Les provocations répétées de la jeune sorciére avaient fini par inciter le lion à punir cette arrogante donzelle en lui infligeant toutes sortes de tortures perverses et désormais la rousse faisait moins la maligne culbutée par le fauve qui profitait de la douceur de ses cuisses tout en la troussant comme une vulgaire servante. Si cette nunuche préférait qu’il soit dur avez elle car elle trouvait sa tendresse déplacée au point de le provoquer pour qu’il en vienne à la saillir bestialement, le mage allait à nouveau lui montrer qu’il savait y faire pour rendre folles de plaisir les petites allumeuses comme cette sorciére. D’ailleurs Lorenzo était presque certain que sa nouvelle élève protestait pour la forme et que vu combien il l’avait rendu brulante de désir elle serait bien moins frustrée qu’il finisse d’abuser d’elle.
- Ce n est moi qui ait fixé la durée de ton séjour ici ma belle, je dois m’assurer que tu ne représente plus un danger rouquine. Tu es si tendue, laisses moi te faire du bien, ton séjour ici sera agréable si tu y mets un peu du tiens. Humm oui c’est bien, continues de gémir comme ça, j’aime quand une femme se laisse aller à la débauche …
La jeune humaine était si trempée que ses cris de douleur se transformèrent rapidement en long soupires de plaisir, le bruit pervers de la luxure à laquelle le fauve s’adonnait avec sa nouvelle proie faisait bien rire les gobelins idiots qui les mataient depuis leurs cages. Edéline n’était pas la première femme que le lion s’amusait à trousser devant ces créatures nuisibles, ces peaux vertes n’étaient bons qu’à dire des bêtises et bientôt l’envie de commenter le spectacle érotique que leur offrait le félin dépassa la peur que ce dernier les punisses et ils commencèrent à lancer quelques commentaires salaces à l’intention du mage qui culbutait la jeune humaine sur le tapis.
- Huhu il la traite vraiment comme il faut, cette petite salope rousse même si je préférais la soubrette elfique avec ses gros seins !
- Gné gné moi j’aime bien les petites mijaurées, je parie qu’elle va bientôt le supplier d’encore la baiser comme une folle !
Loin de se préoccuper de cette bande de voyeurs idiots, le lion continuait de besogner sa nouvelle élève. Elle pouvait sentir sa respiration enroulée, ronronnante, alors qu’il plaquait ce torse musclé contre son buste fourni et doux, le fauve grogna son approbation lorsque la belle fit mine de céder en gémissant de plus en plus fort. Amusé par le plaisir d’affronter une sorcière gironde dans une bonne partie de jambes en l’air, le lion décida de changer de position afin de prendre Edéline en levrette sous le regard pervers des gobelins qui se paluchait en les regardant forniquer.
Lorenzo mettait du cœur à l’ouvrage en tenant fermement la jeune humaine par la taille afin d’offrir à cette insolente terrienne, un rodéo torride qu’elle n’oublierait pas de si tôt. Fougueux et joueur le fauve prenait soin de caresser le dos et les fesses de la jeune femme. Elle sentirait bien plus que son corps brulant, il allait lui faire cadeau de tout son désir. Ses mouvements de bassin se firent plus francs en elle, son membre dur devenu encore plus chaud tandis que les hanches du lion claquait le beau petit cul de la rousse dans un bruit obscène et excitant à la fois.