On pouvait dire ce qu’on voulait sur le sex appeal d’individus obèses comme Yocchi, mais le fait est, quand il fallait faire le boulot, il assurait. Opulent et massif, Yocchi était comme une masse de chair qui s’abattait sur le frêle corps de la jeune femme, rappelant probablement à Sora ces lointains plaisirs préhistoriques de ces ancêtres, cette attraction ancestrale de la femme pour les corps musculeux, solides. Et Yocchi, à défaut d’être musculeux, était solide. Difficile de le soulever ou de le vaincre au bras-de-fer, alors, là, il était un amant terrible. Si la chaleur était éprouvante pour Sora, c’était encore pire pour lui, qui suait comme un bœuf, qui suait comme il n’avait jamais sué auparavant. Son corps était tout rouge, avec d’innombrables gouttes de sueur qui filaient le long de ce dernier, tandis que sa queue, douloureuse, grosse,
immense, perforait l’intimité de la douce Sora. Maintenant plus que jamais, Sora n’était rien d’autre que sa petite pute, et il pinçait douloureusement son beau petit cul, fourrant sa langue baveuse en elle.
Sa main se déplaçait de son cul pour s’appuyer sur sa nuque, et il veillait à écraser son corps contre le sien, sa graisse heurtant le ventre de Sora, les seins magnifiques de la femme se perdant contre ses pectoraux.
«
Haaaa… Haaaaaa… ! »
Pour le coup, lui aussi, le puissant Yocchi, si sûr de lui-même, était en train de se laisser aller. Il se sentait partir, mais se refusait à jouir avant sa salope… Mais avait-elle déjà joui ? Après tout, sa queue baignait dans du foutre, mais il savait, pour l’avoir déjà vu, que les filles mouillaient dès qu’elles avaient du plaisir. Comment déterminer son orgasme, alors ? Yocchi avait du mal à se contrôler. Le brave homme n’aurait jamais cru pouvoir être dans un tel état. Tout son corps était en feu, il n’arrivait plus à savoir ce qui se passait, ni même à réfléchir calmement, ne pensant qu’à son envie de jouir.
Furieux contre lui-même, mais aussi contre Sora, qui le mettait dans un tel état, en lui rappelant indirectement le fait qu’il était toujours, finalement, un simple puceau, il griffa son cul, le pinçant douloureusement, et sentit la femme se cambrer… Puis, alors qu’il tentait de se retenir, Yocchi finit par sentir sa queue tressauter, atteignant un stade supplémentaire dans cette douleur atroce et intense qu’il ressentait. Yeux clos, il crispa ses doigts sur le corps trempé de la femme, la voiture continuant à trembler. De dehors, on avait l’impression de la voir bondir d’avant en arrière, sautillant sur place, tandis que Yocchi finit par se lâcher.
«
Hnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn… Saaaaaaaaaaaaalope… !! »
Le plaisir atteignit le point suprême, et, dans un ultime soupir, Yocchi éjacula en elle. Son premier orgasme, qui survint, en réalité, peu de temps après celui de Sora. Il balança plusieurs chapelets de foutre en serrant puissamment ses bras contre son corps, écrabouillant Sora contre lui, l’étouffant à moitié, et bava sur elle, sa langue sortant de sa bouche pendant les quelques secondes de son orgasme. Il eut l’impression de balancer des litres entiers de foutre en elle, car il n’avait jamais tiré autant de foutre en se branlant, hoquetant et gémissant en sentant des vagues supplémentaires le traverser.
Et puis, tout son corps sembla se calmer, et l’homme s’affaissa contre le fauteuil, respirant bruyamment, maintenant dans le creux de sa main le crâne de Sora, plaqué contre lui. La mouille de la femme avait déjà inondé le tapis de sol, filant le long de leurs cuisses, et une épaisse buée recouvrait toutes les vitres. Yocchi chercha à parler, mais sa bouche se refusait à émettre le moindre son, et il se contenta donc, pendant un moment, de respirer bruyamment, la sueur continuant à couler abondamment le long de leurs corps.
Yocchi respirait lourdement, la tête de Sora posée contre son épaule, son corps semblant peu à peu s’affaisser contre le sien. Il caressait distraitement ses cheveux trempés, et tira dessus, voyant ainsi qu’elle peinait à ouvrir les yeux… Et lui sourit alors. Sa langue alla alors lécher le nez de la femme, et il termina ainsi :
«
Dors, ma chérie, Yocchi s’occupe de toi, désormais, ma petite chienne… »
Une vie nouvelle allait s’ouvrir pour Sora.
Et Yocchi, malgré son orgasme, ne manquait pas d’idées…
«
DEBOUT !! »
Le fouet claqua dans l’air, puis heurta le doux fessier, claquant dessus, le son se répercutant dans toute la pièce, amenant ensuite les couinements… Ainsi que le doux crissement du latex.
Dans son dos, Yocchi bandait déjà. De fait, la sieste de Sora avait été assez longue, car, pendant qu’elle s’assoupissait dans sa voiture, il avait ouvert sa boîte à gants, sortant du chloroforme, et s’en était servi pour la faire dormir. L’amener chez lui avait été plutôt facile, car il disposait d’un garage, et il avait donc pu aisément, sans se faire remarquer, l’amener dans son appartement, puis l’avait déposé sur le sol, observant son corps endormi, avec une fascination mêlée d’excitation. Ne pouvant se retenir, il avait profité de son sommeil pour palper ses seins, lécher son corps, l’embrasser… Il s’était même allongé sur elle, se masturbant contre son ventre, et avait joui sur son estomac. Fort heureusement, Sora dormait d’un sommeil de plomb, et il avait laissé ce sperme sur elle, tout en la changeant, et en revenant de temps en temps se masturber sur elle.
Fort heureusement, l’homme était un fin consommateur sur Internet, utilisant l’argent volé sur les comptes en banque pour acheter quantité d’objets et de combinaisons qu’il entreposait, et qu’il allait maintenant pouvoir enfin utiliser. Hasard du sort, ou désir latent qui sommeillait en lui depuis des semaines, elles étaient à la taille de Sora, et, pendant qu’elle dormait, il avait préparé son salon, continuant à la palper, à la caresser intimement, la sentant gémir dans son sommeil, tout en commençant peu à peu à se réveiller.
Le coup de fouet fut donc le signal décisif, et la jeune fille se réveilla, ayant, face à elle, un miroir lui permettant d’observer la scène.
«
Tu es si belle, ma Sora… »
Bien sûr, la jeune femme ne pouvait pas voir grand-chose, car elle avait un bandeau sur les yeux, ce dont Yocchi prit conscience, tout en étant dans son dos, et en caressant ses hanches. Sa grosse queue était déjà toute tendue, frottant contre ses fesses.
«
J’ai joui au moins une bonne dizaine de fois sur toi pendant que tu te dormais… Et ce latex retient plutôt bien ma semence, j’adore te caresser, et la sentir contre mes doigts, c’est comme de la crème anglaise sur un magnifique gâteau au chocolat, ma Sora d’amour, ma petite salope… »
Il lécha son cou, mordillant ensuite doucement sa peau, tout en continuant à frotter ses hanches, sentant effectivement le sperme glisser un peu. Et, comme s’il comprenait la souffrance que cela devait être pour Sora, sa main retira son bandeau, lui permettant d’observer la scène…
Et quel ravissant spectacle !
Sora était attachée par les poignets, ses mains et ses bras recouverts de gants en latex. Ses seins étaient mis à nus, et elle portait de longs collants, ainsi qu’un long corset ouvert dans le dos, et avec une fermeture Éclair à hauteur du bassin. Prisonnière de l’homme et de ses fantasmes les plus pervers, elle était désormais sa poupée… Les mains de l’homme se saisirent alors des rebords de son
gag ball, et, avant qu’il ne le retire, il glissa quelques ultimes mots :
«
Je vais te baiser, Sora. Ça, c’est un fait indiscutable. Je vais te baiser, là, comme ça, maintenant, devant ce miroir, pour que tu te vois, petite salope, te faire baiser. Ce que j’attends de toi, maintenant, quand je retirerai ceci, c’est, outre t’entendre hurler, que tu t’insultes… »
Sa voix en vibrait d’une excitation malsaine et perverse, et il léchait sa nuque.
«
Je veux que tu comprennes une chose essentielle, Sora. Tu peux retourner faire des études, tu peux décrocher un doctorat, devenir juge, députée, te marier, et avoir suffisamment d’enfants pour monter une équipe de foot’, ça ne changera rien au fait que tu seras toujours ma salope. Ce n’est pas une promesse, c’est un constat. Maintenant, et jusqu’à ta mort, ou jusqu’à ce que je me désintéresse de toi, Sora, tu n’es rien de plus que ma chienne, et ce sera toujours ainsi. Et, pour bien que tu le comprennes, ma chérie, je vais devoir t’humilier… T’humilier, et te baiser, encore, encore, et encore… Et, quand tu seras prête, je t’enverrais te faire baiser par d’autres mecs, pour que tu comprennes qu’il n’y a qu’avec moi que tu seras heureuse. Tu es à moi, Sora, rien qu’à moi, et à personne d’autre… »
La voix de Yocchi était courte, mais sourde aussi, pleine d’une excitation contenue, mais palpable. Sa main, elle, avait tiré sur la fermeture de sa culotte, et son membre, à nouveau, se rapprochait de sa chatte.
«
Quand je retirerai cette boule, et que je m’enfoncerai dans ta chatte de salope, je veux que, entre tes couinements, tu hurles être ma pute, ma salope, ma chienne… Insulte-toi en te regardant dans le miroir, dis que tu aimes sentir mon foutre sur toi, que tu aimes plus que tout être ma salope… Et… Enfin, tu as compris ce que je veux, ma chérie… Ma douce petite pute… »
Il retira alors le
gag ball, et, dans la foulée, posa chacune de ses mains sur les seins de la femme, pinçant les tétons… Puis la pénétra encore.