Il n'y en avait pas une pour rattraper l'autre, et franchement, n'importe quelle personne qui subirait pareil contact aurait autant de mal que les deux chasseuses de primes pour pouvoir reprendre le dessus, ces deux incroyables êtres ayant prit leurs formes ayant tout les avantages nécessaire pour faire perdre la tête à quelconque personnes tombant entre leurs griffes. Difficile donc de leur jeter la pierre, quand l'une comme l'autre se mirent finalement à perdre tout à fait le contrôle de la situation en s'admettant le droit de jouir, produisant des cris qui auraient sûrement eut le don d'éveiller n'importe quel voisin un peu grincheux, et de s'afficher publiquement comme des femmes de peu de pudeur, quittes à s'octroyer une bien mauvaise réputation envers leurs rencontres de tout les jours. Bon, bien évidemment, il n'y avait rien ni personne ici capables d'entendre l'écho de leur jouissance, ce qui dans le fond pouvait être un grand avantage, si elle n'était pas dans le fond en train d'être coplètement assujetient par les deux formes tronquées d'elle-même, qui elles, en revanche, avaient non seulement toute compétence à comprendre que leurs deux victimes venaient de s'avouer vaincues, mais surtout, qu'elles étaient désormais tout à fait disposée au traitement qu'elles subissaient. Non, les événements parlaient d'eux-mêmes, non seulement les mercenaires avaient été écrasées par leurs adversaires, mais surtout, dans d'autres conditions, cela fairait longtemps que leur vie ne vaudraient plus grand-chose, étant donné qu'elle n'avaient même plus l'occasion de présenter le plus petit signe de résistance.
Mais peut-être pire encore que cela, l'une comme l'autre semblaient avoir changée de manière de voir les choses. L'excitation du moment n'avait pas manquée de rendre Belphy complètement ivre de cette sensation, complètement dépendante à l'heure actuelle de la queue qui était en train de la pilonner, alors même qu'elle n'avait quasiment jamais connue de rapports, quel qu'il soit, et cela avait produit en son for intérieur une reddition quasiment complète, comme si elle avait acceptée, plus que le fait de se faire prendre par la forme expérimentale d'Elise, de se laisser prendre ainsi jusqu'à l'épuisement, et même après, lorsqu'elle se réveillera. Pour être tout à fait honnête, e fait même que ce soit une chose, un être, ou quoi que ce soit, mais qui avait l'apparence de sa chère et dédiée camarade était aussi une composante du procédé, tellement importante que cela devait avoir jouer une part particulièrement importante dans le phénomène de son abandon. Peut-être était-ce un peu dur à voir, mais elle écartait volontairement les jamabes dans cette position précaire, plus d'instinct qu'autre chose, parce qu'elle ne voulait pas cesser de sentir cette chose la pilonner, elle ne voulait pas qu'Elise cesse de la prendre, de la soumettre, de lui faire connaître les plus vils et répréhensibles des sensations, mais d'ainsi lui offrir les plus divines des "caresses". Et cela avait été tellement volontaire, tellement désireux, qu'elle s'était emportée, provoquant sa chère Elise en face d'elle, l'amenant elle même à jouir suite à ses propos, l'observant, ruisselante de sueur, l'accompagnée dans son plaisir béat, et inconsidéré au vu de leur situation :
- Wo... woui... Mon han... orgasme à dût répondre à ma place.. humm... Et toi?....... Tu aimes te faire ... ham.... prendre par moi? ....
- Elise, ma Elise ... Je veux ... je veux te sentir éternellement en moi... Je veux que tu me défonces sans ... Haaaaaaan.... haaaa... hhaa... sans jamais arrêter !... Maaaaaaah
Elle levait les yeux au ciel, la langue pendue, la chose en elle n'arrêtant toujours pas, même s elle avait joui, même si elle était encore et toujours au bord de l'extase, elle ne pouvait s'empêcher d'afficher ce visage de dépravée, de femme dont l'esprit vaincue se perdait dans des idées de plus en plus sordides, de plus en plus ... sales. Elle en voulait plus bien sur, elle ne pouvait qu'en vouloir plus, elle voulait que cette chose qui était en train de la rendre folle cesse de faire dans la demi-mesure, cesse de s'amuser, et vienne de manière bien volontaire lui faire comprendre toute la sauvagerie dont elle était capable, et cette envie déviante, impure, la rendait tellement honteuse que son corps ne faisait que répondre, de manière paradoxale, rendant les sensations toujours meilleurs, toujours plus forte. Elle comprit finalement ce qui lui plaisait tant : elle était en train de se faire humilier. Pire encore, elle était en train de se faire humilier devant la personne qu'elle cherchait absolument à impressionner, mais le fait qu'elle puisse voir son corps dans cet état, qu'elle puisse contempler les formes de son corps sans la moindre protection, qu'elle puisse admirer son visage où l'extase se lisait sur le moindre de ses traits, qu'elle puisses constater, grace au léger manque d'opacité du membre, l'intérieur de son intimité désormais complètement ouverte aux "bienfaits" de la créature gélatineuse qui la baisait sans vergogne, c'était tout simplement merveilleux. Elle adorait ça, elle n'avait plus à faire semblant, elle n'avait plus à cacher ses besoins, ses envies, elle était là, devant sa Elise, et se faisait violée sans résistance de sa part, adorant cela.
Mais elle voulait ses lèvres, elle voulait son contact, et le fait que l'objet de son pur désir ne soit pas à porter de ses bras, de son corps, était un véritable supplice dont la frustration n'aidait en rien. Pire encore, alors même qu'elle ressentait au plus profond d'elle ce besoin de contact, ce besoin d'étreinte, elle vit soudainement son double relâcher la jeune femme en face d'elle, la laisser tomber au sol avec le plus évident des dédains, ne lui laissant pas d'autre choix dans son état que de venir choir lourdement sur le carrelage glacé, tandis qu'elle se déplaça sans que Belphy ne puisse y comprendre quoi que ce soit. Mais elles étaient encore trop éloignées, et malheureusement, même si la chasseuse de prime avait eut la possibilité de tendre les mains vers elle, elle n'aurait même pas put l'effleurer, obligée finalement de contempler son double revenir vers le corps épuisée de celle qu'elle désirait plus que tout, pour finalement la retourner, tête à l'envers, et commencer à lui prendre la bouche sans qu'elle n'ait le droit à la moindre résistance. Ce n'était pas juste, non pas le moins du monde ... Cette chose avait peut-être le droit de lui ressembler, mais pas de lui prendre SA Elise, elle n'avait tout simplement aucun droit même de se l'accaparer, même si c'était pour la faire se sentir aussi bien, aussi heureuse, la femme aux courts cheveux violets était SA partenaire, et nul être en ce monde n'avait le droit de l'absenter à son étreinte des plus désireuses. La flamme de jalousie était en train de naître en son coeur, la confusion n'aidant peut-être pas à ce qu'elle calme ses envies, mais ne l'aidant pas non plus à maîtriser ses émotions les plus sombres, et les plus vils.
Sauf que ce détail ne sembla aucunement échapper à la copie d'Elise qui s'occupait d'elle, et comme pour prévenir le moindre problème de se produire, elle vint soudainement quitter son mouvement cadencé pour finalement détacher le regard de la jeune femme de sa camarade de plusieurs mois pour finalement la tourner vers elle, l'observant avec un air un des plus attendrissants. Belphy ne comprit pas de suite ce qu'il venait de se dérouler, mais même malgré cela l'inconfort naissant dans sa poitrine ne manqua pas de continuer de la torturer, un peu comme si quelque chose de crucial lui manquait, quelque chose de tellement important que même si elle ne le voyait plus, elle ne pouvait que ressentir cette solitude vive. Pendant un instant, cet élément fut tronqué par le fait qu'elle fut mise dos au sol soudainement, avec une certaine brutalité qui ne manqua pas de provoquer en elle un long frisson d'extase, avant qu'elle ne vienne complètement ouvrir ses hanches quand finalement la choses se mit à la prendre avec une bestialité des plus incompréhensible, lui défonçant son intimité avec une force qui ne la laissait même plus penser, juste réagir à chaud. Elle entendait, malgré elle, les gémissements d'inconforts de celle auquel elle tenait, elle sentit lentement le feu dans sa poitrine continuer de gonfler, la rage remontant lentement pour faire face à son besoin de plaisir toujours plus intense, toujours plus fort... Elle avait besoin de sa Elise, elle en avait besoin plus que tout, qu'elle lui fasse connaître des sensations toujours plus forte, toujours plus vive, qu'elle soit celle qui vienne lui parler, la toucher, lui offrir le moindre de ses frissons, elle ne pouvait juste pas...
- Tu... Toi.. te.. tu aimes quand je te baise, Bel?... Je... t'aime! Faisons l'amour jusqu'à la fiiin des temps.
Juste pas rester avec cette fausse Elise... Ce n'était pas elle, pas son Elise, pas celle avec qui elle voulait ressentir tout cela ! Les caresses, les douceurs, les coups de pilons endiablés entre ses cuisses, et cette sensation divine d'être remplie à chaque fois, ce n'était plus suffisant, pas assez, ces choses aussi proches et délicieuses qu'elles étaient, aussi humiliantes pour elle que pour sa si chère camarade, elle ne voulait plus qu'elles les touchent. Elise était à elle bon sang, à elle et elle seule. Alors qu'elle entendait encore le manque total de contrôle de sa belle et douce demoiselle, ses gémissements plaintifs alors que sa copie était en train de la maltraîtée, la rage vint pour une fois aller au delà de son plaisir actuel, et c'est avec une force soudaine, renouvellée, incompréhensible, que la main de Belphy se referma sur l'un des longs tentacules gélatineux du faux droîde, et qu'elle l'attira au sol avant... de l'écraser avec fracas, venant l'exploser au sol en une gerbes de petits morceaux gélatineux. La chose en face d'elle s'arrêta un instant, sûrement pour comprendre ce qu'il venait de se produire, mais c'est avec une rage rédoublée que la femme vint à soudainement la repoussée en arrière, l'obligeant à quitter son antre sensible en voltigeant dans la pièce, avant de s'écraser mollement contre le mur, avec un bruit tout simplement immonde de vieux contenu de pot de confiture se répandant contre le sol. Jamais, personne d'autre qu'elle n'allait profiter encore de SA Elise, et se déplaçant un peu, malhabile malgré tout elle vint à attraper K'leir, et fit un mouvement rapide vers son autre adversaire, tandis que la voix de la tronçonneuse résonna dans la pièce :
- Ah enfin, j'ai cru que tu t'en remettrais jamais !
Le coup qu'elle produit est d'une brutalité improbable, K'leir s'abattant sur sa reproduction gélatineuse avec le fracas du tonnerre, venant réduire en une multitudes de petits morceaux sa copie, pour finalement les faire voler dans toute la pièce, libérant enfin Elise qui, malheureusement, dut connaître une nouvelle fois la sensation désagréable de s'écraser au sol sans pouvoir se rattraper. Au moins elle avait chût sur le dos, pas tête la première, et tandis que Belphy expirait difficilement, cherchant finalement le calme dans le feu monstrueux qui dévorait son coeur, qui calcinait sa poitrine, cette jalousie monstrueuse qui l'avait rendu soudainement si forte, si prompt à la rébellion, elle ne put qu'observer le visage de sa belle et chère, aussi épuisée qu'elle, au sol. Elle était si belle. Derrière elle, la pseudo-Elise qui avait finit écrasée contre le mur commençait lentement à se reformée, et sûrement pas avec les meilleures intentions qui soit, mais alors que seul K'leir fut en capacité de le remarquer, il eut le droit à l'un des dédains les plus insultant du monde, car Belphy le jeta au loin sans le laisser proférer la moindre parole, le laissant tomber avec fracas auprès de son autre arme, Ter'er. Et sans même prévenir Elise, elle se jeta sur elle. Elle colla son corps contre le sien, se moquant que la gelée étrange couvrait encore leurs formes, se moquant que la sueur recouvrait leurs formes respectives, elle se jeta sur elle avec un désir qu'elle était incapable de maîtrisée, une de ses jambes venant frotter contre l'intimité d'Elise, et ses seins venant s'écraser contre les siens. Et tandis que son visage se trouvait juste au dessus de celui de cette merveilleuse femme aux cheveux violets, elle l'embrassa à pleine bouche, sans lui laisser le temps de prendre la moindre respiration. Elle prit ses lèvres, et sa langue, et ne chercha même pas à dissimuler tout ce qu'elle ressentait en cet instant, lui offrant un baiser aussi enfiévré qu'amoureux, ne faisant même plus attention à ces choses qui reprenaient lentement leur apparence, prête à se venger.