Vivre pour souffrir. C'était effectivement le lot de Valériane. Toute sa vie avait été souffrance. La perte de sa mère, la mort de son frère, le suicide de son père, les combat dans la boue ou sous le soleil brûlant, les nuits sans sommeil, la mort, puis le retour de Verox. Ce moment terrible ou il l'avait disloquée comme une poupée de chiffon, arrachant une à une ses ailes d'ange, la vidant de son sang translucide et pur, ne gardant ainsi que le strict nécessaire. Il semblait alors qu'elle avait finit de souffrir, puisque depuis ce jour, elle n'éprouvait plus rien. Juste un vide froid et déroutant.
Sans intervention, le démon n'aurait sans doute pas pu tirer grand chose de cette coquille ennuyeuse. C'est vrai, il était un démon puissant. Et la douleur, c'était son domaine. Cependant, Verox était le seul et unique personnage à pouvoir influencer à sa guise sur sa petite catin. Ainsi, pour ne pas gâcher le plaisir de cet être démoniaque à qui il devait un rendu de service, il avait débridé la jeune femme. C'était un acte purement diabolique, plongeant sa petite chose dans un tourment de sensations qu'elle avait depuis longtemps oublié. Elle qui n'était toujours pas consciente d'avoir perdu cent fois sa virginité. Mais aujourd'hui encore, elle n'en aurait pas conscience, il ne l'avait pas débridée à ce point.
Valériane peine donc à contrôler le flux de ressentis qui l'assaillait. Helel prenait un malin plaisir à s'en rendre compte, sans doute. La douleur était en effet tout ce qui restait à la jeune femme et c'était sans aucun doute la raison pour laquelle elle l'appréciait aujourd'hui.
Le membre était énorme, bien trop gros pour une fille petite comme elle. Heureusement que son corps avait été nettement renforcé et modifié, car alors elle se serait sans aucun doute étouffée en moins de quelques secondes.
Néanmoins, alors qu'il tentait de s'enfoncer dans sa gorge, elle peinait à résister à l'envie de se défaire de ce traitement. Écartant toujours plus sa mâchoire à chaque coup de bassin lent et imposant, elle sentait ses zygomatiques souffrir, presque sur le point de rompre. Mais elle n'avait d'autre choix que de continuer à le sucer, s'aidant de sa langue rose et humide qui dansait autour du mât de chair. Par le moment, elle se sentit suffoquer, hoquetant violemment alors qu'il continuait de maltraité sa bouche. Elle était même sur le point de vomir, mais cette petit chose était plus coriace qu'elle n'en avait l'air.
Encore une fois, malgré la douleur, elle aimait le goût de cette queue. Elle ignorait pourquoi exactement, mais c'est ce qu'elle ressentait. Se faire prendre ainsi la bouche réveillait en elle des frémissements agréables entre ses cuisses.
Helel la complimenta car elle savait au moins s'y faire, il semblait apprécier les efforts de la belle. Mais combien de temps supporterait-elle encore cela ? Elle manquait d'air, ses yeux semblaient se remplir de larmes sous le manque d'oxygène, ses poumons oppressés criaient au supplice, sa tête se mettait à tourner...
Ce fut pire encore lorsqu'il lui pinça le nez, bloquant alors le dernier passage lui permettant de respirer. Valériane poussa un cri, étouffé par la verge énorme calée entre ses lèvres. Il voulait sentir sa gorge, mieux encore, alors qu'elle peinait déjà à s'y appliquer. Le démon était bien capable de la laisser mourir ainsi, elle le savait. Ce qu'elle ignorait en revanche, c'est qu'il en fallait bien plus pour la tuer. L'ignorant, elle plaqua ses petites mains contre le corps robuste du champion de Lucifer, gémissant, tremblante.
Enfin, il retira sa queue énorme, laissant un court instant de répit à la jeune femme qui s'empressa de prendre une grande goulée d'air, toussant un peu, le visage rougissant. Haletante, elle espérait qu'il n'insiste pas, mais elle se trompait lourdement. Presque aussitôt, il enfonçant d'un coup sa verge dans la bouche de l'elfette qui poussa un nouveau cri étouffé. Helel lui ordonna alors d'enfoncer ce membre au fond de sa gorge, jusqu'à ce que son visage vienne de plaquer son bassin. Valériane n'était pas certaine d'y parvenir, mais elle n'était pas en position pour refuser, ni pour lui échapper. Alors, lentement, millimètre par millimètre, elle enfonçait ce sexe gonflé et démesuré jusque dans le fond de sa gorge. Le membre remplissait sa bouche toute entière, comprimée dans sa petite gorge délicate. Le nez écrasé contre le bassin du démon, la jeune femme crispait sans trop s'en rendre compte ses ongles dans la chair du démon. Et ses mains, ses bras, son corps tout entier étaient secoués de tremblement incontrôlable. Alors, une fois certaine d'avoir réussit, elle se retira, reprenant de nouveau de l'air avec avidité. La pause fut très brève avant qu'elle ne vienne lécher les bourses de l'être démoniaque avec gourmandise, les suçant également avec attention. Elle haletait toujours, comme une petite chienne léchant une friandise, sa poitrine se levant et s'abaissant au rythme de sa respiration.
- Merci à vous, Grand Duc, de me laisser goûter à votre sexe délicieux. Merci de baiser ma petite gueule, piètre écrin pour un membre si incroyable que le votre...
Puis elle retourna à son œuvre, léchant et suçant les couilles du démon avec avidité. Elle avait beau souffrir de ce traitement d'un côté, elle ne pouvait s'empêcher d'obéir aveuglément et d'en ressentir un certain plaisir.
Après s'être longuement occupée de ses bourses, elle avala de nouveau son sexe tout entier, et commença tant bien que mal à effectuer des vas et biens, aussi profondément que possible, le gland du démon venant taper contre le fond de sa gorge. Jusqu'à présent, tout avait été très lente. Mais Valériane était bien décidée à contenter son maître, ignorant les risques et la douleur qu'elle pouvait ressentir. Elle augmenta alors le rythme des vas et viens, refermant ses joues et sa bouche entière pour envelopper ce chibre déjà bien à l'étroit dans sa petite bouche.