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La Guerre des Symbiotes [Venom]

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Félicia Hardy

Humain(e)

La Guerre des Symbiotes [Venom]

vendredi 01 avril 2016, 12:57:06

Irak
Avant


« Ouais, c’est eux… Felicity et Gene. C’est pour eux que je me bats, tu sais, que j’ai décidé de m’engager. »

Le long de la Jeep, les deux soldats discutaient entre eux, et l’homme rangea, dans son armure, la photographie froissée de ses deux filles, en train de jouer dans le jardin de sa maison de banlieue.

« C’est une guerre perdue d’avance, se confia alors le soldat. Le Président l’a annoncé ; le retrait des troupes commence. »

Il regarda silencieusement par la fenêtre, avisant les landes désertiques. Le sable du désert… Une poussière dans laquelle il pataugeait depuis des mois. L’homme n’avait pas fait ça par sens du devoir, ou par patriotisme aigu envers son patrie. Non… En réalité, il lui suffisait de fermer les yeux pour savoir ce qu’il était. Un ancien quaterback turbulent, qui prenait plaisir à harceler et à brutaliser les autres adolescents du lycée, noyant sa jalousie de ne pas être intelligent comme eux derrière ses poings et ses muscles. Il avait toujours été un idiot, il l’avait été en perdant, peu à peu, toutes les femmes qui comptaient pour lui… Gwen, dont il n’avait jamais pu oublier le décès, Mary Jane, Sha Shan… Et Félicia Hardy.

Il voulait léguer à ses filles autre chose que le spectacle désabusé d’un professeur de sport passant ses journées à siffler, il voulait… Il voulait qu’elles soient autant inspirées par lui que lui l’avait été face à Spider-Man. En repensant à lui, il se disait que c’était grâce à lui, à ce que l’Homme-Araignée symbolisait, qu’il avait été aussi loin. Dieu, il s’était même engagé ! Gene et Felicity étaient gardées par sa sœur pendant qu’il se prouvait à lui-même qu’il valait mieux que ce que son père avait fait de lui.

C’est ainsi qu’il se trouvait dans une Jeep, au sein d’un petit convoi militaire qui retournait vers la caserne. Un trajet normal, déjà fait à de nombreuses reprises…

Lorsque les missiles plurent, et que les balles fusèrent

C’est ce jour-là que Flash Thompson perdit ses jambes.



Seikusu
Maintenant


La ville était plongée dans l’obscurité, ce qui permettait à la solitaire silhouette de se déplacer bien plus facilement. Sa vie était actuellement en grand changement. Félicia avait décidé de quitter le studio miteux dans lequel elle vivait, et venait d’acheter une grande et immense suite, véritable penthouse, qui se tenait au cœur de la ville, au sommet d’un gratte-ciel. Un investissement inconsidéré, très largement au-dessus de ses moyens, pour lequel elle avait contracté un prêt. Heureusement qu’elle était une voleuse, mais, depuis quelques jours, la Chatte Noire ne volait plus grand-chose.

Car ce changement de domicile n’était pas le seul changement dans sa vie. Un autre était arrivé, toquant à sa porte, et l’avait changé dans les profondeurs. Plus agile et rapide que jamais, la jeune femme se perdit au sein du Quartier de la Toussaint, et rejoignit une ancienne station de métro abandonnée. Une station insalubre, qui avait été remplacée par une autre, mais on pouvait encore y accéder. Il y avait généralement des tags, des capotes usagées, ou des toxicomanes, voire des squatteurs ou des clochards. L’envers de Seikusu, cette grande ville où pauvreté et richesse se côtoyaient à quelques kilomètres d’écart.

Nulle proie intéressante ici, et elle avançait le long des couloirs abandonnés, jusqu’à rejoindre l’ancien quai de tram, reconvertie en dortoir, avec des tentes, des couchettes, des barils vides permettant de faire quelques flammes. Elle évitait de se mélanger à cette fange grouillante. Pour rejoindre la zone, Félicia aurait pu prendre un autre endroit, mais celui-ci présentait l’avantage d’être direct.

S’agrippant au plafond, elle rejoignit le rail, et le remonta. Il y a des années, un arrêté municipal avait interdit l’exploitation de cette ligne. Les rails étaient rongés par le temps, et menaçaient de se rompre à cause des secousses et des vibrations engendrées par les trains circulant dessus.

Elle se laissa descendre près d’une porte de maintenance. La serrure avait été arrachée, et la femme l’ouvrit, puis s’avança dans un ancien couloir, faisant fuir quelques rats. Adoptant une démarche naturellement sensuelle, la créature s’avança encore, jusqu’à descendre des escaliers en fer, rouillés, qui l’amenèrent près d’une crevasse. Une fissure suffisamment grande pour la laisser passer.

Félicia passa à travers, et atterrit dans un décor plus naturel. À l’époque, quand la municipalité avait réalisé qu’il y avait tout un réseau de grottes et de cavernes sous Seikusu, on avait, à fort juste titre, décidé de construire un métro. Mais beaucoup de grottes étaient encore accessibles, comme celle-ci.

La Chatte Noire se mit à sourire en sentant une odeur qu’elle reconnaissait bien. Il était .

Elle délaissa le couloir pour rejoindre le cœur de la grotte, qui commençait à être aménagé. Il y avait quelques bougies, des tables, et des lits, que Félicia avait volé. Elle était maintenant dans la forêt entourant Seikusu, et sourit devant Venom.

« Bonsoir, Venom… Navrée de ne venir que si tardivement malgré ton appel, je ne souhaite pas attirer les soupçons du SHIELD sur le cadeau que tu m’as offert, mon aimé… »

Ce soir, Félicia portait en effet son symbiote, ce qui lui donnait un look assez atypique… Et, devant elle, Venom était là.

En conséquence, Félicia se mit à frissonner.
« Modifié: vendredi 01 juillet 2016, 11:36:02 par Félicia Hardy »

DC d’Alice Korvander.

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Venom

Créature

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 1 vendredi 01 juillet 2016, 03:50:45

Les bras croisés et adossé à un pan de mur plongé dans l'ombre, Venom jaugeait Félicia avec appréhension. Il la regardait lentement de haut en bas, contemplant une fois encore  sa "renaissance",  n'arrivant toujours pas à s'y faire totalement. Etrangement, il accusait plus le coup que Felicia elle même qui semblait avoir presque toujours vécue ainsi et semblait jouer avec son symbiote comme un chat avec une pelotte de laine. Il soupira intérieurement, songeant que d'ici quelques semaines, si la situation avec la Chatte Noire continuait ainsi, cette appréhension serait partie. Il faut dire qu'elle n'y allait pas de main morte, elle qui semblait si indépendante s'était rapidement rapprocher de Venom au point de s'en amouraché, certes elle gardait son autonomie mais ils avaient tissé un lien unique qu'il n'aurait pas imaginé avec une telle personnalité.

"Ce n'est pas grave, maintenant que tu es là c'est l'essentiel."

Il se redressa et s'avança en direction du mobilier qu' elle avait dérobé, s'il avait fallu quoi que ce soit pour se rendre compte que Félicia avait changé alors il suffisait juste de regarder l'allure de son butin. Des lits, des chaises, des tables, quelques fauteuils... on était loin des diamants, rubis, perles ou autres pierres précieuses qu'elle subtilisait habituellement. L'avantage au moins c'était qu'aucun super héros ne s'imiscerait dans ce type de vols, pour les objets de valeurs pourquoi pas mais pour un voleur d'objet aussi commun... Pourtant ces derniers étaient capitaux pour installer ce qui allait être le début d'une chambre d'incubation.

"Je me suis chargé d'aller prendre les chaines et les menottes tout à l'heure, elles sont à côté. Tout va être en place pour que nous puissions faire un essai... Pourquoi ne pas fêter ça en allant te prendre un nouveau collier dans une bijouterie? Nous ramènerons de quoi faire le test en revenant."

Sans attendre la réponse à une question qu'il considérait de toute façon comme rhétorique il se glissa en dehors de leur repaire et déboucha après quelques biffurcations à l'extérieur de la ligne désafectée. Quelques jets de toiles et immeubles plus tard, descendant des toits de Seikusu il finit par atterir dans une ruelle du centre ville où seul la lune l'éclairait, l'unique lampadaire ayant rendu l'âme. Au bout de la rue, le Quartier de la Toussaint, l'un des plus animés de la ville était en effervescence. Les nombreux passants affluaient dans ces rues colorées par les enseignes des boutiques et des boites de nuit, profitant de ce début de Week End pour sortir manger, boire et faire la fête. Une certaine légèreté flottait dans l'air, aux couleurs festives s'ajoutait des odeurs alléchantes et des éclats de rires, un bourdonnement massif de discussion, des musiques diffusées à l'entrée de chaque établissement... un vacarme de fête comme il est d'usage à une heure aussi festive dans ce type de quartier.

La nuit débutait à peine et ici, la nuit durait très longtemps. C'était un quartier que Venom appréciait particulièrement, lui qui avait toujours été une créature nocturne, il lui arrivait de passer des soirées entière dans ces lieux où il pouvait se détendre, que cela soit dans un club de strip tease, un bar ou un restaurant. Inspirant l'air frais de la nuit il afficha un large sourire, il était tôt et le projet qu'ils avaient se passait au mieux. Ce soir, il avait envie de s'amuser. Grâce à ses pouvoirs de métamorphe il changea d'apparence, adoptant un costume classique mais élégant à chemise blanche, veste noire et chaussure en cuir. Il hésita un instant, s'apprétant à changer une nouvelle fois pour quelque chose de plus détendu mais se contenta simplement d'ouvrir quelques boutons sur sa chemise. Il se retourna vers Félicia et lui déclara.

"Avant d'aller visiter une bijouterie... Profitons de cette soirée ensemble, ce projet que nous avons... Il me donne terriblement envie de m'amuser ce soir. Partante?"

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 2 vendredi 01 juillet 2016, 12:57:25

Il y a de cela quelques années, quand elle vivait à New York, Félicia avait connu les symbiotes extraterrestres par l’intermédiaire de Peter. Spider-Man avait, suite à une aventure cosmique l’ayant amené, en compagnie d’autres super-héros, à servir de gladiateurs pour les amusements du Beyonder, récupéré un symbiote extraterrestre qui s’était greffé sur son corps, améliorant sensiblement ses capacités. Cet évènement avait été l’occasion de se rapprocher entre lui et Félicia, car, sous le symbiote, les inhibitions de Peter, sa timidité, disparaissaient. Une époque assez confuse pour l’Homme-Araignée, qui s’était retrouvée dans une situation ubuesque, ressentant de l’attirance pour Mary Jane en tant que Peter Parker, mais de l’attirance pour la Chatte Noire en tant que Spider-Man. Une époque difficile pour les deux, car, à ce moment, Félicia était encore auréolée d’amour et d’idolâtrie envers Spider-Man, et Peter, en lui-même, ne l’attirait guère. C’était le super-héros qu’elle aimait, pour le sentiment de confort qu’il lui apportait, et pas l’homme. Au-delà de ça, on pouvait tout à fait raccrocher cette notion à l’évènement traumatisant que Félicia avait vécu quand elle était étudiante, et où elle avait été violée par un étudiant, sur le campus de l’ESU. Un psychologue aurait donc pu dire que sa manière d’aimer Spider-Man, de l’adorer, même, et d’être horrifiée part Peter, était comme une sorte de reflux inconscient de ce viol lointain… Mais là n’était pas la question. Le fait est que l’époque où Spider-Man avait été recouvert du symbiote était la meilleure période de leur relation, car il s’était montré nettement plus libre, et avait même, pendant un temps, décidé de n’être que Spider-Man, limitant Peter Parker à quelques rares interactions. Félicia avait nagé dans un bonheur vicié, comme si elle mangeait une pomme au goût rance, avec un ver dedans qui remuerait pour l’empoisonner.

Toujours est-il qu’il existait, encore, chez Félicia, une part nostalgique, que le symbiote en elle avait su exploiter. Elle n’avait encore jamais été « possédée » par un symbiote, mais, pour l’heure, depuis qu’elle le portait, la Chatte Noire se sentait tout simplement renaître. Encore plus sensuelle qu’auparavant, elle était aussi encore plus aventureuse, plus piquante, plus provocatrice, tout en faisant preuve, à l’égard de Venom, d’une soumission impressionnante. Elle l’aimait… Ou, du moins, elle pensait l’aimer. Le symbiote jouait avec ses sécrétions d’endorphines et de dopamine pour stimuler et amplifier chez elle le désir et l’affection qu’elle ressentait envers Venom, mais tout ça, fondamentalement, était fictif.

Pour l’heure, néanmoins, les deux tourtereaux volaient dans les airs, avec cette envie de copuler, et, surtout, de procréer. Copuler, ils le faisaient déjà lourdement, mais, à force de baiser, ils avaient envie (surtout Félicia) d’avoir un enfant. Le fait est qu’elle était très fertile, et que le symbiote, en jouant avec ses hormones, avait aussi déclenché, en elle, sa fibre maternelle. Mais, avant ça, il fallait tout de même trouver un endroit convenable. Félicia avait résilié son bail, et avait une bonne nouvelle à glisser à Venom ce soir.

Le duo se posait sur un toit, près d’un quartier animé, composé en grande partie de rues piétonnes, avec des boutiques qui ouvraient longtemps. Eddie prit une apparence normale, chemise déboutonnée, et Félicia se posa à côté de lui, dans sa combinaison, repensant fugacement à toutes les fois où il l’avait baisé dans leur grotte, pendant des heures et des heures… Et, de ça, elle ne s’était jamais lassée.

« Je suis toujours partante avec toi, Eddie… »

Félicia l’embrassa sur les lèvres, pressant son corps contre le sien, ses seins heurtant son torse, sa main caressant ses cheveux. Elle l’embrassa joyeusement, avant de rompre le baiser, non sans lui adresser un léger sourire mielleux.

« Néanmoins… Il faut que tu saches que j’ai fait commencer les travaux pour mon nouvel appartement. Nous pourrons bientôt loger dedans, ce sera mieux que cette grotte puante. »

Le goût de la luxure, chez Félicia, avait été amplifié encore par le symbiote, ce qui expliquait pourquoi elle avait mis fin à son contrat, et avait acheté un grand appartement, situé dans les hauteurs d’un gratte-ciel de la ville, un penthouse vaste, qu’elle modernisait de manière high-tech. Il y avait ainsi des factures considérables à payer, et un prêt immobilier à honorer, ce qu’elle faisait en commettant de nombreux vols.

Après son bref baiser, Félicia se mit sur le rebord du toit, sa fine silhouette, athlétique et élégante, se découpant le long de son costume, tandis qu’elle observait les gens en contrebas.

« Qu’est-ce que tu veux que nous fassions, mon amour ? » demanda-t-elle finalement.

DC d’Alice Korvander.

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Venom

Créature

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 3 mardi 12 juillet 2016, 04:21:32

Captivé par l'animation en contrebas, Eddie ne prit pas la peine de relever la remarque de Félicia à propos de son nouvel appartement. Sans doute un peu parce qu'il s'en fichait mais également en partie car il ne savait pas à quoi elle s'attendait en lui disant cela. Peut être s'attendait elle à ce qu'il saute de joie de vivre dans un luxueux appartement plutôt que dans cette grotte insalubre? A moins qu'elle ne soit anxieuse à l'idée qu'il ne lui réponde qu'ils devraient commettre encore plus de vols pour financer une dépense inutile? Il ne ressentait rien de tout cela et se contenta alors simplement de hocher la tête.  Ce maigre hochement de tête en disait long, pour Eddie, vivre dans une grotte puante ou dans un luxueux appartement ne changeait rien, il déménageai, rien de plus . Depuis tout ce temps où le symbiote et lui avait fusionné il aurait pu finalement décidé  de se ranger, oublier sa vengeance et avec la force du symbiote et son don de métamorphe mener la grande vie, coucher tout les soirs dans des palaces, voyager au bout du monde, avoir des milliers de femmes à ses pieds, dépenser plus en un soir que n'importe qui ne gagnerait jamais en une vie...
Tout cela ne l'intéressait pas, bloquer dans le passé il souhaitait juste détruire celui qui avait ruinée sa précédente existence : Spider-Man. Une fois cela fait, peut être se disait il pourrait il tourner la page, ne plus avoir ce goût amer au quotidien et profiter de sa nouvelle existence. Dire qu'il était obsédé par cela aurait été un faible mot, il était possédé, dominé par cette passion destructrice et il vouait son existence à sa réalisation. Chaque défaite qu'il infligeait à Spider-Man lui prodiguait une jouissance absolue, ainsi lorsqu'il soumit la première fois Félicia dans son propre appartement il prenait un plaisir intense non seulement à la baiser mais également à prendre quelque chose au Tisseur, comme ce dernier avait prit sa vie. Pour cette raison, il se fichait de vivre dans un appartement ou dans les bois, simplement car il ne pouvait pas en profiter pleinement et que pour l'instant, du moment qu'il pouvait nuire à Spidey, il se fichait du reste.

Cependant, lors de rares journées, certaines choses réussissaient suffisament à capter son attention ou alors à éteindre un peu la rancoeur qui le tenaillait pour qu'il décide de s'amuser. L'ambiance qui régnait dans les rues semblaient pouvoir être ce "quelque chose".

"D'abord on baise sur ce toit, ensuite on s'amuse en bas toute la nuit et enfin on ramène ce dont on a besoin  à la grotte. Cela me semble être un planning parfait pour cette soirée."

Depuis que Félicia était venue à lui, ce dernier en avait profiter pour assouvir chacunes des pulsions qui le traversait, et sur tout le temps qu'ils avaient passé ensemble une bonne grosse moitiée s'était déroulée à l'horizontale. Ce soir ne ferait pas exception à la règle, remettant à plus tard sa mission qui était de capturer un hôte viable pour leur progéniture, il avait décidé dans un premier temps d'aller manger et jouer avant que, grâce au baiser langoureux de Félicia, sa libido ne l'interpelle.

Toujours avec sa forme humaine, il aggripa la Chatte Noire par les hanches et l'embrassa sauvagement, la dévorant presque comme à son habitude. Dans ces moments là il se fichait des raisons qui avaient poussé Félicia à amouraché de lui, il se contenait de prendre ce qui lui était offert et de profiter d'une partenaire à la fois sublime et soumise. Pendant qu'il l'embrassait ses mains palpaient lentement son corps, de ses fesses à ses seins, il pouvait sentir que malgré la perfection inhérente à la plastique de la Chatte Noire, le symbiote avait tout de même choisit d'accroitre les atouts naturels de Félicia. 

"Pourquoi ne pas choisir un vêtement plus seyant et moins habillé pour ce que nous allons faire? Je suis certain que tu as des tenues plus...appétissantes que celle là."

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 4 lundi 18 juillet 2016, 10:34:06

Voir une Félicia aussi soumise était un spectacle rare. Le symbiote en elle la pervertissait, tout comme il avait jadis perverti Peter, en faisant ressortir ses inhibitions, le rendant violent, dominateur, jaloux et agressif. À l’époque, Félicia avait adoré ça, car Peter avait préféré être Spider-Man, plutôt que Peter Parker. Mais, derrière tout ça, il y avait juste son chagrin, car il avait récemment perdu Gwen, le premier grand amour de sa vie. Félicia, elle, malgré tout son côté sensuel, savait qu’elle n’avait jamais été le second amour de Peter, tout juste une étape intermédiaire entre Gwen et Mary Jane, une femme dont la relation avait été nécessaire pour permettre à Peter de comprendre qu’il ne fallait pas vivre à travers Spider-Man, et que le Tisseur n’était pas une entité différente de lui. Et le symbiote, en elle, jouait sur ça, sur ses frustrations passées, pour la soumettre à Eddie.

Comme elle s’y attendait, Venom se désintéressait totalement de l’appartement luxueux que Félicia avait acheté. Pour lui, ça n’avait aucune importance. Le symbiote en lui voulait se venger de Peter pour avoir osé l’abandonner, et Eddie parce que, fondamentalement, il était jaloux de Peter, et trop lâche pour admettre qu’il était responsable de sa propre chute. Le destin d’Eddie était tragique, car, atteint d’un cancer, il avait besoin du symbiote pour survivre, mais, en même temps, le symbiote était en train de le détruire, à tel point que, face à une fille aussi sexy que Félicia, et aussi désireuse de le servir, et de porter ses enfants, il ne pensait encore qu’à se venger de son vieil ennemi.

Après quelques hésitations, il annonça donc qu’ils allaient faire l’amour ici, ce qui ne manqua pas d’exciter Félicia. Pour la contrôler, le symbiote jouait avec ces molécules du désir et du plaisir, la dopamine et les endorphines. Il en manipulait le taux et la production, afin de faire croître le désir de Félicia envers Venom, et ainsi la rendre docile. Elle aurait pu protester en lui disant que l’appartement serait mieux, mais elle n’en fit rien, et ressentit une pointe d’excitation quand il se rapprocha d’elle, et caressa son corps. Sa grosse bouche se pressa contre la sienne. Félicia pouvait, elle aussi, prendre une apparence pleinement symbiotique, mais Eddie ne voulait pas. Il voulait qu’elle conserve son visage de poupée, et elle soupira contre ses puissantes lèvres, avant de sentir sa langue énorme s’enfoncer en elle, aussi grosse que si une queue venait de s’enfoncer en elle. Une langue baveuse, qui répandit sa salive en elle, la faisant trembler sur place. Ils baisaient ensemble comme s’ils voulaient repeupler une Nation sinistrée, mais, même malgré ça, Félicia n’arrivait pas à se lasser de sa présence.

« Hmmm… »

Elle sentait les mains puissantes et fermes de Venom parcourir son corps, glisser le long de son dos, sur ses reins, pour palper ses fesses, l’homme lui demandant alors (ou lui enjoignant) de changer de tenue. Avec le symbiote, Félicia pouvait adopter la forme qu’elle voulait, et elle se mit donc à réfléchir.

Puis, au bout de quelques secondes, elle lui sourit, et embrassa son torse, mordillant même sa peau symbiotique.

« Si tu veux, amour… Tes désirs sont des ordres… »

Elle aurait pu remettre sa combinaison de Chatte Noire, que Venom adorait, mais, la combinaison étant encore plus habillée que son apparence symbiotique, elle opta pour autre chose. S’écartant ainsi de Venom, Félicia ferma les yeux, et le symbiote sur son corps évolua, remuant sur place, pour prendre l’apparence d’une robe en cuir particulièrement moulante, avec une longue fermeture Éclair sur le devant, et des bottes noires remontant jusqu’à ses genoux. Félicia se retourna alors, et plia les genoux pendant quelques secondes, moulant ainsi ses fesses avec le cuir de la robe.

« Me baiser comme ça te plaît, mon amour ? N’oublie pas que je veux que tu me prennes bien fort… Comme tu as l’habitude de le faire. »

Restait à savoir si la tenue lui plairait… Même si Félicia n’avait que fort peu de doutes là-dessus.

DC d’Alice Korvander.

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Venom

Créature

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 5 vendredi 29 juillet 2016, 04:00:23

L'une des choses les plus agréables avec Félicia était que, peu importe sa tenue, même vêtue d'un sac à patate couvert de boue, elle gardait une allure divine. Pourtant on aurait facilement pu s'imaginer que sa tenue habituelle, à savoir un costume en cuir et en fourrure aussi moulant que noir et fermé en partie par une fermeture éclair sur le devant . On aurait pu imaginer que c'était ce costume qui la sublimait mais comme le disait le dicton populaire "L'habit ne fait pas le moine" et il fallait l'avoir véritablement admiré totalement nue ou dans un autre costume pour se rendre compte que c'était elle qui exaltait sa tenue et non l'inverse. En l'enjoignant à changer de tenue il savait qu'il ne perdrait pas au change mais plutôt qu'au contraire cela serait un nouveau délice pour les yeux.

Sous le coup de l'excitation il s'était déjà totalement retransformé en la créature symbiotique qu'était Venom et lorsqu'elle accéda à sa requête il poussa quelques glapissements enthousiastes. Il frissonna, des décharges d'adrénalines lui parcourant l'échine alors que la Chatte Noire s'était reculée pour adopter une nouvelle forme qui lui ferait plaisir. Malgré les nombreux vêtements qu'elle avait adoptée lors de leurs ébats, Venom avait une préférence incontestable pour la tenue originelle de Félicia qui ne manquait jamais de déclencher chez lui une envie irrépressible de baiser l'héroïne immédiatement contre n'importe quelles paroies solide pendant plusieurs heures. Rien que d'y penser faisait naître en lui une érection aussi puissante que sauvage, érection qui s'accrue lorsqu'il découvrit la tenue que Félicia avait choisit de porter.

"Bien sur que j'ai l'intention de te baiser très fort ma chérie... pendant très longtemps... et au vu de ta tenue j'ai l'impression que je n'en aurais jamais assez et que je pourrais te prendre toute la nuit... En fait c'est  ce que je compte faire te baiser jusqu'à plus soif."

Félicia, en choisissant cette robe, avait mit Venom dans un état d'excitation absolument formidable qui laissait à penser que, comme il l'avait dit lui même, ils allaient baiser pendant un long, très long moment. Quitte à ce que cela commence sur ce toit et que cela se finisse ailleurs. Des vagues d'excitations toujours plus puissantes et plus rapides déferlaient alors qu'il admirait Félicia se dandinner dans cette tenue, puis plier légèrement ses genoux et mettre en valeur son fessier au travers de la robe de cuir. Il se rapprocha alors de Félicia qui était toujours de dos et l'enserra, ses mains palpant sa poitrine à travers le cuir de sa robe tandis que l'engin de Venom se frottait contre les fesses mise en valeur par le cuir de la Chatte Noire.

"J'avais dans un premier temps penser profiter de ta délicieuse bouche mais vu comment ton petit cul m'aguiche je n'en aurais pas la patience, je vais avoir besoin de me lâcher au moins une fois en toi avant... Au moins une mais sans doute plus, bien plus.."

A l'instant où il termina sa phrase, Venom poussa brusquement la Chatte Noire, la renversant contre le rebord de l'immeuble. Ecrasant avec son torse le buste de celle ci contre le rebord l'immeuble tandis que la tête de Félicia basculait dans le vide. D'une main il releva le cuir de la robe pour laisser apparaitre les fesses de la jeune femme , fesses qu'il empoigna plusieurs fois avec contentement avant de se mettre à les claquer fermement.

Totalement satisfait par la fermeté de ce derrière, il ne se perdit pas plus longtemps en "préliminaires" et alla droit au but. Il écarta le postérieur de Félicia, révèlant ainsi dans un premier temps son anus puis plus bas dans un second temps l'objet de sa quête. Il sourit et sans autre forme de procès enfonça sans douceur son membre à l'intérieur de l'intimité de Félicia tout en poussant un long soupir de plaisir.

Rapidement il se mit à faire de rapide va et viens et son membre glissa en elle aisément, son corps s'étant maintenant adapté relativement bien à sa queue démesurée grâce au symbiote et au temps qu'ils avaient passé ensemble. La marge de manoeuvre de Félicia dans cette position était bien maigre puisqu'elle était littéralement "Entre le Marteau et L'Enclume" et ne pouvait donc que subir les assauts violents de la créature qui raclait ses parois en poussant de nombreux glapissements de plaisir. Après quelques minutes comme cela des jets de spermes noirâtres s'échappèrent du membre de Venom qui ne ralentissait pas et au contraire accélérait la cadence, martelant avec son bassin le cul de Félicia comme s'il était totalement possédé par le démon du vice ou le dieu de la procréation.

"Tu peux crier autant que tu veux... Ne te prive surtout pas mon amour. Depuis ce toit ils ne t'entendront pas en bas... Pendant ce temps là je vais continuer à te remplir..."

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 6 vendredi 05 août 2016, 13:29:38

Pour une femme, il était important de savoir renouveler sa garde-robe, et de ne pas toujours se contenter de la même tenue, aussi baisable que vous soyez dedans. C’était une règle élémentaire du fonctionnement de l’être humain : la diversité. Et, si Félicia savait combien sa tenue en cuir était aguichante, elle avait aussi, dans sa garde-robe, de multiples tenues. Cette robe noire en cuir, fournie avec des bottes, en faisait partie, et, grâce au symbiote, et à ses propriétés exceptionnelles, Félicia pouvait la générer sur elle. L’illusion était sublime, car le symbiote rendait la texture de la robe, grâce aux souvenirs de son hôte, et on pouvait même la retirer. Une fois les morceaux de la robe arrachés, ils reprenaient une forme symbiotique, et se réincorporaient dans le corps de l’hôte. Et si, dans un recoin de son âme, Félicia maudissait sa situation, le symbiote contrôlait tout le reste. Elle, si indépendante, si fière de sa liberté, se voyait réduite au rôle de faire-valoir, de vide-couilles pour un homme brutal et sexiste, qui déchaînait sa frustration et sa colère derrière sa cruauté et sa perversion. Elle s’était toujours méfiée de Venom, ce psychopathe prêt à tout pour broyer Peter, a fortiori en s’attaquant à ses proches, et elle était maintenant son amante, incapable de se rebeller, ou d’avoir envie de protester. Le fait est que, loin de vouloir fuir, elle aguichait au contraire l’homme, pliant volontairement les genoux pour mouler davantage son superbe cul dans la robe. Le spectacle devait valoir le détour, excitant Venom.

Elle l’entendit se rapprocher, et frémit à chacune de ses phrases. La baiser toute la nuit, haaa... C’était bien là tout ce qu’elle demandait ! L’homme s’approcha d’elle, et elle sentit les muscles de Venom, ce corps massif et épais, la plaquer contre le rebord. Ses mains se crispèrent sur le parapet, et elle sentit une bouffée d’air frais secouer son visage quand le vent remua dans ses cheveux. Venom était beaucoup de choses à ses yeux, maintenant : un mentor, un père, un amant... Comment ne pas tomber sous son charme ? Elle gémit en sentant ses lourdes et puissantes mains masser ses seins, et gémit en sentant sa longue langue visqueuse lécher son cou, le monstre grognant dans son dos. Ils étaient comme Belle et La Bête, s’unissant ensemble dans une sorte d’attirance préhistorique et ancestrale. La Nature aimait les paradoxes, elle aimait attirer les contraires et les opposés, souvent de la manière la plus improbable qui soit, comme en ce moment.

Tout son corps frétillait contre le puissant corps de l’étalon noir à la peau visqueuse.

« Haaaaa, ouiii... Occupe-toi de mon cul, de tout ce que tu veux... »

Le symbiote de Félicia, qui savait ce que Venom voulait, lubrifiait en permanence le sexe et le fondement de Félicia, de manière à ce que la pénétration en soit facilitée. Eddie souleva alors le bas de sa robe, faisant à nouveau frémir Félicia, qui couina ensuite en sentant plusieurs claques s’abattre sur elle. Il grogna encore, puis, sans plus attendre, la pénétra. Elle sentit la queue de l’homme, énorme et bien juteuse, comme à son habitude, une queue qu’elle connaissait beaucoup, et qui avait déjà caressé tout son corps. Cette queue se perdit en elle, remuant dans son corps. Il l’enfonça à nouveau dans son vagin, et elle gémit, sentant son corps s’arquer vers l’avant, crachant de la salive, qui tomba en contrebas.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Félicia se mit à gémir longuement, sentant son corps heurter le parapet à hauteur de l’estomac, glissant d’avant en arrière. Cette queue était toujours aussi énorme, et, encore une fois, le symbiote, tout en lubrifiant ses parois, s’assurait aussi de les rendre toujours plus serrés, pour que le sexe soit encore plus fort. Le contact était donc saisissant, et, comme à chaque fois, Félicia sentait cette masse de muscles et de chair s’abattre sur elle, écrabouillant son corps. Très rapidement, Venom se mit à jouir, et le symbiote continua à le maintenir dur, encore et encore, faisant gémir la Chatte Noire.

Cette dernière soupirait donc, encore et encore, hurlant de joie, sa mouille glissant le long de sa verge. Elle aussi, elle ne tarda pas à jouir, se vidant contre le phallus de son amant, convaincu, elle aussi, que personne ne viendrait les surprendre, si ce n’est quelques voisins heureux de l’autre côté de la rue, et sa salive continuait à tomber sur la rue...



...Et l’une des gouttes de salive tomba sur l’extrémité d’une casquette, une casquette bleue foncée arborant fièrement le « B » rouge du logo des Red Sox. L’homme se tenait là, mains enfoncées dans une veste, et releva lentement la tête, sentant d’autres gouttes tomber sur son front. Un léger sourire vicieux éclaira ses lèvres, tandis que sa vision acérée lui permettait de voir le spectacle ayant lieu en-hauteur.

« Hum... Il semblerait que tu aies oublié les préceptes de notre petite famille, mon bon Eddie... »

Le symbiote était rangé dans son corps, ce qui faisait qu’il était impossible de sentir la présence de Cletus Kasady. En effet, un symbiote pouvait sentir la proximité d’un autre, et lui en avait senti plusieurs dans la ville. Il avait reconnu Venom, mais il y en avait aussi d’autres.

« Il va encore falloir que je fasse le ménage derrière toi... »

Les symbiotes n’aimaient pas se reproduire. Quand Carnage avait eu un fils, Toxin, lui et Venom s’étaient alliés pour tenter de le tuer. Et là, Venom venait de faire cette erreur, pour une stupide pimbêche que Carnage connaissait. Des retrouvailles de famille... Voilà qui allait lui plaire. Rangeant son sourire, et rabaissant sa tête, il fila à nouveau dans la masse, silhouette indiscernable parmi d’autres, mais non moins meurtrière...

DC d’Alice Korvander.

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Venom

Créature

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 7 mercredi 28 septembre 2016, 17:39:16

Bien qu'il eu déverser une quantité impressionnante de sperme dans l'intimité de Félicia, Venom continuait à bourrer celle ci comme un possédé. Maintenant qu'elle était devenu une de ses semblables il n'avait plus à se préoccuper de savoir si son corps allait pouvoir résister ou combien de temps elle pourrait le faire sans subir des dommages irréversibles. Bien qu'au final il ne s'en soit jamais vraiment préoccuper et que la première fois la jeune femme avait dû son salut plus à son corps supérieurement résistant qu'a la bonté du symbiote. Elle avait depuis sa transformation prouvée lors de divers jeux sexuels qu'elle tiendrait parfaitement le coup, peu importe les traitements pervers qu'il lui imposerait. Avalé par l'excitation, il négligea la légère sensation semblable à une piqûre qui l'aurait informé qu'un danger aurait pû se trouver non loin d'eux. Jouant quelque peu avec lui en dépit de la lubrification "sauvage" qui avait eu lieu plusieurs secondes auparavant, le symbiote de Félicia s'arrangeait pour que les parois de cette dernière demeure aussi étroite et agréable à chaque pénétration. Posant l'une de de ses énormes main noire sur le dos de la belle, il l'immobilis à nouveau ainsi de manière encore plus forte que la dernière fois, ralentissant le rythme mais augmentant la puissance et la profondeur des accoups, forçant Félicia à continuer de saliver au dessus des passants ignorant, pour la majorité, ce qui se tramait au dessus d'eux.

"Maginfique... Continue comme ça ! Tu es tellement..."

La fin de sa phrase de perdit entre les cris de Félicia et les glapissements enjoués de Venom qui  pouvait sentir à chaque poussée la dilatation des parois de la Chatte Noire alors qu'il enfouissait son énorme membre et le cognement lorsqu'il arrivait contre son utérus, sa queue crachant de temps à autre un peu de liquide noir qui remplissait la cavité de la voleuse. Pendant plusieurs longues minutes il continua ainsi avant de doucement ralentir avant de s'arrêter et de cesser de la maintenir comme il le faisait.

"C'était parfait... Je ne me lasserais jamais de ton cul ou de cette expression sur ton visage... Maintenant que je suis un peu plus calme... Si tu me faisais profiter de tes deux énormes atouts qui te valent ta renommée? A moins que tu ne préfères m'impressioner avec ton agilité et ta souplesse légendaire?"

Maintenant qu'il avait reprit un certain controle après avoir évacué une partie de l'énorme désir qui le subjuguait, Venom avait envie de voir Félicia en action rien que pour lui. Pouvoir profiter du corps de la Chatte Noire était une chose, chose dont rêvait au moins la moitié de la population terrestre mais pouvoir profiter de la Chatte Noire se mettant aux petits soins pour vous, c'est une chose dont n'importe qui sur Terre fantasmerait sans retenue. Et bien qu'il puisse la prendre quand il voulait et où il voulait, il n'atteignait le 7eme ciel que lorsqu'elle se mettait à l'aguicher et à l'exciter d'une façon tellement forte qu'il ne pouvait se retenir de la prendre encore et encore. Un peu comme elle venait de le faire en enfilant cette robe... mais en beaucoup, beaucoup plus fort.

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 8 jeudi 29 septembre 2016, 17:40:42

Venom était un amant terrifiant, entreprenant, puissant, magnifique. La manière dont il la prenait était tout simplement exceptionnelle, et Félicia vibrait à chacun de ses coups de reins. C’était un véritable monstre, qui la défonçait bien joyeusement, et il était incroyable que personne, en contrebas, n’entende ses cris. Venom était terrible, et la poussa sans problème jusqu’à un magnifique orgasme, la laissant toute pantoise. Papillonnant des yeux, elle soupirait profondément, avant de se retourner, et d’entendre ce dernier lui dire qu’il voulait la voir à l’œuvre. Un ordre bien mystérieux, par son imprécision, mais elle sourit, et commença par fermer les yeux, reprenant rapidement son apparence symbiotique, avec un costume noir particulièrement moulant, mettant en valeur chacune de ses formes, le tout en étant ouvert en de multiples endroits, permettant ainsi de stimuler l’imagination.

Elle lui sourit donc, se rapprochant un peu de lui.

« Mes deux énormes atouts ? reprit-elle, une lueur espiègle dans les yeux. Je me demande bien de quoi tu parles, mon amour... Comme si je n’avais que deux atouts ! »

La jeune femme sourit encore, comprenant qu’il devait faire très certainement référence à sa poitrine, que bien des gens appréciaient. Le fait est que Félicia était effectivement très belle, et, depuis que le symbiote avait pris possession d’elle, le peu d’humilité qu’il lui restait avait totalement disparu. Elle admettait donc volontiers être extrêmement belle, terriblement sensuelle, ce dont elle profitait énormément. Pour autant, elle ne pouvait pas envisager autre chose que de coucher avec Eddie. La seule idée d’avoir un rapport sexuel avec une autre personne lui faisait maintenant horreur. Le symbiote tirait partie de toutes les faiblesses des individus, afin de les exploiter au mieux pour mieux les asservir. Félicia n’avait eu aucune chance, et se sentait empreinte d’un pouvoir incroyable, qui s’accompagnait d’une soif sexuelle irrépressible.

Félicia se pinça donc les lèvres, et se déplaça encore. Montrer ses talents... Elle, elle voulait bien, mais il fallait aussi dire que le décor ne s’y plaisait guère. Elle se rapprocha donc du garde-fou, observant la ville en contrebas. Les humains continuaient à grouiller lentement à leurs occupations sans intérêt. Pour eux, Félicia ne ressentait que du mépris, et rêvait de les avoir à sa botte. Avec ce pouvoir, elle devait vraiment se retenir pour ne pas sauter en contrebas, et en massacrer quelques-uns.

« Mais je ne peux pas te montrer mes atouts... Ici. Sur ce toit fade et terne. Il y a une boîte de nuit à proximité. Elle appartient à des Yakuzas. Ce sera un endroit parfait pour que je te montre ce dont je suis capable. Et puis... »

Elle sourit encore, malicieusement, en caressant ensuite son ventre.

« Tu m’as vraiment démonté, mon corps a faim... Et j’ai envie de chasser. »

Cette boîte de nuit était la propriété d’une société-écran appartenant aux Guramu, le plus puissant clan yakuza de la ville. Les clients qu’on y trouvait étaient tous de sales types vicieux et pervers. Cette boîte de nuit était dissimulée dans les égouts, accessible depuis une cave. Grâce à ses cambriolages, la Chatte Noire en avait entendu parler, et avait voulu y faire un raid... Puis Venom était intervenu dans sa vie.

L’endroit servait de couverture à un réseau pédophile. Le plan initial de Félicia avait été d’y faire un casse, d’obtenir des informations, pour les distribuer ensuite à la police, mais elle était maintenant partisane d’une justice plus expéditive. Félicia bondit ainsi depuis le toit, et déploya un filament noir, organique, qui agit comme toile, se fixant contre un mur, et lui permit de s’élancer en avant, puis elle se laissa porter, rejoignant le quartier de la Toussaint, où elle se posa sur un toit, longeant une petite ruelle avec un escalier qui disparaissait dans le sol, menant à une porte blindée où un homme montait la garde.

« C’est ici... »

Félicia se concentra à nouveau, et changea encore de forme, afin d’être plus puissante, et adopta une forme purement symbiotique, nettement plus monstrueuse. Sous cette forme, la Chatte Noire devenait plus instable, car plus forte, au moins autant que Venom, vu que, à la base, Félicia Hardy était tout de même bien plus forte qu’Eddie Brock.

Une longue langue claqua contre ses dents, et elle se retourna vers Venom, venant l’embrasser, pressant son corps contre le sien.

« Aaaaallons-yyyyyy, moooonnnn aaaaaaaammoouuurr... J’aaaaaaaaaiii faaaaaaaaaaaaaiiimmmm !! »



« Ta gueule, salope de gaijin ! »

La main de Masuo la frappa à nouveau, et la jeune femme poussa  un hurlement en s’écroulant au sol. Elle n’avait pourtant rien dit de mal, mais, quand Masuo avait bu, il lui suffisait de n’importe quelle excuse pour la battre. La jeune femme, une Australienne répondant au nom de Betsy, le sentit alors s’approcher, défaisant la boucle de son ceinturon retenant son jean, ceinture qui disparaissait sous son énorme ventre proéminent. L’homme avait encore bu toute la journée en regardant des films pornographiques, sans chercher du travail. Le malheur avait voulu que Betsy se marie à lui, essentiellement pour pouvoir s’installer au Japon. Mais Masuo n’était pas vraiment le genre de prince charmant parfait. Que pouvait-elle faire ?

« Masuo, je...  Je n’ai rien dit, calme-toi, je t’en prie... »

Jadis, Masuo avait été un élève brillant, qui avait intégré la Tōdai, mais qui souffrait d’une addiction à la drogue et à l’alcool. Quand ses professeurs l’avaient réalisé, il avait été exclu, et ses parents, déshonorés, l’avaient renié. Betsy était alors proche de lui, ayant suivi, elle aussi, des études à Tokyo. Elle l’avait accompagné, mais Masuo avait peu à peu sombré, et répétait le schéma de son père, un homme dur et très autoritaire, qui battait sa femme.

Et, pour son malheur, Betsy était tombée enceinte. Or, elle avait connu, quand elle était jeune, un divorce entre ses parents, qui avait déchiré sa famille. Elle s’était donc refusée à divorcer, mais vivait périodiquement un enfer, son mari se défoulant sur elle, persuadé qu’elle avait des amants, que c’était pour ça qu’elle achetait des tenues extrêmement sexy, et qu’elle le jugeait continuellement, parce qu’il était devenu gros, qu’il n’avait pas de travail, et qu’elle, elle était belle, et travaillait à la crèche.

Son bébé se mit à nouveau à pleurer, car ils vivaient tous dans une grande pièce commune.

« Putain, encore ce sale môme ! J’en ai marre, aucun de vous ne me soutient ! Et toi, tu passes ton temps à t’envoyer en l’air, sale pute ! Tu crois que je n’ai pas vu ton petit jeu avec Toshi ?
 -  Non, je te jure, Masuo...
 -  La ferme ! »

Il leva le ceinturon, prêt à l’abattre sur elle... Quand on sonna à la porte.

« C’est lui ? C’est lui, hein ?! »

Furieux, et bien décidé à frapper ce type qui osait coucher avec sa femme, il s’élança vers la porte, l’ouvrit... Et tomba sur un homme dont le visage était dissimulé par une casquette des Red Sox.

« Putain... T’es qui, toi, connard ?
 -  Tu pues l’alcool, mon pote. Je t’aurais bien laissé tabasser ta femme, mais... Elle m’a tapé dans l’œil quand je l’ai vu, et... J’ai besoin d’une nana. »

Cletus Kasady fit un sourire ravi à l’homme, relevant son visage, ses yeux luisant d’un rouge démoniaque...

DC d’Alice Korvander.

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Venom

Créature

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 9 mardi 11 octobre 2016, 15:38:53

A l'évocation des mots "Faim" et "Chasse" une puissante vague d'adrénaline déferla sur le symbiote et son hôte. La respiration de Venom s'accéléra et ses griffes se plantèrent dans le béton, lacérant celui ci sur quelques centimètres alors qu'il serrait et relachait ses poings en songeant à la traque qui allait venir. Cette transe bestiale partie aussi vite qu'elle était venue mais laissa tout de même une marque importante sur Venom. Ecraser les insectes humains était amusant, les voir se débattre, lutter et finalement mourrir était un spectacle dont il pouvait se délecter mais c'était un "Show" sans enjeu. Dans cette traque les humains n'avaient aucune chance, la seule chose qu'ils pouvaient faire c'était gagner du temps. Cependant... Si l'on tuait assez de ces rebus, on pouvait attirer des humains plus puissants qui rendaient la traque plus intéressante... et plus dangereuse vu qu'ils ne se déplaçaient jamais en solitaire pour se battre.

Sans être las de chasser les humains, c'était plutôt se battre contre ces humains améliorés qui intéressait Venom désormais. Tuer les humains n'étant désormais qu'un apéritif, des préliminaires très agréable mais qui ne pouvait plus lui procurer l'extase, il lui fallait quelque chose de supérieur... Quoique... Chaque fois qu'il avait chasser avec Félicia, celle ci avait montrer une surprenante soif sexuelle. Plus le massacre était important, plus l'appétit de cette dernière était insassiable pour son plus grand plaisir. Il adorait chasser en sa compagnie pour cela en sachant cela mais également pour ses mouvements, lorsqu'elle tuait elle avait toujours cette grâce féline mais corrompue. De sorte qu'une faucheuse s'abattait sur ces humains qui s'enfuyaient sans espoir de salut. Oui, chasser allait être des préliminaires amusantes.

"Mmh... Je n'aurais jamais crû que quelque chose m'aurait plus intéressé que te défoncer encore et encore en ce moment... Mais tu touches un endroit sensible... J'ai hâte de te voir en action ma chérie !"

Venom suivit Félicia qui semblait avoir une idée bien précise du lieu où elle voulait effectuer son hécatombe au contraire de Venom qui agissait selon son envie du moment. Se posant sur un toit anonyme du quartier de la Toussaint, Felicia se pressa contre Venom et l'embrassa alors qu'elle venait d'adopter sa forme de chasseresse. Elle hocha la tête vers le bas de l'immeuble en direction d'une ruelle déserte où escalier qui s'enfonçait dans le sol semblait être la seule anomalie du lieu. Il n'y avait même pas un chat dans cette ruelle et l'animation qui régnait dans le quartier semblait avoir épargné ce lieu, à moins d'un miracle ce soir il n'allait dévorer que des humains, ce trou paumé ne permettant rien de mieux. S'il ne pouvait pas avoir un adversaire de taille ce soir alors ils allaient massacrer beaucoup beaucoup de monde. Faute d'avoir un combat stimulant , il aurait une saillie exceptionnelle.

"Je sais que l'usage veut que l'on laisse l'honneur aux dames... Mais je ne suis pas très galant... Et de toute façon si je n'y vais pas en premier il ne me restera plus rien, n'est ce pas?"

En dépit de la courte avance qu'il allait prendre, Venom savait pertinemment que peut importe le nombre de personnes présente, Félicia allait se délecter de la majorité. De part son agilité,  sa frénésie et en raison de cette part sauvage qu'elle se découvrait elle était bien plus dangereuse que Venom pour ce qui se trouvait dans cette cave. Ainsi 70% en moyenne, 80% vu son état d'excitation actuelle allait tomber sous ses coups. La plupart finirait lacéré en minuscules morceaux, c'était sans doute plus facile pour la morgue de les reconstituer comme ça puisque Venom se contentait de les écrabouiller comme des moustiques. Il n'avait pas la finesse ou la précision de la Chatte Noire certes mais sa folie le rendait tout aussi dangereux.... Et ce n'était plus à prouver.

Glissant dans la pénombre de la ruelle comme une ombre, Venom se faufila dans l'escalier faiblement éclairé. Cet éclairage n'était là  que pour controler l'identité de celui qui se présenterait sans indiquer à tous la présence de ce lieu. C'était une fausse lumière, une lumière qui n'éclairait qu'un minuscule point sur le sol, une lumière qui n'éclairait rien du tout en fait. Pour ce lieu, on avait voulu de la tranquillité, on avait voulu le cacher dans les ombres...  Cette pénombre, cette tranquilité... Est ce qu'ils allaient songer avant de mourrir qu'elle avait peut être causer leurs pertes? Qu'en ne se camouflant pas autant ils n'auraient pas été si impuissant? Quand on se cache dans le noir il faut pouvoir l'assumer, ce qui cette fois ne serait pas le cas.

Venom donna un violent coup de pied dans le thorax du garde et un craquement d'os se fit entendre. Puis un vacarme assourdissant envahit les lieux lorsque le garde, propulsé par le coup, attérit sur la lourde porte qui s'écroula dans un bruit métallique. Les os en miette, celui là n'aurait plus de soucis. Une main ensanglantée s'agitait désespérément sous l'imposante porte, tentant de se dégager de là dessous et suppliant qu'on vienne l'aider. D'ici quelques minutes, avec ou sans l'aide de Venom, celui là n'aurait plus de problèmes non plus. Les quelques hommes de mains qui étaient à l'entrée se réunirent autour du corps agonisant de leur camarade, incapable de bouger.

"Permettez..."

D'un jet de toile il ramena la porte à lui, la saisit et la renvoya avec force en direction du groupe qui venait de sortir ses armes à feu et s'apprétait à s'en servir. "SPLAAAAASH"
Un océan de sang déferla sur le sol lorsque la porte écrasa les Yakusas, ceux qui étaient encore en vie après ça hurlaient, appelaient à l'aide totalement en vain... Prenant son temps Venom passa devant chacun des hommes de mains et soulagea de leurs souffrances ainsi que de leurs vies ceux qui agonisaient sur le sol.

"Enfin... Une fête comme je les aimes ! Je suis sur qu'ici il y aura de véritables barres de Pole-Dance pour toi mon amour !"
« Modifié: mardi 11 octobre 2016, 15:52:35 par Venom »

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 10 lundi 17 octobre 2016, 02:20:00

Inconsciemment, Félicia se refusait encore à céder totalement à la partie bestiale de sa psyché. C’était pour ça qu’elle avait choisi ce club, un endroit sordide, où les Yakuzas se livraient à des trafics tout autant sordides impliquant des enfants qui étaient kidnappés dans les pays défavorisés d’Asie du Sud-Est, afin d’être envoyés ici. La police fermait grassement les yeux, comme sur la plupart des activités commises par les Guramu. Ils constituaient le clan yakuza le plus puissant de la ville, ayant des liens et des connexions partout, surtout dans la majorité des administrations publiques. Une véritable mafia, au sens le plus classique du terme, qui corrompait et prenait tout, s’emparant de tout, et s’imposant sur tout le reste. Félicia, avant de devenir la femme qu’elle était maintenant, avait voulu s’infiltrer, et avait d’ailleurs commencé à le faire, réunissant progressivement des preuves et des éléments pour faire fermer cet endroit. Aujourd’hui, elle allait juste... Accélérer les procédures.

Venom bondit en premier, et défonça la porte d’entrée, signal pour Félicia d’intervenir. Eddie n’allait pas faire dans la dentelle, et Félicia se sentait effectivement particulièrement excitée à l’idée de chasser. La nature profondément sauvage du symbiote s’exprimait en elle, et, plutôt que de suivre Venom, elle bondit en hauteur, et atterrit sur le toit de l’immeuble, puis sauta encore. Derrière ce toit, il y avait un toit plus petit, avec une verrière donnant directement au centre du restaurant. Ce dernier prenait la forme d’un restaurant de strip-tease, avec des scènes où des danseuses se déhanchaient, et des alcôves.

Félicia explosa la verrière, atterrissant en plein milieu, et poussa un hurlement furieux et furibond. Des gens hurlèrent, et Félicia tendit sa main, un long tentacule en jaillissant, et frappa un client empêtré dans son fauteuil, le soulevant sur une dizaine de mètres. Il s’écrasa violemment sur le sol, sonné, et Félicia hurla à nouveau. Elle vit les clients s’enfuir, et bondit sur l’un d’entre eux, le frappant dans le dos et le renversant. Il hurla et gémit, peu de temps avant que des griffes épaisses ne s’enfoncent dans son dos, et qu’elle ne le morde au cou, déchirant sa peau, ses tendons, ses veines, faisant affluer le sang.

« Arrêtez ces monstres !
 -  On nous attaque ! »

Des détonations retentirent, et Félicia leva la tête, en voyant, depuis une mezzanine en hauteur, deux Yakuzas en costume pointer des armes à feu. Au Japon, le trafic d’armes à feu était lourdement règlementé, bien plus qu’aux États-Unis, ce qui expliquait pourquoi les Yakuzas avaient souvent des armes blanches. Les Guramu faisaient, là aussi, office d’exception. Deux Yakuzas armés de pistolets lui tirèrent donc dessus, une balle l’atteignant à la poitrine, l’autre à la tête, la faisant reculer sous l’effet de la surprise, mais sans vraiment lui faire mal.

Félicia siffla dangereusement, puis bondit en hauteur, rejoignant le mur à côté de la mezzanine, et ses longs cheveux blancs s’étendirent alors, formant comme autant de fouets qui fouettèrent le corps du Yakuza, le renversant par-dessus la balustrade. L’autre fit à nouveau feu, et la Chatte Noire bondit sur lui, et le transperça avec sa main, ses griffes ressortant de l’autre côté, soulevant l’homme.

« Sssssssssssssssssss... !! » siffla dangereusement Félicia.

Avec son autre main, elle saisit la tête de l’homme, et tira dessus, jusqu’à entendre de multiples craquements, et parvint à le décapiter, en s’aidant aussi de tentacules sortant de son symbiote. Sous la force de la décapitation, le corps de l’homme tomba en contrebas, puis Félicia hurla à nouveau, et balança la tête, qui rebondit contre un mur... Puis de nouvelles balles retinrent son attention, émanant du bar, où des Yakuzas lui tiraient dessus à l’aide d’Uzis, rejoints par le barman, qui avait récupéré un fusil à pompe.

Sous l’effet de l’adrénaline, la femme était surexcitée, et déploya un tentacule au milieu de la pièce, s’en servant comme d’un appui pour s’envoler dans les airs. Elle tendit les jambes, relâcha le tentacule, et tournoya dans les airs. Les balles ne la tuaient pas, mais restaient tout de même assez douloureuses. Sa petite chute contrôlée l’emmena s’appuyer contre le mur, près du bar, et elle cracha un nouveau tentacule, attrapant un Yakuza au visage, et le tira en arrière. Sous sa force herculéenne, son ennemi fut décollé du sol, et alla se fracasser sur une table.

« Putain, mais c’est quoi, ces horreurs ?!
 -  Elle est aussi rapide que puissante ! »

Félicia siffla à nouveau, et bondit encore, atterrissant sur le comptoir, et balança un nouveau filament de tentacule, frappant le second Yakuza, l’envoyant heurter violemment les bouteilles derrière lui. Son excès de confiance lui fut néanmoins fatal, car le barman lui tira dessus à bout portant, en pleine tête, renversant la jeune femme dans un hurlement de douleur sur le sol.

« HAHA ! Prends ça, salope !! »

L’homme se pencha par-dessus le comptoir, prêt à tirer de nouvelles chevrotines... Mais fut, hélas, trop confiant pour lui. Le coup avait blessé Félicia, mais le symbiote était une protection très efficace. Si elle avait affreusement mal au visage, le symbiote réagit instinctivement, et elle posa ses mains sur le sol, soulevant ses jambes, frappant le fusil à pompe, qui sauta des mains du barman. Félicia se redressa à nouveau, furieuse, et bondit sur lui, le renversant de l’autre côté du comptoir, et ouvrit bien grand sa gueule, recouvrant une bonne partie du visage de l’homme... Et le mangea. Ses dents, épaisses et tranchantes, s’enfoncèrent dans la boîte crânienne, la perçant, et elle avala un bout de son cerveau, pendant que le barman hurlait en se trémoussant sur place, son sang vomissant dans tous les sens.

Félicia se redressa ensuite, les dents pleines de sang, et se retourna vers l’autre Guramu, celui qu’elle avait balancé contre les bouteilles, et qui était sonné. Tout son courage l’ayant quitté, il tenta de la supplier, et Félicia sourit, un excès de cruauté venant la traverser... Puis, de son corps, des tentacules jaillirent, et saisirent par l’homme par chaque membre, le soulevant ensuite, écartant ses bras et ses jambes.

« Haaaa... !! N-Non, pitié, au secours... !! »

De biens vaines protestations, car les tentacules commencèrent à serrer, et à tirer sur chacun de ses membres. L’homme hurla encore, de manière très impressionnante... Puis des bruits de craquement se firent entendre, et le sang fusa dans tous les sens quand Félicia acheva de l’écarteler.

Elle bondit sur une table, voyant du sang partout, quand une porte latérale s’ouvrit rapidement sur d’autres Guramu. Elle se tourna vers ses nouvelles proies, toute confiante... Et se reçut brusquement une violente décharge d’énergie qui l’envoya s’étaler sur le sol, malmenant son symbiote.

« Des symbiotes... Je croyais avoir abandonné ces saloperies en quittant les États-Unis... »

Akihiro Guramu, Oyabun du clan, avait visiblement pensé aux interventions d’individus dotés de superpouvoirs, car Félicia, en se redressant, reconnut une silhouette bien familière. Au milieu d’hommes armés, le Shocker se dressait vers elle, et tira à nouveau, explosant plusieurs tables.

De son côté, Venom se retrouva avec un autre adversaire à sa pointure : Killer Croc. Il arriva par la double porte menant aux cuisines, faisant claquer ses dents, et regarda Venom.

« Toi, tu es bien gros... Je vais adorer te manger ! »

Et il s’élança vers lui, faisant trembler le sol sous sa puissance et sa masse.

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Venom

Créature

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 11 jeudi 01 décembre 2016, 07:27:29

Venom haletait frénétiquement devant le bain de sang qu'il venait de causer, jubilant alors que les corps sans vie des membres du clan Guramu jonchaient le sol. Son "sang" bouillonnant de plaisir comme à chaque fois qu'il chassait. Pourtant il s'était toujours refuser à céder à la folie qu'incarnait Carnage, pour autant il était loin d'être aussi vertueux qu'un Spiderman ou un Captain America. Quand il tuait c'était pour le plaisir, pour le frisson que cela lui procurait mais il pouvait se retenir... Parfois. Ces gens qu'il tuait l'avait mérité... Du moins selon son jugement. Un verdict biaisé, une justice expédiée par une créature à la fois juge, jury et bourreau. C'était totalement arbitraire, parfois injustifié, sans doute cruel mais pour comprendre cela il fallait se placer du point de vue des autres et actuellement Venom en était incapable. Pour le moment il allait massacrer les membres de l'Organisation qui se trouvait ici pour étancher sa soif de sang et se gorger jusqu'à plus soif. Et personne n'allait lui reprocher cela vu les individus qui étaient loin d'être des sains et dont plusieurs avaient commis bien pire que lui, c'était une excuse suffisante pour qu'il se laisse aller... Totalement.

Au bout de quelques instants il remarqua que Felicia ne l'avait pas encore rejoint, il haussa les épaules, tant pis elle était suffisamment grande et honnêtement aussi dangereuse que lui pour qu'il la laisse s'amuser à sa façon. Tant qu'il ressentait sa présence elle ne pouvait pas être bien loin. De toute façon maintenant il avait autre chose en tête pour le moment. Sans aucune précaution il s'enfonça dans le couloir à la lumière clignotante qui menait plus en profondeur dans le club. A cause de la musique particulièrement puissante dans cette partie du club et des cloisons insonorisées aucun des Yakusas à ce niveau n'avaient pour le moment remarquer la présence pourtant évidente de Venom. Personne excepter peut être un énorme lézard à l'odorat particulièrement développé qui avait sentit l'odeur du sang et la présence de Venom...

"Tu sais ce qu'il se passe là haut?" Fit un jeune Yakusa à son camarade en pointant du doigt le bouton rouge qui clignotait.

"Sais Pas. Sans doute une erreur. Qui serait assez con pour attaquer cet endroit?" Répliqua ce dernier les yeux rivés vers le jeu télévisé que diffusait son Ipad.

"Mmouais. Les flics ne sont pas assez stupide pour faire une descente ici. Mais..." Commenta un troisième en train de fumer sa cigarette adossé contre un mur.

"Mais?" Repris le jeune.

"C'est bizarre, ils ont sortit les Atouts."
  Continua le Yakusa en désignant le bouton vert et le bouton jaune qui s'étaient allumés.

"Fait pas peur au petit, c'est encore un débile du 3eme étage qui a abusé du saké et qui a cru voir Iron Man à sa fenêtre et... KUSO !!! ( Litt : Merde )... Cet abruti à encore donner la mauvaise réponse... "
Grommela celui qui regardait son émission.

"T'a sans doute raison mais dans le doute je confirmerais quand même ça avec le Talkie, il est dans la salle d'à côté. Je le fais... Dès que j'ai terminer ma clope..."

"C'est bon de toute façon c'est l'endroit le plus sécurisé du complex... Avec ce que tu fumes par jour tu devrais être plus détendu que ça, prend exemple sur moi... D'ailleurs tu devrais faire plus gaffe où la clope va finir par avoir ta peau... Putain mais comment cet abruti fait pour jouer aussi mal ?!"

Enfonçant la lourde porte à double battant qui se trouvait au bout du couloir Venom pénétra dans une petite pièce d'à peine quelques mètres carrés où il trouva quelques gardes. Profitant de leur ahurissement il commença par donner un violent coup de poing dans le thorax au plus près d'entre deux qui s'envola en direction du mur qu'il heurta avec fracas. Se reprenant le plus réactif d'entre eux souhaita dégainer l'arme à sa ceinture, mais avant même de pouvoir toucher son arme il encaissa un revers en pleine face qui l'envoya contre le mur et fit explosé sa tête comme un fruit trop mur. Sa cervelle éclaboussant les murs blancs et carrelés de la pièce. Sans demander son reste le dernier garde debout tourna les talons pour demander de l'aide, mais avant de pouvoir atteindre la lourde porte derrière lui un jet de toile au niveau de ses jambes le cloua en pleine course alors que Venom le ramenait lentement vers lui. Saisissant l'arme à sa ceinture il tenta de blesser la créature en lui tirant dessus, en vain. D'un coup sec Venom lui piétina la tête.
Une complainte de douleur émana du premier garde frappé par Venom qui se tordait de douleur en crachant du sang, les mains serrés sur sa poitrine. Magnanime Venom acheva les souffrances de celui ci avec quelques lacérations. Alors qu'il allait quitter la pièce il ressentit un besoin impérieux de se baigner littéralement dans le sang de ses proies, de s'en couvrir. Bestialement il bondit alors sur les corps sans vies et les démembra sans aucun but précis pendant un moment, un sentiment de puissance l'engloutit et il émit un glapissement de plaisir alors que le sang des Yakusas le recouvraient et recoloraient la pièce. Après cette exaction, il passa la porte devant lui et s'enfonça à nouveau dans le couloir qui s'offrait à lui.

Une nouvelle porte à double battant s'offrit à lui qu'il enfonça comme la première, le faisant pénétrer dans une sorte de sas avec devant lui une porte vitrée qui donnait sur l'un des lieux les plus sordides qu'il eu l'occasion de voir de sa vie. La salle avait des allures de boites de nuit avec une lumière tamisée, une musique forte et des canapés rouges en cercle autour d'une estrade où normalement ce serait produit des danseuses sur des barres de pole dance. Néanmoins ici les danseuses avaient été remplacée par de jeunes enfants que des Mafieux de tout horizon achetaient et gardaient en laisse près d'eux une fois l'achat conclut. Les enfants défilaient comme des mannequins, sans émotion, sans espoir tandis que les Mafieux d'un signe de la tête achetait ces gamins comme le pékin lambda fait ses courses. C'était écoeurant mais ce n'était pas le seul lié comme ça et ailleurs, dans d'autres parties du globe, du Japon, De Seikusu, des traffics similaires avaient lieu.

"Et voici pour votre plus grand plaisir Ladies and Gentlemen's un nouveau lot pour vous. Le lot numéro 24 nous vient de Corée, elle sait lire et écrire et même si elle a 13 ans elle fait plus jeune que son âge, c'est un lot de choix n'en doutez pas !" Annonça le présentateur aux acheteurs alors que deux Yakusas amenaient une jeune asiatique sur scène pour qu'elle défile devant le public alors que les enchères débutaient.

Bien que trouvant le traitement de ces enfants particulièrement abject Venom n'était pas un super-héros, son but n'était pas de sauver ces enfants. Sa seule envie après l'avant goût que lui avait procuré sa douche d'hémoglobine était de recommencer, encore et encore. A une échelle encore plus grande si possible. De plus avec les pourris qui se trouvaient rassemblé ici il savait qu'il n'aurait encore regret à les démembrer vivants en écoutant leurs hurlements. Défonçant la porte vitrée, il émit un lourd bruit guttural en sautant sur l'un des occupants des canapés, il ouvrit sa gueule couverte de crocs et son haleine pestilentielle recouvrit le mafieux fixé dans son siège à cause de l'effroi provoqué par l'apparition de Venom.

"N...Non ! NON ! NOOOON !"

Comme un animal, Venom enfonça ses crocs dans la gorge du mafieu et commença à le déchiqueter en faisant pleuvoir du sang sur l'assistance. D'abord choqué le présentateur et ses deux gardes commencèrent à ouvrir le feu tandis que les autres clients s'enfonçaient dans leurs sièges pour éviter les balles tout en espérant que celle ci neutralise le monstre. En dépit des nombreuses balles qui pleuvaient sur lui, Venom continuait à mettre en charpie le mafieu jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien. Dépecé. Découpé. Les os broyés. Il ne reste plus du sang. . Si les balles le picotaient un peu, le plaisir ressenti par le goût du sang brisaient une à une ses barrières morales. En ayant terminé avec ce corps, il bondit lourdement comme un tigre sur le présentateur et ses deux gardes, leur brisant de nombreux os lors de l'atterissage avant de les déchiqueter avec ses dents.  Les clients tentèrent alors de s'enfuir, profitant de ce moment de distraction du monstre. Sans succès. Un à un, ils furent amené à lui, un à un ils furent lentement éviscérés et déchiqueter comme l'avait été le premier. Noyant la salle dans une mare de sang dans laquelle Venom se plongeait à sa guise.
Soudain, une des doubles portes au fond de la salle claqua et un immonde Homme-Lézard en sortit et commença à s'élancer vers lui en lui lançant.

« Toi, tu es bien gros... Je vais adorer te manger ! »


Félicia Hardy

Humain(e)

Re : La Guerre des Symbiotes [Venom]

Réponse 12 jeudi 01 décembre 2016, 18:36:56

« Tu crois que je n’ai jamais affronté de symbiotes ? Je connais vos points faibles, chérie ! »

Le tird’Hermann avait atteint Félicia au torse quand elle avait voulu bondir sur lui. Plutôt rapide, le Shocker l’envoya valdinguer contre une table, qu’elle défonça. C’était un tir plasmique redoutable, utilisant du feu, le point faible du symbiote. Félicia secoua la tête, en sentant sa peau nue à hauteur de l’impact du Shocker. Il tira encore, et elle bondit en avant, évitant le tir, qui explosa contre le sol, défonçant ce dernier. Les autres Yakuzas soutinrent Schultz, lui tirant furieusement dessus, leurs balles défonçant les chaises et les tables en bois derrière lesquels Félicia s’abritait. Peu à peu, son symbiote se reformait, et elle secoua la tête.

*Sois prudente, Félicia, ses tirs sont puissants...*

Venom n’était plus là. Il avait dû s’enfoncer dans le sprofondeurs de la base. Félicia allait donc devoir compter sur elle-même, et se concentra, puis bondit à nouveau sur le côté, et envoya des projectiles depuis son symbiote, faisant exploser les lampes, plongeant la pièce dans l’obscurité, puis partit ensuite à l’assaut. Car, si les Yakuzas ne pouvaient rien voir, elle, elle était nyctalope. Prudent, Le Shocker se replia dans la cuisine, tandis que les Yakuzas hurlaient de douleur, en tirant dans le vide.

« Abattez-là !
 -  Tirez ! Tirez, putain !!
 -  Haaaaa... !! »

Sous la panique, plusieurs Guramu s’entretuèrent, et l’un d’eux chercha à s’enfuir vers les cuisines. Depuis la double porte menant en effet aux cuisines, des rais lumineux s’échappaient. Le Yakuza entra précipitamment dans la cuisine, et eut à peine le temps de cligner les yeux que quelque chose l’attrapa à hauteur du col, et le tira brusquement en arrière, lui faisant lâcher son pistolet. Dans les cuisines, les autres Yakuzas serrèrent les dents en entendant plusieurs hurlements, et des bruits sanglants de lacération.

« N-Non... Haaaa... Pitié, haaaa... N-Non... !! HAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Puis plus rien. Rien d’autre qu’un silence lourd et pesant, et la nervosité fébrile des Yakuzas.

« Elle a pété les ampoules...
 -  Pourquoi elle vient pas ?
 -  Calmez-vous ! gronda Le Shocker. Tâchez de rester calme ! Elle craint le feu et les ondes sonores. Préparez des Cocktail Molotov ! »

Hermann Schultz était jadis un simple criminel de bas étage, un cambrioleur tellement incompétent qu’il n’arrivait même pas à forcer les serrures. Un raté, un looser, qui réussit néanmoins à obtenir, en prison, des gants sismiques, grâce à un inventeur qui se servit de lui comme cobaye. Depuis lors, Schultz avait pris du galon, et, là où bien des ennemis du Tisseur avaient fini par le haïr, Le Shocker était toujours resté très professionnel. Il n’avait aucun superpouvoir, mais avait suivi quantité de formations paramilitaires, participant à divers groupes de méta-criminels. Calme, il avait déjà combattu Venom, et Venom avait bien failli le tuer. Ce n’était pas sa cocotte qui allait lui faire peur.

Le temps commençait à passer, sans que rien ne se passe, et d’autres Guramu arrivèrent, apportant des armes plus puissantes. Les Yakuzas troquèrent leurs Uzis par des MP5 et des Colt Commandos avec des lampes-torches, et enfilèrent des lunettes à vision IR. Un matériel de pointe qui prouvait que les Guramu n’avaient rien d’un simple clan urbain.

« Elle peut utiliser son symbiote pour dissimuler son empreinte thermique, ne vous fiez pas à vos détecteurs thermiques. »

Après moult hésitations, une bonne partie de Yakuzas s’engagèrent dans le restaurant dévasté. On aurait dit une scène d’horreur, avec de multiples corps éviscérés. Sur leur gauche, ils virent ainsi un corps gisant dans son sang, ouvert au ventre, ses intestins dégoulinant sur le sol. Ils regardaient nerveusement autour d’eux, sans voir quoi que ce soit... Et pour cause. Félicia s’était positionnée juste au-dessus des portes de la cuisine, mais constata bien vite que Le Shocker était resté à l’intérieur, là où d’autres Yakuzas étaient rapidement en train de faire des armes incendiaires à l’aide de bouteilles de vins et des chiffons. Félicia attendit un peu, puis se décolla lentement du mur, juste au-dessus de la porte... Puis attaqua rapidement, en filant vers le bas, tendant une main.

Un filament de toile noirâtre jaillit, et frappa Hermann au visage. Les autres se retournèrent rapidement, et la Chatte Noire se laissa tomber sur le sol, puis bondit vers le plus proche, et le mordit au cou, faisant couler le sang dans des hurlements de douleur. Elle le relâcha ensuite, la gueule imbibée de sang et de veines, puis bondit vers un autre, qui eut le réflexe de lui tirer dessus, à bout portant, avec son fusil à pompe. Le choc souffla Félicia, qui partit en arrière, et s’affala sur le sol, devant les portes de la cuisine. Un Guramu en profita pour armer son Cocktail Molotov, incendiant le chiffon avec un briquet... Mais, alors qu’il comptait le lancer, Félicia envoya un filament, et l’attrapa à la cheville, puis tira vers elle, renversant le malheureux, qui en lâcha son arme. Cette dernière s’écrasa sur le sol, et incendia l’homme à côté, qui poussa un hurlement de terreur et de douleur en se transformant en torchère.

« Argh ! Salope ! »

Un autre Guramu, celui avec le fusil à pompe, se rapprocha rapidement de la femme, et la visa... Mais, depuis la jambe de Félicia, le symbiote s’étira en un tentacule, qui fouetta le canon de l’arme, déviant le tir, qui défonça le sol.

L’incendie, de son côté, remonta jusqu’aux détecteurs à incendie... Et une alarme se mit à résonner dans tout le complexe, les douches anti-incendie se déclenchant dans la foulée.

L’alarme fila également jusqu’en contrebas. Killer Croc fonça sur Venom d’emblée, et le choc heurta violemment le symbiote, envoyant ce dernier défoncer une porte, son corps massif heurtant un couloir. Venom était arrivé par l’estrade centrale, et, tout autour, il y avait des fauteuils rouges, dans des boxes, derrière des vitres opaques, ne permettant pas de voir de l’extérieur. On accédait aux loges par des portes situées dans un grand couloir circulaire, faisant le tour de ce salon privé. C’était dans l’une de ces loges que Venom avait déboulé, et Killer Croc avait foncé par une porte de service. Les autres clients, eux, s’enfuyaient prestement, tandis que, dans le couloir où Venom avait atterri, des agents de sécurité en costume s’approchèrent, lui tirant dessus.

Killer Croc chargea encore, s’élança rapidement vers Venom, comme un taureau impossible à arrêter, et le heurta, puis planta ses crocs dans son épaule, enfonçant ses longues dents pointues dans son symbiote...

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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