Tekhos Metropolis. Une ville immense à la technologie bien au-delà de celle de la Terre. Un endroit où l'impossible est rendu possible par la maîtrise de capacités parapsychiques et de nanotechnologies. Un monde entier de nouvelles possibilités.
Et pour Tyria Stukov, la mine d'or qui fait grandir sa fortune petit à petit via les brevets sur des technologies récupérées ici qu'elle dépose sur son monde d'origine. Elle aurait pu s'en réjouir, sa fortune, déjà grande, héritée de sa famille et de générations de Stukov avant elle depuis la découverte de ce portail, dans cette banlieue abandonnée d'une ville japonaise, n'avait jamais cessé de croître. La ville avait depuis grandi, même si la banlieue en question était devenu le lieu de nombreuses demeures plus fortunées les unes que les autres. Et la maison des Stukov n'y faisait pas exception. Un grand domaine situé dans le creux d'une vallée, en bas d'un imposant manoir victorien appartenant à elle ne savait qui.
Mais Tyria était à peine satisfaite de sa situation. Il ne se passait pas un jour sans que la maison sur terre ne lui rappelle que ses parents y avaient fui en l'abandonnant aux mains d'une gouvernante adepte des enseignements du marquis de Sade. Et si la maison sur Terre avait été vidée de tout ce qui pouvait lui rappeler ses parents honnis, elle n'en demeurait pas moins une immense coquille vide. Elle ne s'y sentait pas chez elle. Pas plus que l'ancienne maison en Angleterre qu'elle avait liquidée en même temps que nombre d'autres de ses actifs du Royaume-Unis.
Elle passait désormais le plus clair de son temps libre sur ce nouveau monde où elle n'avait pas de mauvais souvenirs pour la hanter. Les pièces y étaient plus à son goût, les ayant faite refaire dans un style qui lui convenait mieux. Elle possédait la tour entière mais n'en habitait réellemen que le dernier étage. Les cinq en-dessous avaient été refaits dernièrement pour une nouvelle activité qu'elle avait ouvert dernièrement.
Ses parents avaient des esclaves dans ce monde où cela était autorisé. Le concept même l'avait répugnée. Jusqu'à ce qu'elle réalise qu'en réalité, les esclaves en question étaient traités comme des rois en échange de satisfaire les petits caprices de ses parents.
Qu'ils l'aient traité elle, leur propre fille, bien pire que la manière dont ils traitaient les esclaves qui étaient leur propriétés alors qu'elle était de leur sang l'avait énervée au dernier degré et l'avait fait les haïr, tous jusqu'au dernier. Elle avait fait rénover les cinq étages en-dessous du sien pour les transformer en harem, un bien joli nom pour une maison de passes. Et depuis, elle assouvissait sa vengeance en prostituant de force les ancien protégés de ses parents.
L'endroit avait été rénové pour convenir à l'usage qu'elle souhaitait en faire, elle avait de surcroît changé la sécurité pour s'assurer d'éviter les tentatives de fuites de ses esclaves. Elle s'était dotée de
robots de sécurité pour surveiller son cheptel, équipé d'armes pouvant varier entre le non-létal et le létal. Afin de garantir plus de sécurité encore, elle avait fait implanter sous la peau dans des endroits aléatoires pour chaque esclave des puces de localisation et ils portaient tous un QR-code tatoué à l'arrière de la nuque permettant aux robots de les identifier à plus facilement ainsi que de collier à serrure magnétique portant leur numéro. Les anciens esclaves de ses parents étaient surtout des numéros à ses yeux. Ce n'était pas de vrais personnes. Du moins, c'est ce qu'elle ne cessait de se répéter. En cas de doute, de numéro étrange ou de QR-code illisible, les robots n'avaient pas de retenue à se servir de leur équipement et c'était bien ce que recherchait Tyria. Des gardiens froids et insensibles, silencieux comme la mort et fidèles jusqu'au dernier souffle.
Mais pour le moment elle avait affaire à un cas pour le moins particulier. Pas plus tard qu'une heure plus tôt, un genre de créature qu'elle n'avait jamais vu avant avait demandé à obtenir rendez-vous spécifiquement avec elle en se présentant au Harem. Intriguée, elle avait accepté avant de voir débarquer dans son grand bureau une sorte de créature à mi-chemin entre l'humanoïde et le reptile ailé. Portant une tenue de cuir à l'allure très martiale, elle, car il s'agissait probablement d'une femelle à son apparence, était suivit de près par une autre créature à l'origine... Indéterminée. Elle ressemblait à un Terranide. Ou une Terranide, Tyria n'aurait su dire. La créature avait des traits vaguement masculins mais féminisés à l'extrême et une tenue le rendant quasi-androgyne. Ses cheveux roux et ses oreilles étrangement poilues ne l'aidaient pas des masses. Il ou elle semblait avoir une main vaguement normale tandis que l'autre figurait plus une patte d'animal.
Tyria pour sa part portait un tailleur féminin trois-pièces foncé avec pantalon, cravate et gants assortis. Seule entorse aux règles de la mode, elle ne portait pas des chaussures ordinaires ou des talons hauts, mais des rangers.
Elle avait réussi à conserver une expression neutre, même quand la créature faisant penser à une sorte de dragonne noire s'était assise dans son fauteuil pour lui expliquer être amiral d'une nation dont elle ignorait tout et être ici pour ses loisirs.
Étant directrice d'entreprise sur terre et officiellement simple gestionnaire de Harem sur Terra, Tyria ne douta pas un instant que la créature et son... second l'avait-elle appelé ? Ne pouvaient que difficilement être chez elle pour autre chose. Elle pensa qu'ils souhaitaient une spécialité, même si elle ne voyait pas bien laquelle, son Harem n'offrant au final que des services relativement génériques.
Dire que la demande la surprit fut un euphémisme. Elle ne parvint pas à cacher son trouble qu'on vienne lui demander une chose pareille. Surtout considérant
qui devait être ainsi traité.
Les explications furent un peu longues et fastidieuses, mais au final, Tyria se rendit compte qu'elle rentrait plus que dans ses comptes avec cet arrangement et que cela ne sortait pas vraiment, au final, d'un service d'ordre sexuel un peu étrange mais pas si improbable que cela. Et considérant qu'elle débutait dans ce genre d'affaires, commencer à refuser ce genre de propositions pourrait nuire à son image, surtout vu que son interlocutrice semblait avoir une certaine importance.
Elle accepta. Un acompte fut versé et elle raccompagna la dénommée "Ishtar" à la sortie, son second, un certain Théorem, demeurant quatre pas en arrière, cernés par quatre robots de sécurité. Il y eut un dernier échange d'adieux et la porte se referma. Tyria se tourna alors vers le nouveau venu et revint le regarder de plus près. Malgré qu'elle-même ne soit pas très grande, elle dominait légèrement le vice-amiral.
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Je me demande bien ce que tu as fait pour mériter ça... Marmonna-t-elle en fronçant les sourcils plus pour elle-même que pour entamer une réelle discussion.
Puis elle poussa un soupir et gifla subitement le roux d'un revers bien senti de la main. Tyria n'était de loin pa aussi fragile que sa carrure ne le laissait à supposer. Elle pratiquait le systema, un art martial russe inventé à la base pour les forces spéciales de l'ex-URSS, les Spetsnaz et se classait dans les dix meilleures combattantes de cet art du japon. Elle n'osait pas le pratiquer en compétition plus haut, parce qu'hélas, ayant déjà tué, elle avait un manque d'hésitations face à un adversaire à utiliser des coups létaux qui perturbait déjà énormément son professeur.
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SR-8, SR-6, emmenez-le, dit-elle à des deux machines.
Qu'il dépose ses affaires au vestiaire... Enfin, s'il en est toujours capable... Dit-elle en sortant le pistolet à chocs du holster d'un des robots et en le réglant sur une puissance particulièrement douloureuse mais pas mortelle avant de faire feu sans sommation sur la créature, son "client".
Le roux hurla de douleur et tomba à la renverse, son corps agité de spasmes incontrôlables. Elle rendit ensuite son arme au robot et laissa les autres trainer le corps encore agité de convulsions en direction des vestiaires.
Tyria se tourna ensuite vers le robot à sa droite, légèrement en retrait.
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Vas me chercher N°001, 002, 003 et 004. Et si N°003 fait encore sa précieuse, choque-le, dit-elle d'un ton froid.
Je les veux dans la salle aux carrelages dans trois minutes. Et aussi court vêtu que possible, termina-t-elle.
Le robot attendit encore quelques secondes pour s'assurer de ne pas manquer une autre instruction et parti à son tour tandis que Tyria prenait elle aussi le chemin de ladite salle. Contrairement à ses esclaves, les salles avaient des noms. Une idée à elle dans le but de bien montrer à ses esclaves dans quelle estime elle les tenait.
Elle entra dans une grand salle carrelée de blanc, sentant légèrement le désinfectant. Elle ne contenait rien d'autre qu'un grand lit recouvert d'un sommier en matière imperméable. L'endroit avait été conçu pour pouvoir être nettoyé à grande eau entre deux clients. Probablement ce qui se rapprochait le plus dans son imagination d'une salle d'interrogatoire. Ou de tortures, ce qui n'était pas si éloigné.
La porte s'ouvrit derrière elle quelques instants plus tard et elle regarda son chronomètre. Les trois minutes était épuisée depuis au moins deux bonnes minutes.
Elle se tourna ensuite pour regarder qui venait d'entrer. Il s'agissait des N° 001 et 004. De leurs vrais noms,
Lirinëlle et
Sodoka. Lirinëlle était une superbe elfe blonde cinq fois plus âgée que Tyria, mais ayant passé sa vie en esclavage depuis sa naissance. Achetée par sa mère comme cadeau pour son père, elle ne s'était pourtant pas privée de satisfaire aussi l'ex-maîtresse de maison. Sodoka était une esclave Neko qui avait été donné à son père par un partenaire commerciale de Tekhos, mais elle était arrivée trop tard pour avoir connu son père ou sa mère plus que par quelques mots échangés. Elle était celle que Tyria terrifiait le plus pour avoir tué ses parents alors qu'elle en gardait le souvenirs de personnes gentilles.
Fort heureusement pour elles, toutes-deux étaient habillées de micro-bikinis, conformément à ses ordres.
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C'est ça que vous appelez "dans trois minutes" ? Demanda la jeune esclavagiste avec la chaleur d'un iceberg.
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Nyah, Maîtresse Stukov, il fallait qu'on se change... Tenta de plaider 004.
Tyria détendit son bras d'un coup et agrippa la Neko par la mâchoire, ce qui la fit se figer de terreur.
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Je n'ai pas demandé d'excuses, 004... Fit remarquer Tyria en la toisant d'un regard inexpressif.
La petite Neko se mit à trembler violemment de peur. Tous les anciens esclaves avaient assisté à la démonstration qu'elle avait faite en écrasant à coups de poings la gorge de 003 qui avait cru pouvoir se comporter de manière familière avec elle sous le prétexte qu'il était le favori de sa mère, ce malgré qu'il faisait trente centimètres et quarante kilos de muscle de plus qu'elle. Il était désormais connu de toute la maisonnée que Tyria pouvait tuer à mains nues si l'envie lui en prenait et que les robots ne feraient rien pour l'empêcher.
Elle relâcha la petite Neko qui tomba à genoux, tremblante comme une feuille. Celle-ci fut rejointe par l'elfe qui la prit dans ses bras pour la rassurer.
La porte se rouvrit, laissant le passage à 002,
Classa. Qui elle aussi portait un
sling-bikini, l'air aussi contente d'être là que d'avoir croqué dans un citron. Tyria n'avait pas réussi à définir à quelle race appartenait cette créature, simplement qu'elle avait du sang de démon quelque-part dans ses ancêtres.
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Tu arrives un peu tard 002... Commenta Tyria.
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Votre machine a tiré sur Korus à deux reprise, dit-elle en ne cachant pas son dégoût.
Il fallait bien que quelqu'un l'empêche d'avaler sa langue.-
Korus... Ha, 003... Réfléchit Tyria à haute voix.
J'imagine qu'il a encore désobéi...-
Il a juste demandé pourquoi il devait venir aussi ! Siffla Classa en montrant les dents, une grimace de colère à peine contenue sur le visage.
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Il a fait sa précieuse donc... Commenta Tyria.
Classa fit un pas en avant en serrant le poing. Le robot au côté de Tyria dégaina et braqua son pistolet à chocs sur sa tête dans le dixième de seconde qui suivit.
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Tu es plus obéissante que ça d'ordinaire 002... Constata Tyria.
Est-ce que tu commencerais à t'apitoyer sur le sort de 003 par hasard ?La porte se rouvrit à nouveau et le robot envoyé chercher les esclaves poussa à l'intérieur de la pièce 003,
Korus de son vrai nom, quoique Tyria doutait fort que ça soit sa véritable identité. Actuellement vêtu d'un simple slip de bain moulant rouge assorti à la couleur de ses cheveux, 003 avait été doté, de manière onéreuse par sa mère, d'attributs masculins particulièrement développés. Il pratiquait qui plus est le fitness à un bon niveau pour conserver une musculature saillante. De tous ses esclaves, c'était celui pour lequel Tyria avait le plus de mépris et dont elle se méfiait le plus. Très beau parleur, Korus avait été le préféré de sa mère en son temps et il avait largement profité de cet état de fait à l'époque. Il était tombé de très haut quand Tyria avait repris les rênes et s'il avait été enjôleur au début, il avait cédé une fois à la violence et levé la mains sur elle. Ce qui en avait résulté en sa défaite publique devant les autres esclaves et la démonstration des compétences au close-combat de Tyria. Mais il demeurait très fier et très con de l'avis de sa propriétaire.
"
Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnais", disait un proverbe français. Tyria se méfiait particulièrement de lui car il semblait avoir décidé de lâcher l'idée de devenir un collabo pour tenter celle de martyr. Et le pire étant probablement que cela semblait fonctionner.
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003... Encore à faire des tiennes... Commenta Tyria tandis que le jeune homme se relevait en se massant les bras.
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J'en suis navré... grinça ce dernier d'un ton tout sauf désolé.
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Nous en reparlerons... Commenta l'esclavagiste en se tournant vers le robot qui venait d'entrer.
Va me chercher un chaise dans le salon noir.Le robot parti sans un mot, fermant la porte derrière lui, laissant Tyria et l'autre robot dont l'arme était toujours braqué sur le front de 002 seule avec 001, 003 et 004. Classa finit par se retirer pour aller voir Korus qui l’accueillit avec un regard humide de chien battu du plus bel effet. Le robot revint avec une chaise capitonnée de cuir noir qu'il posa devant sa maîtresse et où elle s'assit.
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Où est notre client ? demanda Alors Lirinëlle.
En guise de réponse, la porte se rouvrit une nouvelle fois et deux robots soutenant Théorem dans sa tenue de soumise par les épaules entrèrent.
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Le voici, dit Tyria en désignant le Terranide Roux que les robots laissèrent tomber au milieu de la pièce sans guère de douceur, encore légèrement tremblant de la décharge qu'il avait reçue quelques minutes plus tôt.
Les esclaves se regardèrent avec des airs d'incompréhension qui auraient pu être comiques dans d'autres circonstances.
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Nyah, vous avez fait choquer un client maîtresse ? S'horrifia Sodoka.
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Ce sont les termes du contrat, répliqua-t-elle.
Cette petite salope que vous voyez là doit être martyrisée jusqu'à ce que sa maîtresse revienne le chercher.-
Martyrisé comment ? demanda 002 d'un ton soupçonneux.
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Quand tu auras besoin de le savoir, je te le dirais, répliqua sèchement la jeune Stukov.
Injection A-1 pour les numéros, dit-elle en se tournant vers le robot le plus proche.
Celui-ci ouvrit sa plaque pectorale sur un compartiment de stockage réfrigéré et sorti un tube de liquide bleuâtre qu'il chargea dans un injecteur hypodermique fixé à son avant-bras et l'ensemble des esclaves, surnommés les "numéros" par leur propriétaire frémirent en reconnaissant le produit : un aphrodisiaque plutôt léger par rapport à nombre d'autres présent dans le harem, mais qui avait le détestable effet secondaire de donner des maux de ventre.
Malgré tout, aucun ne protesta ou ne se déroba quand le robot passa de personne en personne pour en injecter une dose dans le creux du coude de chacun. Le robot revint ensuite se placer au côté de la maîtresse de maison qui regarda ses esclaves commencer à doucement se mettre à transpirer et avoir de plus en plus chaud alors que le produit faisait son office. Elle constata que les tétons des filles se mirent à pointer dans leurs maillots qui s'humidifièrent légèrement par le bas tandis que le seul homme de la pièce commençait pour sa part à avoir une trique énorme qui commençait à déborder de son slip de bain.
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002, tu vas maintenir la petite pute contre toi en passant ton coude sous sa gorge et en retenant sa patte griffue à l'aide d'une clé de bras. Veille à bien plaquer ta poitrine contre son dos. 001, 004, vous allez frotter vos poitrines contre le torse de la petite pute et en profiter pour lécher ses tétons piercés.Elle se tourna ensuite ver le seul esclave mâle de la pièce.
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Quant à toi 003, tu va aller frotter ce qui te sers de deuxième cerveau contre la figure de la petite pute.-
Aux dernières nouvelles, je suis hétéro, protesta en geignant Korus.
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Félicitation, tu viens de devenir bi, grinça Tyria d'un ton aussi froid qu'un blizzard sybérien.
Exécution...L'esclave baissa le regard et s'avança avec les autres, obéissant malgré tout, la présence des quatre robots de garde équipés de pistolets à choc aidant probablement beaucoup dans ce sens. sans compter qu'à poings nus, attaquer leurs blindages n'avait pas de grandes chances de réussite et ils étaient insensibles à leur propres armes.
Classa tordit donc le bras poilu de Théorem et le relva en passant un bras sous son cou comme si elle cherchait à l'étrangler, plaquant son opulente dotation mammaire contre le dos du soumis. Lirinëlle et Sodoka vinrent à leur tour plaquer leurs poitrines durcies aux tétons tendus contre l’abdomen du Terranide avant de commencer à lécher avec chaleur ses tétons piercés. Personne ne fit de commentaire sur la cage pénienne du soumis et finalement, Korus vint frotter avec un grognement dégouté son membre turgescent contre la figure de Théorem.
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Excitez-le-moi, ordonna Tyria d'un ton autoritaire tout en sortant de sa poche un petit projecteur holographique portable qu'elle posa sur son oreille avant d'en déployer l'écran devant un de ses yeux.
Par contre le premier qui me le fait jouir, je le fais jeter par le balcon.Les esclaves eurent un mouvement de surprise synchronisé, puis reprirent leurs caresses de plus belle, désormais très concentrés sur leur affaire malgré que tous n'aient qu'une envie très visible dans leurs regards : baiser comme des animaux.
De son côt, Tyria se mit à consulter quelques rapports financiers et sa correspondance mail tout en suivant les ébats d'un oeil distrait.
Elle n'arrivait pas à aimer le sexe et ce qu'elle voyait pour le moment la rebutait plus que ça ne l'intéressait.
Vouloir se faire maltraiter, voilà bien une chose qu'elle ne parvenait pas à comprendre.