Nom : ---
Prénom : Himeka
Surnom : Princesse Oni
Age : un peu plus de deux siècles
Sexe : Femme
Race : Oni (démon Japonais, donc Avatar)
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Situation de départ : Expérimentée
Physique :Himeka ressemble à une jeune fille de 15/16 ans, assez petite et mince. Possédant une courte chevelure bleu-nuit et de beaux yeux bleus, elle est dans l'ensemble plutôt svelte, avec de belles formes féminines, comme ses petits seins agréables à palper, son petit fessiers tendre et rebondit, sa taille fine et ses hanches pleines, etc... La jeune fille prend très clairement soin de son corps et de son apparence en général. Il y'a toutefois un élément majeur qui la distingue d'une humaine: ce sont les deux cornes protubérantes couleur chair sortant de son front, et se terminant en pointe dans des tons plus rouge.
En réalité, Himeka n'est pas une humaine, mais une Oni, une race de démons typiquement Japonais, que l'on trouve aussi bien au Japon qu'à Edoras, sur Terra. Toutefois, ses cornes caractéristiques de sa race, n'apparaissent que dans le monde des esprits ou sur son territoire terrestre. Lorsqu'elle en sort, Himeka perd ses pouvoirs et ses cornes disparaissent, la faisant ressembler en tout point à une humaine.
Lorsqu'elle n'est pas chez elle, Himeka ne porte qu'un simple uniforme scolaire, assez passe partout, et semble ne pas avoir d'amies ou de petit ami avec qui passer le temps, bien qu'elle soit plutôt mignonne. A l'inverse, elle est presque toujours nue lorsqu'elle est chez elle, semblant en réalité n'éprouver aucune gène. Elle porte toutefois des gants en cuir sans doigts et des cuissardes, ainsi qu'un ornement entre ses cornes.
Caractère :Comme la plupart de ses congénères, Himeka vit essentiellement de plaisirs simples, comme par exemple du sexe et de bons alcools. C'est d'ailleurs une grande perverse, qui aime dominer ses proies et les manipuler, mais son plus grand plaisir reste la corruption, ou comment transformer une âme pure et innocente en grand(e) soumis(e) sexuel(le). Pour parvenir a ses fins, elle aime jouer sur les sentiments, manipuler l'autre pour l'amener sur son territoire, où elle est toute puissante.
Aussi, lorsqu'elle est dans le monde des humains, elle se fait passer pour une jeune fille timide, fragile et peu sociable, mais qui donnerait envie à n'importe qui de la protéger... ou de profiter de sa faiblesse pour abuser de son corps. Mais dans les deux cas, ses cibles se font toujours avoir. Toutefois, suivant comment sa proie s'est comportée avec elle, l'Oni peut se montrer plus ou moins sadique, et peut donc tout aussi bien être douce et agréable, que particulièrement violente et humiliante. Toutefois, si un jour elle venait à rencontrer son âme sœur, une personne avec qui partager son éternité et son pouvoir, elle pourra se révéler très romantique.
Hormis le sexe et le saké, Himeka aime peu de choses. Vous ne la verrez jamais lire quoi que ce soit (cela fatigue ses yeux) et encore moins s'occuper de la politique entre les différents clans d'Oni. De toute façon, elle est tout en haut de la hiérarchie et si on la provoque, il est plus simple de réduire ses opposants en cendre, sans chercher à discuter. Et de doute manière, il est bien plus agréable de passer son temps avachi dans de gros coussins moelleux, à se faire masser par ses esclaves.
Histoire :L'origine des Oni remonte à l'époque féodale du Japon. Si les Kami sont souvent considérés comme des esprits farceurs ou bienveillants, comme c'est le cas de la Déesse Amaterasu (d'ailleurs présente sur le drapeau japonais), alors les Oni sont l'exact opposé. Souvent considérés comme des démons apportant le malheurs, les Japonais n'ont eu de cesses de les repousser de diverses façons à travers les siècles. Il est toutefois bien connu que si on peut vaincre un Oni, on ne peut en revanche pas les tuer pour autant. Et comme souvent au Japon, le folklore et les croyances rejoignent souvent la réalité.
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, les Oni ne sont pas une race dont l'individualisme prime, mais ne sont pas pour autant solidaire entre eux. Indépendants des cercles infernaux, car n'étant pas rattachés aux enfers, les Oni vivent en clans dans un monde parallèle, entre la Terre et Terra, que l'on nomme plus communément le monde des esprits. Durant des siècles, les clans Oni ont rapportés des proies humaines sur leurs terres, soit pour les réduire en esclavage, soit pour consommer leurs chairs, et le clan qui en rapportait capturait le plus durant un siècle, gouvernait les autres clans le siècle suivant.
Pourtant, il arriva une période où les humains se modernisèrent, où ils se détachèrent peu à peu des croyances populaires, où ils s'imprégnèrent d'autres religions. Durant cette transitions, les Oni durent s'adapter, mais beaucoup n'y parvinrent guère. Sans proies à rapporter, il fallait trouver de nouvelles méthodes pour désigner le leader. Le clan alors en place décida de conserver le pouvoir aussi longtemps que ce sera nécessaire, ce qui déplut aux autres clans, et une guerre éclata. Une guerre qui dura de nombreuses décennies et qui entraina l'éruption du mont Fuji à son apogée, en 1707. Ce furent deux puissants Oni, appartenant chacun a des clans différents, qui y mirent fin, en décimant des armées entières à eux seuls.
Suite à cela, une nouvelle organisation fut mise en place. Les deux puissants Oni seraient placés à la tête d'un conseil, composé par tout les chefs de clan, jusqu'à ce que l'un deux soit capable de les vaincre, une fois par siècle, lors d'une cérémonie. Et bien sur, cela n'est jamais arrivé en l'espace de trois siècles. Entre temps, les deux Oni mirent au monde une fille, qu'ils nommèrent Himeka (signifiant "Belle princesse") et qui depuis sa naissance mène une vie paisibles faite de petits plaisirs simples. Elle se soucia peu de la politique, laissant ce domaine à ses parents, mais se montra en revanche très curieuse quant au Japon d'aujourd'hui, et décida un jour de passer le portail le séparant de son monde, pour découvrir ce que les autres Oni semblent avoir mis de coté.
Aujourd'hui, elle se fait passer pour une petite lycéenne de Mishima, établissement scolaire semblant déborder de vices et de pêchés. S'en est presque à croire que le lycée a été bâtit par des Oni, mais elle s'en fiche, car cela lui plait...
Autres :Elle vit dans le
temple familiale, situé dans
le monde des esprits, un endroit que l'on ne peut atteindre qu'en traversant un
Torii en plein milieu de la foret, que ce soit à l'aube ou au crépuscule (le passage s'ouvre et se referme au moment ou le soleil passe l'horizon). Un Torii similaire se trouve dans la foret Edorasienne et les mêmes règles s'y appliques. Le monde des esprits étant entre la Terre et Terra, celui-ci agit donc comme un monde coincé entre les deux dimensions, duquel on ne peut sortir que par deux portails physiques. A noter que ce second Portail n'existe que depuis la naissance de Terra.
Himeka possède aussi une "résidence secondaire" à Seikusu,
un lieu invisible aux yeux des humains, qui siège en lieu et place d'une
ruine de l'autre coté du Torii situé à l'entrée, en haut d'une série d'escaliers, et qui suit les mêmes règles que ceux menant au monde des esprits. Passer ce portail avant ou après les heures d'ouverture, ne mène donc pas à sa demeure, mais à un temple en ruine et délabré, dont toutes les tentatives de rénovations ou de démolitions définitives semblent avoir échouées à cause de "malédictions".
Himeka, en plus d'avoir l'ascendant sur les autres Oni hormis son
père et sa
mère, possède également la capacité de paralyser ses proies et de les manipuler (physiquement) comme elle l'entend, telle une marionnettiste. Toutefois, ce pouvoir ne fonctionne que sur son territoire, de l'autre coté du Tori. De la même manière, elle semble contrôler les éléments (héritage de ses parents) et peut donc mater les autres Oni sans efforts particuliers.
Enfin, les Oni étant des démon Japonais et le monde des esprits étant en quelque sorte leur enfer, si un Oni meurt (ce qui reste difficile a obtenir a moins d'avoir sous la main un autre Oni plus puissant) les cendres retournent à son lieu de naissances et il renaît, mais en conservant ses souvenir, et l'humiliation qui va avec.