Pendant que je léchais maman, je sentis soudain quelque chose remuer au niveau de son pubis, une sensation que je connaissais bien. Je ne fus donc pas surprise en voyant sa verge végétale émerger de son corset de feuilles, dure et tendue vers le ciel, couverte de mouille et de sève. Je me doutais bien qu'elle finirait par sortir ce jouet, mais j'aurais préféré qu'elle attende que je la fasse jouir au moins une fois en léchant sa féminité, et que j'en fasse de même avec son amie, mais je ne protestai pas. Maintenant que son jouet était sorti, il fallait bien que je m'en occupe.
Tandis que maman utilisait ses mains pour guider ma tête vers sa verge, elle m'expliqua que j'allais goûter à un plaisir bien plus fort, le plaisir d'avoir deux queues qui s'occupent de moi en même temps. De plus, elle précisa qu'Harley, à la façon dont elle me massait le cul, allait sûrement me prendre en sodomie. Le plaisir anal était quelque chose qui, pendant un temps, m'inquiétait beaucoup, comme à chaque fois que je découvrais une nouvelle pratique sexuelle. Mais heureusement pour moi, j'avais la chance d'avoir à mes côtés la meilleure des formatrices. Elle m'a préparée, étape par étape, en étant toujours aussi douce et prévenante qu'elle l'était d'habitude avec moi, et un soir, alors qu'elle venait de me pénétrer par l'avant, elle a enchaîné tout de suite avec mon autre trou. Au début, ça m'avait fait mal, mais j'y ai vite pris goût, à tel point que j'ai voulu recommencer plusieurs fois. Alors rien qu'à l'idée de me faire prendre en sodomie par tata Harley pendant que je sucerais le gourdin de maman... J'en frissonnais d'avance.
« Deux belles queues rien que pour toi, Kyli, haaa... Tu es vraiment très chanceuse, ma chérie ! »
« Oh oui... j'ai vraiment beaucoup de chance. »
Au moment où je pris en bouche la trique de maman, je sentis une bosse se frotter contre mes fesses. Le nouveau jouet de tata Harley, obtenu grâce aux pouvoirs végétaux d'Ivy. Elle s'était retenu de me mordre le derrière, et elle allait maintenant me sodomiser. Mais d'abord, pour bien me préparer, elle vint lécher mon petit trou, enfonçant parfois sa langue à l'intérieur, pour bien lubrifier cette petite entrée si étroite avec sa salive.
« Hhmm... hhmm... »
Mes couinements étaient étouffées par la grosse queue dans ma bouche, mais ils voulaient bien dire que j'étais contente. Et je savais que ce n'était qu'un début.
Quand l'arlequin cessa de me lécher l'anus, j'entendis un bruit de tissu déchiré, suivi du soulagement de la dame. Curieuse, je tournai légèrement la tête, et je vis que tout le bas de sa tenue venait d'être arraché pour pouvoir libérer son impérieuse trique qui, comprimée dans le cuir, avait eu le temps de prendre du volume. Elle posa ses mains sur mes hanches et frotta son gros mandrin contre mon petit trou.
« Maman, tu es prête à offrir ton gros cadeau à notre petite Kyky ? Un... deux... TROIS ! »
D'un seul coup, une douleur foudroyante se répandit dans tout mon corps.
« AAAHHH ! »
Harley était entrée en moi d'un coup sec, sans prendre le temps de m'habituer progressivement à son membre dans mon anus. Alors oui, j'avais mal. Juste mal. Tellement mal que j'en avais sorti la trique de maman de ma bouche.
« Hhhhhhhuuuuummmmmaaaaaaa ! Kykyyyyyy... Tu est trop étroite !!!! A croire que ta mère ne te prend pas assez le fion ! Tata va régler ça ma chérie... »
Mais dès qu'elle commença à remuer en moi, je retrouvai les sensations de plaisir de ma première sodomie, et mes couinements de douleur laissèrent place à des gémissements de bien-être. Cependant, pour ne pas tenter l'arlequin d'accélérer la cadence trop vite, je me saisis de l'occasion qu'elle me donna en me demandant comment je voulais être prise.
« Aaahh... Vas-y doucement... au début... s'il te plaît... puis augmente... oohh.. au fur et à... aahh... mesure... hhmm... »
Profitant de la proximité des lèvres de ma nouvelle tata, je lui volai un petite baiser rapide puis je retournai faire du bien à maman en suçant sa grosse queue.
Je vivais un moment de pur plaisir : j'étais en train de me faire prendre en sandwich par deux belles femmes membrées, l'une baladant son sexe dans ma bouche et ma gorge, l'autre me prenant en sodomie, lentement au début, mais qui augmentait la cadence à chaque seconde. Le mélange de plaisir, de douleur, et même un peu de honte, que je ressentais formait un concerto parfait dans mon petit corps, qui se faisait ballotter par l'arlequin et ses mouvements de bassin. Je couinais, je gémissais, je bavais, et mes mains exprimaient mon plaisir sur le derrière de maman. Je massais ses belles fesses, je les pinçais, je leur mettais des petites claques... Que du bonheur pour Ivy. Et à force de me faire prendre, je finis par jouir, couinant si fort que même la grosse queue dans ma bouche ne pouvait étouffer ma voix, et j'envoyai ma mouille s'écraser sur le sol. Cependant, ce n'était pas fini pour autant. Maman et tata Harley n'avaient pas joui, alors je continuai à sucer et à balancer mes hanches pour leur donner du plaisir.
Au bout d'une dizaine de minutes qui me sembla passer en un éclair, Ivy et son amie arlequin explosèrent à leur tour, et balancèrent leur crème dans mes orifices. En bonne petite fille sage, j'avalai toute la semence qui coula dans ma gorge avant de finalement me retirer pour pouvoir bien nettoyer le chibre de maman, le léchant partout où il restait encore du bon sperme juteux, puis je sentis l’arlequin sortir son membre de mon anus. Jusqu'à ce qu'on me dise le contraire, je gardai le sperme dans mon corps, comme maman m'avait appris à la faire. Je m'assis en tailleur devant ces deux magnifiques femmes, qui me regardaient avec des yeux remplis de malice et des érections toujours aussi fortes.
« Aahh... Vous voulez... que je fasse autre chose ? Que je vous masturbe... ou que j'utilise des tentacules ? Dites moi... »
Dans l'état actuel des choses, j'étais plus une reçeveuse qu'une donneuse. Je voulais leur rendre encore un peu plus du plaisir qu'elles m'avaient fait ressentir, peu importe les moyens requis...