[oui excuse moi, je me suis dit que ça ferait bien quelques mort, pis après coup me suis dit "Merde! En fait, elle sont pas à moi celles là" Dsl ça n'arrivera plus
]
Avant que le monstre puisse atteindre d'autres nymphes, Artémis siffla ce qui eus pour effet de les faire se disperser completement. La déesse sauta sur le dos du monstre une dague à la main ce qui impressionna grandement le guerrier, ses suivantes, s'étaient réunis autour des cadavres en priant. Lorsque Bleiz se retourna ce fut pour voir la bête se diriger dans sa direction, une dague plantée dans le coup, en plus des flèches qui parcouraient son torse. Pendant ce temps, la déesse semblait incanter près des cadavres de ses suivantes. Peut être était-elle capable de les ramener à la vie ?
Mais Bleiz avait une question bien plus pertinente à poser. Comment ce faisait il que les flèches qui étaient planté dans le corps de la bête ce mettaient-elles à sortir toutes seules ? Bleiz se rendit compte que le loup-garou bandait ses muscles tellement fort que le flèches étaient repoussée vers l'extérieur, excepté la flèche et la dague d'Artémis, que le loup-garou retira à la main. Bien que ces blessures saignaient abondamment, elles se refermèrent vite grâce au capacité curatives du monstre.
Et c'est un loup-garou completement guéris et furieux qui fonça sur Bleiz, ce qui fit naître en lui la réflexion suivante :
Chouette, j'aime pas quand c'est trop facile.La bête étaient désormais furieuse et ne risquaient plus de s'enfuir. Elle fonça sur Bleiz qui retira son manteau et se mit en garde. La bête étaient puissante et rapide, Mais prévisible. Ce qui permettait au guerrier d'esquiver tout ces coups. Tel un danseur, il bougeait et virevoltait. Et à chaque fois que l'occasion se présentait il lui faisait une estafilade de sa lame. Cela ne blessai pas la bête mais avait pour but de l'énerver encore plus afin qu'elle finissent par commettre une erreur. Car si la situation restait tel qu'elle était, Bleiz finirait par s'épuiser et le loup-garou, dont l'endurance était bien supérieur à la sienne, finirait par le tuer.
C'est alors que la bête se cambra en arrière dans un cris de douleur intense. Bleiz vit derrière elle, la déesse, avec ses nymphes au complet dont les deux qu'elle avait du ressusciter, tenant son arc. Il vit qu'une flèche traversais le talon de la bete. Cela avait du trancher son tendon d'Achille, ce qui, en plus d'être effroyablement douloureux, l'empêcherai désormais de se déplacer rapidement. Voyant sa proie tomber, face au sol, Bleiz n'hésita pas, et d'un mouvement fluide, fit traverser son épée à travers le dos du monstre pour l'enfoncer profondément dans le sol, et terminer de l'immobiliser.
Sachant qu'il faudrait un long moment à la bête pour se dégager de là, le jeune guerrier ramassa la dague sanguinolente d'Artémis, se dirigea vers la déesse, mis un genoux à terre en signe de respect, et tendant la dague dit.
-Je n'aurais point pus le trouver sans vos chiens, et n'aurais pus le vaincre sans votre flèches. Le coup de grâce vous reviens donc déesse.