Le livre de la jungle

Trame : L’histoire se déroule dans la jungle, avec des ruines et une cascade d’eau. Élevée parmi les animaux depuis la tendre enfance, Mowglii vit avec celle qui l’a recueilli, une furry panthère noire du nom de Bast qui possède une bonne foi mais une colère qui la ronge  chaque jour. Elles chassent, mangent leurs repas ensembles, savent faire du feu. Mais subitement, Bast décide de vouloir faire de l’humaine sa partenaire sexuelle. Ce sera après leurs premiers ébats qu’une rencontre et confrontation avec des braconniers révèleront toute la vérité, faisant choisir Mowglii entre la vie dans la nature ou retourner à la civilisation.

Imaginez une version alternative érotique du Livre de la jungle. Edit: le langage devient possible. Et une partenaire rp est trouvée.

Mon perso sera cette charmante fille : http://vignette4.wikia.nocookie.net/zenescopeentertainment/images/8/84/Mowglii001.png/revision/latest?cb=20120726234626

La furry sera ici. À noter qu’à mon habitude, ce sera une Futa naturelle (sujet à modification) : http://66.media.tumblr.com/563cc0842bc057d478f114fc6b34bbf6/tumblr_nku5h8yi9w1sky94yo6_1280.png

Une jungle tropicale s’offrait à la vue de quiconque pouvant atteindre le sommet de la seule montagne des environs. Étendue sur des kilomètres à la ronde jusqu’à l’horizon, on ne voyait que végétations ainsi que de nombreux d’oiseaux exotiques survolant le ciel en plusieurs groupes. Leurs gazouillements résonnaient à travers l’air jusqu’à la surface du sol en un orchestre naturel. Au nord-est le grondement de la cascade s’invitait dans la performance. La vie dans la nature, dans cette chaleur tropicale, était une vie bien ordinaire pour la seule de son espèce vivant en ce grand territoire. Mowglii était une jeune demoiselle dont les origines étaient incertaines. La meilleure explication fut l’abandon par ses parents humains ou bien que ceux-ci étaient morts des griffes d’un prédateur. Dans tous les cas, elle fut seule à l’âge de 5 ans dans un monde où son destin aurait pu de finir dans l’estomac d’un tigre. Mais une sauveuse arriva. C’était une panthère noire aux formes humanoïdes avec des tâches bleutés sur des parties du corps. Allez savoir pourquoi, cette créature la trouva, prit pitié du sort de l’humaine et l’adopta comme étant sienne.

Mowglii vivait depuis douze longues années avec celle qu’on nommera Bast. Ici dans la jungle, il n’y avait pas d’école humaine, ni le moyen d’apprendre à parler ni les mœurs sociales. Ici, la jeune demoiselle se retrouva à vivre comme une animale. Toutefois la seule exception a été. le langage, ayant appris de la bouche de Bast comment parler. Ses techniques de survie et de chasse lui furent enseignées aussi par la panthère. La différence physiologique entre humaine et panthère lui donna beaucoup d’handicap. Avec l’expérience, elle parvenait à chasser du gibier avec beaucoup de patience et de précision. En autodidacte, elle sautait d’arbres en arbres comme le font les singes. Avec du temps libre, elle courrait et augmentait son rythme cardiaque. Bref, cela augmentait sa vitesse de déplacement et ses facultés à traquer des proies. Sa vie fut bâtie par cette jungle et aucunement elle songeait à repartir.

Un cervidé était la proie du jour. Un repas fastidieux à venir pour Mowglii et la Furry. Passant à travers les arbres, elle agrippa une large griffe obtenue d’un tigre il y a quelques mois. Avec Bast qui poussa le cervidé dans sa direction, elle sauta sur le quadrupède pour le plaquer au sol, plantant la griffe dans le cou pour le vider de son sang. L’animal fit beaucoup de bruit, un appel alléchant pour de possibles charognards ou prédateurs. Mowglii grogna et plan ses dents dans le cou et mord très fort. Elle resta couchée sur le ventre contre la fourrure du cervidé, attendant sa mort ainsi que l’arrivée de sa compagne.

Baghera ou Bats, était une terranide, vivant dans une immense jungle tropicale, un coin de l'univers qui n'est pas encore touché par l'homme et qui était fermement protégée par des furry de toute sorte, comme notre tigresse au pelage noir et aux taches bleutées. C'était une grande prédatrice qui chassait surtout la nuit grâce à son pelage et ses tâches qui faisaient comme des lucioles, un camouflage parfait. C'était une de ses nuits, alors que la furry avait fini de chasser et rentrait chez elle, qu'elle croisa une humaine, l'enfant étant encore vivant, les parents avaient été tuées par un tigre, un grand prédateur des environs. L'hybride avait donc pris la petite avec elle, pour lui sauver la vie, une chose à laquelle elle n'avait pas vraiment réfléchie, donc le pourquoi restera toujours inconnu. La demoiselle avait donc décidé d'élever l'humaine comme sa propre enfant, lui apprenant à marcher, puis à courir, puis à chasser, pêcher et d'autres techniques liées au monde animal, nécessaire à la survie dans un environnement hostile. Le langage fut aussi enseigné, c'était un bon moyen afin de communiquer, les terranides connaissant aussi la langue, ayant été influencés par les humains, parler était un bon moyen pour échanger.

Cela faisait maintenant plusieurs années, Mowgli avait bien grandi, elle était maintenant une jeune adulte de dix-sept ou dix-huit ans, avec des formes alléchantes, il fallait dire que Bats avait souvent son regard attirer par les courbes, surtout que l'humaine était nue ou juste un pagne pour couvrir le bas. Il était peut-être tant que Bats enseigne la sexualité à la demoiselle, l'humaine était déjà grande pour comprendre cela et devait déjà avoir une libido ou avait déjà dû s'interroger sur certaines choses, comme les deux héroïnes avaient déjà pris de nombreux bains ensemble, elles connaissaient leur corps. La panthère se disait que c'était, peut-être, la bonne occasion de faire coup double, l'enseignement et pouvoir se satisfaire du beau corps de Mowgli, en espérant ne pas avoir perdu au niveau de la pratique, après tout, cela faisait un moment que Baghera n'avait pas eu de relation sexuelle. Mais d'abord, le temps était à la chasse, la furry et l'humaine pratiquait leur activité, celui de tuer des animaux pour manger ce soir, et, apparemment, ce sera un bon cervidé que Mowgli avait réussi à attraper. Les années d'apprentissage et de pratique furent très bénéfique et dire qu'au début, tuer un animal était dur pour l'humaine, mais que, maintenant, c'était aussi facile que marcher ou courir.

Bats admirait le travail de son enfant, si on pouvait dire cela, souriant et courant simplement derrière l'humaine, préférant rester au sol, tandis que Mowgli allait d'arbres en arbres, entraînée par des singes. La furry s'approcha de la demoiselle, le sourire aux lèvres, s'étirant un peu, avant de venir caresser la tête de la jeune femme et qui avait déjà exécuté le repas de ce soir, il faut dire que la panthère en était fière comme toujours : « Et bien, dire qu'il y a des années, tu avais peur de tuer les proies et aujourd'hui, tu le fais sans un once de pitié, je peux être fière de toi. » La terranide continua à caresser la tête de Mowgli tout en souriant, pensant à la chose à laquelle elle avait déjà réfléchi concernant le sexe : « Tu es assez grande pour que je t'apprenne de nouvelles choses, notamment une qui est importante quand on a ton âge, mais, je te réserve la surprise. Allons d'abord manger. » Baghera se tourna, afin de retourner vers leur tanière, une grotte difficilement repérable parmi les arbres. Mais, là, elle vit un autre cervidé et se mit à le pourchasser avec sa lance, pendant quelques minutes, avant de planter son arme dans la gorge de l'animal, le tuant directement, sans qu'il ait le temps de souffrir. La panthère attrapa la proie morte, la mettant sur son épaule, revenant vers l'humaine, gardant son sourire et bougeant un peu sa tête : « Voilà, c'est bon, on peut revenir à la maison. » La furry fit un clin d'oeil et prit la route du retour, marchant tranquillement, les deux demoiselles allaient bien se régaler ce soir et aussi bien s'amuser, la panthère savait déjà ce qu'elles allaient faire.

Mowgli pouvait se sentir fière et forte. Travailler sa chasse et son habileté à bouger avec grande vitesse avaient été une éducation difficile. Son corps humain avait des limites à franchir, à surpasser pour accomplir ce que des prédateurs faisaient chaque jour pour avoir un repas quotidien. Mais encore, cela n’était que la partie physique, une histoire d’entraînement et de pratique. La jeune demoiselle s’adapta éventuellement aux rigueurs de la jungle tropicale et aux exigences de son amie Bast. Toutefois, il y avait l’aspect plus mental qui travailla beaucoup sa conscience. On pourrait penser que vivre avec les animaux et une furry mignonne suffirait à endormir sa retenue ce qui s’avérait faux. La brunette eut une énorme misère à surmonter la culpabilité de tuer des animaux, des herbivores qui n’avaient rien fait de mal. Cette peur de se sentir mal à l’aise lui donna des instants d’hésitation dans sa jeunesse jusqu’à mûrir dans sa tête et une fois l’adolescence passée, l’instinct de survie parvint à conquérir ses proies. Aujourd’hui elle fut capable de tuer un cervidé de ses propres mains et ses propres dents canines.

Sa bouche resta enfoncée dans la nuque de l’animal, allant mordre jusqu’au sang, jusqu’à le sentir mort. Même après l’acte, Mowgli garda ses dents dans la chair à sentir le goût du sang sur ses lèvres. Elle ne pensa à rien d’autre que de tenir le repas sur place et grogner à la venue des opportunistes de la jungle. Singes ou serpents, elle leur grogna pour les repousser. Puis, des bruits de pas la calma aussitôt et détendit son corps. Le bruit était familier à Bast, sa gardienne. Elle était d’une fourrure sombre avec une couleur violette, des parties particulières d’un bleu luminescent lui donnant un effet d’intimidation utile. Aucune bête n’osait s’approcher de la Furry et de l’humaine quand elles étaient ensembles. Lorsque Mowgli sentit la main sur sa tête, elle sourit agréablement en reculant son visage du cervidé. De son bras elle essuya le sang qui tâche sa bouche en relevant les yeux vers Bast. Ses caresses étaient toujours un plaisir à profiter. Prise d’affection, la jeune humaine vient enlacer sa gardienne et la serra fort.

- Je l’ai fait…un cervidé pour moi. J’ai hâte de chasser plus gros.

Déjà elle rêvait de devenir plus forte et de prendre plus de place parmi les habitants de la jungle. Un jour peut-être elle pourra opérer sans l’aide de Bast et lui ramener la viande de temps en temps pour lui faire plaisir. Penser à la Furry animait une grande bonne humeur depuis quelques mois. Mowgli passa du temps dans les bains naturels en compagnie de son amie, apprécia les caresses et surtout les câlins. Quelque chose se passait dans son corps qui d’un murmure subtil la pousse dans les bras d’une créature magnifique comme la panthère. Cette dernière était perspicace, ou juste pleines de surprises. Car l’humaine fut ravie que bientôt apprendre plus sur soi-même, suite à leur futur repas. Sans songer à lui poser de questions, elle prit l’animal par les pattes et le transporta sur ses épaules comme un bagage. Leur grotte se trouva derrière des arbres bien serrées les unes contre les autres, formant une cachette idéale contre les grosses bêtes. Mais les formes de l’humaine et de la panthère offraient assez de passage. Une fois Bast revenant avec sa propre proie, elles entrèrent dans leur grotte.

- Bast, tu es forte et pleine d’énergie. Tu tues avec plus de précision et plus de vitesse.

Elle avait vu de loin la panthère noire Furry. Elle l’avait suivi discrètement pour ne pas produire de bruit trop fort. Son regard se porta plus sur le corps de Bast. Malgré la poitrine bien généreuse, cette terranide avait un élan furtif et une approche très directe pour obtenir sa récompense. Quand elle observa le fessier puis quand leurs regards se croisèrent, Mowgli tourna la tête pour cacher une étrange émotion sur le visage et rentra dans leur grotte. Avec sa griffe de tigre, elle commença à retirer la fourrure et exposé la viande fraîche à mettre sur le feu.

- Mowgli ne comprend pas pourquoi…je manque d’attention quand tu montres l’exemple. Sans compter mes émotions des derniers mois.