Apparemment, la petite semblait avoir du mal à réaliser qu'un, ou qu'une, esclave pouvait devenir rien de plus qu'un jouet sexuel pour ses maîtres. Tant d'innocence pouvait me faire sourire.
Elle tremblait comme une feuille, je connaissais ça, plus que d'autres. Beaucoup de proies acculées et désarmées tremblent de peur devant leur prédateur, se demandant à quelle sauce ils vont être mangés. Je me doute que ça ne la rassurerait pas si je lui dit que je ne la mangerais pas... Le seul moyen pour moi de tenter de la rassurer et justement de jouer allègrement avec elle. Si, après avoir jouit sous mes caresses, elle remarque que ce n'est pas si terrible, elle sera plus encline à recommencer.
Elle refusa de se faire embrasser la première fois, alors je fis plonger mon baiser sur son cou. Elle ne tenta pas de me repousser, elle devait savoir à l'instinct que j'étais bien au dessus d'elle sur les rapports de force, quand bien même, elle aurait pu essayer.
Elle resta stoïque quand je lui caressais les seins, sans doute voulait-elle faire croire qu'elle ne ressentait rien, mais ma main entre ses cuisses la fit couiner. Elle tenta en vain de resserrer ses jambes. En vain, oui, car j'étais justement assise entre ses jambes. Elle coinça ses genoux conte ma hanche et le reste du bas du corps se resserra. Elle m'aurait presque fait une pincette à la main en serrant ainsi, mais je n'en ai cure, car sa réaction fit que je la dévisageais avec un intérêt nouveau.
- Tu t'es déjà touchée à cet endroit ?
Je retire ma main d'entre ses cuisses, temporairement. Je la caresse en revanche tout autours, sur le bas ventre, les cuisses... Deux de mes queues s'occupent de lui caresser des genoux aux pieds. Mes caresses ont pour but de la faire desserrer son emprise, pour remettre finalement à nouveau la main entre ses jambes.
- Si c'est le cas... Ta maîtresse sera ravie de fouler ce terrain vierge. ♥
Je retente de l'embrasser, et cette fois ci elle ne détourne pas la tête. Nous étions loin du vrai baiser, mais il y avait du progrès. La petite continuait à trembler, mais il semblait que même si elle était effrayée elle ne voulait se défendre. Heureusement pour elle, peut-on dire, car si elle avait eu l'idée de s'en prendre physiquement à moi, elle aurait du goûter à ce qu'on appelle la rancune des Kitsunes.
Pour Ahri, les punitions vont crescendo, elle commencerait d'abord gentiment en ne faisant que menotter, ou ligoter sa proie. Si c'est plus 'grave', elle mordrait ou donnerait la fessée. Et dans les cas ou elle est contrariée, elle utilisera un vibro qu'elle enfoncera dans le fondement de son esclave, d'un diamètre plus ou moins gros selon l'humeur de la kitsune.
Il serait peut-être bien de le préciser à la petite, en précisant que dans le lot y'a peut-être un peu de douleur, mais aussi beaucoup de plaisir, malencontreusement je garde cela pour moi, pour le moment...
Je continue mes caresses et je peux sentir que la petite se réchauffe petit à petit, c'était le but que je m'étais donné en la caressant de la sorte. Comme elle se laisse embrasser j'en profite pour prolonger un moment supplémentaire, avant de finalement décoller mes lèvres.
- Ta maîtresse est contente, malgré le fait que tu es toute tremblante, tu te laisses docilement faire. ♥
Je me relève, quittant le beau siège sur lequel je la dominais. Allait-elle penser que j'allais lui offrir du répit ? Que nenni, mes queues dans son dos la pousse lentement vers le bord de la chaise. Deux de mes queues lui attrape les genoux en prévision de la suite:
- Nous allons continuer notre petit jeu au lit,ma petite. ♥ Attention...
Deux choses s’enchaînèrent assez vite, la première, les deux queues tenant les genoux lui relevèrent les jambes, en second, deux autres queues remontèrent de l'intérieur des genoux jusqu'aux fesses, un peu en dessous des fesses. Finalement, elle fut soulevée littéralement et ramenée à moi en quelques instants. Nos deux paires de seins étaient comme collée ensemble. Je pose mes mains sur ses fesses pour la maintenir stable, et un peu continuer à jouer avec elle.
Si elle n'était pas trop brusquée du déplacement, je l'embrasse à nouveau. Je commence seulement à bouger, pour l'emporter jusqu'au lit. Pour ceux qui se demanderaient comment je peux soulever la petite, disons que je suis assez forte, au niveau des queues, et il n'est pas compliqué de garder stable une personne du moment qu'on l'a ''capturé'' comme je l'ai fait, et surtout si elle ne se débat pas trop. On arrive finalement jusqu'à la grande chambre. Cette chambre à tout pour plaire, un peu comme le salon en bas, un beau tapis rouge bordeaux au motif noir entrelacés Des murs dans un ton un peu plus doux, et surtout un grand lit a baldaquin, dans lequel une dizaine de personne pourraient dormir sans le moindre soucis, huit barres verticales en fer doré et poli entourent le tout. Si ça rajoutais à l’esthétique, ça pouvait me servir à attacher mes victimes. En effet, derrière les somptueux draps et les oreillers se cachaient des menottes dont une des deux moitié était déjà fixée au barreaux. Et la fameuse armoire. Elle semblais simple et de sa couleur un peu plus claire contraste un peu avec les autres subtilités de la salle, mais c'était la pièce maîtresse de la chambre, à l'intérieur s'y risquaient mille et un jouets à but sexuels que j'utilisais plus ou moins souvent selon les cas. Un peu à coté, dans le même ordre d'idée, il y avait une garde robe qui elle contiens nombres de tenue affriolantes, et ce sans compter les tenues de cosplay qui peuvent s'y glisser.
J'avance jusqu'au lit et l'y pose gentiment.
- Bien, Nous allons pouvoir continuer. ♥
à nouveau, je lui écarte les jambes, dans l'optique de m'asseoir entre, j'écarte moi aussi les cuisses, pour passer une jambe puis l'autre en dessous des siennes. Je recommence alors notre jeu là où nous l'avions arrêté, à savoir une mais sur les seins, qui sera passée sous le vêtement pour l'occasion et l'autre main lui caressant le bas ventre. Je lui dis :
- Je vais maintenant t'embrasser comme il se doit. Mais avant, ouvre la bouche - pas trop grand non plus - et sors la langue. ♥
Et ceci juste pour pouvoir l'embrasser en bonne et due forme. Il restait à voir si elle s'exécutait ou si encore une fois elle allait décliner l'invitation.