« La nature est dans toutes choses, même au plus profonde de notre cœur »
Implanté en plein centre de Viridia et d’une superficie aussi étendue que New york, soit mille deux cent quatorze killommètres² pour une population de quatre millions cinq cent mille habitants. Virthandine, surnommer la Grande Cité Arborescente, a toujours été connue depuis des temps immémoriaux aux yeux de tous les druides de Terra comme une ville Sainte. Un lieu incontournable pour effectuer leur pèlerinage. Un des rares lieux où se tiennent les plus grandes écoles de Magie Vertes au monde, réputé pour la qualité irréprochables et la richesse incommensurables de leurs enseignements multimillénaire qui forment les meilleurs druides et herboristes.
Elle fut fondé il y a de cela cent mille ans par la légendaire archidruidesse elfe sylvain, Selenya. Après que celle-ci fut traquée sur Terra pendant longtemps par des chefs tribaux de l’époque qui mettait tous les moyens à leurs disposition pour lui retirer son secret le plus précieux qu’était une recette permettant la concoction d’un élixir de jouvence qui prolongeait l’espérance de vie de plusieurs siècles. Pas seulement pour cette raison, mais également pour ses consœurs et confrères druides elfiques qui se faisait volés leurs connaissances par des sorciers et magiciens envieux. Et c’est plus précisément dans la mystérieuse Viridia que Selenya ait choisi pour construire sa ville à l’aide de ses pouvoirs très puissants.
Au début ce n’était rien de plus qu’un village, puis au fils des millénaires il s’est agrandie et peuplés par de plus en plus d’elfes sylvains de tout Terra voyant en cette cité une ancre de salut pour mettre fin à leurs exiles forcée par des armées ennemies qui les chassés de leurs territoires pour s’approprier du bois de leurs forêts. Un havre de paix où ils pouvaient pratiquer leurs croyances et leurs cultures étroitement lié à la nature sans être chassés par leurs voisins des villes et villages du monde extérieurs. Pas seulement des elfes sylvains, mais également des druides, amoureux de la nature et Herboristes humains qui se sentait plus proches de la nature que du monde urbain. Ces derniers n’étaient toutefois qu’une petite minorité qui se sont vite intégrés et fondues dans la population Virthandienne aux fils des générations. Actuellement, seul un pourcent de la population est métisse.
En raison de sa situation géographique, Virthandine n’a eu que très peu de guerre venant de l’extérieur. Voir pratiquement aucune. La raison est simple : depuis toujours elle demeure isolée au reste du monde et éloignée de tous conflits qui se déroulent en dehors de Viridia. Mise à part une ambassade du Bosquet Des Haut-elfes, il n’existe aucune autre ambassade d’autres royaumes indépendants et encore moins des trois grandes superpuissances. Et encore, aux yeux des hauts-elfes, Virthandine est un royaume très difficile d’accès et nimbés d’un voile de mystère assez opaques. Car oui, ce royaume elfique est surtout connue pour son côté très mystérieux qui fait tout la force de son charme.
Actuellement, on compte pas moins de quatre millions d’âmes vivant à Virthandine. Dont un milliard répartie dans tous les villages elfiques de Viridia.
« La forêt vous réservera sa vie foisonnante si vous restez immobile et calme »
En dehors de Virthandine, capitale Politique, Culturelle et Religieuse du royaume, il existe également quelques grandes villes elfiques qui méritent d’être mentionner pour leurs importances capitales :
Il y a d’abord
Dwynen, qui est considérée comme la capitale militaire du Royaume Virthandien. Plus des trois quarts de ses habitants sont militaires et sont issue de nombreuses générations d’elfes militaire. C’est également la bas que les chevaucheur de loups cuirassé élève leurs louveteau et subissent un entrainement rigoureux dès l’âge de dix ans (équivalent à cinq ans pour les humains). Particulièrement les fils et filles de parents ayant été eux aussi des chevaucheurs, soldats, rangers, officiers supérieur, généraux, ou autres. Une sorte de système de castes en quelque sorte. A la différence près qu’arriver à l’adolescence, les enfants peuvent choisir de continuer formations héréditaire.... ou bien d’opter pour autre chose qui leurs convient le mieux. C’est aussi la-bas que se tiennent les prisons où sont emprisonnés les criminels et hors-la-loi elfes.
Cette ville est la plus grande, après Virthandine. Et ce situe à mille kilomètre à l’Ouest de Viridia.
Vient ensuite
Lianowar qui, elle, est la capitale commerciale. C’est la-bas où se tient le plus de magasins où les gens viennent pour vendre et s’acheter tous les produits et marchandises du royaume. Tous y est : bijoux, mobiliers, médicaments, huiles essentiels, vêtements, armes, armures, animaux de compagnie, cerfs (monture), etc....
C’est dans cette même ville qu’on y trouve les meilleurs artisans Virthandien. Des nobles issus de grandes familles du Bosquets des Hauts Elfes vont jusqu’à faire un long voyage jusqu’ici pour pouvoir se procurer des objets de luxe qui n’a pas d’équivalent nulle part.
On trouve cette ville dans l’Est de Viridia.
« La forêt de Viridia est vivante, et les druides sont ses graines »
De ce côté, la grande cité arborescente disposent de ressources phénoménal en matière premières. Principalement du domaine végétal tel que du bois nobles, des produits médicinaux à base de plantes, ainsi que de l’alimentaire de haute qualité et d’ingrédients pour alchimistes. On peut mentionner également les gisements d’émeraude, de jade et l’argent qui sont loin d’être rares. Mais qui reste très loin de rivalisé les ressources majeurs de Virthandine qui fait la force de sa richesse.
Elle ne commerce uniquement qu’avec les commerçants du Bosquets des Hauts-Elfes qui est son unique partenaire commerciale. Et encore.... les échanges commerciaux sont peu fréquents, en raison de sa situation géographique qui ne favorise pas les routes commerciales. Mais également pour des raisons politiques émises par la Reine elle-même, par pur tradition isolationnisme. Ce sont généralement les commerçants natifs de Virthandine qui font le voyage pour le Bosquet Des Hauts-Elfes pour échanger leurs marchandises avec leurs acheteurs. En effet, la quasi-totalité n’est pas motivé à prendre le risque de traverser Viridia avec de fortes chances d’y laisser leur vie. Leur économie de marché repose essentiellement sur de « l’Ordolibéralisme » qui est appliqué scrupuleusement. La majorité des produits vendus sont essentiellement des vêtements elfiques somptueux dont le vert est la couleur la plus répandue après le brun et le jaune. Du mobilier et des objets de décorations artisanaux Virthandien construit subtilement par des forgebois, ainsi que des fruits et légumes. C’est ce qui est principalement vendue et rien de plus.
En même temps, faut savoir qu’au sein de la grande Cité Arborescente, la vie y est pas chère. Si bien que le citoyen lambda peut aisément s’acheter des tenues qui, aux yeux de bourgeois du monde extérieur, serait vue comme celles appartenant à un grand seigneur elfique. La raison est simple : Virthandine possède une quantité impressionnante d’artisans dont les trois quarts ont, grand minimum, plus de deux siècles d’expériences dans leurs métiers. Pour vous faire une bonne idée de l’écart flagrant, le simple artisan lambda rivalise sans problème face à l’artisan humain le plus expérimenté d’Ashnard ou de Nexus. La qualité de leurs travaux est légendaire.
Mais étant donnée que le prix des marchandises grimpe en flèche et atteint des sommes assez élevée, seules les puissants bourgeois du monde extérieur peuvent se les payer. C’est d’ailleurs l’une des grandes raisons qui fait que le marché Virthandien est très peu développé. Encore mieux, il n’y a pratiquement aucun sans abris qui traînent dans les rues. Et quand c’est le cas il n’y reste pas très longtemps, grâce aux soutiens des passants ayant un grand sens de la solidarité. Ancré profondément dans les mœurs de ce peuple.
Evidemment, il ne faut pas rêver trop vite. Le concept de classe social existe quand même ! Ce qui inclue la présence d’une distinction fort présente entre les riches et les pauvres. Mais contrairement à ailleurs, tout le monde ne se plaint pas de sa position. Il est rare de mourir de faim à Virthandine. On y cultive des fruits et légumes en quantités industriels et de façon purement naturelle par permaculture et electroculture avancée. Les récoltes sont d’une taille impressionnantes... pour des nutriments et un gout tout autant.
« Une graine minuscule peut naître un arbre immense et florissant. Puisse les graines de ton esprit être aussi prolifique »
Dans un premier temps, les elfes Virthandiens disposent certainement de l’une des cultures les plus riches de tous Terra, sans distinction. Déjà par son Art fort présent par l’architecture élégante et raffinées des maisons et bâtiments composant la cité Arborescente. Ses jardins somptueux aux airs fantaisistes où reigne une beauté végétal sans pareil qui ferait palir de jalousie les puissants de ce monde. Mais aussi à travers les tenues des civils où il n’est pas rare de croiser un passant lambda porter une tunique verte et brun aux motifs végétaux riches. Sa beauté reflète parfaitement son amour inconditionnel et multimillénaire pour la nature. Il n‘existe aucune parcelle de structure qui ne soit pas en harmonie avec l’environnement naturel. Aucune déformation, ni trace de déforestation. Rien ! Nombreux sont les
arbres ayant été creusé à même dans le bois pour faire office d’habitations et de zone commerciales. Tous reliés par des ponts suspendus plus ou moins long et larges selon l’envergure des arbres. En plus des bâtiments «
aux sols » généralement construit en bois, dont seules les fondements sont en pierres. Mais on trouve également quelques «
« Vos paroles n’ont aucun sens pour moi. Le bruissement des feuilles est le seul langage qui ait encore un sens. »
Dans la religion Virthnandienne, il n’y a qu’une seul entité supérieure qui est digne d’être adoré et aimer : la Nature dans toute sa Splendeur. Toutes les merveilles de la natures qui dépasse le commum, que ce soit les animaux, les plantes ou les créatures.... sont respecter et protéger par les druides et les rangers. Nulle temple n’est présent sur Virthandine. La nature elle-même EST le temple où se réunissent les conseils druidiques, avec monolithes ornés de gravures complexes pour seules éléments de repère lors des rassemblements. C’est donc un puissant culte de la Nature qui y règne, où le respect inconditionnel envers la Nature est déjà un acte d’adoration. De nombreuses fêtes religieuses sont commémorées en l’hommage à la nature, aux saisons.
Dans la croyance Druidique, la réincarnation est plus qu’une simple croyance : c’est un fait réel faisant partie du cycle de la vie qui ne se limite pas seulement à la vie matériel. Il est dit que l’on reconnait une âme réincarnée par les signes caractériels d’un ou d’une jeune elfe semblable à celui qu’avait une personne de son vivant.
Enterrer les morts dans la terre afin que leur cadavre fertilise le sol est une pratique funéraire très courante chez les Virthandien. Mais avant l’enterrement, les corps sont soigneusement entretenus pendant une durée minimum d’une semaine. Soit le délai théorique du processus de décorporation de l’âme d’un elfe mort de son corps. Des rangées de fleurs parfumées sont placé autour du défunt, afin que cela facilite le processus en question, en plus de rendre son passage vers l’au-delà moins pénible. Encore une fois, c’est dans la croyance religieuse.
« La nature protège les siens »
Peu de récits mentionnent l’Armée Virthandienne.... et ils sont jugés comme étant que des affabulations, tant elles sont insensées. Mais le pire, c’est que la réalité dépasse la fiction. Sa puissance militaire est telle qu’elle n’est pas loin d’atteindre le statut de superpuissance. Et elle aurait pu l’être depuis des dizaines de milliers d’années avant Nexus et Ashnards si Virthandine avait eu des ambitions de conquêtes tout le long de son histoire. Viridia leurs suffit largement. Et compte tenue de la politique isolationniste qui régit la cité depuis bien longtemps, à quoi bon conquérir des territoires ?
L’effective militaire compte pas moins de cinq cent millions de vies. Tous régit par une discipline que l’on ne trouve nulle part ailleurs sur Terra. Pas même sur Ashnard. Dans chaque formation de combats complexes et rythmé, chaque soldat sait parfaitement chaque mouvement et étapes qu’il doit faire. Dites leurs un ordre et ils l’exécuteront avec une coordination effrayante au point de vous demander s’ils ne sont pas connecter en un esprit de ruche. Parmi le peu de témoignage rapporté par des soldats Ashnardiens, un seul
soldats Virthandienpeut aisément se battre contre cinq soldats noirs simultanément à l’aide de leurs boucliers et leurs lances à lame courbé, en plus d’être aussi agile qu’un félin.
Vient ensuite les
Chevaucheurs. Des cavaliers elfiques à dos de loups géant cuirassé de deux mètres de haut pour une envergure proportionnelle. Ils sont très mobiles, même dans une forêt dense. Et contrairement aux chevaux : ils mordent férocement. Ça fait un ennemi potentiellement dangereux, en plus du cavalier. Voir même beaucoup plus ! Au début de leurs formations, les monteurs élèves leurs louveteaux qu’ils doivent s’occuper soigneusement tout en forgeant un lien relationnel symbiotique avec leur destrier. Et dont le secret est jalousement gardé.
Et encore ce n’est rien à côté des
Rangers ! Leurs arcs est taillé pour pouvoir tiré plusieurs flèches en même temps sur de très longues, capable de pénétrer les armures de plates. Le tout dans le mille. Leurs arcs est conçu pour. En plus d’être tout aussi redoutable au corps à corps avec deux épées à chaque main. Ce sont également de prodigieux éclaireurs aptes à se mouvoir en silence et se camoufler parfaitement dans un environnement boisé. Dans leurs milieux de prédilections, c’est quasi impossible d’en battre un. A oui.... se sont aussi de redoutables pisteurs qui savent remonter la piste de leurs ennemies, mêmes lorsqu’elles datent de plusieurs semaines dans le mois. Une fois que vous êtes traqué par un Ranger, il n’y a pas beaucoup qui puisse vous sauver. ils sont, pour ainsi dire, l’élite de l’élite.
On peut également mentionner les
Magesforces composants l’Armée. Des Druides de guerres capables d’utiliser la végétation comme une arme mortel et faire pousser des lianes épineuses immenses du sol.
« La sève de l’arbre est semblable au sang qui court dans mes veines »
Le régime politique Virthandien est une monarchie absolue de droit Divin. Dirigée par une des Rois et Reines issue d’une longue lignée dynastique remontant jusqu’à la création même de la Cité. Mais également la seule et unique lignée que le Royaume elfique ait connue. On compte qu’une infirme poignée de prédécesseur ayant été de mauvais rois ou Reines, mais pas au point d’avoir entaché profondément la culture Virthandienne. Le restes sont considérer par la population comme ayant été de grands dirigeant charismatible et à la hauteur de leurs réputations.
Chaque Roi et Reine sont toujours conseiller par un Archidruide, qui est également à la tête du conclave druidique. Equivalent au clergé. C’est devant elle que prête serments tous les héritiers et héritières de leurs prédécesseurs de protéger la Nature, ses créations ainsi que son peuple. En effet, l’Archidruide est le chef du pouvoir religieux. Il n’a aucun pouvoir particulièrement important sur le plan politique, mais il est respecté par les dirigeant pour ses conseils avisées ainsi que par la richesse phénoménale de son savoir.
L’Esclavage est formellement interdit au Royaume Virthandien et est passible d’une longue peine de prison. Considérer comme une aberration qui n’a pas lieu d’être, faisant de cette Nation l’une des rares à être antiesclavagistes sur Terra.
Actuellement, c’est la Reine
Alara Cœurdechêne qui est à la tête de Virthandine, ainsi que l’héritière de son père, l’ancien roi, Rhys Coeurdechêne. Elle réside au palais royal, taillé dans
l’Arbre-Mère à l’envergure titanesque. Dominant aisément Viridia et dont les cimes géantes surplombes les nuages à basses altitudes, visible à des kilomètres à la ronde. Ce même arbre qui est vue comme un monument national comparable à la tour Eiffel en France. Au côté de son époux, le roi
Lymwei, de la Maison Sylvépine. Etroitement protégés par la
Garde d’Emeraude. Des vétérans militaires choisis parmi la crème de la crème. Un poste considérer comme un honneur sans équivoque que chaque garde tâche à remplir du mieux possible. Même les redoutables rangers de l’Armée royale les respectent par leurs compétences physiques et martiales impressionnant.