Encore ! Encore en voulait ! Jenny perdait petit à petit la raison à force de se faire sodomisée de la sorte. Que c’était jouissif de sentir une telle lance venir la pourfendre de l’intérieur ! Jamais, de toute sa vie, Jenny n’avait vu une verge aussi lourde, aussi massive et aussi puissante que celle que Sharlie. Quelle femme ! Quelle énergie ! Comment ne pas se retrouver dans tous ses états face à un tel traitement. La pauvre femme se retrouvait être le petit jouet de la colosse, qui lui pilonnait sans relâche le fondement, enfonçant toujours hargneusement sa trique monstrueuse en elle. Les yeux de Jenny se révulsèrent alors que des minces filets de bave coulaient de ses lèvres. Elle n’était plus maitresse de rien ! Elle subissait, et elle subissait encore, encore et encore cette lourde mais ô combien jouissive sodomie que lui offrait Sharlie.
« HAAAAAN ! HANNNNNNN OUIIIIIIIIIIIII !!! HAAAAAAAAAANNNNNNNNNNN !!! !!! !!! » Hurla-t-elle alors, ne parvenant plus à retenir ses cris de douleurs et de plaisir, même si elle devait surement percer les tympans de son amante. Mais ça, elle n’y pouvait rien. Quand le plaisir explosait en elle, il ne le faisait pas à moitié ! Et là, Sharlie lui avait mis le feu aux fesses. Pour une grande sodomite comme elle, avoir un orgasme par ce canal était non seulement possible, mais ils constituaient les plus forts et intenses orgasmes. Ses doigts griffèrent le canapé jusqu’à racler la couche supérieure, et son corps, continuait inlassablement à se balancer sèchement en avant et en arrière, se faisant complètement ballotter par les puissants et impitoyables coups de rein de Sharlie.
La sodomie se poursuivit, jusqu’à ce que Sharlie, non contente de rendre ivre folle la Grande Sénatrice, décida d’enfoncer le clou en se mettant à la doigter. C’était qu’elle voulait pousser Jenny à l’orgasme, à ce stade-là. Elle ne cherchait visiblement plus à simplement la besogner ; elle cherchait à la faire hurler, la faire crier tout son plaisir et son extase, en lui arrachant le moindre râle, le moindre soupir, tout en la stimulant autant qu’elle le pouvait. Jenny cru devenir folle en sentant les doigts taquins de son amante venir taquiner sa féminité, et elle en serra fortement les dents.
« HNNNNNNNNIIIIIAAAAAAAA ! HAWWWW SH-SHHHHHHARLLLIIIEEEEE !!! » Continua-t-elle à crier, se courbant de force face aux puissantes sensations qu’elle ressentait. Se faire sodomiser, très, très, très lourdement en plus de se faire doigter … C’était très conséquent comme traitement.
Sa mouille inonda les doigts de la puissante Futa’, se mettant à couler plus abondamment qu’auparavant. Il en coula sur ses doigts et le long de ses propres cuisses, venant tâcher généreusement le canapé. Puis, la femme lui dardant les fesses finit par déclarer qu’elle n’allait pas tarder à relâcher la pression, et elle se mit dès lors à empoigner encore plus fermement les belles hanches de la Sénatrice, tout en accélérant le rythme. Les fesses de Jenny tremblèrent sans cesse, ondulant délicieusement à chaque coup de trique que lui mettait Sharlie. Ses doigts se mirent à sérieusement jouer de sa féminité, s’enfoncer sans gêne et honte en elle, au plus profond de son intimité.
« HAAAAAAAA ! » Couina Jenny, sentant tous ses muscles se crisper face à un tel traitement. Elle aussi n’allait pas tarder à s’abandonner complètement !
Les minutes s’écoulèrent à nouveau, et l’avertissement de Sharlie finit par arriver. Elle porta Jenny jusqu’au bord du gouffre, et elle l’acheva en balançant sa chaude crème en elle, lui bourrant complètement les entrailles. Jenny cru s’évanouir tellement son orgasme la foudroya de plein fouet, déchirant sa voix dans tous les sens alors que sa mouille explosa entre ses cuisses, aspergant généreusement les doigts et la main de Sharlie. Son fondement se contracta d’un seul, écrabouillant sans prévenir la verge de son amante qui cracha une puissante et démentielle salve de foutre en elle. La salve fut si conséquente qu’elle déforma quelque peu le ventre de la Grande Sénatrice, le rendant un peu plus rond que d’habitude.
Puis, la foudre finit par s’arrêter d’elle-même. Jenny se sentait pleine à craquer, ressentant cette délicieuse et chaude crème remuer en elle tellement il y en avait. Quand Sharlie retira sa trique, un filet de foutre s’échappa de sa petite rondelle qui était toute éprouvée, face à ce que venait de lui mettre la Futa’. Jenny reprenait lourdement son souffle ; son visage était tout rouge, et ses cheveux complètement en bataille, après un tel rodéo.
« Haaaa … Ahhhh … Bon sang, on m-m’avait pas mis une telle r-rouste depuis bien longtemps … C’est de ça dont j’avais besoin … » Déclara-t-elle, le souffle lourd et la voix haletante.
Ce que venait de lui mettre Sharlie était énorme ! Il n’y avait que Hegeria qui, à ce jour, était arrivée à la mettre dans un tel état. La grande et majestueuse Futa’ qu’était ce colosse n’avait donc rien à envier. Merci à ce gros et puissant bras qui pendait entre ses cuisses. Jenny reprit donc un peu son souffle, puis finit par se redresser, finissant debout devant son amante.
« Oh oui, tu vas encore me baiser … Encore, et encore … Jusqu’à ce que ça soit moi qui soit rassasiée … Mais, j’ai fort bien besoin d’une douche, cela dit … » Déclara-t-elle, passant doucement sa main sur les beaux abdominaux saillants de son amante. Elle lui offrit un regard des plus sulfureux et ardent, puis s’écarta d’elle, en lui effleurant la main, comme pour l’inciter à la suivre.
En vérité, Jenny ne plaisantait pas en disant qu’elle avait besoin d’une bonne douche. Mais, elle ne comptait pas la prendre seule … Ce qui était logique. Ainsi donc, elle emmena Sharlie dans sa
luxueuse et grande salle de bain, et en quelques gestes, retira tout son attirail. Nue comme un ver, elle était toute offerte à son amante. Elle lui jeta un dernier regard sulfureux, puis ouvrit la grande cabine au fond de la pièce, toujours dans sa plus simple nudité.
« Retires-moi tous ces vêtements crasseux et viens un peu par ici … Toi et moi, on a besoin d’une bonne douche … » Lui dit-elle sur un ton des plus provocateurs, lui laissant clairement sous-entendre qu’elles allaient encore se faire l’amour, mais sous l’eau chaude cette fois-ci. Tout ceci, pendant que ses petites fesses ne cessaient de laisser couler tout le stock de foutre qu’elle avait dans les intestins …