Examen impudique [Ayumi Kobayashi]

Dans un lycée comme le lycée Mishima, Shiro a pu rencontrer tout un tas de filles différentes, que ce soit par leur physique ou leur mentalité. Il y a celles avec des corps de rêves, d'autres qui sont un peu plus en retard, il y en a des timides, des futées, des nymphomanes, des amatrices de sexualité simple, d'autres plus extravagantes... Et l'infirmière se tarde d'avoir tout vu et que plus rien ne peut la surprendre. Malgré tout, elle aime toujours autant découvrir le caractère d'une nouvelle patiente, en se disant que, peut-être, elle pourrait être surprise.

La journée commence de façon ordinaire pour Shiro : après une nuit de sexe torride avec Tessia, sa succube adorée, qui s'est amusée à la faire marcher à quatre pattes dans son appartement, entièrement nue, avec juste un collier et une laisse autour du cou, à l'écouter aboyer comme une chienne avant de la prendre en levrette jusqu'à l'épuisement, elle s'est levée au son du réveil, a pris son petit-déjeuner et est partie en vitesse pour le lycée. Elle arrive toujours avant l'ouverture des portes pour pouvoir préparer sa journée en fonction de la quantité de travail qui l'attend. Et ce matin, elle découvre une agréable surprise sur son bureau : le dossier d'une nouvelle élève, une certaine Ayumi Kobayashi, qui doit passer sa visite médicale obligatoire d'entrée dans l'établissement. En enfilant sa blouse, l'infirmière jubile. Elle avait prévu de faire venir une de ses patientes régulières à la pause déjeuner pour s'offrir un petit ''casse-croute'', mais c'est encore meilleur de s'offrir un petit plaisir avec une nouvelle. La jeune femme est toute fébrile en s'imaginant les différents scénarios possibles : va-t-elle la séduire lentement, comme elle l'a fait avec Mai ? Découvrira-t-elle une personne totalement différente de ce qu'elle laisse paraître, comme ce fut le cas avec Minerva ? Cette rencontre en amènera-t-elle de nouvelles, comme quand Alice lui a présenté Mélinda ? En tout cas, une chose est sûre : la journée va être bonne.

En attendant que cette nouvelle élève arrive dans son bureau, Shiro s'occupe de paperasse à remplir et d'autres élèves à soigner puis, vers le milieu de la journée, celle qu'elle attendait arrive enfin. Dès le premier regard, l'infirmière découvre une superbe jeune fille, et remarque très vite son imposante poitrine qui, enfermée dans son uniforme, semble attendre la première occasion donnée pour s'échapper. Ça tombe bien, elle va vite en avoir l'occasion. Ensuite, elle voit ses longs cheveux châtains, coiffés d'un ruban blanc, qui descendent jusqu'à ses reins, ses grands yeux couleur ambre, sa taille fine et, même si elle ne peut pas voir son postérieur, elle le devine léger et ferme. Le tout magnifiquement mis en valeur par son uniforme scolaire, qui apporte toujours cette touche d'érotisme innocent que le monde entier envie aux japonais. La lycéenne salue poliment la jeune femme et lui tend sa convocation, remise par son professeur.

« Ah, tu es la nouvelle élève. Kobayashi, c'est ça ? Je t'en prie, assieds toi, je vais chercher ce qu'il faut. »

Pendant qu'Ayumi s'assoit sur la chaise prévue à cet effet, Shiro va prendre le matériel nécessaire à l'examen médical : stéthoscope, seringue et fiole, mètre et de quoi prendre des notes. Une fois installée, l'infirmière met le stéthoscope en place et écoute le cœur et les poumons de la lycéenne pour y déceler d'éventuels troubles, qu'ils soient héréditaires ou environnementaux. Même si elle n'est qu'infirmière de lycée, elle prend son travail très au sérieux, et se soucie énormément de la santé de tous les jeunes gens de cet établissement, bien qu'elle accorde toujours un peu plus d'attention aux filles. Ce test est le plus ennuyeux, mais il est nécessaire. Heureusement, il est vite passé.

« Rien à signaler. C'est une bonne nouvelle. Maintenant, je dois te faire une prise de sang pour vérifier qu'il n'y a rien qui traîne dans ton corps. »

Drogue, manque d'oxygène, de globules rouges, excès d'hormones indiquant une grossesse... L'obtention de ces informations contenues dans le sang permet de prendre des mesures nécessaires pour le bon développement des adolescents, pour en faire des adultes équilibrés et travailleurs. Une fois le sang prélevé, Shiro peut enfin passer à sa partie préférée : la prise de mesure. Et avec ses pouvoirs, c'est tellement mieux.

« Bien. Maintenant, je vais prendre tes mesures : taille, tour de poitrine et tour de hanche. Il va falloir que tu enlèves ton uniforme s'il te plaît. Je sais que beaucoup de filles sont mal à l'aise à l'idée de se montrer en sous-vêtements, mais ne t'en fais pas : ici, il n'y a que toi et moi. »

Et bientôt, elle découvrira combien cette situation est plaisante.

Cela faisait un peu moins d'une semaine que Ayumi était arrivée dans cette ville, et à peine deux jours qu'elle était inscrite à Mishima. Très vite, elle avait pu noter que bon nombre de ses camarades de classes et professeurs avaient le regard irrémédiablement attirés par sa poitrine, sans même s'en cacher. Perplexe, elle avait alors chercher des information sur le lycée le soir même et avait alors découvert que son établissement avait fait l'objet d'un nombre impressionnant de scandales sexuels, et ce depuis l'apparitions des failles, sur lesquelles elle et son Magister enquêtaient. Elle avait bien entendu immédiatement fait part de ses découverte à son Maître de magie, qui lui cherchait encore un travail pour sa couverture.

Le lendemain, elle avait essayée de se comporter le plus normalement du monde, avec en tête d'éviter aussi longtemps que possible toute situation qui pourrait dériver sur du sexe. Non pas qu'elle n’aimait pas la chose en elle même, mais elle n'avait pas non plus envie de passer ses journées à ça, surtout qu'elle venait à peine d'arriver. Malheureusement, c'était sans compter l'infirmière, qui la convoqua à l'infirmerie en fin de journée pour son examen médical, comme elle le lut sur le mot laisser dans son casier. Bah, elle ne risquait pas d'y couper, mais avec ce qu'elle avait appris, elle n'était pas franchement à l'aise non plus.

Lorsqu'elle arriva sur les lieux, elle su tout de suite que la jeune femme avait un certain fétichisme... D'une part, son uniforme ne devait sans doute pas être aux normes, avec sa jupe très courte et le trou en forme de cœur au niveau de la poitrine et, d'autre part, il y'avait ses oreilles de lapin en serre-tête.

- Ah, tu es la nouvelle élève. Kobayashi, c'est ça ? Je t'en prie, assieds toi, je vais chercher ce qu'il faut.

Légèrement nerveuse, elle s'assit sur le lit et la jeune femme revint très vite, avant de commencer à examiner son corps, restant malgré tout très professionnelle. Au fil des minutes, Ayumi se détendit un peu plus, se disant qu'il était sans doute inutile de s'inquiéter plus que cela, jusqu'à ce que l'infirmière lui demande plus ou moins de se déshabiller. Rosissant légèrement, elle s’exécuta et se leva, se déshabillant devant la femme, ne conservant que ses sous-vêtements. Toutefois, toujours mal à l'aise, elle demanda malgré tout.

- Est-ce que... je dois aussi dégrafer... mon soutien-gorge ?

Après tout, elle avait parlée de mesurer son tour de poitrine, donc elle devrait sans doute le retirer aussi, sauf si elle pouvait le faire malgré le tissu... Mais vu comment sa poitrine semblait comprimée dedans, il y'avait sans doute peu de chance qu'elle le conserve très longtemps...

Shiro s'attend à voir de la gêne, peut-être même un peu de protestation, sur le visage d'Ayumi. Mais au lieu de ça, la lycéenne rougit à peine et se déshabille tout naturellement, comme si elle était seule dans sa chambre, ne gardant que ses sous-vêtements. Encore plus fort, elle demande si elle doit dégrafer son soutien-gorge, sans doute qu'elle craignait de fausser les mesures. Amusée, l'infirmière décide de la suivre dans cette direction, et utilise sa voix d'E.S.P.er.

« Eh bien... c'est vrai que ta poitrine me semble drôlement comprimée. Ça pourrait fausser les mesures. Mais je ne peux pas te demander ce genre de choses si tu n'en a pas envie. A toi de voir ce que tu préfères. »

Shiro attrape son ruban de mesures et commence à prendre les chiffres. Pour commencer, la taille.

« 159 cm. Dans la moyenne. »

Puis vient la mesure du bonnet de soutien-gorge, qui se fait en deux étapes : d'abord, la mesure du tour de dessous de poitrine...

« 67 cm, je note. »

…et ensuite, le tour de poitrine sur les seins. Pour cette partie, l'infirmière prend soin d'appuyer sur le ruban pour comprimer les tétons de sa patiente, et ainsi la faire légèrement couiner. C'est un geste qui a l'air bien innocent, mais son but est tout autre.

« 85 cm. Ca veut dire que tu fais du... »

La jeune femme marque une pose quand elle se rend compte de l'horrible vérité.

« 85E. C'est... stupéfiant. »

Cette fille a une plus grosse poitrine qu'elle ! Depuis qu'elle travaille en tant qu'infirmière au lycée Mishima, c'est la première fois qu'elle rencontre une patiente avec une plastique mammaire plus imposante que la sienne. Et cette découverte l'a quelque peu secouée.

Ok... Là, je suis surprise. Et je ne pensais pas que ça pouvait encore arriver...

Depuis qu'elle avait fait la rencontre de Tessia, qu'un nouveau monde plein de démons, de vampires, de sorciers et autres êtres fantastiques s'était ouvert à elle, elle ne pensait plus pouvoir être étonnée par quoi que ce soit. Et voilà qu'une jeune fille de seize ans avec de plus beaux atouts que les siens débarque dans son infirmerie. A présent, la convaincre de faire l'amour avec elle n'est plus seulement une question d'envie, c'est un défi à relever. Et elle a déjà une bonne idée de comment elle va s'y prendre. Mais d'abord, il faut qu'elle termine la prise de mesures.

Shiro se met à genoux devant le fessier d'Ayumi, léger et ferme, comme elle l'avait supposé. Le genre de cul qu'il est très plaisant de palper ou de fesser.

Patience ma grande, patience... Ça viendra...

L'infirmière fait passe le ruban autour des hanches de sa patiente.

« 75 cm. Une vraie taille de guêpe.
Ne te rhabille pas tout de suite, il reste encore deux tests à passer. »

Shiro va ranger son matériel de mesure pour prendre son marteau médical, un outil utilisé pour les tests de réflexes. Une fois à nouveau à sa place, elle procède aux tests tout en passant délicatement et en finesse une main dans le dos dénudé d'Ayumi, pour faire naître la chair de poule sur son corps et l'entendre soupirer. C'est dans cet état qu'elle est plus réceptive aux paroles magiques de l'infirmière.

« Si je peux me permettre Ayumi... tu as un corps vraiment délicieux. Je parie que tous les garçons du lycée vont se jeter à tes pieds. A moins bien sûr qu'il n'y ait déjà un chanceux dans ta vie ? Ou bien une chanceuse ? Je sais que ça ne me regarde pas, mais si tu as envie d'en parler... »

Récolter des infos, gagner sa confiance, et la faire sombrer lentement dans la luxure... Voilà la méthode de Shiro !

- Eh bien... c'est vrai que ta poitrine me semble drôlement comprimée. Ça pourrait fausser les mesures. Mais je ne peux pas te demander ce genre de choses si tu n'en a pas envie. A toi de voir ce que tu préfères.

Pour toute réponse, Ayumi se contenta d'hausser les épaules et de dégrafer son soutien-gorge, qui tomba à ses pieds. Lorsque sa poitrine fut enfin libérée, la lycéenne soupira de soulagement, retrouvant un souffle normal. Elle n'était nullement gênée de la situation, en ce sens qu'elle était avec une femme. Si elle avait été avec un homme, oui, elle n'aurait pas osée aller aussi loin. La femme commença alors à prendre ses mesures, jusqu'au moment de s'attaquer à ses seins. Lorsque le mettre ruban entra en contact avec ses tétons, elle eu un léger frisson. Celui-ci fut toutefois suffisant pour ériger ces derniers et les rendre durs, ses zones érogènes étant particulièrement sensibles. Ce fut le seul moment un peu embarrassant pour elle.

- 85 cm. Ca veut dire que tu fais du... 85E. C'est... stupéfiant.

- Pfff... Ils ont encore grossit...

Ayumi avait soupirée, avec un air désabusé. En l'espace d'une année, elle avait pratiquement gagnée un bonnet. Et dire qu'elle était encore en pleine croissance... Elle espérait quand même que sa poitrine cesse un jour de grossir, sinon elle risquait de ne même plus pouvoir se déplacer convenablement. L'infirmière continua encore ses examens, testant ses réflexes. Elle termina par un geste étrange en bas du dos qui la fit frissonner de nouveau, sans qu'elle parvienne vraiment à en déterminer la raison.

- Si je peux me permettre Ayumi... tu as un corps vraiment délicieux. Je parie que tous les garçons du lycée vont se jeter à tes pieds. A moins bien sûr qu'il n'y ait déjà un chanceux dans ta vie ? Ou bien une chanceuse ? Je sais que ça ne me regarde pas, mais si tu as envie d'en parler...

Cette fois ci, elle rosie légèrement à la remarque de l'infirmière, qu'elle jugea déplacée. Avant de répondre, elle croisa les mains au niveau du ventre, détournant légèrement le regard.

- Ce... Cela ne vous regarde pas Sensei... Mais bon, de toute façon, je suis célibataire... Ce genre de chose... ça ne m’intéresse pas vraiment...

En vérité, elle avait déjà eu plusieurs relations sexuelles avec son Magister. Mais comme les mages n'étaient pas censés exister aux yeux des gens normaux, elle faisait comme si elle n'était pas intéressée par la chose. Néanmoins, en son fort intérieur, elle devait bien avouée que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu de rapport sexuel et, avec les frissons qu'avait provoquée Shiro, son corps réagissait en conséquence. De fait, ses tétons étaient désormais durs et sa liqueur d'amour avait commencée à tacher sa culotte de quelques goûtes. Toutefois, tant que l'infirmière n'y allait pas franco, Ayumi pouvait encore se sortir de cette situation ô combien gênante.

Ayumi ne veut pas trop parler de sa vie sentimentale, mais elle avoue quand même être célibataire et ne pas s'intéresser aux choses de l'amour. Pourtant, Shiro ne la croit pas. Depuis le temps qu'elle est infirmière dans ce lycée, elle a appris à repérer les signes d'excitation sexuelle, même les moins visibles, et à discerner une simple réaction corporelle d'un vrai désir. Il est donc évident pour elle que cette jeune fille lui ment, qu'elle sait ce que c'est que d'être excitée, et qu'elle commence à l'être en ce moment. Du coup, face à l'évidente envie de sa patiente de lui mentir, l'infirmière décide de tenter une approche plus discrète, en continuant de caresser son dos.

« Je vois. Dommage, je suis sûre que tu ferais le bonheur d'une autre personne. Du moins, ce n'est que mon avis. »

En tout cas, la jeune femme se fera une joie de mettre cette beauté et sa superbe poitrine dans son lit dès qu'elle aura réussi à trouver un moyen de l'attirer vers elle.

Shiro continue le test des réflexes, en glissant discrètement des mots doux et des caresses à sa patiente pour l'inciter à se détendre. Le corps de la jeune fille réagit positivement à ce ''traitement'', et l'infirmière sent bien vite qu'elle peut passer à l'action grâce à ses pouvoirs.

« Dis moi Ayumi... si tu n'es pas intéressée par ''ce genre de choses'' comme tu dis... »

La jeune femme pose sa main sur l'un des seins de sa patiente.

« … alors pourquoi est ce que tes tétons sont si durs ? »

Progressivement, sa main glisse le long de son corps délicieux, jusqu'à atteindre sa culotte, qu'elle sent déjà mouillée.

« Et pourquoi est ce que ton jus d'amour coule dans ta culotte ? »

Shiro approche sa bouche de l'oreille d'Ayumi pour lui donner le coup de grâce.

« Tu es sûre que tu n'as pas quelque chose à me dire ? »