Bitch [Rin Shibuya]

Finalement, ce fut au tour de Mélinda de jouir, remplissant abondamment son fondement de foutre chaud — de nouveau — alors que Rin n'avait même pas encore finie de se vider dans le lavabo. L'épaisse semence réchauffa agréablement son arrière train, jusqu'à ce que son amante ne finisse par se retirer, laissant le sperme se reprendre à nouveau au sol. Rin récupéra autant de sperme que possible pour le faire glisser entre ses lèvres, n'aimant pas gaspiller une si bonne nourriture.

- Hmmmm.... J'adore cette sensation d'avoir le cul en choux fleur~

- Ben merde, vous baisez depuis plus d’une heure...

En effet, la sonnerie retentit de nouveau, signe que cette heure de cours venait de se finir pour laisser place à la suivante. Il y'eu dans le couloir un brouhaha quelques minutes, avant que le calme ne revienne.

- Il me reste une heure de cours avant la fin de ma journée, et je n'ai ni envie de rester au toilettes, ni envie d'aller en cours... Et je suis toujours excitée... Une idée les filles ?

Rin attrapa le haut de son uniforme et récupéra seulement la marinière et le foulard, de manière à ne porter que ceux-ci, fourrant le reste de ses affaires dans son sac, elle ouvrit la porte des toilettes, laissant voir le couloir vide. Hormis la marinière et le foulard de son uniforme, elle ne portait que ses bas et ses gants en latex blanc, et se tourna vers les deux autres filles, un sourire espiègle accroché aux lèvres, fière de son audace.

- On se bouge ?

Mélinda s’était joyeusement soulagée dans le corps de Rin, et vit cette dernière lécher le foutre traînant sur le sol et sur ses cuisses, en avalant autant que possible. La sonnerie venait de retentir, et les trois femmes étaient toujours dans les toilettes, Mélinda était totalement nue. Cependant, Rin s’empressa de s’habiller, indiquant avoir encore une heure à tirer, mais n’ayant pas envie de la passer, ni ici, ni dans la salle de cours. Mélinda ne put que sourire. Elle et Clara n’avaient également guère envie d’aller ailleurs. Clara, elle, avait une très belle érection, et rougissait furieusement. Elle avait vu Mélinda et Rin s’envoyer joyeusement en l’air pendant plus d’une heure, et il en résultait que son sexe était assoiffé. Rin, elle, se contenta juste d’enfiler sa marinière, et sortit comme ça, quasiment toute nue. Mélinda l’observa en souriant lentement.

Puis la vampire sortit alors des toilettes, toute nue, jouant également dans la provocation. De base très perverse, si on ajoutait à ça l’aura de luxure d’une succube, il fallait bien s’attendre à ce que Mélinda repoussa encore les limites. Nue, avec son mandrin, elle rejoignit Rin, et glissa sa main dans le creux de la sienne, Clara venant rapidement les rejoindre.

« On bouge, oui… »

Clara avait récupéré l’uniforme de Mélinda, et les suivit donc, ayant juste enfilé sa chemise.

« Mais je crois qu’il va falloir que tu t’occupes vite de Clara, la pauvre a l’air d’avoir stocké beaucoup… »

Clara ne put que rougir, tout en se mordillant les lèvres. Il n’y avait personne dans le couloir, les élèves étant tous dans les salles, et Mélinda finit par s’arrêter à un moment, embrassant Rin contre le mur, frottant sa queue contre sa peau. Elle se tourna alors vers Clara.

« Prends-là. »

Elles étaient dans un escalier, devant les marches, et ce fut là que Clara s’enfonça en elle, d’un coup sec. Elle soupira de plaisir, avant de l’embrasser, et Mélinda les observa en souriant. Le corps de Clara remuait contre le sien, et la lycéenne aux cheveux roses soupirait… Et, soudain, alors que le temps défilait, des bruits de pas se firent entendre venant d’en haut. Tournant la tête, Mélinda vit deux élèves descendre, deux garçons, dont l’un portait des lunettes.

« Et là, je lui ai dit que… Oh… »

Interloqués, ils s’arrêtèrent, devant ce spectacle, et eurent rapidement des érections prononcées. Mélinda se rapprocha d’eux, et, en souriant, embrassa un homme dans le creux du cou, caressant la queue de l’autre.

« Messieurs… ? Vous ne voyez pas que nous sommes occupées ?
 -  Hein ? Oh, je… Euh… Pardon… »

L’un rougit benoîtement, et un sourire carnassier s’afficha sur les lèvres de Mélinda.

« Ce n’est pas auprès de moi qu’il faut s’excuser, mais auprès de Rin… »

Déglutissant alors, ils s’approchèrent de la jeune femme…

Elle qui s'ennuyait un peu il y'a de cela un peu plus d'une heure, Rin était en train de passer une très bonne après midi, avec deux amantes imprévues, mais ô combien plaisantes. Elle venait de se faire sauter durant plus d'une heure par une illustre inconnue, et voilà qu'elle marchait avec elle main dans la main et le cul à l'air, au beau milieu du couloir. Et elle ne connaissait toujours pas son nom. Mais bon, sur le moment, elle s'en foutait un peu, il y'avait plus important, comme le fait que les trois lycéennes jouaient à présent aux exhibitionnistes dans le couloir, par exemple. A bout de quelques minutes, elles s’arrêtèrent près des escalier, et la jeune succube eu à peine le temps d'écarter les cuisses, que Clara la pénétra d'un coup sec et laboura son intimité, évacuant toute la frustration accumulée durant l'heure passée.

- Hmmmm... Haaaaaa... Bourre moi bien Claraaaaa....

Rin était insatiable et très résistante. Une fois qu'elle était lancée, elle avait beaucoup de mal à s'arrêter. Lorsqu'elle avait passée le weekend avec l'équipe sportive, ce n'était pas une heure ou deux qu'elle était restée avec eux, mais une bonne partie de la soirée et de la nuit. Et encore, le lendemain matin, elle était repartie en pleine forme, en les laissant tous sur le carreau. Autant dire que les filles allaient avoir bien du mal à l'épuiser. Clara la pénétra donc rapidement, profondément, en s'accrochant à ses hanches, tandis que Rin elle, l'embrassait langoureusement, palpant et malaxant son cul rebondit, sous les yeux de Mélinda.

Elles forniquèrent ainsi contre le mur de longues minutes, avant que deux garçons n'arrivent. La succube ne suivit pas la conversation, trop occupée qu'elle était avec Clara, mais relâcha les lèvres de son amante à la vue des deux garçons, une bien belle bosse dans leur pantalon. Caressant les fesses de Clara, Rin afficha un beau sourire.

- Miam ♥ Deux nouvelles bites sur pattes rien que pour nous ♥ La demoiselle était là la première par contre, donc je m'occuperais de vos queue quand elle aura giclée ♥

Et elle retourna embrasser Clara en gémissant, reprenant ses langoureuses caresses. La pauvre attendait depuis plus d'une heure, elle méritait bien d'être prioritaire.

Tenter d’épuiser Rin, une succube, était autant voué au succès que de prendre une bouteille d’eau, de se mettre devant la mer, et d’en boire tout le contenu. Il n’y avait aucune chance de l’épuiser, Mélinda était bien placée pour le savoir. Les succubes se nourrissaient du sexe, et ne risquaient guère l’indigestion dans ce domaine. Elles pouvaient coucher pendant des jours entiers. Mélinda le voyait fréquemment avec Edessa. On n’épuisait pas une succube, mais ça n’empêchait pas Mélinda et Clara de se surpasser. Les femmes couchaient joyeusement ensemble dans le lycée, et Clara la pénétrait goulûment, contre le mur, sous le regard ravi de Mélinda, ainsi que de deux hommes, dont l’un s’avérait être, heureux hasard, un fervent supporter des aventures sexuelles de Rin.

Cependant, avant que Rin ne s’occupe d’eux, elle se concentra sur Clara, qui continuait à la prendre. Une heure d’attente, pour elle, ça avait été terrible, et elle avait un gros stock de sexe à décharger.

« Hhmmm... Mmmhmmmh... »

Ensemble, elles formaient vraiment un très beau couple. Les deux garçons étaient interloqués, ne sachant plus trop quoi faire, et Mélinda, toujours aussi nue, se déplaça un peu, et massa le cul de Clara.

« Alors, les garçons ? Vous êtes tout timides... Ne me dites pas que vous n’avez encore jamais vu de scène de sexe à Mishima, ou que vous ne reconnaissez pas Rin...
 -  S-Si...
 -  Eh bien, approchez ! Vous êtes si pressés que ça de rentrer chez vous ?! »

En temps normal, une invitation aussi grossière, aussi farfelue, n’aurait sans doute pas marcher, mais... D’une part, on était à Mishima, et, d’autre part, Rin dégageait une telle aura de luxure que les hommes s’en sentaient inextricablement attirés. Les sacs à dos tombèrent sur le sol, et les hommes s’approchèrent alors. Déglutissant, l’un d’eux caressa les fesses de Clara, et l’autre se mit à côté d’elles, observant leurs baisers, essayant d’embrasser Rin quand elle cessait d’embrasser Clara.

« Vous êtes si bonnes, les filles...
 -  T’es encore plus sexy en vrai, Rin... Hmmm... Bon sang, je t’aime... »

Quel succès fou ! C’était un vrai hommage au sexe. Lust avait de quoi se frotter joyeusement les mains.

Rin avait tellement envie de s'occuper des deux garçon en même temps que de Clara, mais ça aurait été vraiment pute de sa part que de la frustrer d'aventage encore, d'autant plus qu'un des deux élèves semblait bien plus attiré par le cul de sa copine. Elle délaissa donc les fesses de son amante, afin de lui laisser le relais, et remonta sensuellement vers sa nuque et sa chevelure, les caressant doucement durant leur baisé torride. Lorsque leurs lèvres se séparaient dans des filets de salive, ce fut pour rejoindre celles de l'élève à côté, qui en profitait de son côté pour palper le cul de Rin contre le mur, glissant sa main entre les deux pour trifouiller sa rondelle.

- Hmmmmm... Pressés à ce que je vois... Haaaa.... Ok, on va faire ça....

Rin se décala légèrement de côté, de manière à ce qu'elle et Clara soient toutes deux le flanc contre le mur, afin de laisser l'accès libre à son cul. Et le garçon se précipita bien vite dessus, sortant sa queue déjà raide pour l'enfoncer entre ses fesses. Il était de plus suffisamment costaud pour soutenir les assaut de Clara dans l'intimité de Rin, qui se faisait à présent prendre en sandwich.

- Oui.... Ouiiiiiiiii..... Haaaaa....comme ça, c'est boooooon.... Haaaaaaaa....

- Putain Rin ! Ton cul est trop bon !

Son comparse, moins pressé, prenait le temps de savourer le cul de Clara, se contentant pour l'heure de fourrer deux doigts dans son fondement, l'autre main malaxant un de ses seins, titillant son téton. Il ignorait les noms des deux autres filles et s'en fichait pas mal, se contentant d'apprécier l'instant présent.

Avec une succube, il fallait s’attendre à tout. Mélinda, pour l’heure, était toujours nue, et avait rangé son mandrin. Sa fleur intime se présentait donc, très humide, tandis que les deux mâles, de plus en plus difficiles à retenir, se pressaient contre elles. Cependant, il était impossible de retirer Clara. La belle avait attendu bien trop longtemps pour ce moment, et elle tenait donc à le savourer longuement et joyeusement. La lycéenne était partie dans une tornade de sexe, enfonçant sa queue dans le corps de Rin, d’avant en arrière, encore et encore, la pénétrant sans relâche, avec une fougue incroyable. Pour une simple humaine, il était évident que l’environnement sexuel dans lequel elle était, conjugué aux pouvoirs de la succube, déclenchait en elle une endurance sexuelle à toute épreuve. Rin était vraiment très belle, aussi belle que perverse, et c’était le genre de choses qui ne laissaient pas Clara indifférente. Elle était conquise par cette beauté aux yeux verts, adorant le contact de ses lèvres, revenant à chaque fois l’embrasser, pour mieux la sentir.

« Hmmmm… »

Pendant ce temps, des corps se pressaient contre elles, et elle suivit donc Rin, la déplaçant un peu, ses mains posées sur le cul de la succube. Un homme défit son pantalon rapidement, et la pénétra alors, s’enfonçant d’un coup dans le cul de la succube, palpant ses seins, soupirant de plaisir. Celui dans le dos de Clara traîna un peu plus, jusqu’à ce que Mélinda ne s’approche de lui, et ne lui mordille le cou, en défaisant la boucle de la ceinture de son pantalon, masturbant ensuite la queue de l’homme.

« Hhmmm…
 -  Défonce le cul de cette salope… Allez… »

Déglutissant lentement, l’homme acquiesça, et, presque instinctivement, enfonça sa verge dans le cul moelleux de Clara. Mélinda observa ainsi ce magnifique quatuor, un sourire sur les lèvres. La luxure, voilà ce qui l’attirait, et qui l’excitait. Avec l’une de ses mains, elle n’hésita pas, et continua à déshabiller les garçons, jusqu’à ce qu’ils soient presque totalement nus. Ce fut ensuite à son tour de glisser ses doigts dans leurs fondements, tout en se lovant contre eux, humant toute cette luxure, tout ce stupre qui régnait dans leur sphère.

« Mmmhmm… C’est si beau à voir… Vous ravissez mes yeux, mes amours… »

Elle lécha le cou d’un des garçons, et, tout en enfonçant ses doigts dans son cul, alla le mordre, venant boire son sang, caressant, avec son autre main, son torse, le griffant également. Ce dernier émit un léger couinement, mais, loin de le calmer, la morsure renforça au contraire l’épaisseur de sa queue, et sa virilité.

Avec Rin, le sexe était comme une boucle sans fin.

Rin était littéralement aux anges, un comble pour une succube. L'odeur de luxure emplissait désormais le couloir, tant et si bien que cela ne l'étonnerait qu'à moitié que les élèves en cours ne commencent à se caresser discrètement, sous leur table. En attendant, elle était prise en sandwich, un membre masculin dans chacun de ses orifices, des mains qui palpais ses épais seins, et la langue avide et gourmande de Clara, qui se glissait régulièrement entre ses lèvres pour jouer avec la sienne.

Au bout de plusieurs minutes de gémissements et de bruits humides, les deux garçons, mordus par la vampire, redoublèrent d'intensités. Les deux filles virent ainsi leurs jambes se faire relever au niveau des flancs de l'autres et furent d'avantage pressées l'une contre l'autre. Rin et Clara se firent ainsi ramoner le cul plus vite et plus fort encore, et elles s'embrassèrent plus fougueusement encore, le sexe de son amante coulissant dans son intimité bien plus vite également. Rin sentit son amant jouir dans son fondement à deux reprises, avant que Clara ne se vide enfin en elle, remplissant sa chatte à ras bord.

- Haaaaa... Haaaaa... Haaaaa... Je suis tellement.... Pleine de votre foutre chaud.... Haaaa....

Les deux élèves se retirèrent d'entre leurs fesses, amenant les deux lycéennes à se retrouver à genoux, et il leurs présentèrent leur sexe toujours raide. La suite était évidante, et Rin pris entre ses seins l'un des membres qui se présentait à elle, tout en le suçant en même temps, sa langue léchant copieusement le gland lorsqu'il se glissait entre ses lèvres, sa salive facilitant le pazzuri qu'elle offrait à son amant. Nul doute que Clara allait en faire de même avec l'autre garçon..

Tout individu était sensible aux spores aphrodisiaques émanant d’une succube, mais il est vrai que, en la matière, les hommes y étaient naturellement plus réceptifs. Difficile de repousser une femme comme Rin, et ces deux inconnus étaient en train de tirer un sacré coup. C’est avec le plus grand des plaisirs quand le fan de Rin remuait dans son cul, le trouvant encore mieux que ce qu’il s’imaginait. Il posait ses mains sur son corps, sentant la douceur de sa chair, la chaleur de sa peau, durcissant encore sa queue, qui en venait à lui faire un mal de chien. C’était bon, mais c’était aussi particulièrement intense, terriblement savoureux. Comme si des ondes de plaisir traversaient régulièrement son corps, atténuant cette souffrance lancinante qu’il ressentait progressivement, au fur et à mesure que sa queue s’enfonçait en elle. C’était bon, douloureux, intense… Mais ô combien jouissif.

Clara soupirait, elle aussi, car, tout en pénétrant Rin, elle se faisait aussi défoncer le cul, et… Eh bien, tout ça, c’était magnifique aussi. Les deux femmes continuaient donc à se faire l’amour, et Clara finit par multiplier les orgasmes, jouissant dans le corps de la succube pendant plusieurs minutes, multipliant les éjaculations, tout comme les deux hommes autour d’elles. Les orgasmes vinrent ainsi à délicieusement se multiplier.

« Diable, quelles énergies… »

Les quatre amants n’en avaient toutefois pas encore fini entre eux, car après ces orgasmes multiples, les membres des deux hommes étaient toujours aussi tendus, ce qui amena les filles à s’agenouiller devant eux. Si Rin opta pour jouer avec ses seins, Clara, elle, alla directement prendre une queue en bouche, entreprenant de la sucer, pompant énergiquement dessus, une main posée sur la base du sexe de l’homme, avant d’entourer son bassin, enfonçant un doigt dans le fondement de l’homme, le faisant soupirer, tandis qu’il crispait ses mains sur les cheveux de la femme. Sa queue durcissait, continuant à lui faire un mal de chien, et, pour les deux hommes, qu’on s’occupe ainsi de leurs queues ne pouvait que les ravir.

Mélinda ignorait qui était ces deux types, mais ce n’était, dans le fond, pas si grave. Mishima était, encore une fois, en train de prouver ses réelles fonctions… Et, très clairement, ce n’était pas Mélinda qui irait s’en plaindre.

Ce tableau était tout simplement magnifique.

Rin continua à branler la queue entre ses seins, la prenant parfois en bouche pour longuement la lécher et la sucer, la gardant en gorge profonde, avant de la retirer dans de nombreux et épais filaments de salive et la branler de nouveau entre ses seins, la queue mieux lubrifiée. Elle variais parfois en enserrant sa poitrine en croisant les bras dessus, comprimant plus encore le sexe entre ses monts de chair, ou en agitant alternativement ses seins dessus, de bas en haut, tout en lui jetant des regards langoureux. La succube était consciente qu'elle s'occupait d'un des élèves qui se connectait régulièrement à son blog, et qui sera très probablement mentionné dessus dans la soirée. Elle faisait donc en sorte de lui laisser une excellente impression, tout en prenant son pied.

Ainsi, au bout d'une quinzaine de minute à jouer avec son membre entre ses seins, elle eu le plaisir de voir son amant se vider généreusement entre ses lèvres, son visage et sa poitrine, la jeune fille s’abreuvant de cette délicieuse crème épaisse et chaude, le pompant pour avaler les dernières giclées. Clara arriva à peu près au même point avec son amant et les deux garçons finirent par s’asseoir au sol, épuisés, incapables de bouger.

- Vous avez été de bon amants les gars... Mais il est temps de nous séparer ♥

Rin se pencha alors sur eux et les embrassa goulûment, chacun leur tour. Toutefois, elle ne se contenta pas de simplement les embrasser, mais aspira un peu de leur énergie vitale au passage. Cela, couplé avec la prise de sang de la vampire, les amena à sombrer dans un profond sommeil, à même les escaliers. Il suffira de les monter en haut de l'escalier, où il finiront par se réveiller d'ici quelques heures, avec de beaux souvenirs érotiques plein la tête. Lorsqu'elle eu finit de les embrasser, Rin se tourna vers la vampire.

- De ce que j'ai vue, tu es une vampire non ? Je suppose donc que tu es cette fameuse Mélinda dont maman parle régulièrement ? Ah, et je me suis pas totalement présentée...

Elle se pencha vers la vampire et l'embrassa langoureusement elle aussi, mais sans lui prendre d'énergie vitale, avant de s'éloigner légèrement et de lui sourire, de façon espiègle. Son visage et sa bouche étaient maculés de semence, mais cela ne la dérangeait pas plus que cela, bien au contraire.

- Rin Shibuya, ancienne succube orpheline récemment adoptée par Tessia-Sensei... qui est donc devenue ma mère, par rituel de sang. Ce sera avec plaisir que je vienne chez toi ce soir, mais il faut d'abord que je prévienne ma mère... Qui va sans doute me passer un savon pour avoir baisée au lieu d'aller en cours...

Oui, elle s'invitait un peu chez elle, mais Rin se disait que Mélinda ne sera pas dérangée outre mesure d'accueillir une succube sous son toit pour la nuit... hum... Et peut être plus, qui sait. La jeune fille décrocha donc son portable de son sac et pianota dessus, envoyant un sms à sa mère, qui était encore en train de donner son cours. Elle en envoya un autre à sa sœur, lui demandant de la rejoindre devant le lycée quand tout les élèves seront sorties. Finalement, elle raccrocha et entreprit de se rhabiller pour de bon cette fois, après avoir un peu vidée ses orifices pour avaler sa récolte de sperme.

- Voilà, j'ai prévenue ma mère. J'ai aussi prévenue ma sœur de nous rejoindre plus tard devant le lycée, si l'idée d'avoir deux succubes ce soir t’intéresse ♥

Après cette joyeuse séance de sexe, Rin, avec tout le calme naturel, lui confirma qu’elle était une succube... Et la fille adoptive de Tessia.

*Tessia... MA Tessia ?*

Comme quoi, le monde était parfois petit. Cependant, Mélinda ne connaissait pas non plus cinquante succubes à Seikusu qui s’appelaient Tessia. La puissante succube était une amie d’Alice, mais aussi d’elle. Elle était donc mère... De deux filles. Un élément que Tessia n’avait pas communiqué avec Mélinda, et qui la fit légèrement sourire. Une famille de trois succubes... Diantre, si elles avaient des voisins, Mélinda ne pouvait que les plaindre. Maintenir trois succubes ensemble, dans le même espace, c’était la promesse d’orgasmes à répétition... À moins que lesdits voisins ne participent, ce qui, en réalité, n’aurait pas surpris Mélinda outre mesure.

La vampire hocha donc la tête, tout en laissant Rin appeler sa mère. Les deux garçons qui avaient rejoint les filles dormaient en haut, et Clara, elle, avait entrepris de se rhabiller. La « vague », pour décrire ainsi l’aura de sexe de Rin, s’était estompée, et Mélinda se retrouvait maintenant avec, potentiellement, deux succubes sur les bras.

« Deux succubes rien que pour moi et mes filles... »

Elle lui sourit, et l’embrassa à son tour, posant sans hésitation ses mains sur ses fesses, les palpant. Le corps de Rin était tendre et doux, et, si elle était effectivement orpheline, tout ça expliquait sans doute pourquoi elle était si... Proche des autres. C’était très certainement Tessia qui lui avait appris à absorber la vitalité des gens avec qui elle faisait l’amour. Au moins, Rin ne faisait pas comme certaines succubes, elle n’absorbait pas la vitalité de ses amants au point de les tuer.

Rompant le baiser, elle lui sourit ensuite, leurs seins se caressant les uns aux autres.

« Je serais folle à l’idée de refuser... »

Mélinda récupéra ensuite ses affaires à son tour.

« J’aime bien rester nue, mais... Je n’ai pas non plus envie de me balader à poil dehors, je tiens encore un peu à conserver ma réputation. Toi, fais comme tu veux, mais... Si tu pouvais garder tes gants, sache que ça ne me dérangera pas. »

Si Tessia avait parlé à Rin d’elle, elle avait peut-être dû lui parler de la passion de Mélinda pour tout ce qui avait trait au fétichisme, une passion presque aussi forte que la sodomie pour elle. Mélinda se rhabilla donc, et soupira lentement.

« Bon... Alors, comme ça, Tessia a une fille ? Et je suppose qu’elle est... Aussi gourmande que toi, hm ? Ça promet pour ce soir. »

Carrément !

Rin entreprit donc de se rhabiller un peu, remettant le haut de son uniforme ainsi que sa jupe, mais sans mettre ses "sous vêtements" pour autant, ne serai-ce que pour mieux apprécier le contact de potentiels molester dans les transports. Elle choisit néanmoins la prudence en retirant gants et bas de latex, elle préférait ne pas trop attirer l'attention des enseignants. Hormis ça mère, aucun prof n'avait connaissance de son blog, pas plus qu'à l'administration. Elle les remettra quand elles seront arrivées au manoir.

- Bon... Alors, comme ça, Tessia a une fille ? Et je suppose qu’elle est... Aussi gourmande que toi, hm ? Ça promet pour ce soir.

- Je dirais même qu'elle est encore plus gourmande que moi, mais ça c'est parce que ça nature de succube à été scellée jusqu'à ses 16 ans... Du coup, elle a un gros appétit à rattraper.

Une fois les trois filles de nouveau en uniforme complet, elles se mirent en route vers le portail, où les attendait sa sœur. Lorsque Rin la vit, elle l'appela en faisant un grand signe de la main.

Mon dieu qu'est ce qu'on peut s'ennuyer ! J'ai passé une journée plus que longue. Je me suis juste tapée trois gars dans une salle vide à midi. Sinon, le calme plat. Il faut dire que le phénomène de sexe au lycée en ce moment c'est l'exhibitionnisme et que je n'en suis pas super fan. Je dois remercier ma soeur d'avoir rendu cette pratique populaire avec son blog. C'est vrai que pour le coup, elle est devenue très populaire et a du coup prit pas mal d'avance dans notre course.
Entre soeurs, on a forcément une petite rivalité familiale. Entre Rin et moi, on fait une sorte de guerre des clans. Chacune d'entre nous a son fan club. Même si quand on pose aux élèves la question "tu préfères Rin ou Syria ?", on obtient souvent "les deux" comme réponse, on a quand même chacune des fans fervents.
D'ailleurs, plusieurs de mes fans sont dans ma classe et deux d'entre eux sont en train de me faire des clins d'oeil plus ou moins discrets. Je leur jette un regard aguicheur et glisse ma main vers mes cuisses pour les chauffer. Bah quand on s'ennuie faut bien trouver de quoi s'occuper !

Le cours était bientôt fini quand je reçois un message de ma soeur sur mon téléphone. Elle m'invite à venir avec elle chez des "amies". Ça sent le coup fourré, je sais pas pourquoi. Peut-être parce que la dernière fois qu'elle m'a fait ce genre de demande, je me suis retrouvée ligotée et j'ai servi de sac à foutre pour tous les mecs et futas de son fan club. Il faut avouer que ce n'était pas forcément pour me déplaire. Je lui réponds donc un "ok" clair et précis.

La cloche sonne et le cours fini. J'observe tous les élèves se précipiter vers la sortie pendant que je range doucement mes affaires. Je n'ai aucune raison de me presser puisque je dois attendre pour rejoindre ma soeur.
Mes deux fans qui me faisaient de l'oeil viennent me voir et me demandent si je peux venir passer la soirée chez eux. Je refuse à contrecoeur et les regarde s'éloigner, attristés. Je met mes écouteurs, lance une bonne vieille musique et je sors enfin. Je traîne un peu dans le bahut en attendant la sortie des élèves. Ça m'énerve ! Je dois attendre mais je n'ai pas le temps pour une partie de jambes en l'air, même rapide, avant de rejoindre ma soeur.
Je vais donc au portail et je guette l'arrivée de Rin.

Je la vois enfin, accompagnée de deux charmantes dames. Dès que je l'aperçois faire de grands signes de la main, je retire mes écouteurs et fonce vers les trois femmes.
Je commence par saluer Rin en déposant un baiser sur ses lèvres. Cette image de moi et de ma soeur en train de nous embrasser en feraient fantasmer plus d'un et plus d'une. Il était même admis que coucher avec moi et ma soeur réunies était un des fantasmes les plus partagés au lycée. Et ce soir, si j'ai bien suivi, ce sont ces deux charmantes jeunes femmes qui vont l'assouvir. Je me tourne vers les deux inconnues et me présente.

- Bonsoir. Je suis Syria, la soeur de Rin et la fille de Tessia. Je vous rassure tout de suite, la perversité et l'endurance, c'est de famille.

Après leur avoir lancé un petit clin d'oeil, je m'approche dangereusement de Clara. Je me colle presque à elle et laisse ma main traîner vers son entrejambe. Je sens sa particularité et lui sourit.

- Je t'aime déjà.

Encore plus gourmande que Rin... Ce n’était pas peu dire. Ceci dit, ça amusait Mélinda plus que ça la surprenait. Elle aussi, elle avait sa propre succube : Edessa. Comme elles, elle était une jeune Succube, et, comme elle, elle avait l’appétit sexuel d’un pays entier. Pour mieux se satisfaire, elle créait même des clones sexuels d’elle-même, et, ainsi, pouvait faire continuellement l’amour, en ressentant les sensations de ses clones. Les succubes étaient des amantes épuisantes, vraiment, et, à l’idée d’en avoir deux dans son lit, Mélinda sentait déjà l’épreuve sexuelle herculéenne se présenter. Mais, d’un autre côté, tout cela était bon pour elle, car elle envisageait toujours, maintenant qu’elle était Comtesse, d’obtenir certaines faveurs divines, notamment de Lust. Héberger des succubes ne pourrait donc qu’aller dans ce sens, et, même sans évoquer un quelconque intérêt, Mélinda était aussi tout simplement excitée à l’idée de coucher avec elles.

Le trio sortit donc du lycée, Mélinda prenant conscience qu’elles avaient passé tout l’après-midi à faire l’amour comme des petites folles. Encore une fois, l’administration allait envoyer un mot, mais, comme toujours, grâce à l’aide de certaines secrétaires, ce mot arriverait au manoir de Mélinda. Et, pour elle, faire l’amour était plus important que d’assister à des cours. Tout en se tenant dehors, elle tourna la tête vers Clara, en fronçant légèrement les sourcils.

« Tu n’as pas rétracté ta queue ? »

Elle pouvait sentir l’afflux sanguin. Clara avait coincé son sexe contre le bord de sa minijupe, de telle sorte que le bout de son sexe dépassait sous sa chemise, mais les vêtements étouffaient son membre, qu’on ne voyait donc pas depuis l’extérieur. Clara se contenta d’un léger sourire, en haussant les épaules.

« Quoi ? J’aime bien être une Futa’... »

Mélinda haussa les épaules, sans rien dire de plus, et attendit ensuite. Tessia avait donc deux filles... La cachottière s’était bien gardée de lui en parler, sans doute pour éviter qu’elles ne viennent ici. Ou peut-être qu’elle attendait ça pour une occasion spéciale ? Tessia, après tout, était toujours la bienvenue au manoir, que ce soit pour revoir Alice, ou Mélinda. D’ailleurs, Mélinda se demandait si Alice le savait. Elle était sûre qu’Alice avait dû passer quelques soirées chez Tessia, soit potentiellement en compagnie de ses filles. L’idée d’imaginer Alice être la victime de trois succubes ne manquait pas de la faire sourire.

En tout cas, ça expliquait volontiers pourquoi elle était devenue, progressivement, très endurante sexuellement. Sur ce point, Mélinda était sincèrement ravie d’avoir fait toute l’éducation sexuelle de la jeune femme. Alice, quand elle l’avait connue, était encore naïve, et « pure » dans le sens où peu de gens avaient encore touché son corps. Elle, elle avait veillé à arrêter tout ce gâchis, en partant du principe qu’une si belle femme se devait d’avoir une expérience sexuelle à la hauteur de sa beauté. C’est pour ça qu’on avait inventé la beauté, après tout.

Pendant l’attente, Mélinda pouvait sentir que Clara regardait souvent Rin. Elle avait plus de mal que Mélinda à se retenir, et, comme une succube dégagerait naturellement des spores aphrodisiaques... Rester à côté d’elle pouvait être relativement dangereux. Mélinda, elle, avait, outre son sang vampirique pour la protéger, l’habitude d’inhaler ce genre de choses. Edessa avait toujours été comme ça.

Ses réflexions s’interrompirent quand la soeur de Rin approcha. Mélinda la reconnut à travers son sang, similaire à celui de Rin, en ce qu’elle était une succube, mais aussi à celui de Tessia, en ce qu’elle était sa fille. Les deux filles s’embrassèrent, avec toute la sensualité qu’on pouvait donner à cette étreinte, puis Syria se retourna vers Mélinda et Clara.

« Enchantée, Syria, je m’appelle Mélinda.
 -  Et moi, Clara... »

Sans plus attendre, Syria se rapprocha de Clara, et, comme pour mettre les points sur le « i », glissa sa main sous sa minijupe d’écolière, et caressa son sexe, faisant rougir Clara.

« Haaa... Ouais... Je t’aime aussi, hum... »

Mélinda sourit lentement.

« Telle mère, telle fille... Rin t’a dit que je connaissais Tessia ? Je suis surprise de voir qu’elle a deux filles, mais je ne peux m’empêcher de me demander... Laquelle des deux est la plus salope ? »

Rin ressentait autant le sexe de Clara dans sa jupe que le désir palpable qui émanait d'elle. Cette fille était le genre d'amante perverse et endurante qu'elle aimait bien, le genre de fille qui baiserait volontiers autant de temps qu'une succube, si on lui en donnait les moyens. En étudiant la magie rose, et plus spécifiquement la magie propre aux succubes aux côtés de sa mère, Rin avait découvert qu'on pouvait transmuter une humaine en demi-succube, à défaut d'en faire une succube à part entière. Concrètement, la concernée obtenait la même endurance sexuelle, sans les attributs physiques, ni la possibilité de se nourrir d'énergie vitale. Certaines des représentantes de son espèce procédaient ainsi avec leur favorites, pour copuler avec elles à loisir. Selon elle, Clara méritait bien de devenir une demi-succube, mais encore fallait-il demander aux intéressées.

Lorsqu'elle héla sa sœur, arrivées aux portail, celle-ci vint aussitôt à sa rencontre et l'embrassa tendrement, souriant à sa réaction face à Clara, puis à la remarque de Mélinda. Prenant une pose provocatrice, elle enchaîna à sa suite, gardant en tête leur petite rivalité fraternelle.

- Hum... Ça dépend... Syria est de loin la plus gourmande et la plus joueuse pour les mises en scènes, alors que moi, je suis plus directe et plus vulgaire. Et plus exhibitionniste aussi. On est chacune salope à notre façon.

Rin se pencha ensuite à l'oreille de sa sœur et murmura sur un ton enjoué.

- Selon maman, Mélinda dirige un harem remplis de filles perverses... Ça vaut le coup d'y faire un tour non ?

Puis, reprenant un ton plus élevé, elle s'adressa à Clara.

- D'ailleurs, on a quelques surprises amusantes pour toi, à essayer au manoir ~ Mais il faudrait se mettre en route non ? Avant que notre petite Clara ne craque et nous saute dans la rue ~ Même si en soi, ça ne me gênerais pas ~

Alors comme ça Mélinda est une amie de maman ? Oulah j'ai vraiment loupé pas mal de choses on dirait. Et puis... Je sais pas pourquoi, mais j'ai un ressenti étrange quand je vois Mélinda. Je ne saurais pas trop dire pourquoi, mais quelque chose me dérange avec elle.
La réponse de ma soeur à la question de Mélinda me fait sourire. Elle a raison, même si je pense qu'elle me flatte un peu trop. En vérité, je dois admettre que Rin est sûrement un peu plus salope que moi.
Ma soeur vient ensuite me chuchoter à l'oreille.

- Selon maman, Mélinda dirige un harem remplis de filles perverses... Ça vaut le coup d'y faire un tour non ?

- Ça vaut largement le coup. Surtout que j'ai eu une journée de merde et que j'ai vraiment besoin de me défouler. Par contre Mélinda, elle n'est pas humaine. Si ?

Là je dois sûrement jeter aux deux femmes un regard qui reflète bien mes idées perverses. Le manoir n'abrite pas que des filles à ce que j'ai pu voir. Il y a aussi des futas. C'est rare les futas et je n'ai pas souvent l'occasion d'en croiser. Et pourtant qu'est ce que je peux adorer me faire sauter par des futas.
Je chuchote à nouveau à ma soeur.

- Des surprises ? Quel genre ?

Alors que ma soeur me répond, on se met en route car je sens, et les autres doivent sûrement le sentir aussi, que l'on est toutes les quatre surexcitées.
J'aperçois une légère bosse vers la jupe de Clara et je ne peux pas m'empêcher de lui jeter un regard aguicheur. Elle va peut-être craquer et me sauter dessus mais il faut savoir prendre des risques. Et puis si on commence à baiser en pleine rue je jouerai de ma magie pour changer mon apparence aux yeux des passants.