Faim, Partie II [Don]

La petite fille était littéralement tirée par les cheveux vers la maison. Essayant de se dégager de l'emprise de Don, elle donna des coups dans son poignet, et lui beuglait que ca lui faisait mal, mais rien à faire: elle était trop petite.

" Lâche-moi ! Ca fais mal ! "

Alors entré dans la maison, la lueur des lampes a pétroles permettait au privilégié d'Aphrodite de contempler la "baraque" dans tout ses angle. L'ameublement et la décoration étaient plus que basique. Une chaise et deux tabourets étaient disposés autour d'une vieille table briquée mais visiblement sur le point de s'effondrer, une cheminée au bois brûlait et répandait sa chaleur sur les épais tapis disposé au sol où étaient disséminées couvertures et matelas.

Deux autres meubles de cuisine étaient rangé dans un coin sombre, ces deux meubles très rustique semblant avoir servi durant des siècles, tant ils avaient l'air vieux. D'ailleurs, l'air empestait encore la poussière en surnombre malgré le temps qu'avaient consacré les trois soeurs a astiquer l'endroit.

Continuant à se débattre, Miwa essayait de faire lâcher Don, qui avait sa poigne ancrée sur ses cheveux.

Don referma la porte derrière lui, il ne voulait pas briser l'innocence de la petite Onii en lui faisant voir ce qui allait arriver a son amie, en tout cas pas encore...Don eut un sourire et lacha Miwa quand elle le lui demanda

"Tes désirs sont des ordres."

Fit il a l'humaine tandis qu'il avançait dans la "maison". Hah, quelle barraque pourrie et vermoulue, elle était rongée par le temps et ça ne plaisait pas a Don, il n'aimait pas les endroits sales, ça l'abaissait au statut de ces innombrables violeurs et c'était d'ailleurs pour ça qu'il avait préféré prendre la maison, a présent il regrettait de ne pas être sorti en forêt, surtout qu'il allait pas tarder a pleuvoir...

A la reflexion ça serait surement mieux. Il attrapa une chaise et brisa la fenètre de la maison d'un seul et bon coup

"Pfff, cette maison est vraiment pitoyable, ça ne m'étonnerais pas qu'elle s'afaise avant que je m'en aille.

Il traina Miwa dans l'arrière court et ensuite dans les sous bois. Là il chercha une vieille souche sur laquelle il finit par s'asseoir et lança a la jeune fille

"Bien, si je me souviens bien tu as dit que tu ferais tout ce que je désirerais, c'est bien ça?Souhaite tu revenir sur ton offre?Il est encore temps..."

Lança Don en laissant planer le doute sur le sujet, il voulait bien être sur que Miwa ne regretterais pas ce qu'elle allait avoir...

Alors qu'elle venait de se libérer de l'étreinte de Don quelques instant, elle n'eut pas le temps de reprendre son souffle avant qu'elle ne soit traînée dehors, puis dans les sous-bois, comme un vulgaire sac de viande.

Ensuite assise sur la terre pour l'instant sèche, la pluie allait bientôt s'abattre sur les contrées. Néanmoins, tout ce que Miwa eut a répondre de la dernière question fut

" Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu es si méchant avec nous ? Je veux m'en aller ! "

Se mettant a genoux, ces évènement la bousculèrent de trop, et prenant ses mains sur le visage, elle se mit à pleurer. C'en était trop pour elle, toute ces cruelles questions sans réponse, plus effroyables les unes que les autres, un tel retour à cette réalité sans pitié venait de briser l'image du monde idyllique que se faisait Miwa, et cela la traumatisait...

L'élu d'Aphrodite eut un sourire terrible, ce genre de sourires qui ne laissaient annoncer rien de bon, comme un rictus de mécontentement quand la petite se mit a pleurer en esquivant sa réponse. Don se leva et s'abaissa près de Miwa, ses yeux cachés par ses cheveux longs, il lança avec douceur et prévenance

"Là, là, mais pourquoi pleure tu donc?Je ne t'ai pas encore fait vraiment mal..."

Fit il avant de gifler la gamine, l'envoyant au tapis d'une seule mandale, évidement il n'avait pas mis toute sa force, mais cette baffe aurait été suffisante pour rappeller a l'ordre n'importe qui. Don se releva et éclata de rire en passant une main dans ses cheveux pour les ramener en arrière

"Ouvre les yeux gamine!Ce monde n'est pas fait pour les faibles, les gros poissons mangent les petits et c'est ainsi depuis la nuit des temps!Je suis ton maître a présent car tu n'a pas la force de m'indiquer le contraire."

Il se pencha vers elle et la releva en lui tirant les cheveux tandis qu'il s'asseyait sur la souche a nouveau

"Alors quand je te pose une question, tu me répond, est ce que c'est clair ? Bien, je reprend alors. Est tu bien disposée a m'obéir ?Tant que tu m'obéis je ne te ferais aucun mal, ni a toi, ni a ta soeur. Je te laisse le choix, obéis moi et ça se passera relativement bien, désobéis moi et ça ira carrement mal."

Le ton de Don était cassant et ferme.

Dans ce genre de cas, sa grande soeur lui avait donné un précieux conseil: "Lorsque la situation semble désespérée, arrête de paniquer et réfléchis a la meilleure solution."

Cette solution restait dans l'obéissance, au moins personne ne serait blessé. Néanmoins, c'était son amour-propre en sacrifice...

Essayant de fuir du regard Don, la petite balbutia faiblement.

" O-oui je... j'.... J'obéirais... "

Toujours à genoux, elle se prit le visage dans les mains, essayant de ne pas pleurer. Qui sait quelles atrocités il allait lui faire faire ? Miwa n'en avait strictement aucune idée

Don se fichait comme de sa dernière paire de menottes de Miwa. Il était uniquement là pour se faire plaisir, alors pour ce qui était de l'amour propre, de la santée mentale et même du bon plaisir de la gamine elle pouvait toujours repasser. Un sourire cruel s'afficha sur son visage quand elle accepta d'obeir, après tout elle n'avait pas le choix. Il la prendrais de gré ou de force de toute façon, alors autant se faire plaisir. Un maximum puisque de toute évidence elle ne ressentirait aucun plaisir a ce qui allait se passer maintenant, alors qu'il force comme une brute ou pas lui était égal.

"Tu va m'obéir alors?Parfait."

Don se leva et avança avec un pas assuré vers Miwa, puis, il déboutonna son pantalon et l'ôta, affichant devant la jeune fille un membre d'une grosseur assez impressionante, il était aussi grand qu'un avant bras entier.

"Je vais te faire grâce d'une leçon qui te sera utile toute ta vie. Allez viens par ici."

Il traina la jeune fille jusqu'a sa verge, après quoi il lança

"Ca fait longtemps que celle ci n'a pas servi, tu va la nettoyer, je te dirais ensuite de quoi il en retourne..."

Il vit qu'elle se préparait a esquisser un mouvement et il rajouta

"Tssk, avec ta bouche."

Fit il en souriant

Elle réprimanda un cri de surprise lorsque Don venait de dégraffer son pantalon, qui tomba sur ses genoux, et dévoila son sexe gonflé a la jeune fille chaste et innocente qu'était Miwa. Ne connaissant rien de l'anatomie masculine, elle ne savait pas a quoi cela pouvait-il bien rimer, ni encore moins cette "leçon utile toute sa vie"...

La nettoyer ? Pourquoi ? Il ne prenait pas de douche ?

Néanmoins, ayant promis d'obéir, elle bougea déjà le bras pour faire sa besogne, c'est là que Don la rectifia.

Avec sa bouche ? Comment allait elle faire ?

Faisant appel a toute son imagination, elle en parvint a une solution, assez dégoûtante, mais il le fallait bien pour l'intégrité physique de sa soeur.

" Avec ma bouche... "

Posant ses lèvres sur le bout de l'engin de Don, elle écarta doucement les lèvres, pour faire entrer lentement le bout dans sa bouche, et y passer sa langue. Le goût la répugnait, mais elle s'y sentait bel et bien forcée.

Eh bien, on pouvait dire que le metier rentrait petit a petit. Miwa avait déjà un bon instinct, c'était très bien, après tout elle allait devoir s'abaisser a ce genre de besognes tout le reste de son existence jusqu'a ce qu'elle ne soit plus qu'un vieux crouton dont on se débarassera après avoir pompé toute l'essence de ce qui la rendait vivante.

Don se sentait fier de contribuer a l'éveil de cette petite, parce que les hommes éprouvent toujours une certaine fiertée a passer le premier, et Don y mettait pratiquement un point d'orgeuil. Il détestait trouver la place chaude en arrivant, il avait pensé a les vendre vierge, celà aurait pu bien trippler leur prix, mais voilà, si ce n'était pas lui ça serait un autre, et cette pensée était insupportable pour l'homme.

"Eh bien, tu vois quand tu veux que tu peux arriver a quelque chose de bien..."

L'extrémitée de l'homme grossissait petit a petit dans la bouche de Miwa. Il lança avec sarcasme

"Bon, on va y passer la nuit."

Il posa sa main sur la tête de Miwa et enfonça son membre autant qu'il le pouvait dans cette petite bouche, evidement c'était loin de rentrer entiètrement

"Si tu veux être vraiment efficace, c'est comme ça qu'il faut que tu t'y prenne!"

Cria Don tandis qu'il accellerait la cadence, donnant des coups de reins tout en accompagnant la tête de Miwa

Même si le métier rentrait et que les bonnes intuitions se suivaient, Miwa ne pouvait s'empêcher de se sentir humiliée, salie. Plus jamais elle n'oserait lever la tête.

L'espoir et son optimisme la quittait au même rythme que sa tête allait d'avant en arrière, elle se surprit même a pleurer, tant cela était douloureux, elle était bien trop petite pour un si grand membre.

D'ailleurs Don ne l'aida pas en lui enfoncant carrément dans la gorge sa virilité, manquant de l'étouffer. Cela dura une minute au moins, le visage de Miwa virait au bleu, elle se retira pour tousser et cracher, ainsi que reprendre sa respiration.

" Ca fait mal ! "

Des larmes coulèrent lentement sur ses joues, ne pensant pas qu'un tel acte était aussi douloureux.

Don avait été vraiment brusque sur le début, mais c'était parce qu'il voulait voir combien Miwa pouvait prendre avant d'arriver au fond de la gorge. En revanche il n'était vraiment, vraiment pas content, car, quand Miwa avait arrêté le mouvement, il se sentait en bonne voie pour venir...Ces débutantes ne pouvaient décidement rien faire de bien...Mais il n'y avait pas a dire il adorait jouer avec celles ci...C'était bien meilleur de voir leurs larmes, leur regard térrifié, leur peur dans leur regard. Don grogna et attrapa Miwa par les cheveux et la ramena où elle en était.

"Ne t'arrête pas en si bon chemin!Si tu veux respirer tu peux le faire par le nez!"

Cette fois il la tenait bien et il continua son va et vien, la prenant par chaque coté de la tête pour lui baiser littéralement la bouche, ce petit manège continua quelques minutes et finalement, il lança a Miwa

"Attention, je veux que tu garde tout ça dans ta bouche, c'est compris?"

Peu de temps après il poussa un râle de plaisir et sa semence se deversa d'un seul coup dans la bouche de Miwa, puis un autre coup sec, puis un autre, et un autre...Au final ce fut trois  jets assez dru qui jaillirent, Don tenait bien la tête de l'adolescente pour ne pas qu'elle se retire

"Allez avale moi ça!"

Cria t'il dans son râle

Elle ne comprenait pas pourquoi, pourquoi le destin s'acharnait comme ça sur elle. Depuis sa naissance, elle n'avait jamais fait quoi que ce soit qu'il méritait qu'on la punisse, elle s'était éforcée d'être une fille sage, innocente et obéissante, a l'écoute de son entourage.

Alors pourquoi lui donnait-on un traitement pareil en retour de sa bonne volonté ?

C'était toute sa vision des choses qui s'en trouvaient bouleversée.

Qui croire ? Qui suivre ? Que faire ? Le bien ou le mal... Tout ca semblait maintenant lointain, irréel. Presque inexistant.

Elle en était tellement bouleversée qu'elle en oublierait presque cet homme, en face d'elle, qui la forçait à lui faire des fellations profondes, lui raclant le fond de la gorge, lui faisant atrocement mal.

Ce ne fut pas meilleur lorsque le liquide chaud et sucré jaillit à grande giclée dans sa bouche, elle voulait que sa s'arrête, être ailleurs, ne plus exister...

Mais elle ne pouvait pas se désincarner si facilement, et fut donc forcée de garder en bouche ce liquide humiliant, pour l'avaler dans un grand bruit de déglutition.

" C'est... Dégoûtant... "

Elle recommença à pleurer. Elle voulait que ca s'arrête tout de suite, elle priait tout ce qu'elle pouvait prier, même la mort, pour que ca puisse s'arrêter tout de suite.

Don avait fini par relacher sa sauce et poussa un soupir de satisfaction. Ca faisait enormement de temps qu'il n'avait pas attrapé une nouvelle proie, et il en profitait bien, cette fille avait été une fellation convenable, ce qu'il aimait voir ces yeux en train de pleurer de cette vie gachée, de ce désespoir profond, il eut un petit rire alors qu'il la voyait avaler le tout, il sourit et regarda avec tendresse Miwa hoqueter après avoir avalé la plupart de ce qu'il avait a lui donner. Il rigola même de la voir prendre cet air dégoutté, il lui tint le menton et lui lança avec un sourire de sadisme pur

"Ce n'est pas dégoutant, c'est la semence de ton maître, tu devra apprendre a l'aimer, tout comme les femmes de ta race l'aiment, comment crois tu que ta mère t'aie mis au monde ? Tu es une femme maintenant, enfin, pas tout a fait."

Lança t'il tandis qu'il se remettait en forme avec sa main droite, il tira sur la laisse de Miwa et l'amena près d'elle, il l'asseya sur ses genoux et lui lança

"Allez, prend le dans tes mains et caresse le."

Lui lança t'il au sujet de son sexe, pendant ce temps il passait sa main dans sa culotte et commençait a caresser son entrejambe de sa lourde main

C'était tellement dégradant... Pourquoi le monde étais t'il si cruel ? Elle n'aurait jamais la force d'un jour se lever contre ceux qui veulent l'écraser, Miwa n'aurait jamais la force d'un jour se rebeller et avoir la force d'être indépendante, non, Miwa ne serait qu'une pauvre petite fille soumise toute sa vie...

Elle en étais consciente, mais avait du mal a accepter ce destin... Mais après tout, il faut bien des gagnants et des perdants à tous les jeux... Voilà la vie, c'était un grand jeu... Ou on perds et on gagne... Qu'une seule fois.

" Hi... "

Les larmes continuaient a couler sur ses joues, tandis qu'elle obéissait en regardant le sol, n'osant pas regarder ce qu'elle était en train de faire, masser le sexe grandissant de son kidnappeur.

C'est là qu'elle vit une main passer juste près d'elle, et alla droit dans sa culotte encore trempée. Elle ne fit que balbutier:

" P-pas là... Je ne veux pas... "

Miwa était bientôt prête, encore quelques secondes de cuisson et elle serait a point pour son grand moment, il vit qu'elle détournait la tête et il posa sa main sur celle ci pour la forcer a regarder son sexe grandissant sous ses caresses ainsi que sa main attisant son entrejambe, il grogna avec autoritée

"Comment veux tu que je t'apprenne quoi que ce soit si tu n'écoute pas."

Lança Don d'un air mécontent, tandis qu'il accelerait la pression sur son entrejambe, caressant la fente avec un de ses gros doigts et insistant entre ses secondes lèvres sans vraiment la pénétrer pour le moment. Lorsqu'il se sentit assez dur, il la leva et la traina par les cheveux.

La pluie avait déjà commencé a tombé en vain filins mais là la foudre retentit et une trombe d'eau vint, innondant le corps des deux assaillants, et rendant la robe de Miwa toute transparente, il la plaqua contre un arbre, dos a lui, et arracha sa culotte d'un geste benin avant de saisir ses hanches dans une position de levrette

"Puisque tu ne veux pas te concentrer je vais directement aller a l'essentiel..."

Fit il, appliquant son extrémitée contre celle de Miwa, toujours lui faire croire que ce qui lui arrivait était de sa faute..Ca pouvait aider...

D'un seul coup il entra en elle d'autant qu'il put, son sexe était bien trop gros pour ce corps fin, mais une bonne partie pouvait déjà rentrer sans effort préalable si il était assez brutal

Même le temps s'accordait a la situation.

Miwa, elle qui avait toujours un soleil radieux dans son coeur, venait a présent de se muer dans une averse de désespoir. C'est ça, du désespoir, la seule chose qu'elle ressentait, par dessus la douleur.

Les attouchements de Don, loin de l'exciter, la dégoûtait, même si son corps ne pouvait que réagir naturellement, ce qui était en véritable contradiction avec les désirs de Miwa.

Néanmoins, quoi qu'elle faisait, ce n'était jamais bon, et de toute façon Don ne faisait que se jouer d'elle. Ce n'était pas de sa faute. Elle essayait de s'en convaincre, mais elle n'y arrivait pas vraiment. Si elle avait bien obéi, peut-être l'aurait-il épargnée ? Peut-être que oui, peut-être que non.

Sa robe ne servant même plus a la protéger des intimpéries devint lourde et transparente sous la pluie incessante, dans laquelle on put voir sa culotte flotter quelque instant, avant de s'écraser, a présent la pauvre petite était exposée.

Exposée aux désirs malsains de Don, celui qu'elle avait prit pour son protecteur, mais qui maintenant venait de lui prendre sa virginité. Elle qui n'y connaissait rien, venait d'avoir une brutale et cruelle leçon de vie. La douleur engendrée par la pénétration ne valait pas son pareil, même si d'un coup, elle put ressentir une boule de chaleur agréable lui remonter le corps, et lui faire pousser un cri, essayant vainement de se rattacher a quelque chose pour s'en tirer.