Description sommaire :
La Maison de Madame Yu est un terme générique qui, pour les milieux concernés, regroupe à la fois une entreprise, un service et une personne. Madame Yu fournit des joujoux sexuels allant du meuble à la petite pilule bleue et ce depuis des siècles et en toute discrétion. Il n'existe aucune trace écrite, pas de publicités et aucun bordereau de réception : tout se déroule dans le plus strict secret pour permettre à des personnes jouissant d'une vie publique intense de s'amuser en couple ou plus si affinité sans risques.
La patronne :
Madame Yu est le nom héréditaire de toutes les patronnes et ce depuis des siècles. Chaque Madame Yu forme sa remplaçante et, en cas de décès précoce, c'est l'organisation elle-même qui choisit et forme la nouvelle Madame Yu. Il s'agit souvent de la seule personne que les clients verront jamais car elle fait office de vendeuse et d'unique contact public. La Madame Yu actuelle, malgré son jeune age, est tout à fait compétente et guide avec douceur les clients et clientes vers des produits adaptés à leurs goûts.
Histoire de l'entreprise :
Impossible de savoir quand Madame Yu a commencé à exister. L'absence de toute trace écrite et le secret de la société y est pour beaucoup. Il semblerait que tout ai commencé en Chine, dès que des hommes de pouvoir tentèrent de se faire une vie publique plus lisse que ce qu'ils voudraient en réalité. Au fil des siècles, des invasions et des progrès en moyens de transport Madame Yu s'est étendue à la planète entière, fournissant ses produits aux têtes couronnées, aux membres des gouvernements, des armées et des mafias. Augmentant en même temps son catalogue grâce aux nouveaux territoires découverts, elle fournissait déjà il y a trois siècles plus que ce qu'il était nécessaire à tout couple en mal de sensations.
Avec l'avènement du journalisme ses affaires n'ont fait que s'améliorer : Surveillés par des fouille-poubelles, les clients étaient ravis de la totale discrétion de Madame Yu et de l'absence de toutes traces écrites utilisables.
Siège de l'entreprise :
Il se trouve au sein de la maison d'été de la famille Tachibana pour le moment. Vaste complexe de bâtiments de style japonais ancien dans un écrin de verdure situé en bordure de la ville japonaise très connue des pratiquants de ce forum, rien ne laisse transparaître depuis l'extérieur des activités qui ont lieu à l'intérieur. On n'y fait que de la vente et des démonstrations, la construction des objets est le fait d'artisans un peu partout sur le globe qui ne savent pas pour qui ils fabriquent tel ou tel objet et qui sont payés chers pour ne jamais vouloir le savoir. Bien entendu, un service de sécurité veille à ce que personne ne s'introduise par "accident" à l'intérieur de la résidence. Un tunnel discret permet aux visiteurs les plus paranoïaques de parvenir à entrer via un hôtel discret et anonyme à proximité.
Catalogue :
Tout ce qu'elle propose est fabriqué à base de matériaux luxueux, excessivement robuste et à des prix stratosphériques comprenant le secret et la livraison discrète. Très peu de plastique, d'électronique ou d'informatique car la plupart des pièces sont inspirées d'authentique pièces de musées glanées au fil des siècles, traces d'amants inventifs et de relations passionnées. Le Catalogue, ensemble de pièces insonorisées proposant la totalité de ce qui est disponible, peut être essayé sur place.
Mobilier : Meubles de torture détournés de leur utilisation première, cages vouées au plaisir charnel, objets usuels cachant des joujoux dans des tiroirs secrets... Le tout avec des matériaux de très haute qualité et à un prix bien évidemment abusif.
Accessoires : Ne parlez pas de plastique ou d'électricité à Madame Yu. Elle n'aime que l'authentique. Du coup, c'est un peu à contre-coeur qu'elle propose des godemichets et autres accessoires vibrants. Comme d'habitude, le choix est pléthorique.
Pharmacopée : Drogues, boissons, nourriture, plantes aux arômes enivrants... Vous ne trouverez nulle part ailleurs un tel choix de produits ayant traversé les siècles, pour la plupart en toute discrétion.
Vêtements : Habits solides pour jeux de rôles ou faciles à déchirer, selon la demande. Il y a aussi bien entendu toutes les variantes des tenues en latex.
Personnalisation : Les artisans de Madame Yu se feront un plaisir de fabriquer tout objet ne se trouvant pas dans le catalogue dans la limite du compte bancaire du demandeur.
Personnel :
Le personnel visible par les joueurs sont les soubrettes de Yukiko Tachibana. Elles sont toutes des paiement de clients mafieux, donc toutes formées au meurtre et à l'infiltration. Suite à quelques séances au sein du catalogue, elles sont aussi toutes dévouées à Yukiko et lui vouent un attachement situé entre le maître et l'objet des désirs charnels les plus intenses. Habillées généralement de kimonos traditionnels quand elles travaillent au sein de la résidence, elles ont toute une garde-robe pour les autres occasions.
Aizawa : Japonaise aux cheveux noirs et courts. Soubrette en chef. Froide et impitoyable.
Chloé : Américaine aux longs cheveux blonds. Athlétique.
Les soeurs Werner : Jumelles allemandes rousses et zélées.
Olga : Grande russe aux longs cheveux noirs.
Min : Minuscule chinoise excessivement douée pour la cérémonie du thé et autres activités raffinées.
Ko : Erythréene très musclée et très peu bavarde car parlant mal le japonais.
Elles font aussi office de livreuses, ce qui signifie qu'elles ne sont pas toutes toujours en permanence dans la propriété. Il y a d'autres servantes mais elles ne sont pas aussi proches de Yukiko et apparaissent peu aux yeux des clients.
En termes de RolePlay :
Seuls les personnages étant décrits comme venant de la haute société ou très riches connaissent l'existence de Madame Yu ou comment la contacter. Les autres doivent rencontrer Tachibana via un RP. A noter que Yukiko Tachibana laisse fuiter volontairement au sein de l'école qu'elle s'y connaît en matière de domination et de relation maître/esclave afin de fournir une formation à de possibles futurs clients. Tachibana, comme les autres Madame Yu, ne fournit rien aux sadiques et autres tueurs qui ne cherchent qu'une façon raffinée de massacrer leurs victimes : tôt ou tard, la police a tendance à chercher l'origine du matériel et elle ne veut pas de ça.