Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Une sale soirée [Pv M. Sanderson]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Lise Peterson

Humain(e)

  • -
  • Messages: 52
  • avatar


  • FicheChalant

    Description
    Lise a une poitrine voluptueuse qui attire les regards. Elle est grande et élancée, une silhouette de rêve pour un visage divin. Elle possède également un énorme pénis. 
    
    Elle est également soumise et masochiste, sans aucune limite.

Une sale soirée [Pv M. Sanderson]

jeudi 06 octobre 2016, 15:14:17

C'était une maison familiale comme on en voyait tant. Sans doute légèrement plus isolée que la moyenne, elle compensait cette localisation défavorable par une piscine de bonne taille qui faisait la joie de ses habitants et indiquait clairement qu'ils étaient particulièrement aisés, si la veranda n'avait pas suffit à épater le chaland.

Margot n'avait jamais aimé cette baraque et les nombreuses heures à se prélasser sur un transat au bord de sa piscine de luxe dans son gigantesque jardin n'avait pas suffit à la convaincre de se satisfaire de son bonheur. Jeune femme de bonne famille, elle n'avait pas hésité à quitter son Angleterre natale lorsqu'un homme d'affaire japonais lui avait demandé sa main. C'était un gentleman tout ce qu'il y avait de plus charmant, attentionné et généreux. Elle n'avait guère tardé à succomber à son chame et avait accepté d'emménager dans cette luxueuse demeure qui ne lui convenait pourtant guère. Margot était née et avait toujours vécu en ville. Ne pas avoir une demeid douzaine de boutiques à portée de talon la mettait mal à l'aise, sans parler de l'absence totale de vis à vis et de ce sentiment d'abandon lorsqu'elle restait seule. Bien vite, elle avait compris que ce serait son quotidien. Son mari était riche, mais absent. Ses affaires l'appellaient souvent des semaines entières loin du domicile familiale et elle se retrouvait abandonnée, malheureuse et dépitée des années durant. Puis étaient venus les enfants, une fille et un garçon, tout aussi sublimes que leur maman et la solitude s'était estompée. Bien sûr, elle n'élevait pas sa progéniture elle même et se réservait les bons côtés tandis qu'une nounou s'occupait de leur changer les couches et de calmer les pleurs. Les enfants grandissant, Margot avait continué de jouer le jeu, souriant à son mari en rêvant d'évasion, faisant bonne figure aux réceptions et s'ennuyant ferme. Des années d'ennuis dans cette maison qu'elle haïssait, avec cet homme qu'elle détestait, à se complaire dans un luxe qui l'empêchait de devenir folle. Les années n'avaient eut guère d'emprise sur elle, tant elle s'employait à parfaire son physique. Des heures de course à pied (dans ces alentours éternellement déserts, maudite campagne!), de gymnastique, sans oublier quelque passages chez un chirurgien plus que compétent, avaient contribué à gommer le passage des ans. A trente sept ans, Margot en faisait vingt cinq. Menue et dépourvue des formes généreuses des bimbos stupides qui garnissaient généralement le bras de riches hommes d'affaires, elle possédait néammoins une garde robe d'un goût exquis et d'une facture qui suffisait à faire tourner les têtes. C'était un domaine où elle écrasait la concurrence sans aucune difficulté, et d'ailleurs sa seule occupation depuis bien longtemps.

Et en cette soirée paisible, elle n'avait jamais autant maudit cette demeure isolée. Tout avait commencé lorsqu'elle avait entendu le portail grincer. Un rapide coup d'oeil à la fenêtre l'avait informée qu'il ne s'agissait pas de son mari qui rentrait plus tôt que prévu (comme cette fois où il avait manqué de la surprendre avec le jeune et fringuant jardinier) mais plutôt d'individus qui devaient avoir oublié les clés, puisqu'ils passaient par dessus l'énorme porte métallique. Elle s'était alors jetée hors de sa chambre, oubliant sa robe de chambre et ne portant guère que sa nuisette préférée, avait tambouriné à la porte de ses enfants. Kathie et Steve étaient sortis en trombe, davantage agacés par le vacarme de leur mère qu'inquiets de ses motivations. Les jumeaux, aussi blonds que leur mère était brune, avaient ensuite haussé un sourcil devant le déshabillé sexy de leur génitrice avant de se mettre à sérieusement paniquer lorsqu'elle les alerta. Par chance, Margot, sous ses couverts d'épouse surperficielle, avait de la ressource et se mit à donner ses ordres de sa voix de commandement, celle qu'elle réservait aux prestataires et aux ouvriers qui venaient parfois satisfaire ses caprices d'épouse entretenue.

On s'enferme dans ma chambre. Steve, tu appelle la police, tout de suite. Kathie, tu m'aide à pousser la commode devant la porte. Vite !

Ni une ni deux, ils filèrent dans la gigantesque chambre parentale au centre de laquelle trônait un lit à baldaquin somptueux, dans lequel elle dormait si souvent seule. Le cœur battant la chamade, Margot n'en menait pas large, mais elle ne perdrait certainement pas la face devant ses enfants. Refusant de céder à la petite voix qui la suppliait de se recroqueviller dans un coin et d'attendre que les méchants s'en aillent, elle s'arc bouta sur la commode. Avec quarante kilos pour un mètre soixante, la jolie brune n'était guère une force de la nature et le meuble refusa de bouger d'un poil. Ce fut alors qu'elle se souvint, horrifiée, que le coffre fort était AUSSI dans sa chambre, derrière ce grand tableau qu'elle détestait. Puis elle entendit les bégaiement affolés de son fils qui ne parvenait pas à retrouver son portable dans le capharnaüm de sa table de nuit et elle se dit que la soirée prenait une tournure absolument dramatique.

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]

Réponse 1 jeudi 06 octobre 2016, 17:48:31

Les hommes dont il était question etaient au nombre de trois. Le but de leur visite était simple ; rafler un max. Ils étaient un trio expérimenté  dans ce domaine. Ils travaillaient ensemble depuis maintenant deux ans et avaient à leur actif pas mal de cambriolages . C'était leur ggane pain. Tous les mois ou presque, ils changeaient  de zone. C'était fait exprès pour ne pas etre repéré trop vite ou qu'on puisse faire des liens. Tout était calculé et pensé de façon à ce que cela se passe bien pour eux. Ils evitaient d'etre trop flambeurs ou d 'attirer l'attention sur eux.  C'était la clé pour continuer à etre libre tous le savaient tres bien.

Ils étaient liés entre eux par leurs actes mais les autres proches dans leur vie ignoraient tout. La aussi c'était le prix à payer. Il fallait penser à tout et souvent, c'est via la famille ou les amis proches que la police remontait la trace. En ne leur disant rien, les risques étaient réduits à bien des égards. Il s'agissait de mesures de precautions assez faciles mais dont l'importance était énorme.  Et c'est ce qui faisait la difference entre etre libre ou enfermé

ce soir c'était un coup facile en principe. Des pareils, ils en avaient fait plein. Ils avaient pris le temps de collecter des infos pratiques et importantes. Rien ne devait se passer de façon négative. Il y avait deux gosses , enfin plus trop petits quand meme et leur mère. Il y avait de l'oseille et pas mal de bijoux ou d 'objects de valeurs. C'était parfait

Seulement la petite famille s'était rassemblé dans la chambre. Le trio avait fini par le savoir apres avoir bien visité les lieux.  Cela tombait bien, c'est là qu'il y avait le coffre. Hasard ou pas, cela allait faciliter bien des choses. Les trois se concertèrent un peu puis décidèrent de tenter d'éviter des degats ou des coups superflus

« Nous voulons le coffre et tout ce qui représente de la valeur. Inutile de vouloir résister ou de jouer les héros. Pensez à votre sécurité et celle de vos enfants »


Souvent cela suffisait pour faire entendre raison à bien des personnes. Le ton etait calme et detendu. C'étaient des pros, pas des braqueurs amateurs. Difficile de savoir leur age mais on pouvait deviner un léger accent qui pouvait laisser penser qu'ils étaient slaves ou quelque chose du genre. Mais cela n'était pas le plus important

« Je vais compter jusque 10 . Si ensuite vous n'ouvrez pas ce sera à vos risques et périls »

De toute façon le trio utilisait un brouilleur qui dans l'immédiat empechait toute communication vers l'extérieur. Un autre signe de leur coté professionnel. Et alors que le décompte commençait, l'un des deux autres hommes sortaient de son sac a dos un petit détonateur avec une charge explosive. Visiblement ils n'allaient pas rigoler.

Lise Peterson

Humain(e)

  • -
  • Messages: 52
  • avatar


  • FicheChalant

    Description
    Lise a une poitrine voluptueuse qui attire les regards. Elle est grande et élancée, une silhouette de rêve pour un visage divin. Elle possède également un énorme pénis. 
    
    Elle est également soumise et masochiste, sans aucune limite.

Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]

Réponse 2 jeudi 06 octobre 2016, 23:39:43

La petite famille se figea lorsque la voix d'un des intrus résonna dans l'antichambre. Mal protégés, ils le savaient, par leur barricade de fortune, le trio n'avait guère avancé. Le téléphone de Margot était introuvable et elle doutait de plus en plus l'avoir prit avec elle dans sa chambre. Peut être était il resté dans la cuisine, près de la cave à vin qu'elle fréquentait de plus en plus ces derniers temps, à moins qu'elle ne l'ai laissé près de la piscine. Elle ne se souvenait plus quand elle l'avait utilisé récemment et c'était de toute façon le cadet de ses soucis.

La menace était présente, immédiate, bien plus intimidante que lorsqu'elle avait vu des ombres franchir le portail. La jolie brune jeta un coup d'oeil à ses enfants. Tout adolescent qu'il était, Steve restait un enfant, un gamin dans un corps d'homme qui n'avait guère l'ombre d'une chance face à trois individus déterminés. Pis encore, Kathie était terrorisée et se contentait de sangloter sur le lit, les bras passés autour de ses jambes. Toute idée de résistance envolée, Margot maitrisa le trémolo de sa voix en repoussant seule la commode mal poussée contre la porte, animée par l'énergie du désespoir.

Steve, avec ta soeur, sur le lit. Ne bougez pas !

Tout allait bien se passer. Ils allaient pénétrer dans la chambre et les pousser contre le mur, peut être même les ligoter tandis qu'ils vidaient le coffre, puis ils s'en iraient aussi soudainement qu'ils étaient venus. Qu'importait qu'elle n'ait pas vu d'armes ou qu'ils n'étaient pas particulièrement menaçants, elle savait que trois hommes ne feraient qu'une bouchée d'eux, particulièrement s'ils étaient énervés après avoir du forcer la porte. Cette maison n'était pas conçue pour résister à un assaut en règle, plutôt pour assurer une vie de cocagne à ses habitants. S'ils ne pouvaient passer par la porte, ils pouvaient encore contourner par la fenêtre, voire même défoncer les fragiles cloisons des murs en quelques minutes.

C'était donc en mère responsable qu'elle agissait, davantage par instinct que par réflexion. La valeur des bijoux ne l'effleura même pas. Ils étaient de toute façon assurés et elle n'éprouvait guère d'amour pour les breloques, si ce n'était pour leur côté esthétique. Elle ne serait pas de ces mégères acariâtres qu'on retrouvait le crâne défoncé pour avoir refusé de céder leur misérable alliance à quelques carats. Sur une dernière inspiration, elle ouvrit la porte en s'empêchant de trembler et parla aussitôt.

Le coffre est derrière le tableau. La combinaison est 8945540b, et un tour vers la droite. Tout en dissertant, elle avait passé les mains derrière sa nuque et décroché son collier lesté d'une petite pierre qui descendait dans son décolleté pour leur tendre, obtempérant à leurs ordres. C'est tout ce qui a de la valeur. Il y a quelques breloques dans ma table de nuit et une chevalière dans le bureau au fond du couloir, celle de mon mari. Ne touchez pas à mes enfants s'il vous plait. Nous n'appellerons pas la police. Il n'y a pas d'armes dans la maison. 

Sur la couche hors de prix, les adolescents s'étaient figés, terrorisés par l'apparition des silhouettes devant lesquelles leur mère en déshabillé faisait bien frêle, si vulnérable alors qu'elle gardait son port altier et un sang froid hors du commun.

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]

Réponse 3 samedi 08 octobre 2016, 11:23:33

Dans la chambre les choses étaient assez calmes. Le trio confirmait son métier en se comportant avec retenue et savoir vivre. Il n'était pas question de chercher à faire mal ou à heurter la petite famille.  Ce n'était pas le but. Encore une fois, pour eux l'important était ailleurs, comme dans les bijoux recoltés et le buytin. Pendant que les deux remplissaient deux grands sacs, le troisième fixait la mère de famille d'un oeil assez dur. Il la surveillait pour être certains qu'elle ne tenterait rien de fou.  Il souligna d'ailleurs sa bonne collaborration

« vous avez fait le bon choix en vous montrant coopérative »


Il voulait la rassurer sur ses intentions. Il aimait quand les choses se passaient comme cela, sans que cela ne soit  obligé de passer par la force ou les menaces. Aucune arme n'était sortie pour l'instant et ce n'était pas nécessaire. Mais il restait méfiant .

« Votre attitude vous honore. Vous avez du cran et du sang froid »


Il la flattait sans arrière pensée. Il voulait qu'elle sache qu'il la respectait de manière assez claire et qu'il la considérait comme digne de se tenir face à lui.  Il accordait de l'importance aux comportements humains et en était un fin observateur. D'ailleurs, il se mettait à sourire de plus en plus

« Je suis curieux de voir jusqu'ou vous pourriez aller pour protéger votre famille »


Sa phrase était lourde de sens. Il n'était plus question de bijoux ou d'objets de valeur. Il avait autre chose en tête aussi. Et une idée faisait son chemin à une vitesse inquiétante. Mais pour qui exactement ?

« Vous aimez vos enfants « 

la question pouvait paraitre étrange vu le contexte. Derrière lui les deux autres venaient de finir et semblaient eux aussi surpris. De voir la conversation prendre cette tournure. Ils hésitèrent a intervenir mais se ravissèrent, se disant qu'il devait avoir une idée derrière la tete.

Lise Peterson

Humain(e)

  • -
  • Messages: 52
  • avatar


  • FicheChalant

    Description
    Lise a une poitrine voluptueuse qui attire les regards. Elle est grande et élancée, une silhouette de rêve pour un visage divin. Elle possède également un énorme pénis. 
    
    Elle est également soumise et masochiste, sans aucune limite.

Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]

Réponse 4 samedi 08 octobre 2016, 22:00:33

Il fallait la voir face à trois malfaiteurs qui alliaient la rapidité des habitués et l'efficacité des professionnels. A demie nue devant ces individus déterminés, Margot restait droite, s'arrangeant pour se placer entre les hommes et ses enfants, pauvre rempart qui n'entendait toutefois pas se laisser abattre sans combattre si les choses s'envenimaient. Les adolescents, à défaut d'être calmes, comprenaient que leur intérêt était clairement de rester de marbre et si ce n'était la terreur qui leur nouait la gorge, la raison achevait de s'en charger.

La jolie brunette ne masqua pas son étonnement lorsque celui qui semblait être le chef de la bande s'adressa à nouveau à elle, laissant ses hommes se charger du gros du travail. Elle hoqueta, prise de court, persuadée qu'ils ne s'intéressaient qu'au butin et qu'il se contentait de la surveiller. Quelque chose dans la voix de l'individu lui déplaisait fortement, mais elle avait cet instinct d'animal traqué qui savait que le moindre signe de faiblesse serait immédiatement et impitoyablement exploité par son prédateur.

Merci j'imagine.

La suite s'avéra encore plus désagréable et elle ne put retenir un frisson qui lui parcourut l'échine alors que, consciente de sa propre vulnérabilité, elle observa du coin de l’œil les comparses observer leur leader. Désormais lestés de butin, ils auraient dû repartir immédiatement. Si elle s'était imaginée mille scénario durant le court délai qui avait précédé leur intrusion, elle s'était rassérénée lorsqu'ils s'étaient montrés calmes et professionnels, à supposer que l'on puisse se targuer d'une expertise dans le domaine de la fauche, du cambriolage et du viol de la propriété d'autrui. L'incongruité de la question lui bloqua la gorge quelques instants et elle sentit la poigne glacée de la peur se nouer sur ses entrailles. Pour se donner bonne figure, elle croisa les bras sur sa poitrine, lui ôtant des yeux la vue de sa poitrine à travers l'étoffe transparente et redressa le menton, avec cet aplomb légèrement dédaigneux pour ce malfaiteur qui prenait manifestement plaisir à aller au delà de son plan initial.

Une mère n'a aucune limite pour protéger ses enfants. Évidemment, je les aime.

L'incertitude la tourmentait plus qu'elle ne voulait l'admettre. Il parlait de Kathie et Steve mais la fixait. Il menaçait ses enfants mais la gardait en ligne de mire. Son imagination fonctionnait à plein régime et elle frissonna de nouveau.

Vous avez récupéré ce que vous vouliez, partez maintenant. Il n'y a plus rien de valeur dans la maison.

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]

Réponse 5 dimanche 09 octobre 2016, 09:53:31

Dans un premier temps on pouvait encore passer que le meneur du trio allait partir. Qu'il cherchait juste à énerver la mère de famille. Qu'au fond, il jouait avec les nerfs pour passer le temps mais qu'il n'envisageait pas vraiment une réelle alternative au projet initial. Pourtant il restait toujours là et ses deux autres complices commençaient eux aussi a avoir quelques doutes. Au fond, que comptait il faire ?

« Pourquoi se quitter mainenant alors qu'on  a pas encore fait connaissance »

Il se retourna vers les deux autres pour leur faire comprendre qu'ils avaient pas trop à parler. C'était sa décision et il entendait qu'on la respecte. Il avait pour lui cette autorité  naturelle et le fait que les autres ne semblent pas aptes à discuter de cela montrait bien qu'il fallait le craindre plus qu'on aurait pu le penser

« Il reste encore quelque chose de valeur ici meme et vous savez de quoi je parle »

Fixé, immobile sur ses appuis, il avait pour la première fois envie de sortir des sentiers battus. Lui qui d 'ordinaire ne changeait jamais le plan  avait pour la première fois de sa cariière dans le crime envie de prendre un risque. Pourquoi ce changement ? Il n'en avait pas lui meme idée. Mais il était clair que la vue de cette femme avait boosté certaines de ses envies.

C'était lié à sa situation privée aussi. Il en savait rien de celle des autres et inversement. Mais lui même était père et mari. Il en parlait au passé car il ne l'était plus. La faute à un jour funeste de novembre. Ce jour là, il avait tout perdu. Bien plus encore que sa vie de famille d'ailleurs. Il était devenu ce qu'il était aujourd'hui et dans un sens, il avait le sentiment aujourd'hui de pouvoir equilibrer les comptes et reprendre un peu de ce qu'on lui avait pris.

Revenant dans le monde réel, il fixait toujours la mère de famille. Il se savait observé mais s'en foutait. Toujours calme et relax, du moins en apparence, il dit aux autres

« Allez deja charger cela et revenez « 

Seul avec elle, il attendait de voir si elle se sentirait plus à son aise. Pour lui les deux ados n'existaient pas vraiment. Ils n'étaient que decoratifs et ne representaient rien. Tout au plus, ils pouvaient servir sa cause.

Lise Peterson

Humain(e)

  • -
  • Messages: 52
  • avatar


  • FicheChalant

    Description
    Lise a une poitrine voluptueuse qui attire les regards. Elle est grande et élancée, une silhouette de rêve pour un visage divin. Elle possède également un énorme pénis. 
    
    Elle est également soumise et masochiste, sans aucune limite.

Re : Une sale soirée [Pv M. Sanderson]

Réponse 6 mardi 11 octobre 2016, 09:43:54

Le frisson qui lui gelait le dos devenu cascade de glace, Margot fixa le cagoulé qui venait d'ordonner à ses hommes d'embarquer le butin. La gorge sèche, elle était désormais persuadée que quelque chose excitait le malfaiteur et à son grand désarroi, elle était probablement la principale concernée. Une partie d'elle s'en réjouissait pourtant, tant que ce malade éloignait ses perversions de ses enfants. En dépit d'une apparence superficielle voire franchement égoïste, la brunette aimait réellement sa progéniture, fusse elle d'un père qu'elle en venait à haïr de plus en plus souvent.

Pour ne parler que de sa petite personne, on ne pouvait toutefois nier qu'elle était terrifiée par ce qu'il sous entendait avec l'élégance des des porcs que son mari comptait parmi ses amis, ces horripilants et richissimes pervers qui ne savaient exprimer leurs désirs malades qu'une fois sévèrement marbrés au champagne hors de prix. Pis encore, il avait raison, car elle n'était pas stupide et savait parfaitement ce qu'il avait en tête. Seulement, si elle était disposée à se séparer de ses breloques, forcée par l'inutilité de toute résistance, il en était tout autrement de sa propre estime.

Non. Non. Vous avez votre magot, vous partez maintenant. Vous prenez des risques en restant ici, des risques inutiles. Je n'ai aucun intérêt à faire connaissance avec des raclures pareilles. Dégagez de ma demeure.

A la réflexion, il était peut être stupide d'insulter le cambrioleur, mais elle avait besoin de libérer un peu de cette tension accumulé depuis leur intrusion et qui menaçait de lui scier les jambes et de faire couler des larmes nerveuses. Mieux encore, cela pouvait le secouer dans sa petite routine manifestement préparer. Peut être s'en tirerait elle avec une baffe tandis qu'il cavalait rejoindre ses complices, outré par l'arrogance de la bourgeoise mais rappelé à des réalités autrement plus pressantes qu'un duel de sous entendu entre un cagoulé et sa victime autrement moins couverte.


Répondre
Tags :