Les yeux braqués sur l'écran de sa tablette, Matthew observa son fils unique pénétrer dans la chambre parentale avec un
autre jeune homme , plus grand et plus athlétique que Lohan, aux formes plus androgynes. L'avocat soupira lorsque les des éphèbes s'enlacèrent, se laissant tomber ensemble sur le lit conjugal. Il n'avait jamais eu le temps de s'occuper de ce petit morveux, comptant sur
Rebecca pour élever au mieux leur progéniture. Mais la belle idiote avait échoué sur les plans ; non seulement elle avait gâté au possible cet enfant providentiel, mais en outre, lorsqu'il était parvenu à l'adolescence, elle avait été incapable de lui fixer la moindre limite. Privé de repères, Lohan flirtait avec la petite délinquance locale et s'envoyait en l'air avec toutes les pétasses qui lui tombaient sous la main. Cependant, Rebecca le lui avait assuré ; ça avait toujours été des filles... la scène qui se déroulait sous ses yeux tendait à démontrer que là encore, sa femme avait tort. Mon fils est une petite pute, constata-il, en observant Lohan sucer la belle verge dressée de son amant. Dans la mesure ou Matthew passait la plupart de son temps à New-York ou bien à l'étranger et que sa femme n'était pas en mesure de combler son
monstrueux appétit sexuel, ils avaient convenu ensemble, dix ans plus tôt – Rebecca avait beaucoup pleuré- qu'il formaient désormais un couple libre, chacun pouvant s'envoyer en l'air avec qui il le souhaitait. Cependant, il avait installé, à l'insu de cette dernière, une demi-douzaine de discrètes petites cameras dernier cri, qui étaient censé lui permettre d'observer les ébats de son épouse, presque aussi porté sur la chose que lui-même. Cela n'avait rien à voir avec de la jalousie, bien au contraire ; voir sa ravissante épouse se faire
tringler par quelqu'un d'autre devant ses yeux avait toujours été l'un de ses fantasmes. Cependant, Rebecca se contentait de se masturber –
énormément -, sans sauter le pas, ce qui le déçut fortement.
Depuis quelques semaines, c'était le jeune Lohan qui profitait des longues journées de travail de sa mère, pour s'envoyer en l'air avec ses petites copines, ce que son père observait entre deux
meetings, sur sa tablette numérique.
« Mike, j'ai changé d'avis, je rencontrerais monsieur Kent après le dîner. J'aimerais faire quelque chose avant. »Le colosse basané qui lui servait de garde du corps et de chauffeur opina du chef, sans répondre. Mike était la créature de Matthew. L'avocat l'avait sorti de la rue et des combats de freefight clandestin pour le prendre à son service. A ses côtés, l'homme avait ce dont il avait toujours rêvé : femmes, argent et alcool à volonté. Il suivait son patron à la trace, et exécutait le moindre de ses ordre sans hésiter une seule seconde... Y compris les plus
sordides.
« Je pense que mon fils a besoin d'une bonne leçon. Ce gamin n'a jamais eu de limites... ». Matthew repoussa une mèche grisonnantes rebelles sur le côté de son front. L'homme portait bien sa quarantaine. Plutôt grand et athlétique, il y avait dans ses traits de descendant d'italien, quelque chose de sauvage et brutal qui faisait minauder ses conquêtes. L'a petite fortune sur laquelle il était assis, Matt l'avait gagnée à la sueur de son front, finançant ses études par d'épuisants jobs de nuit, avant de devenir l'un des plus redoutables avocats d'affaire de New-York, grâce à ses relations avec la pègre. Alors que la berline tournait dans la rue ou se trouvait la villa familiale, Matt observa l'amant de son fils introduire sa queue bandée dans l'anus serré de son fils et se mordit la lèvre inférieure en agrippant fiévreusement son propre sexe à travers le tissu de son pantalon. Cet enfant du diable le faisait bander comme un taureau. La première fois qu'il avait vu le sexe de son fils à l'écran, puis sa croupe, il avait détourné le regard honteusement... Mais n'avait finalement pas pu s'empêcher de regarder le reste de la vidéo. Lohan était beau comme une fille. Pendant de longues semaines, il avait songé à son corps imberbe d'éphèbe lorsqu'il culbutait des escorts-girls... Et voilà que son fils lui donnait sur un plateau d'argent, une motif, une raison
valable et légitime d'abuser de son corps gracile.
« Ecoute-moi bien Mike », commença-il, la voix enrouée par l'excitation.
« Tu vas faire exactement ce que je te dis ». Et Matthew lui expliqua son
plan.
Quelques instant plus tard, Matt ouvrait d'un coup de pied la chambre conjugale, le visage déformé par la fureur. Vêtu d’un élégant costume deux pièces en alpaga, il avait néanmoins pris la peine d'ôter sa cravate, afin d'être plus libres de ses mouvements pour ce qui allait suivre.
« Espèce de petit pédé, t'as pas honte de faire des cochonneries pareilles dans le lit de ta mère ? Ah, si elle savait, la pauvre ! » Paniqué, l'amant de son fils récupéra ses fringues, avant de s'enfuir par la porte fenêtre de la chambre, qui donnait sur le jardin. En l’observant trottiner cul nul sur la pelouse, Matt ne put s'empêcher d'avoir un sourire narquois, avant de reposa les yeux sur son fils, louchant malgré lui sur sa belle érection. Résistant à l'envie de s'en saisir, Matthew gifla fortement le garçon, ce qui le fit chanceler. Avant qu'il ne puisse se remettre de ses émotions, un énorme bras lui enserrait les épaules, alors qu'un tissu imbibé de chloroforme lui était appliqué sur le nez. Sans surprise, le jeune homme s'effondra entre les bras du colosse qui le ceinturait, son érection diminuant à vue d’œil...
Pour l'instant. Lorsque le jeune homme repris ses esprits, il se trouvait dans une cave, éclairée par quelques bougies parfumées, toujours nu comme un ver et attaché à un pilier circulaire par une solide paire de menottes.au milieu de la pièce,, son bel amant, le jeune Andy était suspendu à une poutre, le visage tourné vers le plafond. Un bandeau entravait sa vision et un rapide regard vers ses fesses indiquait qu'un plug noir s'y trouvait. Le homme bandait fortement et s'agitait de temps à autre en gémissant doucement. Matthew, assis à l’envers sur une chaise observait son rejeton émerger du sommeil, un mauvais sourire aux lèvres. Il avait retiré sa veste, déboutonna sa chemise et retroussé ses manches jusqu'aux coudes.
« Lohan mon petit », souffla-il, le regard fiévreux.
« Tu m'a beaucoup déçu aujourd'hui. Tu t'es comporté comme une petite chienne, alors que j’attends de toi que tu deviennes un homme. »L'homme d'affaire se leva, saisissant la verge bandée d'Andy pour la masturber doucement, passant la pulple de son pouce sur le gland humide en fixant son fils de ses yeux à l'éclat surnaturel.
« Il te fait envie pas vrai », persifla-il, en poursuivant ses caresses.
« Je veux que tu le sodomise jusqu'à ce qu'il ne puisse plus parler. Regarde-le se tortiller, il n'attend que ça en plus, cette petite salope ! Mike, je te prie ? » Matthew ne mentait pas ; dès qu'Andy avait senti le contact de la main de l'avocat sur sa verge, il avait commencé à s'agiter en grognant, poussant son bassin vers le haut. Dans le dos de Lohan, le colosse s'avança, pour libérer un instant le jeune éphèbe, avant de lui menotter les mains dans le dos. Avec une étrange délicatesse, il écarta les fesses du captif d'une main, pour en extraire le
plug, dévoilant un anus brun lubrifié, et déjà bien dilaté.
« Allez, dépêche-toi de l'enculer », grogna-il impatiemment à l'adresse de son fils.