Hades était vraiment envoûtant, et Hana sentait qu'il perdait le contrôle, elle avait sûrement trouvé le point sensible du dieu, et faire l'amour avec un dieu, était une phrase qui sonnait plus que bien dans son esprit. De plus, cet 'homme' était des plus doux, et Hana frémissait à chaque caresse. Sa main parcourut son dos et des frissons tapissèrent sa peau. Lorsqu'il lui retira son t-shirt, elle sentit qu'elle allait en avoir pour son compte, pour une fois, elle n'allait pas souffrir de cette relation, et cela l'enchantait. Le divan était chaud à présent, et Hana avait peur de faire fondre le cuir. Elle écouta sa réponse et comprit qu'il était aussi déconcerté qu'elle, elle sourit, ne trouvant rien à redire. Les doigts et les lèvres du dieu parcouraient la peau de son buste, avec une énorme douceur. Elle risquait sa santé mentale en se laissant aller ainsi, elle n'était que l'élèves d'Hades, rien de plus, et ne s'attendait à rien d'autre, elle se cambra à nouveau, sa peau se collant à la sienne. Il avait un torse musclé, et était beau, comme un dieu, c'était le cas de l'affirmer. Le contact de leur peau la fit frémir encore une fois, et tout cela était enivrant, pour elle. Si elle avait pu figer le temps, elle l'aurait sûrement fait, car être au contact d'Hades pour l'éternité était une belle vie. Et même mourir pour vivre après de lui serait une belle fin, la jeune femme ne le connaissait que depuis peu et s'éprenait déjà du dieu, cela promettait de s'averer difficile, mais peu importait, du moment qu'elle restait à son contact, cela devenait vital de sentir sa peau contre la sienne, de se sentir brûler pour lui. Elle dit, avec un sourire débile, comme souvent :
"Vous êtes beau comme un Dieu, maître."