Une apparition soudaine, un grand bruit ! Puis le silence, à nouveau, elle venait de revenir dans la réalité après un long voyage dans le vide interdimensionnel. Toute nu, même pas un ne bout de tissus pour la couvrir, rien n’était caché et ça ne semblait pas l’embêter non plus. Toute nue, face aux élèves surpris pour la plupart, elle déambulait dans les couloirs de l’écoule. Aller avoir pourquoi, mais personne ne semblait avoir une autre réaction que de détourner le regard ou chez quelques garçons, la regarder avec insistance. Pourtant de ses yeux de feu elle ne donnait nulle envie qu’on vienne l’embêter ! Quand une prof se présenta, disant que sa tenue n’allait pas du tout et lui demandant de quelle classe elle était, elle sourit.
- Je ne suis pas certaine de comprendre votre question, mais vous ne pouvez pas être une prof, chienne en rut serait mieux pour vous et votre immense poitrine...
Et comme si c’était fait, sans aucune raison, ni logique, la poitrine de la dame prit du volume, jusqu’à devenir très grande et difficile à supporter sans doute. Quant aux habits de la dame, ils venaient de disparaitre, ou plutôt ils n’existaient plus, et la prof courrait maintenant dans le couloir comme à la recherche d’un mâle agitant son postérieur dans tout les sens. La pauvre courut vers la sortie, changée en chienne elle n’avait d’autres choix que de faire ainsi, car oui à peine sortie du bâtiment elle se vit pourvue d’une queue et d’oreilles de chien, puis devint un chien tout simplement. Un soupir sorti des lèvres de la déesse du non-sens, observant autour d’elle parfois avec un petit sourire, elle approcha d’une des salles de classe. Entrant sans aucune forme de timidité et toujours nue, elle alla prendre place sur une des places vides au fond de la classe.
- Désolée du retard, j’ai un peu trop dormi.
On était en plein après-midi, et dieu seul sait quel leçon était donnée ici, mais elle n’avait plus cour. Toutes les élèvres ou presque regardaient la déesse, cheveux blonds bien longs, yeux rouge, un peu, luisant, toute nue et les tétons au repos. Rapidement on se mit à faire courir des bruits, mais elle pencha la tête de coté et entendant dire qu’il était anormal qu’elle soit nue... Aussi elle fut couverte d’habits plus vite qu’un battement de cils, portant une belle robe noire ouverte sur le devant et couverte sur le dos. Pas de soutien-gorge dessous et de la dentelle fine sous la jupe. Assise simplement, coude sur le banc elle fit apparaitre le nécessaire de la cour de nulle part puis observa le tableau.
- On en est où sur le cours d’éducation sexuelle ?
Demanda-t-elle à la voisine qui sembla surprise avant de constater que le tableau avait changé ? À la grande surprise du prof et des rares élèves qui étaient sous l’influence de la déesse. Car oui, pour tous les autres c’était comme si leçon du jour avait toujours été une leçon d’éducation sexuelle, quoi de plus normal ? Enfin la place du fond où était la déesse devint une place du premier rang, allez savoir ce qui avait bougé, elle, la table, toute la pièce ? C’était impossible à savoir. Elle venait juste de glisser de la dernière place à la première, comme si elle avait traversé tout le monde et tous les objets sans que personne ne trouve cela étrange. Et personne ne semblait râler sur la place qu’elle prenait, pas même la personne qui s’y trouvait juste avant et qui... N’était plus là !