TRÉS mauvaise cible, quoi que... [PV : Edrusba Snes-non]

   Aujourd'hui est un grand jour ! Slimia sort de sa grotte ! Dis comme ça, ça paraît pas être un exploit, mais cette fois c'est plus un miracle, car Slimia va sortir... pour autre chose que trouver un partenaire de sexe ! Chaque sortie coïncide avec l'envie de trouver quelqu'un pour passer du bon temps, faire une sieste en prenant l'apparence d'un lac ou encore aller en ville pour du saké.

   Mais cette fois, elle sort pour voyager, faire des découvertes, faire des rencontres violé, oui c'est un peu obliger. Pour la premire fois de sa vie elle voulue parcourir le monde, voir autre chose que l'environnement de ses grottes ou Nexus. Ce fut après de longue réflexion, qu'elle comprit qu'elle se fessait chier en restant aux mêmes endroit, sont père leur avait souvent narrer ses aventures à sa famille. Elle voulait faire pareil et vivre les mêmes choses. Elle décida de partir de la grotte de terre sauvages, celle de Tekhos et Ashnard trop dangereuse et celle de Nexus trop évidente, et puis trop près des esclavagistes, elle en viole par paquet parfois vous direz.

   Du coup la grotte dans les terre sauvages était un bon départ, assez peu connue, loin de tout et dans un bonne endroit, une prairie parsemer de colline et d'immense roc, non loin d'une forêt. Pour son voyage, elle ne prit rien car elle avait déjà finit le saké hier et n'avait truc à emmener de toute façon. Elle inonda juste une des nombreuses salles de sa grotte, qui était la plus grand de toutes ses grottes et la moins cacher pour ne pas dire visible de tous. Elle inonda une des salles, car cela lui servirait de repère lors de ses voyage, pouvant sentir ses morceaux où qu'elle soit et quelque soit la distance. Comme ça si elle est perdue, elle aura au moins une direction ou aller. Et surtout elle pourra retrouver sa grotte ! Ouais parce que ça serait vraiment con pour la suite.

-AVENTURE ME VOILA ! Hurla Slimia.

   Sa voix retentit un peu, un lièvre leva la tête vers la source du crie, un aigle passa au dessus et plongea sur le lièvre, des insectes batifolant parmi les herbes, des fourmis mettant en pièces une sauterelles. Bref la nature n'avait rien à faire de Slimia, qui fut un peu déçu.

-Ça à plus de classe dans les histoires de papa. Bourgeonna Slimia. Bref... en AVANT !

   Et c'est ainsi que Slimia Slime, oui c'est son nom de famille, partie à la découverte du monde.

trois jours plus tard

-CCCCHHHHHIIIIIIIEEEEEEERRRRRR !!!!!!!!!

   Une créature bleu et gélatineuse, ressemblant à une... patate, ayant un nombre trop important et impair de pattes, perdant des morceaux d'elle même à chaque mètre, courait de toute ses forces à travers une forêt assez espacé, traversant quelque arbres s'en prendre le temps de les évités, poursuivit par une espèce de lézard géant à six pattes cracheur d'acide, un peu lent cela dit, éclanta les arbres les plus petits et évitant les plus grand, le ralentissant assez pour l'empécher d'avoir Slimia. Slimia était franchement dans la mouise. Elle était entrain de s'aventurer depuis trois jours dans la forêt non loin de sa grotte, qu'elle n'avait jamais visité. À force de marcher, ramper, rouler et jouer à … à un truc bizarre usant de tentacules pour passer d'arbre en arbre, elle était tomber sur le nid d'un lézard bizarre. Le machin avait cracher de l'acide sur Slimia dés qu'il l'avait vue, fessant fondre de moitié Slimia, qui n'avait pas attendue plus longtemps pour partir. Elle était entré dans son territoire sans le savoir, mais on s'en fout ça change rien à la situation.

   À force de courir sans évité les arbres, Slimia traversa celui de trop et tomba dans une rivière. Le lézard s’arrêta dans un dérapage, crachat vers la rivière, l’intrus ayant disparue dans l'eau. Il repartie en arrière, fière d'avoir chasser l'intrue. Mais il n'avait pas l'oeil assez aiquisé pour voir la différence en Slimia et l'eau, ouais parce que un amas de gélatine transparente dans l'eau c'est un peu bizarre. Slimia put reprendre son souffle, contente de s'en être sortie. Elle suivit le cour d'eau un long moment, utilisant la pente et le courant comme moyen de locomotion, prenant l'apparence d'un bateau.

   Après deux-trois heures, Slimia sortie du cours d'eau, non loin d'une petite cascade, se perdant dans une verte prairie. Bien, désormait loin de son itinaire, à savoir aller à droite et à gauche sans raison, juste parce que le coin était sympas, Slimia s'aventura du côté gauche de la rivière, non loin de la falaise de quelque mètre de hauteur. Prit d'une envie subite, elle s'y dirigea et put comtempler un magnifique tableau, même si la hauteur de la falaise n'excédait pas les 10 mètres. La rivière poursuivait son chemin entre les collines, disparaissant derrière l'une d'elle, la forêt s'étendant le long d'une longue pente rejoignant le sol. Mais quelque chose capta l'attention de Slimia, au pied de la cascade : une humaine ! Une vrai humaine qui semblait se désaltérait dans auprès de l'eau.

   Après trois jours d'abstention, car elle en est capable de s’abstenir, Slimia se lécha de manière sonore et perverse ses lèvres, avant de couler le long de la falaise, se collant dessus, glissant jusqu'en bas, quelque mètre derrière l'humaine. Elle se... posa en douceur sur le sol, prenant l'aspect d'une grosse boule, avant de prendre l'apparence d'un canon. Bien que le seule bruit fut un énorme bruit semblable à de la gélatine un peu dur qu'on enfonce dans un tube de caoutchouc, une grosse tentacule sortie du canon, avant de s'écrasser sur l'humaine, le canon suivant après.

SPLORCH

   Slimia s'écrasa donc sur l'humaine, fessant fondre ses vêtement, commençant à enfoncer ses tentacules dans son cul et dans son vagin, la noyant sous des langues et tentacules, malaxant ses seins, une tentacule remontant son corps jusqu'à sa bouche.

-Coucou ! Scanda Slimia. Jour de chance... pour moi !

La déesse prenait gout à cette fausse vie d'aventurière, reprenant une fois encore son apparence humaine et guerrière elle fit un bout de chemin sur le sol. Car oui elle avait déjà appris que marcher sur le sol la rendait plus discrète, elle scella même une partie de ses pouvoirs pour ne pas se faire griller par le premier magicien venu. Cacher sa vraie identité était un vrai tour de force comptes tenus des déformations inconscientes qu'elle pouvait infliger à la réalité. La guerrière qui se faisait nommer Évelyne fit donc route vers des pleines dans ce monde peu clément. Elle avait en effet atterri dans les contrées du chaos, un endroit ou la nature semblait avoir repris les droits et les forces du mal les rennes. Tout ici empestait le danger, et encore plus les terres sauvages. Pas de civilisation en vue, parfois des ruines ou des villages au loin. La déesse plutôt satisfaite de la vue et de son corps de chair décida donc d'explorer un peu plus, trouvant parfois des indigènes qui l'évitèrent soigneusement. Sans doute, car l'équipement de la déesse était des plus correct et dans ce monde semblait clairement en avance sur le temps actuel. Pourtant elle n'avait qu'une épée longue et large, une armure de fer et d'écaille. Rien ne semblait hors du commun pour un aventurier lambda, ça pouvait sembler hors de prix avec sa jupe en tissus de bonne qualité, son bandeau frontal de bonne facture et ses armes clairement d'un grand artisanat.

C'est ainsi qu'Évelyne fit sa route, marchant sur les sentiers pensant là imiter une chose courante chez les aventuriers. Sans doute que l'idée de s'aventurer hors des sentiers battus ne lui venait pas naturellement. Elle fit donc son chemin, marchant du matin au soir, le soir elle sentait le poids de la journée sur ce corps fabriqué de toute pièce, et donc partait se coucher. C'était tout un rituel d'enlever son armure, trouver un lieu adapté et s'y abriter. Mais la plupart du temps elle y arrivait, ici pas d'auberge à portée de vue ni de compagnon avec qui faire la route. Elle s'ennuyait clairement un peu, alors au bout de quelques jours de voyage sous cette forme elle décida qu'il était temps de laver ce petit corps de chair et de sang. Elle se stoppa au matin pour ce faire, au bord d'une rivure et pris une bonne heure avant de remonter au campement chercher son outre. Elle laissa l'armure sur place pour le moment, ne voyant aucun danger particulier dans la région, de même que son épée. Son campement était au bord d'une petite falaise, abrité des regards et à moins d'un quart d'heure de marche de la rivière.

Aussi elle et son outre firent le chemin, une outre en cuir de bête assez classique, elle se posa à genoux sur le bord et la plongea dans l'eau pour qu'elle commence à se remplir. C'est pourquoi elle ne vit pas venir la suite, ne portant sur elle qu'une culotte et une bande pour cacher sa poitrine elle était la victime idéale. Mais si le danger était humain, elle l'aurait vu venir, là... Elle ne sentit qu'une chose étrange, froide, collante... Surprise elle commença à se retourner au moment ou la chose fonça sur elle. Impossible de dire ce que c'était, jamais elle n'aurait imaginé un flan bleu venir l'attaquer. Et rapidement l'aventurière fut capturée, écrasée sur le sol elle resserra un peu les cuisses, mais cela fut sans effet. Elle sentit étrangement des choses flasques et froides s'enfoncer dans tout son corps... C'était une sensation très perturbante, pas vraiment excitante non plus pour elle, sa poitrine nue désormais se faisait malaxer comme de la pâte à pain... Elle regarda autour et finalement après le choc initial vit un visage dans cette masse de liquide insensée... Elle tentait bien de se débattre, mais la force d'un corps humain ne valait rien, mais entendant les paroles et la voix de la créature elle prit un air apeuré...

Oui elle jouait bien la comédie, son coeur battant à tout rompre, son corps fébrile perdant toute force durant le viol, elle gémissait un peu sous les assauts, mais ne pouvait crier... À cause d'un tentacule dans sa bouche elle était réduire au silence, et elle ne voulait pas encore montrer ses pouvoirs, au contraire elle avait envie de se laisser faire. Bientôt elle cessa doucement de résister montrant qu'elle comprenant sa faiblesse face à l'assaillante... Elle prit une mine de perdante, faible, misérable qui devait se laisser violer pour survivre... Prise de tout les côtés elle était toute rouge de honte, il ne fallut pas longtemps pour qu'elle mouille entre les cuisses, ignorant même si cela se verrait avec tout le liquide déposer par la slime...

   Trois jours d’abstinences... c'est un événement rare pour Slimia, peu habituer mais pouvant très bien vivre sans problème, juste d'affreuse démangeaison la parcourant.¨Et si l'occasion ce présente, elle ne pouvait se retenir. La pauvre humaine, hem, perdit bien vite ses sous-vêtements, dissout par Slimia, qui ne voulait pas être emmerder par deux pauvres tissus. L'expression et l'attitude de son victime, rougissant, mouillant et cédant, faillit donner un orgasme à notre Slime. Une t-elle réaction lui avait manquer, ne s'étend pas mit de proie sous la dents depuis un moment. Elle aurait pus user de clone, mais ça reviendrait à de la masturbation dans le sens trics du terme.

   Les tentacules ramonant vigoureusement l'humaine, avaient une vitesse un peu faible, laissant à l'humaine tout le loisir de se sentir élargir de par et d'autre. Les tentacules avaient un gabarit imposant, élargissant les parois à la limite du maximum, tout en étant parsemer de bosse, élargissant un peu plus les parois de manière irrégulière. Le corps entier était dans un cocon tentaculaire et aphrodisiaque, chaque parcelle de sa peau soumit à un léchage et massage intense, accentuant leur pression sur ses fesses et ses seins, comme des dizaines de doigts et de langues, léchant et malaxant ces zones sensibles.

   Mais rapidement, la tentacule dans sa bouche se dédoubla, gardant un diamètre imposant, offrant une double fellation forcé à la pauvre humaine, sa gorge se déformant à chaque coup, jusqu'à ce que l'une d'elle ne plonge vers son estomac, le remplissant de sa substance, concentré en aphrodisiaque, le remplissant même plus que de raison. Cela lui donnerait un état de ballonnement tout en se sentant rassasier. Son vagin ne fut pas en reste, car son utérus se fit remplir comme si elle avait un tuyau d'eau dans son vagin. Son utérus fut tendue, gonflant un peu son ventre, avant de prendre un mouvement rotatif rapide, consteller de bosse, tout en étant pénétrer par un foreuse tournant dans le sens inverse de la boule.

   Pour finir, une deuxième tentacule s'enfonça dans son fondement, suivit d'une troisième. Les trois tentacules avaient un diamètre respectable écartant les parois sans les déchirer, remontant lentement le colon, tout en pénétrant de manière irrégulière. Une rapide, une lente et une entre les deux. Un viol que l'humaine n'était pas près d'oublier, tant devant la bizarrerie de son agresseuse et que l'inconcevabilité de ce qu'elle subissait.

   Slimia, usait de ses mains pour malaxer et masser la poitrine de sa victime, léchant amoureusement sa joue, comme une amante passionner, ou une gamine avec une glace particulièrement délicieuse. Slimia gémissait tendrement, amoureusement.

-Mmmh... comment slime bon... je vais te violer pendant des jours... rattraper le temps perdue... Slimilililili....

   Pour un peu elle pourrait jouir. Elle embrassa la joue de sa victimes, la libéra de son cocon, formant son corps près du siens, guidant une de ses mains vers son intimité, l'incitant à la masturber. Elle forma un lit, où sa victime était à moitié engloutie, des langues et des tentacules pour couette.

La déesse adorait cela, sentir un pauvre corps humain perdre tous ses moyens sous l'attaque d'un monstre sans foi ni loi. Un monstre oui, ou tout du moins une créature étrange et difforme, bien qu'elle n'ai réellement de forme. La déesse continua de jouer le rôle, sentant l'effet de la drogue secrétée par la masse de liquide. Enfin elle se fit élargir, puis prendre encore et encore forcée alors de gémir sous l'attaque du monstre. D'un côté ce n'était pas déplaisant, non certainement pas, aussi elle continua de profiter à sa manière. Mais la créature commençait à aller trop loin en elle, tant de drogue n'était pas nécessaire, pourquoi tenter de rendre une humaine accroc à ce viol ? Le plaisir naturel ne suffisait plus ? Voilà bien une chose qui tiqua chez la déesse, que ce soit les monstres ou les humains, tous pensaient qu'il fallait droguer une femme pour lui donner un orgasme... Ou la rendre dépendante au sexe, sexe qui pourtant est dans leur nature depuis la naissance.

Entendant la créature parler elle ferma les yeux se laissant encore violer et remplir par tout les trous. Trop de tentacules dans son petit corps, cela devenait douloureux tout de même. Sentant la chose bien excitée en elle elle soupira de plaisir. Impossible de ne pas aimer au moins une partie de ce traitement bestial, car oui ce slime ne valait pas mieux pour elle qu'un animal. Et elle comptait bien se venger une fois qu'elle aura joui avec la créature. Car l'air de rien c'est son petit plaisir que de subir cela, toute malaxée intérieurement comme extérieurement. Elle poussa de plus gros gémissements et regarda l’élime un moment, avant de crier plus fort tendis que son anus se faisait écartelé par tous ces tentacules. Elle pouvait sentir cette aventureuse créature la violer profondément encore et encore, et la remplir aussi de substance étrange, mais elle réservait un traitement encore pire à cette future victime, car après tout... Elle n'était pas la seule prédatrice ici...

   Slimia était à deux doigt de jouir, trois jours qu'elle ne l'avait pas fait, c'était presque une torture que d'attendre le divint orgasme pour se sentir soulager... pour un temps. Oh oui elle ne comptait pas s’arrêter avec un orgasme, elle en enchainerait l'équivalent de trois jour d'orgasme, de faire déborder cette humaine de ses fluides. Et vous l'avez remarquer, c'est une entré normale, que je viens de briser.

   Slimia pouvait sentir chaque parcelle de la peau de cette humaine, l'interieur humide et étroit de sa bouche, sentant sa langue sur sa tentacule, le plaisir l'obligeant d'activer sa langue sur ce monstre. Elle se régalait de sa mouille, absorbant ce nectar, sentant l'odeur de fluide dans ce vagin bien trop remplit. Elle pouvait aussi sentir ses tentacules cogner contre son ventre, le déformant sous ses coups, remplissant cette pauvre créature. Sliia haletait fortement, au fur et à mesure, une t-elle performance est pratiquante, bien que cela puisse paraître étrange pour une créature faite d'eau ou de quelque chose qui s'en rapproche. Slimia gémissait elle aussi, contre sa proie, léchant amoureusement la joue de sa proie. Elle fit disparaître sa boule dans l'utérus de l'humaine et retira un peu en arrière les tentacules dans son fondement.

-Oooh... j'vais pat'nir... souffla difficilement Slimia.

   Un crie d'un plaisir infinie s’échappa des lèvres de Slimia, qui s'était relever pour ne pas hurler dans l'oreille de sa proie. L'orgasme explosa, un flot sans fin de fluides fluorescent, remplissant la pauvre humaine. La tentacule dans son vagin se cogna trois contre le col de l'utérus, alors qu'elle se vidait avec puissance, touchant le fond le fond de l'utérus, avant de le remplir complètement en se collant contre le col. Celui de sa bouche explosa dans ses joues, les gonflant lentement, avant que le trop plein ne gicle d'entre ses lèvres et de son nez, avant que la tentacule ne se retire aspergeant son visage de fluide, la recouvrant aisément. Pour finir, ceux dans ses fesses giclèrent de concert, un puissant jet qui durant de longue seconde, puis se vidant par à coup, remplissant lentement ses entrailles, le trop plein filant dans ses intestins, alors que les tentacules se vidèrent encore quelque secondes.

   Tous se dilua, les tentacules se retirant et se mélangeant au reste, même Slimia, qui s'éclata contre l'humaine, la lavant au passage du foutre sur son visage. Le lit perdit de sa consistance, jusqu'à ce que l'humaine patauge dans une flaque non-identifiable, débordant d'un fluide bleu fluorescent se mélange au reste. Mais rapidement le lac reprit de la consistance, bloquant à nouveau l'humaine, la recouvrant lentement, avant que Slimia ne se forme sur elle, se relevant lentement, son visage se formant devant celui de l'humaine, un sourire des plus pervers se formant sur ses lèvres, tandis que ses yeux semblaient être habiter par une lueur bestiale.

-Slimilililililililili.... v'as pas croire que c'est finit. Ça vas durer longtemps.... très longtemps... Susurra Slimia sur un ton limite flippant.

   Elle se redressa complétement, se formant une verge... d'aspect simple, gros certe mais simple. Sous l'humaine, un clone se forma, sa verge pointant dans ses jambes, frottant son intimité, sa poitrine servant d'oreiller pour l'humaine, tandis que deux mains attrapèrent sa poitrine, commençant à jouer avec ses tétons, le clone suçotant une des ses oreilles. Slimia se coucha et enfonça lentement son braquemart dans l'intimité, de concert avec son clone qui pénétrait son fondement. Elle se coucha contre l'humaine, l'embrassant goulûment, mélangeant sa langue à celle de l'humaine, s'enroulant autour ou la léchant. Les deux Slimia firent des allées et venues, plus doucement, plus tranquille, bien que le gabarit de leur membre dépasser largement la moyenne, levant et abaissant leur bassin dans un rythme élever, mais pas comme un marteau piqueur contre un château de sable, mais bien plus doux. Et oui, Slimia savait aller doucement !

Décidément cette drôle de créature ne comptait pas se stopper. Elle la violait clairement sans la moindre pitié. Mais la déesse s'en réjouissait pour le moment, sentir son corps se faire écarter, dilater et défoncer par ces tentacules était un plaisir sans limites. Puis elle était très excitée de sentir cela, un plaisir qu'elle avait cru oublié depuis longtemps, celui de se faire baiser comme la pire des chiennes. Car là elle était pire qu'une chienne en rut, elle ne pouvait pas parler, mais ces gémissements de plaisirs étaient chargés et lourds d'envie, sentant même grossir encore les tentacules elle grimaça un rien de douleur. Puis elle entendit haleter la créature qui semblait proche de ses limites, elle ignorait que les slimes pouvaient respirer, ou qu'ils en avaient le besoin. Criant fort quand son ventre se déforma elle crut un instant que la créature voulait la tuer, l'empaler avec son liquide qui parfois semblait pourtant si dur... Elle adorait cette sensation, aucune ne bite humain n'avait réussi à lui faire ressentir la moitié de cela, ça valait bien la peine de partir en aventure de temps en temps.

Gémissant de façon inintelligible elle sentit pousser la créature, plus loin que jamais en elle, comme pour la finir tout en disant qu'elle ne tenait plus. Cette fois elle était finie, la chose se déversa en elle, partout en elle ! Bouche, gorge profonde, le cul, ses intestins et bien sûr tout son utérus. Elle déborda de liquide et manqua un instant d'en perdre connaissance tant l'orgasme fut puissant pour elle aussi. Un court instant où, elle faillit laissez sortir une partie de ses pouvoirs tant le plaisir l'avait fait perdre ses moyens. Un temps trop court sans doute pour que ça se ressente autour d'elle, et heureusement, car la créature semblait ne pas en avoir fini avec elle. Toute disparue lentement, elle toucha enfin le sol du lac et observa vaguement autour sans réellement faire attention. Elle nota la couleur du liquide qui brillait dans cette pénombre. Elle sentit aussi les gestes de la créature qui se redressait et la fixait avec envie. Mais Évelyne l'aventurière devait faire, semblait-elle, de ne plus trop en vouloir, un air inquiet sur le visage.

Elle vit bouger la bête, écouta la menace sans oser répondre, intérieurement elle hurlait de rire, se retournait dans tous les sens, car sa vengeance serait au moins deux fois plus longue ! Puis elle regarda la verge, grosse, mais pas de quoi détruire son corps factice ? Elle sentit alors le geste, puis vit la seconde verge ignorant quelle créature était la vraie. Mais visiblement elle serait encore prise, tombant un peu elle sentit la poitrine froide du slime. Puis elle cria en sentant les choses rentrer en elle et frapper si fort, endolorie elle subissait de son mieux, mais elle ne sut se retenir de jouir rapidement cette fois tant c'était... puissant !

   Nul ne pouvait stopper une slime en manque de sexe, sauf quelqu'un avec du saké ce qui n'était pas le cas, hélas. Ce n'était que le début, là où elle aurait peut être finie avec quelqu'un d'autre. Mon dieu, mauvais moment, mauvais endroit, mauvaise personne. Bon parlons cul plutôt.

   À peine que Slimia, enfin les Slimia, Slimia et son clone, enfin vous avez comprit, pénétraient avec force cette pauvre humaine, qu'elle jouit généreusement, mélangeant ses fluides à la verge de Slimia, absorbant ce nectar. Elle aspira les fluides, qui remontèrent son corps, se logeant dans sa bouche, une lueur bien connue naquit dans ses yeux. Elle embrassa l'humaine, furieusement, passionnellement et recrachant la cyprine de l'humaine dans sa bouche, la forçant à goûter à ses propres fluides. Elle força le passage avec sa langue l'obligeant à l'avaler, titillant rapide sa glotte, avant de se retirer. Elle donna un coup de langue sur son nez, suivit d'un sourire... à la fois bienveillant, vicieux et pervers. Ouais un sourire pas très rassurant.

   Elle se redressa, la prenant par ses cuisses, donnant des coups de bélier contre la porte de son utérus, bien qu'elle s'éclata contre le col de l'utérus, traversant ce dernier au coup les plus fort. L'autre Slimia pilonna son cul, malmenant ses parois, limant son intérieur comme si elle cherchait à agrandir le passage, débordant dans ses entrailles, déformant son ventre, une bosse se formant à chaque coup, couplé à la déformation par la vrai Slimia, avec son mandrin dans son intimité.

   Slimia se recoucha contre cette poupée humaine et l'embrassa fougueusement, dévorant sa bouche de ses baiser multiple, sa langue organisait une boume dans sa bouche, entraînant celle de l'humaine dans une salsa endiablé. Les deux Slimia pillonait sans relache la pauvre humaine, par coup sec, la bonne blague, alternant avec des coups fort ou faible, au rythme rapide ou lent. Tout était fait pour que l'humaine ne s'habitue. Et alors que Slimia l'embrassait sans relâche, l'autre lécher son oreille glissant parfois sa langue dedans, alors que ses mains était sur ses fesses, les massant sensuelle. Slimia, la vrai, celle qui l'embrassait, avait ses mains occuper à offrir une douce torture à ses seins, tirant et pinçant doucement ses tétons, malaxant ses seins. Pour un peu elle offrait un massage sexuelle.

   Slimia brisa son baiser, léchant un dernière fois ses lèvres, avant de lécher son coup. Un autre clone fit son apparition, au niveau de la tête de l'humaine, collant sa verge contre son visage. L'objet flasque et visqueux, ferait penser à une limace, jusqu'à ce qu'il durcis, devenant une belle pièce, bien que plus petite comparer à celle des deux autres Slimia, que le clone força l'humaine à avaler. Elle parvint à ses fins, forçant le passage, passant entre les lèvres et les dents, forçant l'humaine à mettre la tête en arrière et l'enfonça jusqu'à la garde, déformant sa gorge, qui se gonfla sous la langue et les yeux de Slimia. Cette dernière releva, tandis que la nouvelle venue fit d'ample mouvement dans la bouche de l'humaine. Les deux Slimia s'embrassèrent, alors que le trio prenait de toute part l'humaine.

La déesse était donc prise par deux slimes à la fois, enfin un slime tellement en manque qu'elle ne manquait d'aucune astuce pour tenter de se donner du plaisir. La déesse fut même embrassée et forcée à gouter son propre plaisir, ce qui à défaut de la marquer lui donna surtout une plus grande envie de se venger. Une vengeance sans pareille, non pas qu'elle était énervée ou quoi que ce soit de ce genre, non juste une longue et douloureuse vengeance pour apprendre sa leçon à la slime. C'est sans grand mal qu'elle avala son propre jus, elle n'en était pas vraiment perturbée, étrangement ça lui semblait un bon compromis, dans la mesure ou le slime ne pourrait sans doute produire ce même jus d'elle-même. Elle observa donc toujours sous le choc le regard pervers de la créature, cette dernière tentant de forcer le petit passage menant à son utérus, une très mauvaise idée cela dit ! Ça faisait un mal de chien à la déesse.

Cela semblait donc devenir toujours plus sauvage, les deux slimes la violant profondément de chaque côté et sans trop de retenue. Impossible pour elle de ne pas crier douloureusement. Son corps semblait même sur le point de céder sous ces énormes choses. Encore des baisers, mais cela devenait inutile tant la colère montait chez la déesse qui sentait son enveloppe corporelle prête à céder. Elle était violée de tous les côtés, touchés partout et sans limites. Bref, ce viol n'en finissait pas et une troisième se joint alors à la partie. Trop c'était trop, la déesse se devait d'intervenir, mais son corps refusait de lui obéir. Violée désormais par la bouche elle ne pouvait plus rien faire, ni parler pour se plainder, ni laisser échapper les gémissements affreux de son corps. Ne pouvait plus rien faire d'autre que d'attendre une ouvreuse elle continua donc de souffrir du plaisir de ce corps.