êtes aimera affronter et briser. De plus, elle dispose d'une interface de modification qui vous permettra de changer les paramètres de son corps à volonté.

Léona ne semble pas comprendre, pour toute explication il ouvre un petit ordinateur portable disposant d'un jeu de quatre cables "jack".
Il allume l'ordinateur est lance le logiciel [SUJET 2501]. Léona voit apparaître toute une interface de contrôle de la cyborg. Des systèmes de jauge avec curseur peuvent modeler sa sensibilité sexuelle, au plaisir comme à la douleur, sa facilité à jouir, dont elle peut être privée. Sa sensibilité émotionnelle et psychologique. D'autres permettent de provoquer une lactation et d'en modifier le débit. De réguler son sommeil au point de pouvoir totalement l'en priver. De gérer ses cycles menstruelles et ses ovulations. Enfin certains permettent de déconnecter certaines parties de son cerveau comme sa mémoire, sa volonté, sa personnalité. Même son QI et son intelligence peuvent être abaissée pour la rendre un peu idiote voir carrément stupide. Et bien d'autres fonctionnalités encore...

Même si une telle technologie dépasse l'entendement de la terrienne, Léona saisit que la encore, sa seule limite sera son imagination.

Courtier - Votre "commande", Irina, à quatre prises dissimulées sous sa chevelure, à la naissance de son cou. Il vous suffi de la brancher et de vous laisser guider par l'envie du moment. Bref, le contrat est prêt, mais avant de le signer et de rencontrer votre nouvelle esclave, avez vous des questions ?

Leona

Humain(e)

Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )

Réponse 2 samedi 22 octobre 2016, 14:45:36

Digne d'un film d'espionnage l'ascenseur se dévoilait dans un mur aux allures parfaitement banales, donnant suite à une galerie tout aussi étonnante. Qui aurait pu croire qu'un tel passage était dissimulé sous le sol de rue que je prenais chaque matin pour aller en cours ? Avaient-ils des liens avec le gouvernement ? Une agence ultra secrète ? Visiblement non si on en jugeait les paroles du guide qui affirmait les problèmes de légalité des services BIOGENIX. Et je comprenais pourquoi lorsque je pu enfin jeter un oeuil à ce qui se passait à l'intérieur. effectivement, les évènements qui se déroulaient sous mes yeux dans les deux chambres auraient pu poser de graves ennuies avec la justice et là on ne parlait pas d'une petite amande pour stationnement interdit, mais plutôt d'une belle peine de prison. Si cela aurait normalement dut inquiéter une jeune fille un léger sourire presque imperceptible se dessinait sur le long de mes lèvres rouges. Si mes recherches ne portaient pas leurs fruits dans un endroit pareil, c'est surement que je pouvais abandonner mon projet de trouver le jouet parfait.

Toutefois un petit déglutissement de dégout marqua le fond de ma gorge à la vue de l'homme. Non pas que la pratique de la fellation était choquante loin de là mais mon aversion envers les hommes étaient assez forte pour n'éprouver aucun plaisir à la vue de la scène, si ce n'est le confort que je pouvais en effet réaliser le plus refouler de mes fantasmes sans avoir peur d'un jugement quelconque ou d'éprouver ce sentiment de dépasser des limites impossibles à franchir.

Au delà de la deuxième chambre dont le judas se referme la visite se continue en un long couloir aux chambres fermées. On peut entendre quelques gémissements de douleurs derrière certaines en y tendant bien l'oreille, entre deux paroles de l'improvisé barman qui continue de vanter la qualité de leurs actions. Du coups plus les pas filaient dans ce tunnel sans fin orné de chambre plus je ressentais une hâte grandissante pour le moment ou je rencontrerais mon joujou. Je réfléchissais déjà à la meilleure façon de tester par moi même la véracité de leurs propos et la résistance de celle qui allait être la poupée de mes caprices.

Ce fut ensuite une pièce plus classieuse dans laquelle je m'asseyais en croisant les jambes, l'air stoïque et froid comme si je n'étais pas impressionné. En réalité je l'étais, comment ne pas l'être ? Même leurs technologies semblait venir d'un autre monde plus avancé que le notre. Une technologie qui me serait simple d'accès pourtant à en croire l'homme qui me fit une petite démonstration de l'outil high-tech. C'était aussi simple que ça ? Un ordi portable, un logiciel et 4 prises ? Intéressant...

Une fille de mon age devrait partir en courant après tout ce qu'elle vient de voir, mais je ne suis pas une lycéenne ordinaire vous savez, ça n'as fait que stimuler mon esprit fertile. Alors ma seule question est simplement de savoir quand je pourrais voir cette " Irina ", j'ai vraiment hâte maintenant...  

Affichant un large sourire la feuille est signée sans aucune hésitation bien que je vérifie tout de même qu'il n'y ai pas de caractère trompeur du genre " nous nous octroyons le droit de collecter vos organes à des fins scientifiques. " Rien de cela bien heureusement, comme tout semblait en ordre je signais en bas de page sans penser aux risques éventuelles d'un piège. De toute façon ils connaissaient mon nom de familles que je m'efforçais de cacher si bien... Ils possédaient surement déjà mon adresse et un tas d'autres informations à mon sujet.

De nouveau, ce fut une petite escapade dans ce couloir jusqu'à arriver devant une chambre, la chambre 9. A l'intérieur de celle-ci se trouvait une superbe blonde, d'une beauté à couper le souffle aussi bien au niveau du visage que de ses formes outrageusement appétissantes ! Comme demandée même si les conditions lui semblent favorable, la blonde est habillée de son uniforme violet. Par sympathie de lui laisser un peu de dignité ? C'est mal me connaitre... Je préférais juste les lui arracher moi même pour lui retirer de mes propres mains ces vêtements qui représentait l'ultime rempart entre sa condition d'humaine et de jouet sexuel. Parce qu'une maitresse se devait de le faire soit même pour montrer qui tenait les reines, selon moi.

Oh alors c'est elle... je suis agréablement surprise, très agréablement surprise même ! C'est la première fois que je vais réduire à néant une femme plus âgée que moi... et d'une telle beauté en plus ! Je devrais peut-être profiter de cette belle image avant que son visage ne soit qu'une déformation de douleur et de grimace face aux supplices !

Ayant bien compris l'importance du logiciel que m'as prêté le courtier, je profite de ses liens pour m'approcher, toujours en compagnie de l'homme qui ne semple pas quitter les lieux tout de suite, comme pour s'assurer que tout irait bien. Répétant dans ma tête la démonstration, je branche les câbles dans sa nuque après avoir toisé sa nuque du bout des doigts. Alors c'était donc vrai !

Voyons voir... Oh il y a tant de réglage intéressant... mhhh c'est difficile de choisir... je ne vais pas toucher tout de suite à ta personnalité nous avons tout notre temps... mhh... Oh tiens, des décharge électriques... et réglons là sur ce paramètre... voila !

Ce paramètre je ne lui annonçait pas à haute voix pour plus de surprise, s'attendre à la douleur était toujours plus supportable que la surprise. Toutefois le réglage était simple et promettait selon les explications une décharge électrique dans tout le corps à chaque râles de rébellion.

Je pense que j'ai compris comment ça marche, vous pouvez nous laisser, je vous remercie pour toutes ces explications. Quant à toi ma belle poupée de chiffon, je vais procéder à un petit teste pour m'assurer que BIOGENIX ne sont pas des escroc. On m'as promit que tu serais d'une résistance à toute épreuves alors je veux le voir de mes propres yeux.

La salle aux allures de laboratoire est plutôt complète et j'ai vite fait de trouver un robinet ainsi qu'un long tuyau assez épais. Un des bout est relié au robinet que j'allume en tournant la valve d'eau froide, l'autre bout lui, vient se glisser dans son anus et s'y enfonce comme un serpent bien glissant.

Mais ne t'en fais pas ce n'est rien qu'un petit test tout simple. Je vais juste te remplir d'eau comme un ballon

Les liens et le bâillon en forme de boule entre ses lèvres n'ont plus lieux d'être, seule la corde liant ses poignets dans le dos persiste pour qu'elle ne retire pas le tuyau de son anus. La belle blonde est donc ainsi allongée au sol, poitrine et ventre contre terre et fesses offerte à ma vue. Une position idéal pour laisser l'eau couler au fond de ses intestins et la remplir d'eau.

Il parait qu'un corps humain normalement constitué ne peut pas supporter plus de 4 litres d'eau. J'en attends donc beaucoup plus de ta part si tu es aussi résistante qu'ont me l'as fait croire.

On allait commencer par 5 litres dans son joli derrière rebondit d'abord, puis l'autre moitié se ferait ensuite par orifice différent... Le but finale était de la remplir jusqu'à la limite qui me serait possible et le jeu continuerait tant que son corps serait capable d'accueillir la moindre petite goutte d'eau...

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )

Réponse 3 dimanche 23 octobre 2016, 16:52:13

Quand le directeur lui avait dit que son nouveau client était une cliente, Irina s'était d'abord détendue. Après tout, une femme ne pouvait pas lui faire tout le mal que les hommes lui faisaient et elles étaient généralement plus douce. Qui plus est, l'avantage des rapports lesbiens était qu'elle n'était pas obligé de subir la souillure de leur corps répugnant qui rentrait en elle pour cracher leur semence nauséabonde. Non, Irina était rassurée, presque satisfaite, si tout ceci n'était pas un viol perpétuel de son corps et de son esprit contraint et malmené par ses implants cérébraux.

La nouvelle cliente la voulait en tenue, ce qui rassurait aussi la belle blonde, sans doute louait elle ses services pour mener un traque au dehors sans qu'elle n'ait a subir de nouveaux sévices sexuels. Irina s'était donc  rendue confiante à la chambre 9, libérée de la peur de devoir encore servir de jouet pour un quelconque détraqué.

Une fois la porte passé, le tableau qu'elle s'était fait commença à changer. La chambre était équipé comme les autres, de tout les instruments de plaisir et de torture imaginable, mais l'un d'entre eux avait été sorti pour l'occasion...
Un des employé de la firme se tenait devant elle avec un jeu de sangles et de courroies en cuir noir.

Employé - La cliente te veux attachée, vient ici, ferme la porte et agenouille toi face à la porte.

Irina sert les dent et les poings, elle ne savait plus quoi penser. La cliente avait elle peur d'elle ? Voulait elle jouer avec elle avant de l'envoyer en mission ? Si oui, pourquoi n'avait elle pas demandée qu'elle soit dévêtue ?

Employé - J'ai dit ! Avance toi, ferme la porte et t'agenouiller face à la porte !

L'ordre était impératif et tonitruant, la cyborg essai de lutter quelques instants mais ses implants commencent à s'activer et a modifier la chimie de son cerveau pour la rendre plus docile. Au bout de quelques secondes de combat intérieure, elle obéit aux ordres de l'employé et vient se positionner dos à lui. Il lui lie alors les poignets et les bras avant de descendre lui lier les jambes et les mollets à une puissante barre d'acier.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Irina essai de tirer sur ses liens pour se libérer, mais ils sont solidement arnachés. Enfin, l'employé vient placer la petite touche personnelle de BIOGENIX que la jeune femme hait par dessus tout: un bandeau, fin mais qui épouse parfaitement les yeux d'Irina pour la plonger dans le noir total. Elle l'entend partir et fermer la porte derrière lui, elle commence alors à se débattre et a tester chaque nœuds de ses liens, mais aucun ne cède. Au bout d'interminables minutes, des bruits de pas résonnent et la porte s'ouvre.

Irina entend alors une voie belle et séduisante, qui prononce des paroles qui lui glacent le sang.

Leona - Oh alors c'est elle... je suis agréablement surprise, très agréablement surprise même ! C'est la première fois que je vais réduire à néant une femme plus âgée que moi... et d'une telle beauté en plus ! Je devrais peut-être profiter de cette belle image avant que son visage ne soit qu'une déformation de douleur et de grimace face aux supplices !

"Réduire à néant" , "déformation de douleur" , "supplices", elle qui pensait que sa nouvelle cliente serait surement gentille...
Chacun de ses mots bouleverse Irina et font monter une peur panique. Elle recommence à se débattre en gémissant.

Irina - Non... attendez... s'il vous plaie... je ne suis pas consentante... je suis retenue ici contre ma volonté... aidez moi.

Courtier - Silence Irina, excusez la Madame, nous l'avons choisit parce qu'elle était récalcitrante et que nous pensions que cela vous plairait beaucoup. Par souci de confidentialité, nous lui mettons un bandeau sur les yeux mais vous êtes libre de le lui enlever quand bon vous semble. Si vous désirez lui faire oublier votre visage, il vous suffira d'aller en laboratoire pour lui faire un lavage de cerveau. Je vous laisse prendre vos aises, n'hésitez pas à réclamer tout ce qu'il vous plaira en utilisant les interphones. C'est d’ailler la démarche à suivre si vous désirez faire usage d'un animal vivant pour vos jeux. Bonne journée Madame.

Pendant que Leona contourne Irina et s'installe confortablement sur le lit derrière elle, le courtier sort et ferme la porte derrière eux, les laissant seules. Immédiatement, Irina en profite pour tenter d'engager une discutions.

Irina - Attendez... s'il vous plaie... je vous en supplie aidez moi... je suis prisonnière ici... je... qu'es ce que... Qu'es ce que vous faite ? Non... pas ça...

La cyborg sent que Léona lui dégage la nuque de son opulente chevelure et cherche ses prises du boit des doigts.

Irina - Attendez... non je...

Léona vient d'enfoncer les prises dans la nuque d'Irina, la tête de celle-ci remonte légèrement et se met à toiser le vide du plafond, la bouche demie ouverte. Elle ne dit plus rien, l'esprit bloqué par l'interface qui se déroule sous les yeux de la cliente de BIOGENIX.

Leona - Voyons voir... Oh il y a tant de réglage intéressant... mhhh c'est difficile de choisir... je ne vais pas toucher tout de suite à ta personnalité nous avons tout notre temps... mhh... Oh tiens, des décharge électriques... et réglons là sur ce paramètre... voila !

Elle pianote sur le petit ordinateur et donne un ordre simple aux implants cérébraux de la cyborg. Toute à son affaire, la jeune cliente en oublie totalement que le courtier est déjà parti depuis quelques instants.

Leona - Je pense que j'ai compris comment ça marche, vous pouvez nous laisser, je vous remercie pour toutes ces explications.

Elle débranche les câbles de la nuque d'Irina qui reprend connaissance.

Irina - Pitié... pitié... libérez moi...

Mais sa Maitresse reste sourde à ses misérables supplications et continue.

Leona - Quant à toi ma belle poupée de chiffon, je vais procéder à un petit teste pour m'assurer que BIOGENIX ne sont pas des escroc. On m'as promit que tu serais d'une résistance à toute épreuves alors je veux le voir de mes propres yeux.

Irina - Que... qu'es ce que vous allez me faire ?

La cyborg, tremblante de peur, entend Leona se lever et partir ouvrir une armoire de matériel. Elle délie ses chevilles de la barre pour la faire basculer en avant. Ses mollets, toujours attachés à ses cuisses, l'obligent à se tenir sur ses genou, le visage contre le sol.
Puis Leone prend le tuyau et pousse le bout sur le muscle délicat de son anus.

Irina - Que ? Qu'es ce que c'est... att.. attendHAA !

Elle sursaute et pousse un petit cris de douleur au moment ou le bout s'enfonce entre ses fesses et lisse la belle auréole de son cul. Elle commence à se débattre mais une décharge soudaine la fait hurler et elle se cambre contre le sol.

Leona - Mais ne t'en fais pas ce n'est rien qu'un petit test tout simple. Je vais juste te remplir d'eau comme un ballon.

Irina - Nan ! Nan ! Je vous en supplie ne faite pas ça nan !

Mais encore une fois Leone ignore ses supplications et ouvre le robinet.

Leone - Il parait qu'un corps humain normalement constitué ne peut pas supporter plus de 4 litres d'eau. J'en attends donc beaucoup plus de ta part si tu es aussi résistante qu'ont me l'as fait croire.

L'eau parcoure le tuyau et commence à se déverser dans les intestins de la belle captive. Sa fraicheur les fait se contracter mais rapidement le volume augmente, et ils commencent à gonfler, à boire, à se bouffir.

Irina - Ho mon dieu non pas ça haaaaaaa...

Son ventre commence à gonfler, d'abord une petite bosse dans le bas ventre, puis elle remonte et gonfle pour lui donner le ventre d'une femme enceinte de six mois.

Irina - Stop... Stop ! Je... j'ai mal... arrêtez... pitié ! Pitié Maitresse arrêtez !

Mais rien n'y fait, et son ventre gonfle encore au point de venir toucher le sol entre ses cuisses. Très vite le ventre d'une femme enceinte de neuf mois laisse sa place à celui d'une truie qui attend une douzaines de petits et l'eau continue de couler. Irina ne parle plus, elle gémit et cris de douleur, comme si elle avait oubliée le langage des hommes.
L'eau remonte encore, faute de place et vient comprimer son diaphragme et transforme son ventre en un énorme fruit mur, ovale et gondolé sur la forme de ses intestins dilatés.

Irina - Stop ! Je ! ça passe plus je ! je vais... je vais éclater !

La peau de son ventre se strie soudainement de vergetures qui remontent jusqu'à son nombril qui jailli hors de son ventre pour former une sorte de monstrueux téton bouffi d'eau. Irina voudrait mourir, elle appel la mort de ses vœux, mais son métabolisme est trop résistant, ses facultés de régénération trop efficaces et sa chaire ne romps pas.

L'eau, alors prisonnière et sous pression, ne trouvant plus de surface à occuper, commence à pousser sur le muscle de son anus qui commence à fuir. Irina recommence à hurler à mesure que son muscle anal ramolli et se distend sous la pression. Incapable de tenir encore, le muscle complétement dilaté et se distend totalement. L'eau se met alors à jaillir de son anus pour se rependre entre ses cuisses. Elle est parfaitement propre, du fait qu'Irina ne soit que rarement nourrie naturellement.

Irina pousse un long gémissement parcouru de sanglots, son anus totalement dilaté ne se contracte plus, il laisse, inerte, passer le tuyau et l'eau qu'il déverse.

Irina - je vous en supplie libérez moi...

Dit elle en gesticulant faiblement pour se libérer de ses liens.[/b]

Leona

Humain(e)

Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )

Réponse 4 lundi 24 octobre 2016, 13:26:46

Ne dit pas de bêtises on n'éclate pas aussi facilement.

Un violent coups de pieds dans son ventre lourd m' offre un doux sons d'eau qui ballote dans tous les sens, un délicieux bruit sourd ressemblant à s'y méprendre à un ballon trop plain d'eau. Eclater ? Qu'elle arrête de me faire rire, je n'avais pas payé une telle somme pour qu'elle commence à pleurer au bout de 6 litres d'eau, même si la prouesse était déjà au delà d'une simple humaine. Ce que j'étais venu chercher là était bien au delà d'une simple prouesse, mes espérances nourrissaient des ambitions bien plus hautes. Toutefois elle n'avait pas tort, elle était pleine... enfin... à un détail près. J'espère qu'elle n'allait pas se réjouir trop vite de la situation en sentant le tuyau se glisser hors de ses larges fesses, dont le bout flottait à demi dans le fond de son anus gorgé de flotte.

Tu as raison ça ne passe plus, tu dois être pleine... du moins de ce côté là... Si tu peux encore parler je sais par ou je pourrais continuer à te remplir plus facilement.

Ce même tuyau qui était dans le fond de son derrière un instant plus tôt et étonnement d'une propreté impeccable, alla se loger contre ses lèvres. Devant le refus de l'ouvrir naturellement  ce fut une décharge électrique qui parcouru de nouveau son corps, bien plus intense cette fois-ci à cause de l'énorme quantité d'eau en elle qui était un parfait conductible. Je profitais que la décharge passe pour lui enfourner le tuyau entre les lèvres, le pied logé dans son gros ventre bombé.

Tu ressemble à une énorme cochonne comme ça ! Je devrais peut être te balancer dans un enclos avec d'autre porc personne ne verras la différence ! Mais je suis sure qu'ont peut encore te faire gonfler un peu ! Alors soit gentille et n'entrave pas mon plaisir de voir ton corps se noyer d'eau... Ou la douleur que je serais capable de te procurer par vengeance serait infâme...

Pour que l'eau ne se vide plus par son anus, je décidais de lui enfoncer bien profondément et bien solidement un bouchon imperméable à l'eau, et solide. Maintenant, il était temps d'en faire de même en gavant cette truie par la voie orale. Immédiatement, l'eau coulait à nouveau pour aller remplir sa bouche et sa gorge, la forçant à boire de longue et étouffante gorgées d'eau. Il était aisé de deviner chaque déglutissions par la bosse qui se formait dans la gorge avant de se faire avalé avec difficulté, toujours dans un sons de supplice à moitié noyé. Un détail me perturbait pourtant et je lui retirais le bandeau de devant ses yeux pour avoir la joie de croiser son regard suppliant. Elle pourrait ainsi y voir le mien, dessiné d'une joie intense de la voir subir son supplice... Lui faisant ainsi comprendre qui j'étais et qu'il ne serait pas aussi aussi simple de me faire arrêter.

Tu vois, ça passe encore ! Je sent que ton ventre pousse contre mon pied, c'est qu'il y a encore de la place. Et pour ta gouverne, au passage, je me fiche que sois retenue ici contre ton grès, et je n'irais pas prévenir les autorités même quand j'en aurais terminé avec toi ! Ce serait une insulte envers ceux qui te détiennent et qui me permettent de vivre ce si délicieux moment !

2 litres plus tard soit 8 et le double qu'un corps humain normal pouvait contenir en restant conscient, j'avais bel et bien la preuve que son corps n'était pas banale, BIOGENIX ne m'avait pas menti et je me rendais réellement compte que tout m'était possible ! Même si la blonde avait elle aussi après tout ses limites que je remarquais bien lorsque quelques salves d'eau commençaient à gicler hors de ses narines. L'eau l'avait vraiment complètement remplis cette fois et son ventre distendu à la limite de son possible avait même fini par déchirer son uniforme sous la pression de se ventre abusivement gonflé. Si l'eau investissait son nez c'est qu'elle ne pouvait même plus respirer et que l'eau ne pouvait tout simplement plus trouver de place à l'intérieur. Elle donc forcée de s'écouler en dehors par ce qu'elle pouvait.

Par un ultime geste de sadisme je lui pince le nez quelques seconds pour que ses joues se compriment comme un hamster sous l'impossibilité de sortir. Et une fois qu'elle sont bien fermes et rouge je relâche la pression pour que tout s'expulse d'un coups. C'était plutôt amusant à voir et je découvrais moi même des facettes de moi même, bien plus sadique encore que j'aurais pu le penser ! N'avais-je donc finalement pas de limite même devant ce spectacle ? La blonde remplie convulsait dans tous les sens et ses yeux se révulsaient comme un dernier signal d'alerte, auquel je répondit en fermant le robinet. Mais comme pour son anus hors de question que l'eau puisse ressortir, et la bouche fut elle aussi scellée par un large morceau de scotch bien solide.

8... peut être même 9... ça risque d'être épuisant quand tu va devoir tout évacuer par la voix naturelle ! ah ah !

Mon pieds s'écrase fermement contre son ventre à lui en faire tortiller de douleur, sentant largement l'eau s'écraser sous mon pied.

Les grosses truies comme toi ont besoin d'exercice tu ne penses pas ? On va devoir faire une petite balade !

L'uniforme déchiré dévoilait à moitié sa poitrine aux allures d'obus alors que je commençait à lui enrouler une laisse en cuir autour du cou. BIOGENIX n'avait réellement pas menti et tout un tas d'accessoire était à disposition, parmi mes préférés en plus. C'est comme s'ils connaissaient mes habitudes et qu'ils savaient déjà à l'avance ce qui allait me plaire ! Peut-être était-ce le cas ? C'est ce que je commençais à croire lorsque je sortais de l'armoire cette petite panoplie à côté de la laisse, qui lui donnerait l'apparence d'une chienne pour de vraie. Ce fut au final de jolies bottes aux allures de pattes de chiens ainsi que des gants au même désigne. Pour agrémenter le tout une paire d'oreilles canine fut fixé sur le sommet de sa tête.

Un peu grosse pour une chienne... Tu va voir besoin de beaucoup d'exercice.

Avec un ventre lourd de presque 10 litres de liquides faire un simple tours en laisse serait en réalité un véritable supplice. Son ventre touchait le sol et le percuterait surement d'avantage à chaque pas en avant. Mais si elle utilisait ce prétexte pour ne pas avancer, ce serait un fulgurant coups de pieds qu'elle recevrait dans ce gros ballon qui lui servait de ventre !

Aller, faisons un tours dans le couloir jusqu'à ce que tu ne puisse même plus tenir sur tes quatre pattes !

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )

Réponse 5 mardi 25 octobre 2016, 18:33:32

Irina ne se rappel pas avoir connu plus cruelle maitresse que cette jeune femme. Quand elle prend un coup de pied dans le ventre, elle ne peut que tomber sur le coté et tenter de ramper sur son ventre bouffi d'eau en gémissant.

Elle sent sa tortionnaire s'emparer du tuyau et tirer dessus. Dans un grand cris de soulagement, Irina laisse retomber sa tête contre le sol et en lèche involontairement les aspérités de sa langue impudique. Mais avant que le liquide ne se déverse de son anus martyrisé, elle sent un objet énorme pénétrer de nouveau son muscle totalement distendu et arrêter le flot.

Irina - Nannnn OOOOOO !!! Non par pitié...

Léone vient de lui enfoncer un god en guise de bouchon et le fixe bien à l’intérieur avec du ruban adhésif noir en vinil. Cela lui fait une jolie croix sur le cul, avec une bosse remuante la ou le sexe toy sous pression essai de sortir.

Puis elle reprend le tuyau et presse contre la bouche d'Irina, la jeune cyborg reconnait l'odeur de ses propres sucs et devine d'où est sorti cet embout. Elle détourne le visage d'un air dégouté en serrant les lèvres.

Irina - Haaaaaaaaa !

Une tension électrique insupportable serpente de son  cerveau pour irradier ses intestins gorgés d'eau. Tout le corps d'Irina se contracte intensément, ses seins obusiers rebondissent sur son ventre énorme.

Quand Léona presse ànouveau le tuyau contre la bouche d'Irina, celle-ci baisse la tête d'un aire résigné et elle ne lutte pas quand le goulot pénètre sa bouche et s'enfonce dans sa gorge.

Irina - Gluu...

Elle ferme ses poings liés dans le dos et essai maladroitement de tirer sur les courroies qui lui écrasent les bras. Mais elle reste prisonnière du bon vouloir de la cliente.

Léona - Tu ressemble à une énorme cochonne comme ça ! Je devrais peut être te balancer dans un enclos avec d'autre porc personne ne verras la différence ! Mais je suis sure qu'ont peut encore te faire gonfler un peu ! Alors soit gentille et n'entrave pas mon plaisir de voir ton corps se noyer d'eau... Ou la douleur que je serais capable de te procurer par vengeance serait infâme...

Irina l'entend se déplacer à nouveau vers le robinet.

Irina - NNNN ! mmmm ! mm NNn !

Elle gémit pour la supplier de ne pas faire ça, mais le tuyau dans sa gorge est un bandeau efficace. Elle entend le bruit du robinet qui se tourne et de l'eau qui afflue, elle se met à gesticuler et ses mains a se crisper dans le vide.

Irina - Nnnnnn ! nnnnn ! nGLP !

La première gorgée d'eau déforme la trachée d'Irina et vient remplir son estomac. La belle blonde se raidit et s'immobilise. 0 cet instant elle est à genou, appuyée sur son énorme ventre gonflé, les bras attachés dans le dos et le visage levé vers le ciel alors que le tuyau se tend entre ses lèvres.

Irina - Glp...Glp...Glp...Glp...Glp...

Les bruits de déglutitions d'Irina emplissent les oreilles de Léona qui admire sa ravissante gorge se bosser au passage de chaque rasade. Une nouvelle bosse commence à naitre, entre la poitrine et le ventre distendu de la belle. Entre chaque déglutition, Irina se cambre et sursaute en gémissant, mais la déglutition suivante la cloue à nouveau de douleur.

Quand Léona lui enlève le bandeau, elle découvre les yeux exorbités d'Irina, rendus fous par la terreur et la souffrance. Quand son regard se pose sur elle, Irina lui lance un regard suppliant et désespéré.

Léona - Tu vois, ça passe encore ! Je sent que ton ventre pousse contre mon pied, c'est qu'il y a encore de la place. Et pour ta gouverne, au passage, je me fiche que sois retenue ici contre ton grès, et je n'irais pas prévenir les autorités même quand j'en aurais terminé avec toi ! Ce serait une insulte envers ceux qui te détiennent et qui me permettent de vivre ce si délicieux moment !

Un bruit de craquement résonne, les boutons de chemise et les fermeture éclaires de son uniforme viennent d'éclater, déchirant sa jupe qui glisse entre ses jambes et ouvre son chemisier pour faire sortir sa somptueuse poitrine. La cliente peut remarquer qu'elle ne porte aucun sous vêtements.

L'eau se met alors à jaillir de son nez. Et quand Léona le lui pince, il gonfle alors sa gorge, puis ses joues, puis il commence à remonter le long de ses canaux lacrimaux. Les yeux d'Irina se révulse et elle se met à pleurer l'eau qui l'emplie.

Quand l'eau s’arrête enfin, le ventre d'Irina est maintenant composé d'une monstrueuse bosse qui remonte jusqu'à ses cotes. L'eau a pris tellement de place qu'elle a commencé à passer sous son sternum pour lui comprimer les poumons, donnant à la belle captive un teint de peau magenta parcouru de veines saillantes et bleues. Elle ne peut plus respirer qu'a grand peine, luttant de toute ses forces pour libérer son diaphragme de la pression. Elle reste ainsi sans bouger, totalement prostrée, quand Léona lui enleve le tuyau de la gorge, elle ne trouve même pas la force de vomir, et la tortionnaire en profite pour condamner la bouche avec un autre morceau de ruban adhésif noir.

Léona - 8... peut être même 9... ça risque d'être épuisant quand tu va devoir tout évacuer par la voix naturelle ! ah ah !

Les yeux écarquillés et fixé dans l'horreur vers le plafond de la pièce, Irina n'arrive pas à lui signifier son refus. Elle se contente de respirer lentement, ses seins rebondissent doucement pendant que sa poitrine se gonfle difficilement d'air.

Léona pose alors son pied sur le ventre distandu de la belle et le presse impitoyablement.

Irina - MMMMMMMMM !

Le ventre d'Irina fait le bruit d'une autre d'eau bien pleine et se couvre de nouvelles vergetures et veines qui saillent autour de ses seins et de son  nombril. La cyborg reste prostrée dans sa position de souffrance, elle sent que Léona lui passe une laisse autour du coup, elle sent qu'elle la déguise en chienne lubrique et stupide. Mais elle souffre trop pour résister, honteuse, elle secoue la tête et baisse le regard en sanglotant.

Léona - Un peu grosse pour une chienne... Tu va voir besoin de beaucoup d'exercice.Aller, faisons un tours dans le couloir jusqu'à ce que tu ne puisse même plus tenir sur tes quatre pattes !

Irina - Nnnn ! nnnnnn !

Mais les suppliques d'Irina ne servent à rien. Sa maitresse tire sur la chaine et la grosse chienne commence à ramper sur son ventre qui se contracte et s'écrase contre le sol à chaque genou qu'elle met devant l'autre. A chaque pas, le god profondément enfoncé dans son cul ressort sous la pression de l'eau et se renfonce plus encore, arrachant à Irina de fulgurant et honteux orgasmes qui la fond se tortiller comme une folle nymphomane. Mais a chaque fois le pied de Léone vient frapper l'outre monstrueuse de son ventre pour l'obliger à avancer, et bientôt c'est une véritable trainée de cyprine qui coule entre les cuisses d'Irina et lubrifie le sol sur son passage.

Quand Léona ouvre la porte et emprunte un couloir au hasard pour promener sa chienne, Irina essai de luter, refusant d'etre vue dans cet état par tout les gens qu peuplent le complexe souterrain. Mais encore une fois sa maitresse se montre brutale et intransigeante et l'oblige à avancer.

Irina, rouge de honte, baisse le regard et essai de mettre la tête entre les épaules alors qu'elle se dandine douloureusement de couloir en couloir. Sur leur passage, hommes et femme la regard parfois amusés, parfois surpris mais toujours excités. Un des hommes s'arrête même pour féliciter Léona pour réussir à dresser cette petite pinbèche d'Irina et avoue n'avoir jamais réussi à l'avoir lui. Il lui demande si elle serait capable d'obliger Irina à le baiser.

Leona

Humain(e)

Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )

Réponse 6 mercredi 09 novembre 2016, 01:06:11

Le spectacle en était arrivé à un point ou son ventre percutait le sol avant sa poitrine pourtant bien large, décrivant aisément les nombreux litres qui remplissaient son corps comme une énorme citerne gonflable. Le plus excitant dans tous ça était surement de voir son gros ventre s'aplatir et s'écraser sur le sol de la même manière qu'ont écraserait un ballon de baudruche contre une surface. La trainée de cyprine quant à elle me donnait une information sur son corps qui réagissait comme celui d'une grosse masochiste face à la douleur. Par expérience, je commençais à comprendre que ces réactions de plaisirs incontrôlées face aux supplices les plus perturbant provenaient d'un passé douloureux. La blonde avait du être torturée et violée sous tous formes possibles pour la former à en apprécier chaque nuance de souffrances et d'humiliation. Dans son cas, c'était une véritable réussite et chaque plainte pour me supplier d'arrêter le traitement me faisait frémir. Comment pouvait-elle croire que j'aurais envie de m'arrêter maintenant qu'elle était si mignonne à me quémander un brun d'humanité.

Non à la place elle n'eut le droit qu'à un pied qui vint s'écraser dans son ventre alors que je l'avais retourner sur le dos pour en apprécier ma bottine qui s'enfonçait dans cette chaire gonflée. Là ou je l'écrasais, l'eau forcée d'être chassée gondolait les autres surfaces de son ventre, formant un jolie cratère au milieu.

Tu entends ce bruit ? C'est terriblement amusant tu ne trouves pas ?

Je faisais bien entendu référence au bruit du ballotement de l'eau qui parcourait son ventre, et pas pur plaisir je repartais pour un grand coups de pieds bien placé mais plus brève. Si je la martyrisais trop elle ne pourrait jamais arriver au bout de son petit parcours dans les couloirs. D'ailleurs la blonde avait l'air d'être connue et un homme visiblement assez mauvais dresseur me félicitait d'y être parvenue. En temps normaux je lui aurait bien dit qu'il devait simplement apprendre les bases, qu'il était tout simplement un piètre dominateur pour lequel même une autre fille de mon age n'éprouverait aucun respect. Il fallut moins de trente minute moi pour la mettre dans cet état, et surement encore moins pour lui faire comprendre ce que j'étais et la faire plier mentalement... Toutefois je ne voulais pas provoquer d'ennui inutile ne serait-ce que par respect pour cet organisation. Après tout elle me permettait de jouir de celle qui était surement déjà ma proie la plus intéressante.

J'aurais pu passé mon chemin et l'histoire ce serait arrêter là mais l'homme semblait ensuite me provoquer en me demandant si j'étais capable d'une chose toute simple. Un sourire narquois se dessina sur mon visage alors que je replaçait cette grosse vache ventre à terre dans un lourd et douloureux impact, faisant sortir une belle goulée d'eau par ses narines.

Même un singe serait capable de lui donner cet ordre, pour qui me prenez vous ? Attendez plutôt et voyez par vous même avec quel hardeur cette chienne vous sucera la queue dans quelque minute j vous autorise même à utiliser mon jouet en choisissant le trou qui vous siéra. Je dois juste terminer sa balade avant ça.

Comme pour lui dire d'avancer le talon d'une de mes bottine s'enfonce dans son cul et s'y tortille, pendant que la semelle pousse pour l'obliger à ramper sur le sol.

Tu vois cette intersection là bas ? On va y aller pour faire tes besoins, tu dois avoir envie d'évacuer un peu après avoir tant bue. Ensuite on fera demi tours, et tu t'occuperas de l'autre imbécile qui attends dans le couloir.

Seulement j'avais peut-être oublier de lui dire que je n'avais pas envie de marcher jusqu'au fond de ce couloir, bien qu'elle devait l'avoir compris quand je commençait à m'assoir sur son dos pour l'utiliser comme monture, en rajoutant une pression sur son ventre qui s'écrasait encore plus contre le sol. Et pour motiver à la faire avancer, mes talons tapaient sur les deux côtés de son ventre quand elle n'y mettait pas assez du sien. La vie de chienne était une vie décidément bien compliquée !


Répondre
Tags :