Grayle avait courageusement décidé de faire semblant de dormir lorsque la jeune femme avait commencé à bouger. Il ignorait qui il était, et se disait que juger de sa réaction serait préférable. Aussi fermait-il les yeux, à l'affût de ses réactions, ses bras étendus comme s'il dormait, sa respiration calme et paisible.
Ceci dit, la réaction de la jeune femme le prit de court. Sa douce main se posa sur sa cuisse et elle le désigna du nom de Snow. Un retour ? Ainsi donc, ce Snow était en voyage. Il comprit aisément qu'il devait s'agir de son mari. Il n'y avait aucune raison qu'elle le confonde avec ce Snow (qui, vu les photos, ne lui ressemblais pas du tout), aussi jugea t-il qu'elle avait les yeux fermés. Ou était aveugle.
La suite surpris totalement Grayle. Sans mot dire, la jeune femme se glissa sous les couvertures et se mit à le masturber avec douceur, aggripant son sexe épais avec chaleur, caressant ses deux bourses remplies. Grayle bandait comme un fou ne s'attendant pas du tout à une telle réaction. Sentir ce corps fin entre ses jambes, ces cheveux longs sur ses cuisses... impossible de ne pas aimer cette sensation, et il dut lutter de toute ses forces pour faire croire qu'il dormait encore.
Puis, elle se mit en tête de le sucer. Ses lèvres étaient douces, sa bouche petite. Il cogna son palais avant qu'elle n'arrive à mi chemin. Mais elle continua, traitant sa verge avec toute l'attention du monde, léchant son gland et sa peau avec expertise. L'humidité brûlante de sa gorge le rendait fou. Il mourrait d'envie de forcer une gorge profonde, mais parvint encore à jouer le jeu.
* Ah... elle retrouve à peine son mari et le suce dès le réveil... ce type est vraiment chanceux... *
Il en était presque jaloux. Il venait à peine de se réveiller et une super femme était en train de lui faire une fellation du feu de dieu. Un homme honnête l'aurait directement arrêtée pour mettre fin au quiproquo. Mais voilà, Grayle n'était pas particulièrement honnête, et il prenait beaucoup trop son pied pour refuser un tel traitement. Il sentait le plaisir affluer le long de sa verge, la respiration de la blonde s’accélérer. Elle aimait ca presque autant que lui en plus, prenant un évident plaisir à lécher, sucer et avaler l'intégralité de sa verge pulsante et brûlante. Il serrait le tissu du matelas et des oreillers.
Cette sensation... elle n'était pas inconnue. Il la connaissait. Il l'avait déjà vécue, il en était persuadée. Et pas plus tard qu'hier soir...
Les draps se soulevèrent, et leurs regardes se croisèrent, double pairs d'yeux bleus se fixant quelques instants. Grayle ne lisait pas dans les pensées des gens, mais il pouvait distinctement l'entendre se dire " Ce n'est pas Snow". La réaction de la femme fut immédiate, et elle fit un bond de cabri en hurlant, atterissant de l'autre côté du lit, s'enroulant dans les couvertures comme si elles pouvaient la protéger, se cachant de lui. Elle bafouilla, le menacant d'appeller la police.
Bon, elle ne le reconnaissait pas. Génial. Elle non plus n'avait aucune idée de ce qui s'était passé.
" Ah... Attendez, ce n'est pas ce que vous croyez ! "
Grayle s'était levé et éloigné d'elle, les mains légèrement tendues vers le ciel, comme si elle le menaçait d'une arme, montrant qu'il en voulait aucun mal. Après cette divine fellation, n'importe quel homme se serait jeté sur elle pour continuer son affaire. Mais Grayle, même s'il crevait d'envie de la prendre là, maintenant, sur ce lit, contre un mur ou n'importe où dans le monde, discutait. Son épaisse verge était encore dressée, tendue comme une barre de fer et pointée vers la jeune femme, dégoulinant de salive et de pré-sperme, réclamant un corps à posséder. Dans sa fuite, la jeune femme avait emportée les couvertures, et il se tenait en tenue d'adam devant elle. Elle ne pouvait rien rater de son corps, son visage de statue, son sexe à l'épaisseur animale, ses muscles travaillés et son corps glabre.
" Je... je me suis réveillé dans votre lit et... je n'ai aucun souvenir de ce qui s'est passé hier ! Comment je suis arrivé ici ! "
Il se rendit compte qu'il venait de lui avouer s'être réveillé avant elle, et qu'il l'avait donc laissé se fourvoyer et lui faire une fellation en toute connaissance de cause. Bravo Grayle. Il remarqua qu'elle était restée muette.
" Heu... vous allez bien ? "
Ce que Grayle ne pouvait pas voir, c'est que son cou était marqué par 3 impressionnants suçons... et que ses épaules étaient striées par des traces de griffures passionnées.