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Starling Whore [Hollywhore Hate Reviews]

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Alexandre Dowell

Créature

Starling Whore [Hollywhore Hate Reviews]

lundi 10 octobre 2016, 09:12:38

Alexandre avait entendu parler de cette chose. Seul dans son vaste appartement, il observait la ville depuis ses baies vitrées, buvant un peu de vin, tout en attendant la venue de la personne que Hans, l’un de ses hommes, devait lui ramener. C’était une créature très particulière, l’un de ces phénomènes inexplicables liés aux interactions complexes entre ce monde-ci et celui de Terra. Initialement, Alexandre n’avait pas cru à cette histoire, mais, aussi intransigeant et sceptique soit-il, le vampire n’était pas un homme aveugle. Originaire de Terra, il était bien placé pour savoir que la vie pouvait parfois s’exprimer sous des formes inattendues et mystérieuses. Le phénomène de foire qui s’approchait était l’une de ces formes indescriptibles, et Alexandre devait bien reconnaître qu’il sentait un léger frisson d’excitation le parcourir à l’idée de la nuit qui l’attendait.

Hans, de son côté, s’était garé devant un magasin éclairé, proposant de louer des films. Le genre de magasin atypique qui avait disparu avec l’essor d’Internet et du P2P. Quand il était jeune, il louait des cassettes toutes les semaines avec son grand-frère. Maintenant, il était juste surpris de voir qu’il y en avait un, et qui semblait toujours tourner. Cependant, Hans avait compris, grâce aux instructions de son supérieur, que, si cette boutique tenait toujours, c’était parce qu’elle proposait des « extras ». Il n’était pas sûr que ce magasin ait eu l’autorisation de le faire, mais ce n’était pas ça qui allait gêner Hans, ni son patron. Pour le dire simplement, Hans était un homme dévoué, du genre à ne pas poser trop de questions. Dévoué et consciencieux, il savait pour qui il bossait, et il ne lui serait jamais venu à l’esprit de trahir son patron, quand ce dernier l’envoyait accomplir quantité de tâches. Hans avait un boulot plutôt agréable, car, s’il était astreint continuellement au service de Dowell, il était pour autant libre la plupart du temps. En retour, il devait s’assurer de toujours répondre au téléphone quand son employeur avait besoin de lui, et de ne poser aucune question bête.

L’homme sortit de la voiture. Il portait des vêtements assez élégants, et une paire de gants noirs en cuir. Il pénétra dans l’établissement, ce qui le changeait des autres endroits où il allait. La plupart du temps, les activités de Hans portaient sur les dossiers de son supérieur, consistant à convaincre des clients réticents de payer leurs honoraires, ou de convaincre des tiers d’avoir des attestations qui soient plus favorables aux clients du cabinet. Il avait compris depuis longtemps que Dowell n’aimait pas perdre, et que son calme d’acier dissimulait une nature particulièrement violente, tâche qui l’amenait aussi à aller régulièrement lui chercher des prostituées, des filles calmes, qui ne disaient rien, et à faire le ménage derrière.

Il parla rapidement au vendeur, en lui expliquant pour quoi il venait, et déposa sur sa table une grosse enveloppe remplie à craquer de billets de banque. Pour ce genre de services, Dowell payait toujours par liquide. Ainsi, il n’y avait pas de trace nulle part, et on pouvait rentrer ça en comptabilité sans trop de problème. Le vendeur acquiesça silencieusement, visiblement peu surpris de cette démarche, et alla chercher la nana.

Hans prit donc son mal en patience. Plutôt grand, l’homme était aussi chauve, avec une barbe qui poussait sur son visage, le tout lui donnant un air assez sévère, l’ensemble étant agrémenté par les lunettes noires qu’il portait sur son visage. Finalement, le vendeur revint assez vite, amenant, derrière lui, une femme dont l’apparence interpella Hans, qui haussa les sourcils derrière ses lunettes.

Récemment, il avait été au cinéma, juste pour se convaincre, une fois de plus, de la débilité des films occidentaux, de leurs blockbusters insipides. Hans savait que le monde était parcouru d’individus costumés se prenant pour des Dieux modernes, et il s’était rendu à un film parlant d’eux, afin d’en savoir plus sur eux, mais s’était rapidement fait chier, maudissant les performances médiocres d’une artiste qui assurait le spectacle uniquement en roulant des hanches et en montrant son cul sous tous les plans possibles de la caméra.

Il était donc surprenant de voir cette femme, Margot Robbie déguisée en Harley Quinn, se pavaner sous ses yeux.

« Alors, vous la ramenez bien ce matin ? s’enquit le vendeur.
 -  Ouais, comme convenu. C’est toi, Hollywhore ? »

Hans s’était attendu à une prostituée un peu spéciale, un peu barrée sur les cosplays. Sa main attrapa le visage de la femme, à hauteur du menton, et la tourna de droite à gauche, comme pour se convaincre qu’il y avait un truc, du maquillage grossier... Mais il ne sentit rien. C’était clairement le visage de cette salope de Margot Robbie ! Assez perturbé, il relâcha son visage, puis se retourna vers le vendeur, comme pour vouloir dire quelque chose... Avant de se raviser.

« Okay... Suis-moi, Holly’. »

Ils retournèrent dans la voiture, qui démarra rapidement. C’était une belle berline aux vitres fumées. Ce soir, Hans avait pour ordre de rester près des voitures, si jamais son chef voulait les utiliser. Hans n’y voyait pas de problème, mais regardait néanmoins régulièrement par le rétroviseur, surpris de voir, sur la banquette arrière, la silhouette d’une star américaine.

La voiture rejoignit le quartier des affaires, filant dans le parking souterrain de l’une des gratte-ciels de la zone, et, tandis que Hans se garait près d’un ascenseur, il commença à constater qu’il avait une trique d’enfer, et qu’elle ne disparaissait pas. L’homme arrêta la voiture, puis sortit, et ouvrit la portière pour Hollywhore.

« Allez, sors ! » grimaça-t-il, agacé de ressentir une telle attirance envers une femme pour qui il n’avait que peu de respect, estimant que sa seule présence désacralisait le 7ème Art.

Il referma la porte, et se rapprocha de l’ascenseur. Malheureusement, il allait falloir patienter, car l’appartement de son supérieur était au dernier étage de ce vaste gratte-ciel. Fort heureusement, l’ascenseur qu’il avait pris filait le long de l’extérieur, offrant assez rapidement, au-delà des dix premiers étages, une vue magnifique.

Le pire, c’était qu’il ne débandait pas, et que son érection était maintenant clairement visible...
DC d’Alice Korvander.

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Hollywhore Hate Reviews

Créature

Re : Starling Whore [Hollywhore Hate Reviews]

Réponse 1 lundi 31 octobre 2016, 20:01:48

La bizarrerie du nom de Hollywhore avait prit le temps de dormir quelques heures avant son prochain travail. D'après ce qu'elle avait compris de la demande, elle en aurait pour une bonne partie de la nuit. Bien que plus et moins qu'humaine à la fois, elle avait toujours besoin de sommeil, surtout après son travail continu et épuisant de la journée : pas qu'elle se plaignait. Hollywhore n'aimait rien de plus que fermer ses yeux et rapidement sombrer dans les bras de Morphée à l'endroit même, lit ou sol, où elle avait collecté l'étrange énergie négative qui lui servait de repas en même temps que divers fluides fournis par ses clients.

En pleine forme, elle avait allumé la télévision en attendant l'heure de son service. Ses yeux grand ouverts suivaient avec attention tout ce qui défilait sur l'écran, et sans grand effort, son impressionnante mémoire visuelle imprimait chaque image dans le possibilité d'une future utilisation, tandis qu'une autre partie de son cerveau était entièrement dédiée à apprécier les nombreux programmes qu'elle pouvait regarder. C'était une alternative possible à la drogue que consistait le sexe pour elle, ces 30 images par seconde (normes japonaises obligent) l'étourdissant par leur grandeur, leur dramatisme, leur stupidité, leur sensualité. C'était la définition même de vivre, résumée et encadrée par une boîte mécanique et un écran lumineux.
Pourtant, un pur éclat d'excitation la traversa lorsque Sakurai ouvrit la porte pour lui annoncer que celui qui l'emmènerait au client était arrivé. En effet, la télévision n'était qu'une simple diversion, une lumière amusante qui lui évitait de céder à son véritable appétit. Son désir ne pouvait longtemps être contenu par un substitut. Il lui fallait accomplir sa fonction : subir la haine qui fleurissait si facilement dans le cœur des Hommes. Une mission à la fois douloureuse et agréable, mais pour Hollywhore, les deux termes avaient toujours été synonymes.
Ce qui ajoutait encore à cette réjouissance pour le travail à venir était le contexte. Ses clients disposaient rarement des finances nécessaires pour la faire se déplacer hors de son vidéo-club, et un nouveau lieu, luxueux ou délabré, signifiait une nouvelle expérience.

Ce fut donc avec plaisir qu'elle se leva pour aller se présenter.
Bien évidemment, cela sous les traits de la très appréciée par les membres de la gente masculine de tout âge, Margot Robbie, son corps sculptural d'actrice hollywoodienne mit en valeur (ou dégradé, ça dépend des points de vue) par son costume d'Harley Quinn. Mais elle avait beau avoir montré sur les écrans du monde entier qu'elle savait jouer une sensualité peu subtile, Hollywhore la dépassait de loin quand il s'agissait de faire profiter aux autres ses attributs féminins. Après tout, c'était ce pourquoi elle était payé. De son sourire provocateur à ses indécents mouvements de hanches, elle était pétrie d'obscénité débordante, ses gestes et ses courbes n'appelant qu'à la concrétisation des désirs brutaux qu'elle suscitait en chacun.

Hollywhore ne prit pas la peine de répondre à la surprise de l'homme chargé de l'emmener chez son client. Mieux valait ne pas rentrer dans les explications pour ne pas faire attendre celui qui désirait son service.
L'homme, lui, ne s'encombra pas de manières pour vérifier la réalité de ce visage d'actrice américaine, le prenant entre ses doigts afin de le scruter de plus près. Hollywhore laissa une expression faussement sage et innocente se peindre sur son visage l'espace de quelques secondes, comme une gamine que l'on aurait découverte la main dans le paquet de bonbons qu'on lui avait défendu. Il se demandait probablement qui elle était vraiment, mais sa façon de la traiter sans aucune considération était en parfait accord avec ce qu'il savait qu'elle était : un objet de plaisir sur lequel même un subordonné pouvait poser ses mains sales.

En gentille poupée muette, Hollywhore resta les lèvres closes alors qu'elle suivit l'homme jusqu'à la voiture, le laissant tirer ses propres conclusions, peut-importe si elles étaient juste ou non. Il n'avait qu'à lire le prospectus, après tout...
A vrai dire, le double parfait de Margot Robbie était à présent concentrée sur une question bien plus importante que sa propre identité, son esprit concentrée sur les passions intenses qu'elle percevait de l'homme. Il ne lui avait pas fallut longtemps après l'avoir vue pour qu'il commence à dégager la matière spirituelle dont elle se nourrissait : les ondes contradictoires d'un dégoût profond affrontant la tentation d'une vile attraction charnelle.
Hollywhore n'avait cependant pas besoin d'user de ses perceptions spéciales pour remarquer à quel point elle suscitait chez lui un désir qui gagnait en intensité chaque seconde, et elle ne souhaitait rien d'autre que de le satisfaire.

La voiture s'arrêta enfin, probablement devant la demeure du client.

"Alors c'est ici qu'habite mon "biquet" ?"

Hollywhore quitta la confortable banquette arrière sur l'ordre aboyé par l'homme, toujours un sourire aux lèvres. Sans même baisser le regard, elle savait déjà qu'il avait développé une érection assez conséquente pour être visible sans problème.
Ses fesses roulèrent sous son micro-short alors qu'elle le suivit dans l’ascenseur. Elle se plaça face à lui, ignorant complètement la vue, pour préférer profiter de la bosse qui tendait le pantalon de l'homme.

Oh, elle avait été peu loquace jusque là. Mais lui montrer une telle friandise sans que celle-ci ne succombe à Hollywhore et sa mignonne bouche, c'était trop lui demandé.

"Dis...", commença-t-elle, sa langue effleurant des lèvres rouge vif. "Tu parles peu, pour quelqu'un qui pense à autant de cochonneries."

D'un pas, elle franchit la distance qui les séparait, ses mains soudainement pressant sur ses épaules, presque agressives.

"D'habitude, quand les mecs bandent autant, ils demandent. C'est pas parce que ton boss à payé pour moi que tu ne peux pas passer avant, hein?"

Elle rejeta sa tête en arrière, pour rabattre ses couettes dans son dos, son sourire s'élargissant au moins autant que le sexe de l'homme. Dans le même temps, elle s'accroupit, mains désormais posées sur ses cuisses, et son visage vint adopter la hauteur de l'érection de l'homme, les deux séparés seulement de quelques millimètres, mais Hollywhore continuait de regarder l'homme dans les yeux.

"Je peux être rapide si tu veux. Avant même qu'on soit en haut, tu auras ajouté du blanc à mon maquillage. Ou alors... je peux prendre mon temps. Qu'est-ce que tu en dis ?"
   

Alexandre Dowell

Créature

Re : Starling Whore [Hollywhore Hate Reviews]

Réponse 2 mardi 01 novembre 2016, 10:23:41

En un sens, on pouvait saluer Hans pour sa maîtrise, pour son calme, car la chose n’était pas aisée. Il avait conduit impeccablement, mais, maintenant qu’il était là, dans ce long ascenseur, qui montait jusqu’au sommet, et qui filait le long de la façade de l’immeuble, de telle sorte qu’on pouvait voir toute la ville, il constata qu’une trique sévère était en train de se former dans son pantalon, et que, fait encore plus agaçant, il ne débandait pas. Et il fallait bien l’admettre... Cette nana était super-canon.

Alors, quand elle se mit à le chauffer, Hans, homme très loyal, et très professionnel, du genre à conserver la tête froide, commença à déglutir. Il portait un impeccable costume taillé sur mesure, l’un des cadeaux de son employeur, un ensemble qui lui allait à ravir, mais qui, en ce moment, semblait... Très étroit. Elle minaudait devant lui, avec son visage de salope, sa petite voix fluette et douce, sa main posée sur son sexe, sexe qui formait comme une bosse déformant son pantalon.

L’ascenseur était alors dehors, surplombant la ville, un océan de lumière, une « ville de lumière », pour reprendre l’expression de cette chanson française qu’Hans écoutait, étant plus jeune. Il la vit alors s’agenouiller, et sentit le souffle de la femme sur sa braguette, contre sa ceinture, et il soupira alors... Puis appuya sur le bouton « STOP » de l’ascenseur, posant dans le même temps son autre main sur sa tête.

« Ouais... Je suppose qu’on peut s’autoriser un petit extra... Une salope comme toi, après tout... Mieux vaut te préparer un peu avant de t’emmener voir le chef. »

Elle était une pute, ce en quoi Hans ne se faisait aucune illusion, une pute qui aimait les hommes violents, et qui allait se faire brutaliser toute la nuit. Là, elle allait avoir droit à une petite introduction. Hans était un homme loyal et réaliste. Face à son patron, il n’avait pas cette brutalité profonde, et, surtout, cette énergie vorace, mais il ne s’en sortait tout de même pas si mal. Avant de laisser la femme s’attaquer à sa queue, il tira sur ses cheveux, et la releva. Elle était une plume entre ses mains, et, tout en maintenant sa main sur sa nuque, il alla l’embrasser fougueusement, son autre main allant se crisper nerveusement sur ses fesses.

Ce ne fut pas le baiser d’un homme amoureux, mais celui d’un homme dominant sa chose, fourrant sa langue dans sa bouche, pinçant ce délicieux petit cul qui l’avait fait fantasmer quand il avait dû voir ce film de merde, tout en la claquant ensuite, donnant de grosses fessées, qui résonnaient dans l’habitacle de l’ascenseur. Il marqua son emprise sur elle pendant de nombreuses secondes, avant de la relâcher, et de la pousser sèchement, envoyant son corps heurter la paroi en verre de l’ascenseur.

« Un extra’ qui sera pas si ‘‘petit’’, en fait... Maintenant, viens me sucer, sale pute ! »

L’ordre était clair, dur, assumé.

Il allait la faire hurler, et il allait s’en régaler. Et tant pis s’il avait un quart d’heure de retard, son Boss était un homme patient. Et compréhensif. or, quand on voyait cette Hollywhore, compréhensif, on ne pouvait que l’être. Comment se retenir de ne pas défoncer une telle pute ?

Impossible, tout simplement.
DC d’Alice Korvander.

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