Il était rare que la reine dragonne s'éloigne autant de chez elle, certes elle n'allait pas non plus à trouze-million de kilomètre,m ais elle s'éloignait particulièrement comparé à l'habituel, sa nature curieuse la menant à visiter le monde qui l'entourait, de plus elle savait la cité en de bonnes mains, la ruche tenu et gardé par ses plus puissants enfants, qui étaient particulièrement redoutable.
Tranquillement, elle aperçut un endroit plutôt joli, en grande forêt, elle resta en stationnaire un instant, se demandant si c'était une bonne chose de s'éloigner autant de s'attarder comme ça.. Mais tout bien réfléchit, ses enfant n’avait pas non plus ce genre de réflexion, elle finit par se dire qu’elle pouvait bien les laisser vaquer à leur occupation du moment que ses puissant fils hybridé-démon maintienne l'ordre et la hiérarchie. Passant entre les branche, ses ailes provoquèrent une courte brise, chacun de ses battement d’aile restait délicat et majestueux à la fois.
Elle posa enfin pied à terre, l'herbe était agréable, l'odeur de pin et des plante était si revigorante, elle ne regrettait pas de s'être aventuré en terrain inconnu au final, c’était une bonne idée, peut être devrait-elle penser à faire pousser quelques plante dans sa salle aux hameçons, oui quant on ne porte pas de réel intérêt à l'or et aux pierre précieuse, on peut les considérer comme des appât pour attirer ses victimes condamné à être prisonnier des ébats qui y étaient perpétré indéfiniment.
Elle passa un bon moment ici bas, elle décida de s'installer sur ce qui ressemblait à une petit construction primitive ou folklorique, se disant que ce devait être une chaise ou une table basse, bien qu'en réalité il s'agissait de bien plus que ça, un autel divin, à la dignité d'un dieux, dieux que bien Alsaka ne devait pas connaitre et à vrais dire elle ne se posait pas la question de ce que faisait des meubles si étrange en milieux de foret sauvages, posant son fessier dessus, l'autel se révéla bien peu solide, qu'il se brisa en morceau sous le poids de la dragonne, non on ne dit jamais à une femme qu'elle est lourde, c'était il fallait l'avouer, le meuble qui manquait de solidité, l'autel était saccagé à présent.
Alsaka, insouciante, se redressa un peu, à quatre pattes elle se frotta le fessier, étant tombé sur sur les fesses.