Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Gang-Bang [Lolita Cooper]

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Gang-Bang [Lolita Cooper]

jeudi 07 janvier 2016, 10:37:57

[iframe=600,50]https://www.youtube.com/embed/qFfybn_W8Ak[/iframe]

Le Saviez-Vous ? Au Japon, il était interdit, pour une boîte de nuit, de rester ouverte après plus d’une heure du matin. L’origine de cette législation stricte remontait à 1948, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, et instaurait une réglementation stricte. Une loi de morale publique, pensée à l’époque pour lutter contre un réseau de prostitution d’après-guerre, développé par les Yakuzas, avec le concours des Marines, pour fournir aux Américains des putes et de la chatte fraîche à nourrir. En restreignant ainsi l’activité des clubs, le gouvernement voulait lutter contre la prostitution clandestine... Et, tout comme la Prohibition, une telle loi avait eu des effets pervers, car aucune loi au monde ne pouvait interdire aux gens de se bourrer la gueule jusqu’à boucher les caniveaux, ni interdire aux honnêtes gens de s’envoyer en l’air avec de belles petites salopes. Concrètement, cette loi, obsolète, faisait l’objet d’une forte tolérance, et avait encouragé le développement de night clubs illégaux, ouverts toute la nuit dans des zones reculées, et que la police japonaise tolérait.

Seikusu comptait ainsi son lot de night clubs illégaux, où toute la jeunesse pouvait venir fumer, droguer, boire, s’injecter des saloperies dans les veines, et se ruiner la santé, sous la bonne humeur et la joyeuse fête. Et, parmi ces boîtes, il y en avait une que Vaas aimait bien, avec de la musique électronique qui vous explosait les tympans bien comme il fallait : l’Electro-Night. Une boîte de nuit située dans un entrepôt portuaire, ou, plutôt, dans la cave de cet entrepôt. Le gérant de la boîte s’arrangeait avec les flics pour payer ce qu’il fallait, et ainsi pouvoir tenir toute la nuit.

« WOOOOOWWW !! »

Vaas dansait, habillé avec un simple débardeur rouge et son pantalon beige, au milieu de la piste de danse, sentant des culs moulants se frotter à lui. Sous la lumière de stroboscopes et sous une musique assourdissante, on dansait, on mettait sa main sur le cul des filles... Ça, putain, c’était bon ! Entre deux tabassages de dealers, Vaas n’avait rien contre de simples soirées détente, et était, pour le coup, venu seul, délaissant sa planque du soir. La musique rugissait, furieuse, les mains se levaient, des types avec des cheveux multicolores et troués de partout s’embrassaient dans les coins, on balançait du vin depuis le comptoir, on arrosait au jet d’eau les mecs trop bourrés, dans une ambiance totalement survoltée, électrique et explosive.

Au moins, on n’avait pas le droit à cette saloperie de J-Pop de merde ! La dernière fois qu’il avait entendu ça, Vaas avait eu envie d’aller voir le DJ, de lui fourrer un fusil à canon scié dans le cul, genre bien profond, et de l’envoyer valser sur orbite ! Une musique de merde comme ça, c’était comme vous chier de la merde dans les oreilles, en vous souriant avec un gros sourire d’enfoiré sur les lèvres.

La soirée s’éternisait longuement, quand Vaas repéra une fille... À côté d'un mec qui était en train de la séduire.

*Hum... Temps d’agir, mon petit Vaas...*

Vaas se rapprocha lentement du comptoir. Il ignorait qui était ce trou-du-cul, mais... Mais merde, quoi ! Observez un peu cette diva qui se tenait à côté de lui ! Mazette, c’était comme si un Ange venait de débarquer dans toute cette crasse, et qu’une pédale de petit merdeux d’étudiant de merde venait lui pourrir la vie. C’était impossible !

« Y a des foutues lois dans la Nature ! Les juments aux étalons, et les ânesses aux mules... Et les poules seront bien gardées. »

Sa main se posa sur la tête de la mule, et il envoya sa tête s’écrabouiller sur le comptoir, lui brisant le nez au passage. L’homme chavira du comptoir, et tomba mollement sur le sol, puis Vaas s’assit sur le tabouret, juste à côté de la femme, en lui sortant un magnifique sourire.

« Salut, ma belle... On prend un verre ? »
« Modifié: jeudi 07 janvier 2016, 11:39:47 par Vaas Montenegro »

DC d’Alice Korvander.

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 1 jeudi 07 janvier 2016, 11:57:25

Qu’avait-il dit de mal ? Vaas se retrouva pantois, avec de la vodka tartiné sur la gueule, et la furie qui partait, avec une robe dix fois trop courte pour elle. Il se retourna pour la voir, louchant sur son cul, un petit boule magnifiquement serré dans sa robe de pute de bistrot prête à servir. Cette femme était venue pour se faire baiser, pour se faire défoncer contre un mur, ou dans les chiottes, à l’ancienne, entre deux rails de coke. Vaas le sentait. Si cette nana dégageait des phéromones, elle serait une véritable chaudière, une usine à bites tendues et gonflées prêtes à lui exploser à la gueule et à la noyer dans un océan de sperme et de foutre dégoulinant. Il finit par récupérer un chiffon, et s’essuya calmement le visage. Le serveur le regardait, sans trop savoir quoi dire. Il avait envie d’appeler la sécurité, mais, quand ce mec le regarda, il se dit que ce n’était peut-être pas une bonne idée. Ce type, avec sa crête à l’iroquois, avait, en toute honnêteté, un regard de malade mental, une foutue tête de fou furieux, et, tout ce que l’homme souhaitait, en fait, c’était le voir partir. C’était un club illégal, ici, et, si la police les tolérait, c’était sous la réserve que tout se passe bien. Or, l’homme que Vaas venait de fracasser contre le bar, Yoshi, faisait partie de la jeunesse dorée de Seikusu. On l’avait envoyé sur la bimbo dans la robe extra-serrée pour qu’il se la fasse, et voilà maintenant qu’il était étalé sur le sol. Que faire ? Finalement,  les kamis semblèrent l’entendre, car l’homme se releva, et sortit.

Vaas, en réalité, avait des envies de meurtre. Bon, il avait, généralement, toujours des envies de meurtre, mais là, ça se jugulait avec une érection naissante. Cette petite lui avait balancé son verre de vodka à la gueule avant de se casser. Il ignorait ce qu’elle avait dit ensuite. Il avait cru entendre qu’elle voulait qu’il soit violent avec elle, qu’il la poursuive, et qu’elle le suce, dans une parodie de viol à l’ancienne. Ces bonnasses comme ça... Se prenaient-elles vraiment pour des petites Princesses ? Une nonne ne se rendrait pas dans un bouge miteux. Vaas se dirigea vers la sortie, et grimpa l’escalier, avant d’ouvrir la porte.

*Où est passée ma Princesse ?*

Un jeu, c’était ça. Elle lui avait dit de le suivre, à travers les sens cachés de ses mots. Les femmes, vous voyez, elles... Elles étaient intelligentes, elles savaient comment dissimuler leurs véritables intentions. Quand une nana habillée comme la Reine des putes vous disait « Non ! », ça voulait dire : « Mais, merde, qu’est-ce que tu attends pour me baiser méchamment ? », ou : « Tu crois que je recherche un Prince charmant ? Nan, j’suis une pute, et les putes, tout ce qu’elles veulent, c’est des types méchants ! ». Oh ouais, bébé ! Si elle voulait un salaud, elle allait être servie ! Vaas ne s’était jamais senti d’humeur aussi charitable et gentleman qu’en ce moment, où il allait faire plaisir à une dame.

L’homme s’avança le long d’une ruelle, en entendant les claquements du talon, comme les petites miettes de pain de la grosse vache d’Hensel, dans le putain de conte à la con où des parents abandonnent leurs petits bâtards dans la forêt, en leur disant de bouffer des noix de coco, ou des saloperies d’écureuils. Tout en marchant, il sortit son téléphone portable, et composa un bref message, puis s’approcha rapidement. La femme s’était engagée dans un chemin menant droit vers la station de tramway, mais elle était dans une série de ruelles et d’impasses étroites, le long des docks. La police ne recommandait pas aux touristes de ne pas s’y rendre pour rien.

Alors qu’elle était sur son portable, Vaas la contourna, et débarqua dans un angle. Il agit rapidement, en attrapant son portable, et le balança contre un mur, l’envoyant exploser, et saisit la femme au cou avec son autre main, la poussant, l’envoyant heurter une grosse poubelle verte.

« Salut, beauté ! Tu te rappelles de moi ? Je suis Vaas... Ton Prince charmant ! »

Il se dressait face à elle, et l’attrapa par les cheveux, la redressant. Face à lui, elle était comme une petite poupée, ou comme un petit chat, en train de protester, de faire semblant... Oh, qu’elle est mignonne.

« J’ai saisi ton message, ma beauté... Le temps que mes potes arrivent, on va faire un peu les présentations... »

Vaas parlait d’une voix basse, très excitée, et se rua sur elle, usant de sa musculature et de sa force. Ses mains se posèrent sur le décolleté de sa robe, et il l’arracha d’un coup sec, faisant sauter sa merveilleuse paire de nichons, qui brillaient comme des lucioles phosphorescentes un soir de Printemps hivernal. Sa main déboutonna son pantalon, et il fit sortir sa queue, la faisant frotter contre les cuisses.

« Gifle-moi, ma salope, tu sais que j’aime ça, mon bébé... »

Ils étaient éloignés de l’entrée du club, et personne ne viendrait... Sa robe était courte, et il nota vite que la femme n’avait pas de culotte... Ou alors, il l’avait peut-être déjà retiré... Difficile à dire.

En tout cas, il s’empressa de la pénétrer, la baisant à même le sol, et posa ensuite ses mains sur les poignets de la femme, les plaquant contre le sol.

« Ah, putain, ouais !! Hum... Ça, c’est de la chatte, ma chérie... Une chatte de merveilleuse pute, ha ! »

Et il commença à remuer en elle.

Comme une manière de l’honorer.

DC d’Alice Korvander.

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 2 vendredi 08 janvier 2016, 00:58:11

Vaas s’enfonça en elle, et trouva ses lèvres intimes... Magnifiques. Façonnées et taillées pour épouser la forme de son sexe, de sa pioche, qui alla ramoner dans sa grotte, à chaque coup. Elle hurla au début, évidemment, parce que c’était normal. Les filles étaient comme ça, elles avaient besoin d’exprimer leur désir, leur plaisir, et, tandis qu’elle hurlait, lui éclatait de rire, fasciné devant une telle force, devant une telle... Énergie.

« Ouuuuaaaaaaaiiiissss !! Ha-ha-ha-ha-ha-ha !! Vas-y, ma chérie, gueule, gueule, WOOOOOOOW, ce qut’es bonne, putain !! »

Il remuait encore en elle, et elle, elle continuait vainement à se débattre, tandis que ses seins remuaient devant son visage. Il la prenait, et alla lécher son cou, la mordillant un peu, avant de la renifler, et, et... Oh, Dieu, qu’elle sentait bon, cette petite pute ! Ah, quelle odeur ! Ça, c’était l’odeur du cul, l’odeur de la femme voulant se faire défoncer la chatte et exploser le cul par un homme, un vrai homme, pas cette espèce de merdeux à la bite molle qui était venu l’aborder tantôt. Comme pour s’en convaincre, Vaas sortit sa langue, et lécha la joue de la femme, remontant jusqu’à son oreille, ses mains serrant toujours ses poignets, et, haaann... Quel goût, quel goût ! C’était comme lécher un délicieux gâteau humain ! Elle était tout simplement... Parfaite ! Oui, voilà le bon terme à employer... Parfaite !

Elle avait beau hurler, aucun individu ne viendrait à son secours, ils s’étaient trop éloignés du club pour que les videurs aient envie de faire des heures supplémentaires. Comprenant que personne ne venait, la femme sembla alors se calmer, et lui demanda d’y aller... Plus doucement. Vaas la regarda, surpris, puis approcha son visage du sien. Ne comprenait-elle donc pas ? Pourquoi continuait-elle à parler comme ça ? Il y avait pourtant des lois dans la foutue Nature ! Ils étaient en train de baiser, là, pas en train de tenir un discours devant un show télévisé à la con !

« Tu... Tu parles trop, putain... Putain ! Est-ce que... Hummm... Est-ce que je-sais-pas-moi ? Est-ce que tu pourrais pas te contenter de juste profiter du moment précis, et... Hummm... FERMER-TA-PUTAIN-DE-GUEULE-DE-MERDE !! TA GUEULE, SALOPE !! FERME. TA. PUTAIN. DE. GUEULE !! »

Joignant le geste à la parole, il posa une main sur sa bouche, appuyant dessus.

« On baise là, bébé, okay ? Putain, tu me fais du mal, à pas vouloir... Tenir compte du moment présent. On baise, ma poupée. Ensuite, on dialoguera autant que tu veux, mais là... On baise, alors tu fermes ta gueule... Ou je te tranche en morceaux, et je te fous dans la poubelle à côté ! »

Avec son autre main, il récupéra un couteau de combat situé le long de sa ceinture, et le planta sur le sol, à côté du visage de la femme, puis retira sa main de la bouche de son ange, et lui caressa tendrement les cheveux.

« Je t’aime, mon bébé... »

Il l’embrassa alors, plaquant sa bouche sur la sienne, puis continua à la prendre. Ses mouvements devinrent de plus en plus lourds, et il rompit le baiser au bout de quelques secondes, avant de se concentrer sur sa tâche, emmenant le corps de la femme avec elle. Dieu, qu’il bandait dur ! La vache ! Vaas avait pris un peu drogue avant d’aller à la boîte, il le reconnaissait, ce qui faisait qu’il était déjà sous tension avant de finir, alors, quand il avait vu ce joli petit lot qui dandinait du cul comme un régiment de salopes se mettant au garde-à-vous pour le gang-bang, son cœur avait chaviré.

Et, alors qu’il la prenait, et qu’il sentait l’orgasme arriver au bout de plusieurs minutes, on put entendre le ronronnement d’un moteur. Un van noir venait de se garer à l’entrée de la ruelle, des phares venant les éclairer, tandis que des portières se mirent à claquer... Pile au moment où Vaas jouit enfin en elle, en soupirant.

« Ah, ma salope, t’es tellement bonne... »

Il soupira en tirant la langue, la tête relevée en arrière, puis se redressa ensuite, et récupéra son couteau.

« Et ton carrosse est arrivé... »



[HS] Pour se faire une idée du ton de Vaas quand il se met à hurler, tu peux consulter cette courte vidéo ==> https://www.youtube.com/watch?v=TQzBlxwoDpc [/HS]

DC d’Alice Korvander.

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 3 vendredi 08 janvier 2016, 12:12:58

Vaas s’était relevé, le sexe à l’air, avant de le ranger sous son pantalon, tandis que les hommes à l’intérieur du van se rapprochaient... Et on pouvait entendre des barres à mines frotter contre les murs. La jeune femme, de son côté, exprima alors sa surprise, en demandant de quel carrosse il pouvait s’agir. Debout devant elle, Vaas se mit à sourire, comme s’il trouvait cette question idiote.

« Mais... Ton carrosse, ma Princesse ! Celui qui t’emmènera dans ton château ! Tu sais... Comme dans tous ces putains de contes à la fées à con pour les salopes comme toi ! Avec le petit Prince qui emmène... Sa petite Princesse... Dans leur château magique... Pour... Pour lui fourrer sa GROSSE PINE dans son CUL DE SALE TRUIE et la faire HURLER et HUUUURLER jusqu’à la FIN DU FOUTU TEMPS !! »

Tout en lâchant ces derniers mots, il avait fléchi les genoux, et l’une de ses mains remontait lentement le long de l’une des jambes de la femme, un doigt après l’autre.

« Tu sais, c’est comme ça que ça se termine dans les contes de fées... Ils se marièrent, et eurent beaucoup d’enfants... Mais... Je t’avouerai que le côté mariage, hein... On va laisser ça de côté, c’est quand même un peu ringard. On va se concentrer sur l’essentiel. T’es venue dans ce club pour te faire exploser le cul jusqu’à pouvoir prendre un aller-simple sur Pluton, et c’est tout ce qu’on va te faire... Tu vois ? Un parfait gentleman. »

Les hommes étaient maintenant là, et l’intensité des phares diminua, ce qui permettait à Lolita, si elle tournait la tête, de voir qu’ils portaient tous des masques d’animaux. Certains avaient juste des débardeurs, permettant de voir une série de tatouages. Vaas se redressa alors.

« Allez, emmenez cette salope, les gars ont bien mérité de se défouler un peu.
 -  Ouais... »

Les gars avaient beau trouvé Vaas un peu cinglé (mais juste un peu), il fallait reconnaître qu’il savait les gâter. La dernière chose que Lolita put voir fut un épais sac marron qui s’abattit sur sa tête.



Hold up ! Whoa, whoa wait a minute-minute, Jesus Christ
Yo my man DJ High Tek - Shit, this motherfucking beat is nice

Ce fut probablement la musique qui réveilla Lolita. Quand la jeune femme devait ouvrir les yeux, elle constaterait vite qu’elle n’était plus dans une ruelle sinistre, mais dans une sorte de chambre pour prostituée, dans un confortable lit. La pièce était éclairée par des lueurs rouges, et il y avait, à sa gauche, la porte, ouverte, d’où une terrible musique s’échappait. Et, à sa droite, il y avait une série de corsets, de tenues mis sur des mannequins, avec, au fond, un grand miroir, et tout un ensemble de maquillages.

Back in the day them dwankies didn't want to believe in us

Lolita n’avait plus sa robe, mais des sous-vêtements noirs, fins et élégants, avec de la dentelle blanche. On l’avait également nettoyé, et mis du rouge à lèvres. Et on pouvait également entendre, venant de la gauche, des hurlements, et parfois des coups de feu. Visiblement, elle était dans une fête, et, le temps qu’elle émerge, des bruits de pas se firent entendre dans le couloir.

« Ah, la Princesa est réveillée ! »

Un homme énorme venait d’entrer. Il faisait bien deux mètres, avec un énorme bide, et un masque de cochon sur la tête... Et un tablier recouvert de sang. Il s’avança vers elle, et l’une de ses grosses mains vint saisir la jeune femme, puis la balança hors de sa chambre, l’amenant au cœur de la fête.

Son corps mince et frêle atterrit contre une rambarde, et elle put alors voir où elle était.

C’était un ancien entrepôt, probablement situé en bordure de la ville, et une musique rugissait depuis des sonos. Vaas était là, se menant à une danse insolite, en remuant des bras, en compagnie d’autres hommes, certains étant juste en caleçons, le corps recouvert de tatouages... On fumait, on buvait, il y avait des cartons de pizzas dans les coins, des bouteilles de bière, des seringues et des vêtements sales sur le sol... Et des bidons d’essence.

Fuck what you think, I do what I want
I can make a million little motherfuckers jump

La danse avait lieu autour d’une reproduction brésilienne. Un homme, avec plusieurs hématomes sur le visage, couvert de sang, était ficelé au milieu de la pièce, bloqué par une série de pneus, et recouvert d’essence.

Et, le temps que la femme voit ça, le gros porc, derrière, avait eu le temps de se régaler en voyant son petit cul, et se pencha vers elle, posant une main sur sa tête. Son estomac s’aplatit contre son dos, et la femme put sentir, contre ses cuisses, un mandrin énorme, en proportion avec le géant dans son dos. Il respirait bruyamment, et enfonça sa queue dans le vagin de la femme, la baisant par l’arrière.

« On a fait une fête en ton honneur, huh... !! »

Et l’homme commença à la prendre, sans plus de ménagement, tirant sur ses cheveux, renâclant dans son dos, déplaçant son autre main pour pincer son sein à travers son soutien-gorge.

« Huuuhh-Huuuuhh... !! »

DC d’Alice Korvander.

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 4 vendredi 08 janvier 2016, 23:11:16

La belle Lolita ignorait dans quel endroit elle venait de débarquer, et cet homme supplicié, et sur le point de griller vivant, n’était qu’un aperçu de tout ce qui avait lieu ici. La femme se mit à hurler quand Tête-de-Porc enfonça sa grosse queue tendue dans son con. Il sourit sous le masque quand il sentit la main de la femme caresser son sexe, et tira sur ses cheveux, venant la soulever pendant quelques secondes, avant de reposer ses mains grasses sur ses hanches, et de continuer à la bourrer, la faisant sautiller d’avant en arrière le long du garde-fou. L’homme était un costaud, une vraie masse de chair, et on pouvait l’entendre grogner et soupirer, tandis que la femme, entre deux couinements, demandait à ce qu’on épargne la vie du type. Tête-de-Porc ne savait pas trop de qui il s’agissait, et, honnêtement, il n’en avait rien à foutre. C’était à Vaas de décider, et Vaas avait décidé qu’il fallait le cramer, alors... Tête-de-Porc n’allait pas discuter. Il ne fallait jamais discuter avec Vaas, de toute façon. Là, tout ce qu’il avait envie de faire, après une heure de charcuterie dans la salle rouge, c’était de se laisser aller, de se détendre, et de faire un brin d’honnête baiserie.

Le gros homme continuait donc à la prendre, et finit par relever sa main, en la posant sur sa tête. Ha, que c’était bon ! Une belle petite pute dans des tenues élégantes, bonne à se faire prendre et défoncer.

« Tu t’es réveillée... Dans la chambre... Huueee... D’invitée... ‘S’agit pas de mourir pour toi c’soir, ma belle, haaaa... Juste de baiser, baiser... Encore, encore, et encore. »

Sympathique programme, non ? Tête-de-Porc soupira alors, mais cette femme continuait à couiner, à gémir, à hurler... Si simuler en surjouant pouvait exciter certains hommes, chez notre ami boucher, c’était tout l’inverse. Lui, c’était un sensible, un taciturne, quelqu’un qui préférait passer du temps avec les gens calmes, et qui ne supportait pas les hurlements, surtout les couinements et les gazouillements des chiennasses de fille.

C’est ce qui l’amena à soulever la fille, l’écartant de cette zone, et il la força à se mettre à quatre pattes sur le sol, tandis que des bruits de botte se faisaient entrer. Un homme était en train de monter l’escalier menant du hall à ce couloir en hauteur. Un autre homme masqué, portant le masque de Freddy Krueger. Un sacré maquillage ! Il s’approcha, et comprit rapidement ce qui se passait, car lui-même, en réalité, avait envie de se taper leur pute personnelle... Et, vu ses petits couinements de pute, elle avait l’air d’aimer ça.

« Héhé... Elle a de l’énergie à revendre, cette cocotte !
 -  Hurrmpfff... Elle couine comme un âne... Haaaa... J’ai envie de... De la buter... »

Freddy Krueger était en train de fumer un joint, et tira dessus, avant d’ouvrir son pantalon, révélant son sexe, qu’il approcha de la bouche de la femme, venant soulever son visage. Grasse et puante, sa queue vint frotter le visage de Lolita, ses joues, son nez, avant de titiller ses lèvres. En fumant et en souriant, de ses dents pourris et pointues, Freddy rigolait doucement... Et Tête-de-Porc la gifla alors.

« À la base, j’étais juste monté pour pisser un coup... »

Finalement, il haussa les épaules, puis fourra sa queue dans la bouche de Lolita.

Il ne fallut plus attendre que quelques minutes avant qu’il ne soupire. Ses mains se crispèrent sur les beaux cheveux de la femme, et il pissa dans sa bouche, tandis que Tête-de-Porc, avec ses grosses paluches, retournait frapper son cul, donnant de grosses claques, qui résonnaient bien dans l’espace.

Un très beau réveil pour Lolita !

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 5 mercredi 13 janvier 2016, 01:02:58

Les hommes de Vaas n’étaient guère mieux que leur chef, mentalement parlant. Pervers et cruels, c’était à croire qu’ils étaient recrutés avec présentation de leur dossier psychiatrique. Tête-de-Porc rigolait doucement, renâclant bruyamment. On disait que son père l’avait un peu trop tapé à la tête quand il était jeune, ce qui expliquait pourquoi il avait toujours eu une adolescence compliquée, avec un casier judiciaire long comme une autoroute. Il avait véritablement connu son ascension le jour où on l’avait retrouvé dans la cave familiale, à manger les organes de son père. Depuis lors, il avait fini dans un asile, avant d’en ressortir, et de se spécialiser… Dans la boucherie.

Quant à Freddy, il avait grandi dans un orphelinat, sans avoir jamais connu ses parents. Il adorait les fellations, et pisser dans la bouche de ses copines, mais, bizarrement, ces dernières n’aimaient pas trop ça. Il avait déjà bastonné plusieurs putes quand elles avaient protesté contre ça, mais c’était surtout l’incendie de son orphelinat qui lui avait valu les poursuites de la police… Ça, ainsi que la mort de plusieurs des filles de l’orphelinat, les « amoureuses » de Freddy. Ce qui l’avait amené à brûler le corps d’Asuka, c’est quand elle avait refusé de boire sa pisse, qu’elle l’avait traité de « [|i]cinglé[/i] », de « malade mental complètement fou », de « sale gros connard de pervers ». Il l’avait frappé… Frappé avec la lampe à chevet d’Asuka, lui explosant le crâne, puis il avait ensuite enflammé cette dernière en la mettant dans le lit, en se disant que ça avait été le meilleur moyen de dissimuler le corps. Mais le feu avait pris, et tout l’orphelinat avait cramé, tuant quelques autres personnes. Un simple accident involontaire… Mais qui lui avait valu plusieurs années en prison. Où les taulards l’avaient appelé « Le-Pisseux », lui pissant dessus, et lui ordonnant de boire leur pisse, ou même leur chiasse. Autant dire que l’homme derrière Freddy était particulièrement dérangé également, et que la prison, source de réinsertion, n’avait fait qu’aggraver son cas.

Maintenant que Freddy était avec Vaas, il pissait dans chacune des putes qu’on lui ramenait, et, là, avec Lolita, l’homme s’était généreusement lâché, vidant ses couilles en elle, en soupirant légèrement. Il pissa donc en elle, et vit ensuite qu’elle retenait son urine, gonflant ses joues, ce qui l’agaça. L’homme grogna, agacé par cette rébellion, et sortit de sa ceinture son arme, un pistolet. C’était un Colt, qu’il posa sur le front de la femme, tout en relevant le chien, sa queue tendue caressant les lèvres de la femme.

« Avale ma pisse, je te cogne avec la crosse de mon arme ! On peut pas te buter… Mais ça empêche pas qu’on peut être méchant avec toi, genre… Vraiment méchant. »

Comme pour confirmer cette assertion, Tête-de-Porc se mit alors à péter, ce qu’il faisait souvent quand il était heureux.

« Maintenant, tu bois tout, puis je te baise la gueule ! T’es notre pute, notre CADEAU, alors… Tu OBÉIIIIIISS !! Compris ?!! »

Freddy s’était mis à hurler, sa voix se crispant sur les aigus.

« Bois, SALOPE, bois, bois, BOOOOIIISSS !! Bois, pétasse, BOIS !! »

Tête-de-Porc soupira alors, pétant à nouveau, et reprit ses coups de reins, enfonçant ses ongles pointus dans sa chair, tordant son cul, et donna de multiples coups de reins supplémentaires, son gros ventre venant heurter sa peau.

« NYYAAAAA… HUA-HUA-HUUAAAA-HUUUUAAAA !! T’es boooonneeeeeuuuhh, rrrrooooîîînk !! Nyyyaaaaaghhhh… ‘Te baiser, huuuuuuueee !! »

De la bave coulait de ses lèvres, filant sous le masque pour tomber sur le dos de la femme.

DC d’Alice Korvander.

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 6 dimanche 17 janvier 2016, 23:56:33

Freddy et Tête-de-Porc avaient largement de quoi être excités et comblés par le moment présent. La queue du gros porc continuait à labourer le corps de la femme, à s’enfoncer dans sa chatte, à la défoncer. Et, peu à peu, Lolita s’admettait vaincue, en comprenant que son destin n’était pas d’être une grande littéraire, mais de devenir le sac à foutre des hommes les plus tordus de la planète. Ce que Freddy et Tête-de-Porc, en ce moment, représentaient très bien. Les deux hommes continuaient à joyeusement besogner la belle Lolita, leurs grosses queues tendues, et dures, se perdant dans son corps, la prenant d’avant en arrière.

« Ouuuaaaaiiissss… !! Hmmm… Suce, sale pute, suuuuuce !! »

Ah, que c’était bon ! Freddy adorait ça, et enfouissait sa queue dans la bouche de la femme, multipliant les gorges profondes en posant ses mains sur ses cheveux. Il les pinçait, et grognait, soupirant de plaisir, tirant sur ses cheveux, ses beaux cheveux soyeux. Sa queue, elle, continuait à remuer, tapant dans la gorge de la femme, avant de repartir en arrière, puis de remonter en avant, encore, encore, et encore. Grognant et soupirant, Freddy se faisait tout simplement royalement plaisir, et, pendant de longues minutes, les deux hommes continuèrent à la bourrer, comme une sorte de magnifique accueil, de délicieuse entrée en matière.

Puis les deux hommes finirent par jouir, balançant des chapelets de foutre dans le corps de la femme. Tête-de-Porc la claqua encore, giflant son cul en jouissant, lâchant aussi de magnifiques caisses en grognant, et Freddy jouit avec la langue pendante, le corps arqué en avant, les deux mains posées sur la tête de Lolita, donnant, donnant, et donnant encore… Il vida ses couilles dans sa belle petite bouche de pute, et termina par jouir sur son visage, retirant sa queue pour balancer quelques giclées blanches sur ses lèvres et sur ses joues.

« Haaaaaa… Prends ça, salope !! Ma signature !! »

Les deux hommes avaient donc joui, et Freddy s’écarta lentement, en soupirant, tout comme Tête-de-Porc, dont la grosse queue tendue se retira de la petite chatte de Lolita.

« Grrooîîîînnk ! Ce fut très bon ! Huehue ! »

Tête-de-Porc tira ensuite sur les cheveux de Lolita, et lécha sa joue et son cou, son gros ventre venant encore taper contre son flanc.

« T’inquiètes pas, ma beauté, on se retrouvera… J’ai besoin d’une distraction pendant que je découpe des gens et que je prépare mes repas. Je te ferais un bon steak si tu es sage, huéhué !! »

Il finit par la relâcher, puis se mit à marcher. Freddy, de son côté, finit par relever Lolita, puis claqua ses fesses en l’aidant à remettre sa culotte à dentelle.

« Huhu… J’ai encore envie de te baiser… »

Son membre, dur, caressait les hanches de Lolita, et il la retourna à nouveau, venant enfoncer ses seins contre son torse, et l’embrassa goulûment, plaquant ses lèvres contre les siennes. Il l’embrassa un peu, en profitant pour masser ses seins.

« J’ai jamais vu une aussi belle pute que toi, ma chérie, si bandante… Mais ‘faut que t’ailles voir Vaas, ma beauté… Dépêche-toi d’y aller, il est en bas… Et… Je reviendrais te pisser dedans, ensuite… »

Il lui fit un sourire hideux puis la poussa vers l’escalier, et lui ordonna de descendre.

En contrebas, il y avait toujours l’homme attaché dans les barils, et Vaas était là, sur un fauteuil, avec, à côté de lui, sur une table, un petit bocal abritant, non pas des boissons, mais deux araignées. Il tourna soudain la tête en voyant Lolita descendre, puis claqua dans ses mains.

« Vos gueules… HEY ! VOS GUEULES ! »

Sa main se saisit d’une batte de base-ball, et il frappa l’un de ses hommes en train de danser, à hauteur du ventre.

« J’ai dit… VOS GUEULES, PUTAIN !! »

L’homme gémit en tombant à genoux, et se reçut ensuite un coup de poing en pleine figure, un coup plutôt violent, qui l’envoya s’étaler sur le sol. Vaas grogna, obtenant enfin le silence, une lueur de haine meurtrière dans les yeux… Puis fit un grand sourire à Lolia, en penchant la tête sur le côté.

« Mon bébé !! »

L’homme s’approcha d’elle, et vint la prendre dans ses bras.

« Tu as bien dormi ? J’espère que ta maison te plaît… Ici, tu es un peu… Notre Reine ! Et moi, ton humble chevalier… »

Vaas s’écarta d’elle, et lui fit alors une révérence.

« À tes ordres, mon amour… »

DC d’Alice Korvander.

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 7 lundi 01 février 2016, 00:14:30

Vaas était assis sur son trône, tel un Roi sinistre devant une fête tout autant sinistre. Un homme avait été torturé, et vivait encore, semi-conscient, au milieu des pneus. Mais, en ce moment, Vaas regardait surtout Lolita, sa bimbo, la jeune femme qui l’avait honteusement repoussé au club de nuit, avant de finalement s’accommoder à sa nouvelle situation. « Freddy » et « Tête-de-Porc » s’étaient bien occupés d’elle, la préparant, et, visiblement, elle n’était guère plus choquée que ça, allant même jusqu’à l’exciter, en jouant avec l’élastique de son string, tout en lui disant, pour résumer, qu’elle avait très envie de se faire sauter le cul. L’homme, en train de tirer sur son joint, esquissa un sourire amusé, puis jeta son mégot sur le sol, avant de se relever.

« Et bien... Je ne t’ai pas menti, ma chérie. Tu es bien une Reine... Une Reine du cul ! »

Le brave homme termina sa phrase en enlaçant la femme, l’embrassant ensuite en plaquant sa bouche contre la sienne. Se main se crispa sur sa fesse, et l’autre alla la gifler sèchement, résonnant dans la pièce. Au milieu de ses hommes, il l’embrassa goulûment, fourrant sa langue dans la bouche de la femme, la sentant se tortiller contre lui. L’homme avait clairement tiré le gros lot, une pute comme on en faisait plus, dont la seule envie, en ce moment, était de se faire défoncer sur place. Sa langue s’attaqua à la bouche de la femme, et, avec ses deux mains, il malaxa son petit cul.

Cette femme avait un corps parfait, ample, généreux, avec une peau terriblement douce, le tout allié à un esprit empreint de perversion et de luxure. Que demander de plus pour se détendre ? Vaas poursuivit son baiser avant de le rompre, un grand sourire sur les lèvres.

« Aah, ma chérie, tu es décidément une perle rare... Tu me fais bander un truc de fou... Ne t’inquiète pas, ma petite pute, on va bien s’occuper de toi, ici... Tu vois ? Tu es bien entourée ! On a même fait un sacrifice pour toi ! »

De la main, il lui désigna l’homme supplicié, et tapa ensuite dans ses mains.

« Okay, les gars ! Maintenant que la Reine est là... Passons au RITUEL, WOOOOOOOOOOOOOOOOOWWWW !!! »

Vaas hurla en levant les bras et en courbant son corps vers l’arrière, puis ses hommes hurlèrent à leur tour, comme des espèces de possédés.

« HGOUUM – HOUM ! HOUM – HOUM ! HOUM – HOUM – HOUM – HOUM !! »

Ils tapaient et frappaient dans leurs mains à un rythme cadencé, tandis qu’un homme s’approchait, avec une tête-de-bouc, tenant dans sa main une torche. Il était nu comme un ver, et poussa un long hululement en brandissant bien haut la torche.

« HUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHUUUUUUUHUUUUUUUUUUUUU !! »

Et hop ! La torche fonça sur l’homme, et, malgré sa douleur, le supplicié parvint à pousser un gémissement et un cri plaintif quand son corps s’enflamma en quelques secondes. Un joli brasier se dressa, et Vaas hurla :

« Que les Valkyries t’emportent au Valhalla, trou de balai à chiottes !! Yaaaaaaayyy !! »

L’homme se retourna ensuite vers Lolita, tandis que les flammes éclairaient la pièce.

« Allez, ma chérie ! Mets-toi à quatre pattes, que je te baise un coup... »

Il l’aida à se mettre en position, et caressa ses cheveux, avant de tirer dessus, la soulevant, puis gifla ensuite ses fesses, aimant l’entendre couiner et gémir. Ensuite, il retira son pantalon, révélant un sexe érigé et assoiffé, puis écarta le string de la femme, pour enfoncer ensuite sa queue en elle, et retourna tirer sur ses cheveux quand son membre s’enfonça dans son cul.

« Haaaa... Allez, allez, hue-hue, cocotte ! Hummmm... Ahh, t’as un de ces culs, ma belle pute ! »

Vaas célébra cela en lui donnant une nouvelle gifle, sous le reflet chatoyant des flammes.

Il en aurait pleuré tant c’était romantique.

DC d’Alice Korvander.

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 8 mardi 02 février 2016, 12:40:02

Cet endroit était comme un paradis anarchique, une zone de non-droit absolue où tout pouvait avoir lieu, et où tout devait avoir lieu. Cramer un mec dans des pneus après l’avoir torturé n’en était qu’un aperçu parmi d’autres, comme violer une fille et en faire une pute personnelle. Généralement, il fallait les battre, les attacher, les droguer, car elles cherchaient toujours à fuir. Lolita, en ce sens, était une rare et précieuse exception, alors, dédier ce meurtre à sa beauté et à son charme, voilà qui, selon Vaas, était une idée parfaitement romantique. Nettement mieux que d’offrir un bouquet de fleurs à la con ou un bijou de merde, non ? On cramait un mec pour elle, putain ! Un foutu sacrifice humain, dans la joie, la bonne humeur, les claques et les coups de trique ! Impressionnée, Lolita glissa qu’elle était flattée, ce qui fit sourire Vaas, fasciné par les flammes. Était-il possible qu’il y ait, chez l’homme, un fond de pyromanie ? Ce type n’était pas le premier qu’il faisait cramer. Il aimait ça, voir les corps se tortiller, sentir l’odeur de la chair en décomposition, de la combustion, le corps qui se tortillait sur place, se noircissant, la peau tombant d’une carcasse devenue méconnaissable, jusqu’à ce qu’on entende le corps craquer… Et les hurlements, bien sûr. La douleur résultant du feu était terrible, probablement l’une des plus insupportables au monde. Oui, Vaas comprenait pourquoi les bûchers étaient, jadis, des lieux de festivité. C’était… C’était beau, tout simplement.

Et c’était donc parfaitement en adéquation avec Lolita, et ça renforçait l’ardeur de Vaas. Il la prenait donc, les yeux légèrement écarquillés, une lueur de démence dans le regard, et souleva le corps de la femme, la faisant gémir. Elle indiqua, entre plusieurs soupirs, alors que le membre de Vaas lui labourait douloureusement le cul, qu’elle avait mal… Et, pour réponse, Vaas gifla douloureusement son cul, imprimant sur la marque ronde de ses fesses l’empreinte féroce de ses doigts.

« Ouais… Et t’aimes ça, HEIN, salope ?! Hummm… Regardez ça, les mecs ! La REINE DES PUUUUTES est là, et elle a un cul D’ENFER !! »

Les hommes se rapprochaient, silhouettes floues avec ce feu qui brûlait, mais beaucoup portaient des masques. Personne, toutefois, ne vint remplir la bouche de Lolita dans un premier temps, car on voulait l’entendre gémir, on voulait entendre sa petite voix de pute tandis que leur Boss la prenait. Ce dernier continuait à la tirer par les cheveux, soulevant de plus en plus son corps, tirant sur la plante capillaire, tout en la saillant, encore et encore, et en la giflant… Et *TCHAC*, et *PAF !*, les coups pleuvaient douloureusement sur sa belle peau, et elle, elle n’avait pas voix au chapitre, elle avait juste le droit de couiner, tandis que les hommes rigolaient grassement, et que leurs queues s’approchaient de leur nez, l’imbibant d’une délicieuse odeur de luxure, mélange de l’odeur naturelle d’une queue et de l’odeur de grillé qui s’échappait du corps massacré.

« Allez, les gars, ‘soyez pas timides, vous allez lui faire peur ! »

Tête-de-Bouc s’approcha alors, en écartant deux hommes. Il était grand, faisant plus de deux mètres de haut, avec une série de tatouages et de cicatrices sur le torse. Mais, loin de vouloir enfoncer sa queue dans la bouche de Lolita, il se masturba devant elle, ainsi que les deux hommes à côté de lui, sur sa droite et sur sa gauche. Tous vinrent se masturber devant le visage de la femme, alors que Vaas, bien en forme (la drogue aidait beaucoup), continuait son rodéo du cul…

Et, dans de légers soupirs et frémissements, les hommes vinrent tartiner le visage d’amour de Lolita de leur foutre ainsi que de leur pisse, offrant à Lolita un étrange et pervers mélange de sperme et d’urine dégoulinant sur ses joues et sur ses lèvres…

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Gang-Bang [Lolita Cooper]

Réponse 9 dimanche 13 mars 2016, 17:33:36

La queue de Vaas était bien solide, et bien plantée dans le corps de la Reine-Des-Putes. C’était une queue tropicale, une queue qui venait des îles, avec tous les clichés qu’il y avait sur la taille des queues des insulaires. Le pirate n’avait pas à rougir de son appareil, et ce d’autant plus qu’il avait une carrure très athlétique. Prise en levrette, Lolita était dans une position humiliante. Des siècles et des siècles de lutte pour la condition de la femme s’effondraient en quelques secondes devant la bestialité de Vaas et la perversion d’un gang de malades mentaux survoltés par la violence, les drogues, et par ce type qu’ils venaient de faire flamber comme un chiche kebab. Cet entrepôt crasseux rempli de cadavres de bouteilles et de cartons de pizzas éventrés n’était rien de plus qu’une version moderne de Sodome, zone dédiée à la luxure sans relâche, où la femme était rabaissée à son plus simple statut de sexe. Voilà ce que Lolita était, une « femme-objet » dont le seul but était de servir l’excitation d’une bande d’individus qui, soit étaient mentalement dérangés, soit étaient des pervers cruels et sadiques... Ce qui, somme toute, revenait un peu au même.

Et, tandis que Vaas la prenait, et la giflait, claquant sèchement son petit cul de traînée, les hommes devant elle, formant un demi-cercle, se soulageaient sur elle. La belle pouvait peut-être voir, à travers les larmes et les projections de foutre lui tartinant le visage comme du beurre sur une biscotte, le demi-cercle se resserrer de plus en plus. Certains la filmaient volontiers, probablement pour un quelconque chantage à venir ultérieurement.

« Puuutain, aaaaah, ma chérie, quel cuuull !! Haaaaaaaa... !! »

Vaas se cambra d’un coup, doublant ses coups de reins, tandis qu’on continuait à filmer la femme, zoomant sur son cul défoncé par la verge de l’homme, puis sur son visage, notamment quand deux hommes lui pissèrent dessus, maculant certaines de ses mèches de cheveux, la pisse dégoulinant sur le sol. Toute la fierté et l’amour-propre de la femme était en train de voler en éclats, comme un barrage qui cèderait devant des vagues d’eau. L’humiliation se poursuivit encore quand une queue s’enfonça dans sa bouche, et on lui pissa dessus, puis, juste après, une autre queue la remplaça, une main ferme et crasseuse s’empoignant de ses cheveux. Un sexe en sueur, sale et puant, s’enfonça dans sa bouche, l’odeur infâme démêlant des poils pubiens venant dans les narines de la pauvre femme.

Et, par-delà les cris, les moqueries, les insultes, une musique tonitruante rugissait dans les haut-parleurs, les accents de techno amplifiant le côté surréaliste de la scène, comme si Lolita était en train de faire un trip’ hallucinogène et sexuel sous LSD.

Elle pouvait pleurer toutes les larmes de son corps, ces dernières se mélangeaient avec le liquide qui dégoulinait de son visage, tandis que les hommes, dansant et se masturbant, se ruaient à la queue-leu-leu pour lui baiser sa belle petite bouche d’amour...

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