[TERMINE]La malédiction de la couette [PV]

L’explosion fut, pour le moins, impressionnante. Après tout c’était tout un camion-citerne qui venait de s’écraser contre une armurerie. Il n’était guère étonnant de voir que cela allait forcément faire des étincelles. Le spectacle fut tellement magistral, et satisfaisant, que Lindsay retrouva son humeur joueuse, et regarda malicieusement sa fille. Elle lui fit comprendre qu’elle allait enfin pouvoir lui faire l’amour, comme elle le lui quémandait depuis tout à l’heure. Mais, il leur fallait un endroit où le faire. Dans la voiture cela ne gênerai pas, mais pour deux Reines comme Lindsay et Sabrina, il fallait un vrai endroit. Ce fut pour cette raison que la mère de famille fit tout pour en trouver un. Et ses recherches, rapides, la conduire elle et sa fille auprès de la première maison venue. Personne ne les remarqua, tout le monde était trop occupé à voir les sinistres évènements actuels. Pourtant, l’occupant de la maison leur ouvrir … Et ce fut sa dernière erreur.

Lindsay le parasita de la même manière que le chauffeur de ce matin. Elle lui ordonna de prendre sa carabine, et d’aller en rajouter une couche. Juste pour l’amusement. Et puis, de cette manière, tout soupçons seraient écarté envers elle. Profitant alors qu’il s’en alla, pour exécuter l’ordre de ses Reines, Lindsay et Sabrina entrèrent dans sa maison et … Se firent plaisir. Lindsay se mit en position en milieu du salon, offrant pleinement son immense croupe à sa fille. Fléchissant des genoux, son pantalon en cuir moulant augmenta drastiquement le volume de ses fesses, les faisant alors apparaitre comme … Irrationnellement grosses. Un cul bien accueillant. Des fesses que Sabrina allait gentiment s’occuper. La jeune fille ne se fit pas prier et s’avança, posant ses mains sur la croupe de sa maman. « Avec plaisir ! » Répondit-elle, toute excitée. Elle avait attendu ce moment depuis si longtemps – depuis à peine quelques heures – et maintenant, elle allait enfin pouvoir faire l’amour à Lindsay.

Son mini-short présentait une féroce bosse, témoignant alors que son érection puissante qui commençait d’ailleurs à faire mal, à force d’être complètement comprimée dans sa culotte. Sabrina malaxa habilement cet énorme fessier bien généreux, le palpant longuement. Elle ne put résister à l’envie de venir l’embrasser, et se mit donc à genoux. En fait … Bien que sa mère voulait se faire sodomiser, Sabrina avait une autre envie à faire passer avant. Fermant fiévreusement les yeux, l’adolescente colla ses lèvres au pantalon moulant de sa maman, embrassant alors tendrement ses fesses. Ses mains se posèrent sur chacun de ses cotés, et elle commença alors à couvrir de baisers sa croupe, enfonçant toujours plus intensément son petit visage. Sa petite langue se mit à lécher le cuir, et son manège dura quelques minutes.

Finalement, désireuse d’autre chose, Sabrina tira le pantalon et mit à nue ces si généreuses fesses, qui étaient si fermes et si rondes. « Tes fesses maman … Hmm … » Murmura-t-elle, alors que dans un dernier soupir, elle alla complètement nicher son visage entre les fesses de Lindsay. Ses lèvres l’embrassèrent tendrement, et ses yeux étaient à moitié-clos, témoignant alors de son immersion totale dans son fantasme. Massant tendrement sa croupe avec ses mains, Sabrin embrassa alors la petite rondelle de Lindsay, jusqu’à ce que celle-ci ne se mette à s’ouvrir timidement, suite à une série de spasme. N’ayant aucune limite, ni honte, Sabrina profita de cet instant pour assouvir son envie … Et immisça alors une langue forte bien taquine dans son fondement. « Hmmm !!! » Ronronna-t-elle alors qu’elle était en train de la remuer dans un sens horaire. Ses mains continuaient de masser généreusement sa croupe, tandis que sa langue remuait follement dans sa rondelle, complètement ivre. Inutile de dire que la bosse présente sur son mini-short fut tellement grosse qu’elle finit par éclater le bouton de celui-ci, qui s’ouvrit alors, révélant l’immense et veineuse verge de Sabrina, pointant vers le ciel.

Le chaos généra par Lindsay n’était pas anodin, ni aléatoire. Il suivait une stratégie certaine, une stratégie qui l’amenait à se heurter à un ennemi fort et puissant, dans un contexte marqué par les attentats terroristes. Les forces policières qu’elle affrontait ici ne seraient que du menu fretin quand les humains enverraient leurs renforts... Mais Springtown n’était pas une grande ville, ce n’était pas New York, ni Los Angeles. Fermant les yeux, Lindsay entendit des coups de feu à l’extérieur, et esquissa un léger sourire. Les enquêteurs allaient rapidement s’arracher les cheveux en essayant de comprendre ce qui était en train de se passer, et personne ne pourrait jamais soupçonner Lindsay Stuart, tant cette histoire était incroyable... Et ça, tout autant que le reste, eut pour effet de solidement l’exciter, sa mouille se mettant à couler, et ce encore plus quand Sabrina se rapprocha.

Elle sentit les mains de cette dernière soulever un peu sa longue robe moulante, montrant ainsi ses belles fesses. Lindsay avait opté pour une tenue à la fois sobre et sensuelle, avec une robe et des jarretelles. On pouvait voir, en relevant la robe, son shorty noir à dentelle, et les porte-jarretelles, formant un cercle de tissu au-dessus du sous-vêtement. Le shorty était légèrement transparent, et Lindsay serra ses poings gantés sur le sol en sentant la femme tirer sur le shorty, dévoilant ses fesses, son beau petit cul... La mère offrait ses fesses à son enfant, comme une sorte de délicieux cadeau... Et ce n’était pas Sabrina qui irait dire non, puisqu’elle s’empressa d’aller nicher sa tête tout contre son cul.

« Haaaa... Petite... Gourmande ! »

Plutôt que de la prendre tout de suite, Sabrine cherchait à profiter du moment, aillant visiblement retenu les précédentes leçons. Sa langue partit donc à l’assaut de ses fesses, se fourrant dans son fondement, et Lindsay se mit à gémir et à soupirer, toute excitée. Le sexe... Elle avait beau avoir la tête froide, et essayer d’être le cerveau raisonnable de l’équipe, le sexe continuait à être, chez elle, quelque chose de magnifique et d’excitant. Elle ne pouvait pas encore véritablement réussir à repousser les pulsions induites par le sexe, et les subissait de plein fouet.

Et puis... Pourquoi les repousser ? Sentir cette langue remuer en elle était un véritable bonheur, l’amenant à serrer les poings, tout en soupirant, encore et encore.

« Ouuuiii... Hmmm... Encore, haaaa... Ouiiiii... »

Que demander de plus ? Elle adorait ça !

Sabrina était en train de se régaler, littéralement. Peut-être que sa renaissance sous forme de slime, et le fait d’être devenue la fille de Lindsay avait fait ressortir certain fétiche en elle. Comme ce qu’elle était en train de faire ; cela dénotait clairement d’une attirance pour les fesses assez particulières. L’adolescente continuait à agripper chacune d’entre elle aussi fermement qu’elle pouvait. Sa tête paraissait si petite par rapport à la taille de ce monument historique. Les fesses de Lindsay étaient incroyablement généreuses et immenses. De fait, quand Lindsay était devenue celle qu’elle était, elle avait décidé de modifier un peu son corps. C’était à la veille ; elle venait à peine de rouvrir les yeux suite à sa fusion avec Nieva. Elle s’était regardée dans le miroir, avec sa combinaison en cuir moulant. C’était à ce moment-là qu’elle s’était dotée d’une conséquente et massive verge, remplaçant alors son ancienne féminité. Et c’était aussi là qu’elle avait fait augmenter la taille de ses fesses, afin d’encore mieux combler son pantalon, qui s’était retrouvé bien tendu et serré, comme elle le souhaitait.

Un si gros et tendre postérieur, qu’elle offrait à sa fille actuellement. Son petit shorty noir transparent était certes très gourmand, et nul doute que Sabrina allait revenir dessus plus tard. Mais pour le moment, elle l’avait baissé, puis avait niché son visage dans la chaleur et l’accueil que lui offrait ce monument. Sans hésitations, et poussée par son vice, Sabrina avait fourré sa langue directement dans le fondement de Lindsay, tournant et tournant encore dans le celui-ci. Complètement ivre, elle couinait à mesure qu’elle explorait cet endroit. Sa langue, très taquine et joueuse, continuait à tourner en cercle, remuant intensément dans les entrailles de Lindsay qui gémissait face à un tel traitement, et qui en demandait toujours plus. Mains serrées au sol, faisant plisser le cuir de ses gants, elle subissait avec plaisir les assauts lingual de sa fille qui n’avait de cesse de fourrer son visage entre ses fesses.

« Haaa Sa-Sabrina … Ouii … » Gémissait-elle intensément, incitant sa fille à en faire encore plus. Les mains de Sabrina malaxèrent généreusement ses deux fesses, les massant au passage. Elle souhaitait tant donné du plaisir à sa maman, qu’elle multipliait les efforts pour stimuler sa petite rondelle avec sa langue. Cela devait faire déjà de nombreuses minutes qu’elle était en train de remuer dedans, lorsqu’elle finit par avoir une idée. Sa langue était petite, comme toute langue. Elle ne pouvait que couvrir son entrée, et même si c’était déjà très stimulant et agréable, Sabrina, fiévreuse et en demande, décida d’user de ses capacités de slime. Pour venir allonger sa langue, qui vint alors progressivement se loger de plus en plus profondément dans l’arrière-train de Lindsay. « Hmmmm ma-maman !!! » Couina-t-elle, serrant ses mains pour venir encore plus plaquer son visage contre les fesses de Lindsay.

Mais elle savait que si elle ne se contentait que de ça, sa chère maman allait finir par se lasser. Aussi plaisant cela était-il, de se faire stimuler la rondelle. Alors, au bout de quelques minutes, Sabrina finit par faire sortir sa langue, et décolla un peu son visage. Elle ne put résister à l’envie de venir plaquer ses lèvres une dernière fois contre sa rondelle, qu’elle embrassa à vif. Puis ses fesses, qu’elle couvrit d’innombrables baisers, avant de se retirer complètement. Mais, elle n’en oublia pas le principal ; tout ceci avait été un moyen de la préparer. Sabrina avait voulu faire ça de la manière la plus agréable que possible, en venant fourrer sa langue. Mais la finalité était là ; la sodomiser. Ainsi, elle se releva complètement, voyant que Lindsay resta courbée ainsi. Sabrina n’y alla pas par quatre chemin ; elle se dévêtit intégralement. Et tellement la hargne l’avait atteinte, elle arracha sauvagement son minishort, avant de retirer en toute hâte toute forme de vêtement sur elle. Nue comme un ver, elle plaqua ses mains sur les fesses de Lindsay, puis vint approcher son lourd et gigantesque membre de sa rondelle.

« Tes fesses sont si accueillantes, je crois que je vais devenir accro … » Déclara-t-elle, en soupirant lourdement quand son gland brûlant s’écrasa contre sa petite porte. Poussant un râle de plaisir, Sabrina poussa fortement pour le faire entrer, démultipliant alors le plaisir ressenti. « Haaaaa !!! » Couina-t-elle, alors qu’elle finit par faire entrer, lentement, l’intégralité de sa verge dans le fondement de Lindsay. À partir de là … Elle se mit à la besogner, dans la règle de l’art.

Lindsay se demandait si, en son for intérieur, Sabrina n’avait pas été une sodomite jadis... Peut-être que la sodomie avait toujours été, chez elle, un profond fantasme ? La question pouvait légitimement se poser, quand on voyait la manière dont Sabrina salivait sur son cul, allant l’embrasser, puis le lécher, en fourrant dans sa rondelle une longue langue visqueuse et gluante, dont le but était d’humidifier le terrain, et ainsi de préparer sa « maman » à une pénétration anale intense et jouissive.

« Hmmmm... Ouuuiii... Haaaa... »

Sentir cet appendice lingual remuer en elle était très agréable, lui procurant de superbes sensations. Elle aussi, décidemment, elle aimait bien qu’on s’occupe de son cul.. Peut-être bien que c’était elle, finalement, qui avait transmis à Sabrine ce fantasme... La Slime était étonnée de voir le nombre d’éléments qu’elle avait récupéré quand elle avait avalé Lindsay... À tel point qu’elle se demandait si ce qu’elle avait fait était vraiment une absorption, ou plutôt une sorte de fusion. Comment expliquer, autrement, son attirance pour sa famille ? Et, plus elle replongeait dans la mémoire de Sabrina, plus elle revoyait des éléments similaires avec son comportement actuel... L’ancienne Lindsay n’avait jamais vraiment goûté au plaisir de la sodomie, mais il semblait bien qu’elle en avait toujours été secrètement attirée... Et ça, Lindsay pouvait le comprendre !

Quand elle sentit la verge de Sabrina se rapprocher, tout son corps en frémit... Puis la douleur éclata en elle, magnifique, jouissive. Elles baisaient dans la maison d’un mort, sans aucune retenue, comme pour se préparer à répandre l’enfer et le chaos sur Springtown. La Slime se mit à gémir et à couiner, enfonçant ses mains contre le sol, tout en sentant, dans son dos, Sabrina s’exciter.

« Haaaa... O-Ouuuuiii... HHHHAAAAAAAAAAAAANNNNN... !! »

De magnifiques cris de plaisir venaient s’échapper des lèvres de la femme. La grosse queue de Sabrina venait la pilonner par l’arrière, remuant longuement et lourdement en elle, la faisant saliver et couiner. Lindsay venait ainsi se tortiller sur le sol, accompagnant les mouvements de la femme. Oh oui ! Une sodomie ! Voilà bien une chose dont elle ne pourrait jamais se passer !

De la bave coulait le long de ses lèvres, car elle n’arrivait même plus, sous l’effet des coups de butoir de Sabrina, à retenir sa salive ! Cette dernière venait donc tomber sur le sol, tandis que son amante continuait, imperturbable, à la prendre.

« Ooooouuuuuiiii... HAAAAAAAAAA !! P-PLUS FOOOOOORT, HAAAAAAAAAAAAAN...OOOOUUUUIIIIII !! »

Que demander de plus ?

Elle adorait ça !

La sodomie était, indéniablement, une pratique qui allait souvent revenir entre Lindsay et Sabrina. Il suffisait de voir comment elles prenaient toute deux leur pied ! Et puis, même si elles étaient des slimes et qu’elles pouvaient modifier leur corps à volonté, elles demeuraient, à l’heure actuelle, des femmes ne possédant aucunement de sexe féminin. Donc la sodomie était la seule possibilité pour elles de se pénétrer. Pour ce qui était de Sabrina, elle ne comptait nullement en changer ; elle pensait vraisemblablement conserver son sexe ainsi. C’était beaucoup plus excitant et sensationnel de voir une grosse et juteuse verge entre ses cuisses, que de voir une féminité. Non pas qu’elle n’aimait pas ça, mais pour une grosse perverse comme elle, le choix ne se faisait guère. Sabrina adorait sentir son sexe gonfler dans son mini-short, elle adorait voir celui-ci se déformer en créant une immense bosse prête à craquer.

Autant de détails insignifiants, mais qui comptaient à ses yeux. Et puis … Depuis qu’elle savait qu’elle n’avait nullement besoin de féminité pour donner la vie, ce soucis ne se posait même plus ! Si un jour elle voulait changer quelqu’un en slime, elle ferait comme sa mère ; elle absorberait cette personne, puis elle irait la recracher sous forme de sperme ! C’était aussi simple que cela. On pouvait vraiment dire que, dans l’état actuel des choses, Sabrina et Lindsay étaient comblées ; au sens propre et au sens figuré. Mère et fille faisaient furieusement l’amour ensemble, s’adonnant corps et âme à une sodomie des plus fantastiques. Sabrina pilonnait de toute ses forces le fondement de sa maman, s’enfonçant toujours plus profondément en elle. Sa verge rentrait et sortait à vive allure, alors qu’elle se pencha quand son amante s’écroula au sol.

« HMMMMM OUIIIII !!! » Gémissait-elle, en n’arrêtant sous aucun prétexte de marteler le terrain. Les deux femmes gémissaient encore et encore. Sabrina continuait sans relâche, prenant méchamment appuie sur les énormes fesses de Lindsay. En effet, tellement était-elle en train d’empoigner son postérieur, les bouts de ses doigts finirent par se gélifier et s’enfoncer littéralement dans sa peau gélatineuse. Les minutes s’écoulèrent et la sodomie continuait. L’orgasme n’allait pas tarder à pointer son nez. Sabrina sentait son sexe surchauffer, tandis que ses testicules commençaient elles aussi à frémir. Ce fut encore au bout de quelques temps, que la jeune fille craque complètement, hurlant son plaisir dans toute la maison.

« HAAAAAAAA MAMAAAAAANNNNNNNN !!!!!!! » Cria-t-elle, enfonçant une dernière fois son sexe dans ses entrailles, poussant de toute ses forces pour enfoncer la totalité de son mandrin. Celui-ci se mit alors à cracher un immense torrent de foutre chaud, qui alla se déverser dans Lindsay, qui gémissait à son tour. Tellement l’orgasme était puissant que Sabrina ne jouissait pas par à-coup ; c’était un long et puissant jet continue de foutre qui remplissait très généreusement l’estomac de Lindsay. Plus d’une dizaine de seconde à jouir encore et encore, avant que tout ne finisse par se calmer. Sabrina reprit son souffle lourdement, continuant néanmoins à masser les fesses de Lindsay … « Oh ma-maman … » Marmonna-t-elle, un peu exténuée par l’effort. Mais à peine venait-elle de connaitre son plus grand orgasme, qu’elle sentit son corps en redemander.

Elle n’allait pas directement poursuivre par quelque chose de lourd, mais par une petite fantaisie que seule une slime pouvait faire. Elle se débrouilla pour faire retourner sa maman sur le dos, puis elle se mit à califourchon sur elle, avant de se pencher pour venir l’embrasser. « Hmm … Je t’aime, ma maman adorée … » Dit-elle, avec un petit clin d’œil. Son idée fut finalement mise à exécution, quand elle se redressa puis qu’elle fit en sorte d’allonger sa juteuse verge contre celle de Lindsay. Elle saisit les deux sexes ensembles par sa main, puis les écrasa complètement l’un contre l’autre, en appuyant du plus fort que possible. La réaction ne tarda pas à se faire ; les deux sexes fusionnèrent ensembles, reliant Lindsay et Sabrina physiquement, par une énormissime verge dépassant toute espérance humaine.
« J’adore ce que t’as fait de moi … » Dit-elle, avant de commencer à masturber ce sexe en commun avec Lindsay.

Une Slime défiait la logique telle qu’on la concevait habituellement, et Lindsay, de fait, était bien incapable de dire comment elle avait vu le jour. Jusqu’où remontaient ses premiers souvenirs ? Elle ne s’en souvenait pas. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’elle avait avalé et fusionné avec bien des individus au cours de son existence, hommes comme femmes, et que chaque absorption avait modifié sa personnalité, et rajouté à sa mémoire des couches mémorielles supplémentaires. En définitive, « Lindsay » était un nom creux, car la Slime n’avait pas vraiment d’identité. Jadis, elle devait probablement être une simple couche de déchets issus d’une quelconque expérience militaire ou magique ratée, qui avait absorbé par hasard un individu. Ce « patient-zéro » n’était plus rien pour elle, car, à chaque fois que Lindsay absorbait quelqu’un d’autre, elle oubliait presque tout de ses anciennes absorptions, ne conservant que de maigres bribes, des souvenirs vagues et hautement imprécis. Lindsay Stuart était maintenant sa nouvelle vie, mais elle ne pensait pas changer avant longtemps... Ou, du moins, avant que tout ne dégénère. De fait, tout était déjà un peu en train de dégénérer. Springtown allait connaître des jours sombres et bien sanglants, le tout au milieu d’orgies sexuelles dépravées, comme si la ville était devenue une sorte de Gomorrhe moderne, sous l’impulsion d’une créature infernale, qui, à bien y réfléchir, aurait sans doute davantage trouvé son origine dans une déjection démoniaque que dans une expérience militaire ratée. Lindsay incarnait le pire de l’être humain ; sa compassion était inexistante, son empathie nulle. Elle n’était qu’un amoncellement d’égoïsme, de perversion, et de cruauté. L’amour qu’elle portait pour Sabrina, tout comme pour ses autres filles, n’avait rien de sain. C’était celui d’une mère égoïste et cruelle, d’une mère jalouse et possessive, de ce type de mère qui n’hésitait pas à dénigrer tous vos amis, ou à dénigrer son propre fils, afin de mieux le rattacher à lui, en exerçant sur lui une emprise terrifiante et profondément malsaine. Lindsay était tout ça, et, qu’elle en ait conscience ou non, ça ne changeait rien, car c’était dans sa nature, sa profonde. Elle était comme le scorpion dans la fable du scorpion et de la grenouille. Les deux avaient besoin de traverser une rivière, mais le scorpion était le prédateur naturel de la grenouille, et devait donc, pour passer, grimper sur le dos de la grenouille, jurant préalablement de ne pas tuer cette dernière. Un choix logique, car, s’il la tuait, le scorpion se noierait. La grenouille accepta donc, et les deux filèrent le long de la rivière, mais, au bout d’un moment, le scorpion piqua la grenouille. ‘‘Pourquoi ?’’ demanda-t-elle en sentant la vie la quitter. ‘‘Parce que c’est dans ma nature’’, avait rétorqué le scorpion.

Et bien, Lindsay était comme ça. Même si elle courait à sa perte en se heurtant aux humains, car elle avait vaguement conscience de l’avoir déjà fait, elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle était le scorpion, et c’était dans sa nature. Et, en ce moment, le scorpion se faisait joyeusement tringler par sa fille. Lindsay gémissait et couinait, tout comme Sabrina, qui adorait visiblement sodomiser méchamment sa mère. Sa verge lui défonçait le cul, et, comme à chaque fois, sous l’effet de l’excitation sexuelle, les propriétés physiques des Slimes reprenaient le dessus. Mine de rien, quand on était un corps liquide, acquérir une propriété solide était très difficile, ce qui avait pour conséquence que, sous l’effet d’une intense excitation, la propriété spolide s’écroulait au profit de la véritable forme des Slimes : la forme liquide, gluante, gélatineuse.

« Haaaaaa... Sabrina... HAAAAAAAAAAANNN... !!! »

Elle sentit la femme venir en elle, et Lindsay jouit à nouveau généreusement, aspergeant de sa mouille le sol de cette maison, avant de respirer lourdement. Ah, ce plaisir ! Cette vague ! Elle se retrouva ensuite couchée sur le dos, et sourit en voyant Sabrina fusionner sa verge avec la sienne, ne formant plus qu’une longue tige les reliant tous les deux.

« Hmmmm... »

La main de Lindsay alla rejoindre Sabrina, et elles se masturbèrent toutes les deux, les doigts de Sabrina rmeuant le long de cette improbable et monstrueuse tige.

« Ouiii... Je dois admettre que... Haaaan... Tu... T’en sors très bien, haaaa... Tu es une magnifique Slime, Sabrina, hmmm... »

Une magnifique Slime... Mais Lindsay restait le seul scorpion de cette histoire.

Plus cela allait, plus l’envie devenait pressante. Lindsay regardait sa fille, pendant que elle-même et celle-ci remuèrent leurs doigts sur tout le long de leur verge commune. La jeune femme ne pouvait décidément plus attendre ce moment … Celui où elle allait faire fusionner Sabrina et Kelly. Elle s’imaginait déjà la scène, où ses deux filles allaient s’agglutiner ensembles, pour ne former plus qu’une seule et même entité. Un parfait mélange de ces deux filles, un être doté de toute leurs qualités, tous leurs souvenirs, en un seul être. Sans compter qu’elle comptait bien arranger un peu leur physique, mais ça … Il fallait déjà attendre. Car pour le moment, il fallait surtout profiter du moment, c’est-à-dire de cette immense verge qui palpitait entre les deux femmes.

Lindsay avait joint ses doigts à ceux de Sabrina, l’aidant à correctement masturber ce sexe qu’elles partageait toute les deux. Elle poussa de délicieux soupirs, se laissant aller à cette sensation des plus exquis. Décidément, elle ne regrettait en rien sa fusion avec Nieva ; tout allait tellement mieux, dorénavant. Du moins, de son point de vue. Elle avait une nouvelle fille, un corps bien plus plantureux qu’avant, elle avait pris sa revanche sur les Loveday … Et il lui restait tant de chose à faire. Mais, justement, chaque chose avait son temps. Pour le moment, l’heure était au sexe, à la débauche. Lindsay adorait particulièrement faire l’amour à sa fille, non seulement car elle était une slime, mais aussi pour tout ce côté interdit et vicieux que cette chose impliquait.

« Oww Sabrina … Hmmm … » Gémit-elle, en masturbant lentement mais fermement cette gargantuesque verge. Sabrina avait eu une idée formidable en fusionnant son sexe au sien, pour créer une monstrueuse tige. Le fait était qu’à présent les deux femmes étaient liées, par quelque chose de physique. Bien qu’il suffisait de forcer un peu pour faire séparer les deux verges. D’ailleurs, après s’être amusée à bien astiquer ce manche comme il se devait, Lindsay tira un peu et brisa la fusion, retrouvant à nouveau sa propre trique. « On devrait faire ce genre de folies plus souvent, mon cœur. » Dit-elle avec un sourire vicieux aux lèvres. Elle savait que Sabrina, depuis sa renaissance, était devenue très assoiffée en matière de sexe.

Elle était constamment en train d’y penser, ou de vouloir s’acoquiner avec sa mère. Mais, même si celle-ci était toute aussi perverse, elle parvenait à mieux se contenir. Enfin … Pas tout de suite en tout cas, puisqu’elle avait encore envie de faire l’amour à Sabrina. Celle-ci était allongée sur Lindsay, qui elle-même était sciemment allongée au sol. Ses mains caressèrent donc son dos, parcourant toute son échine en caresses. Tandis que, doucement, leurs sexes se frottèrent l’un contre l’autre, leur procurant une sensation des plus exquises. Lindsay en redemanda, en venant doucement dandiner son bas-ventre pour encore mieux frotter la verge de Sabrina avec la sienne. Et, c’est grâce à ce frottement que Lindsay eut une idée des plus … Perverse.

Encore une fois, elle allait user de ses nouvelles propriétés gélatineuses pour assouvir une pulsion. Souriant à pleine dent, elle se saisit de son mandrin, puis poussa sa fille sur le côté. Elle ne tarda pas à échanger les positions, de manière à ce que ce soit la mère de famille qui chevauche Sabrina. « Tu m’as méchamment donné envie de te fourrer, ma puce ! » Dit-elle, en se masturbant doucement. Ses yeux se baissèrent sur son sexe, puis elle l’effleura, comme pour la préparer à ce qui allait venir. Après un petit moment de teasing, Lindsay commença son opération ; elle orienta son gland tout brûlant et assoiffé vers celui de Sabrina. Dans un premier temps, elle gloussa face à la coquette sensation que lui procura ceci ; sentir le bout rosé de Sabrina embrasser le sien était tout drôle … Mais ce n’était rien face à ce qui allait venir.

Elle s’amusa un peu à se frotter, puis commença alors à forcer, de plus en plus fort. Jusqu’à ce qu’elle finisse par, littéralement, enfoncer toute sa trique dans celle de Sabrina. Contrairement à ce qu’elle lui avait fait ce matin, là elle ne comptait pas fusionner les sexes ; elle comptait simplement baiser la verge de Sabrina, comme on pouvait le faire avec une rondelle. À peine s’enfonça-t-elle dans sa trique, que Lindsay gémit fortement. « Ohhhh b-bon sang ! Hmmmm ... » Couina-t-elle, commençant alors des vas et viens … Démolissant petit à petit le propre sexe de Sabrina.

Lindsay et Sabrina continuait ensemble à repousser les limites de la logique, dans une espèce d’orgie crade, sexuelle, et gore. Leurs corps jouaient et remuaient ensemble, sans qu’il ne soit vraiment possible de dissocier, sur le long terme, qui était qui. Lindsay et Sabrina baisèrent ainsi pendant de nombreuses heures, jusqu’à ce que Lindsay se retrouva couchée sur le sol, sur le dos, en train de reprendre son souffle.

« Owww... Décidemment, Sabrina, tu es... Très endurante... »

Sabrina était là, à califourchon sur elle, en train de légèrement sourire, de manière assez coquine. La main de Lindsay remonta pour caresser tendrement la joue de Sabrina, un sourire venant perler sur ses lèvres. Hum ! Ça avait été... Intense. Intense, et délicieux. Lindsay s’était sentie comme transportée dans une spirale de sexe, qui l’amenait à devoir, encore une fois, se méfier d’elle-même, et de sa nature profonde.

« Désolée... C’est juste que... Je t’adore tellement, Maman...
 -  Hmmm... C’est normal, va... »

Lindsay sourit à nouveau, puis se redressa alors un peu. Son corps avait repris sa forme normale, solide, humaine. Elle s’amusa à remuer ses doigts, et à toucher ses joues, comme pour se convaincre qu’elle avait bien repris sa forme d’humaine.

« Mais chaque chose en son temps... Il va falloir que j’aille récupérer Deborah... »

Les deux s’étaient tellement amusées ensemble qu’on approchait de la fin de la journée ! Lindsay allait sérieusement devoir penser aux conséquences. L’ancienne Lindsay avait un travail, une vie, et, plus elle s’absentait du boulot, et plus elle prenait le risque de voir les humains réagir. Chaque chose en son temps, donc.. Pour l’heure, elle ressentait encore cette étrange et forte attirance pour les filles de son ancienne hôte, Deborah et Kelly. Elle allait devoir s’occuper de ces deux-là assez rapidement, afin que la famille soit au complet, comme elle avait pu le faire avec Sabrina.

« Tu veux venir à l’école avec moi ? »

De longues heures à faire l’amour avec sa maman. Voilà tout ce qu’avait toujours désiré Sabrina, depuis sa renaissance en slime. Et ce rêve s’était concrétisé ce jour-là, alors que le chaos commençait à régner sur la ville. Les deux femmes s’étaient faite plaisir, en usant tout ce que la nature de leur corps pouvait leur offrir comme possibilités. Cela fut à la fois si créatif mais si … Etrange, parfois même crade. Mais en fin de compte, mère et fille s’étaient joyeusement envoyée en l’air, et pour de bon ! De quoi rassasier l’appétit de Sabrina, qui pour une fois, semblait comblée de ce côté-là. Tout semblait donc aller pour le mieux … Si le temps n’avait pas couru à une telle vitesse.

En effet, quand Lindsay se redressa, elle se rendit compte qu’il était déjà l’heure d’aller chercher sa fille à l’école. Pire même, elle n’était pas du tout allée travailler aujourd’hui. C’était une erreur grave ! Car même si elle était une slime dorénavant, il fallait qu’elle se plie un minimum à la vie qu’elle semblait posséder désormais. Lindsay était une mère de famille, qui aimait ses filles, et qui s’en occupait avec tout son cœur. Mais pour pouvoir bien s’en occuper, il fallait de l’argent. Et pour cela, il fallait travailler, ce que n’avait pas fait Lindsay aujourd’hui. La slime ayant fusionné avec, en temps normal, ne se pose pas autant de questions ; elle prend possession, elle s’amuse, et elle s’en va après. Non pas qu’elle rend le corps à la victime, mais que tout simplement, elle reprend sa forme initiale et s’en va pour de nouvelles aventures.

Mais là, c’était différent. Nieva avait … Cessé d’exister. Il n’y avait plus que Lindsay désormais ! Une Lindsay corrompue certes, mais une Lindsay quand même. La vie de slime n’avait plus aucun sens pour elle, et elle devait à présent vivre comme une mère de famille aimante et rationnelle. Ce n’était pas tous les jours où elle allait pouvoir se permettre de telles folies. Se ressaisissant, elle demanda à Sabrina si elle voulait l’accompagner pour aller chercher Deborah, ce à quoi elle répliqua positivement. Souriante, elle partit l’embrasser une dernière fois, avant de se rhabiller toutes les deux, et de rejoindre la voiture dehors. L’heure était d’aller chercher Deborah, et c’était bien ce qu’elle comptait faire.

Car Lindsay avait beaucoup de projets pour cette nuit … Qui impliquait ses trois filles. Autant Kelly que Deborah, et Sabrina aussi. Toute les trois étaient ses filles, ses vraies filles. Si les deux premières l’étaient déjà, Sabrina le devint et il n’y avait donc aucun doute à avoir. Ainsi, Lindsay conduisit jusqu’à l’établissement où étudiait Deborah, puis alla la chercher un peu plus loin que la sortie. Deborah n’avait jamais voulu que sa maman ne se montre clairement, de peur d’avoir la honte auprès de ses camarades ! Ah, les enfants … Tous les mêmes. Quelques minutes plus tard, Deborah entra dans la voiture puis eut la surprise de voir Sabina assise à l’arrière. « Oui, je suis aussi partit chercher Sabrina. La pauvre, sa maman ne veut même plus la voir … Je peine à croire qu’une telle cruauté puisse exister. Elle passera la nuit chez nous, je ne peux pas la laisser ainsi. Et puis, ça fera plaisir à Kelly ! » Dit-elle, prenant donc le chemin de la maison.

Cette nuit allait être particulièrement … Mémorable. Pas dans le sens où il y avait avoir une orgie repoussant toute les limites de la logique, mais dans le sens où plus rien n’allait être comme avant. Lindsay n’en pouvait plus d’attendre, il fallait qu’elle le fasse. Il fallait que Kelly et Sabrina franchissent le pas … Et ne fassent plus qu’une pour que son plan puisse être mis à exécution.

« Euh... Okay. C’est pas cool, ça... »

Deborah grimpa à l’arrière de la voiture, puis Lindsay démarra, attardant un bref regard vers l’école. En tête, elle avait beaucoup de choses à l’esprit. Son boulot, pour commencer, dont elle allait devoir s’occuper. Lindsay savait qu’elle avait un boulot plutôt important. Elle était cadre dans une banque américaine ayant une agence à Springtown : Goldman Sachs. La banque de Springtown appartenait à cette immense société vieille de plusieurs siècles, celle qu’on appelait, tout simplement, « La Firme », et qui s’était fait connaître du monde entier il y a quelques années, lors de la crise des subprimes. Une crise à laquelle Springtown avait participé, car, en 2000, la ville avait financé, avec Goldman Sachs, l’ouverture d’un nouveau quartier résidentiel, avec des maisons flambant neuves, que les consommateurs avaient acheté avec des prêts immobiliers, les fameux subprimes. Lindsay se rappelait de cette période, et du nombre de consommateurs à qui elle avait dû consentir des crédits, alors qu’elle savait pertinemment qu’ils n’avaient pas les moyens de les rembourser. Cependant, son Boss, Alan Walker, qui était apparemment un con de la pire espèce, lui avait dit que ce n’était pas important, que ce n’était pas grave, et que la banque n’offrait pas les crédits à perte, car elle se remboursait sur la Bourse, par un système de spéculations et d’investissements boursiers incompréhensibles pour le commun des mortels, et ce même pour elle, qui était une ancienne élève issue d’une école de commerce. Un système complètement fou, où l’idée était de fournir des crédits à des emprunteurs dont on savait déjà, à l’avance, qu’ils avaient de faibles revenus, et qu’ils n’avaient pas les moyens de rembourser. En effet, le terme lui-même l’indiquait. « Subprime » était un terme employé pour désigner les emprunteurs à risque, par opposition à « Prime », pour les emprunteurs solvables, et « Mid-prime », pour ceux se situant entre les deux. Le critère de démarcation pour déterminer la solvabilité d’un individu reposait alors sur un score de crédit, calculé par une agence privée en fonction d’une série de critères socio-professionnelles. Le rôle de Lindsay, quand une personne venait demander un crédit immobilier, était donc de vérifier cet indice, sur la base des critères de notation, et elle proposait, en fonction, des crédits.

Goldman Sachs avait tremblé lors de la crise financière, mais la banque s’était maintenue, et celle de Springtown existait toujours. Lindsay avait néanmoins contribué à la ruine d’une bonne partie des ménages de Springtown, tous ces couples qui avaient choisi d’habiter dans les nouveaux lotissements, dans des maisons largement au-dessus de leurs moyens financiers, et qui s’étaient retrouvés en défaut de paiement. Les dossiers avaient explosé, et le système s’était enrayé à l’échelle nationale. Lindsay avait encore en mémoire le coup de téléphone qu’Alan avait reçu en 2007, quand Goldman, Sachs avait commencé à vaciller sur place, avec des pertes importantes.

*Il va falloir que je m’occupe de ça...*

Mais, pour l’heure, elle devait aussi s’occuper de sa fille, Deborah.

« Tout s’est bien passé à l’école ?
 -  Oui... ‘Fin, c’est l’école, quoi...
 -  Tu avais mathématiques, aujourd’hui ?
 -  Hun-hun... On a vu les équations du second degré.
 -  Oh... Et bien, je t’écoute, ma chérie. Enfin... Nous t’écoutons. »

Que Deborah ne souhaite pas que sa mère vienne la chercher en personne était une conséquence de son boulot. Après la crise, quand les huissiers s’étaient multipliés pour expulser des gens en vendant leurs maisons, les gens avaient tenu Golden Sachs pour responsable, et, depuis lors, Lindsay ne s’était pas fait que des amis, et elle évitait donc, désormais, de sortir trop, afin d’éviter des disputes.

Deborah leur parlait donc un peu des équations du second degré, pendant que Lindsay, elle, roulait. La ville était en émoi après l’explosion de l’armurerie, et après la frénésie sanguine d’un retraité vivant dans un paisible quartier.

Et ce n’était que le début de l’enfer qui allait s’abattre sur Springtown...

Springtown allait connaitre des heures sombres. Ça, c’était sûr. Que ce soit de la faute de Lindsay ou non, cette ville était en pleine crise et surtout depuis la venue d’une étrange créature ayant pris possession d’une mère de famille. En l’espace d’une nuit et de quelques heures, la voilà qu’elle avait déjà réussie à mettre à feu et à sang tout un quartier à elle-seule. C’était pour dire jusqu’où était-elle capable d’aller. Pour le simple plaisir de faire le mal … Rien que ça. Pas de motivations complexes et compliquées derrières chacun de ses actes. Ceux-ci étaient uniquement animés par l’envie de faire mal, et de s’occuper. Pour tout le reste, c’est-à-dire ses filles, seule sa perversité et son appétit insatiable de sexe la forçait à faire ce qu’elle faisait. Pour autant, malgré le monstre qu’elle était, elle aimait ses filles de tout son être.

C’était qu’elle avait embrassé corps et âme la vie de Lindsay en fusionnant avec, même si elle continuait à faire le mal. De ce fait, elle aimait éperdument ses enfants, y compris Sabrina, qu’elle considérait comme sa vraie fille, au même titre que Deborah et Kelly. Et puis, d’un point de vue biologique, elle l’était devenue aussi. Mais ça, ses deux autres filles allaient finirent par le savoir … Dès ce soir d’ailleurs. Ce soir allait marquer un grand tournant, un changement drastique. Lindsay en frissonnait à l’avance, tout comme Sabrina. Ainsi, elles écoutèrent Deborah qui leur parlait de sa journée à l’école, et notamment de ses équations du second degré.

Heureusement que tout ceci était derrière Lindsay, car en se souvenant de l’école, même si elle était une élève plutôt satisfaisante, elle ne pouvait s’empêcher d’exécrer ce genre de choses. Les mathématiques, malgré son boulot dans une grande banque, n’avait jamais été sa tasse de thé. Elle conduisait donc, tout en écoutant sa chère fille. Mais bientôt, elle arriva devant sa maison et gara sa voiture dans le garage. « Terminus ! » Dit-elle, coupant le moteur et demandant donc à ses filles de descendre. Bien qu’elle finit attention d’appeler différemment Sabrina, pour ne pas éveiller les soupçons. Les deux adolescentes descendirent et rejoignirent la maison tandis que Lindsay ferma la voiture et s’occupa de fermer aussi le garage. Elle les regarda partir puis esquissa un sourire presque machiavélique, en pensant à ce qui allait se produire ce soir.

Finalement, la mère de famille rentra à son tour. Sourire aux lèvres, elle était presque comblée à ce moment, en voyant ses deux filles se diriger vers la chambre de Deborah. Même si Sabrina n’était pas sa sœur, du moins pas encore, elles se comportaient en bonnes amies et c’était agréable à voir. Soupirant, elle retira ses chaussures qu’elle déposa soigneusement à l’entrée, puis regarda à l’horloge. « Hm … Je vais devoir m’activer pour leur repas de ce soir … Qu’est-ce que je pourrai bien leur faire ? » Dit-elle à elle-même. Avant toute chose elle passa faire un tour dans la salle de bain histoire de se remettre d’aplomb. Puis, quand elle eut finit, elle revint au salon pour se diriger vers la cuisine, et remarqua alors que Kelly était confortablement assise sur le canapé, en train de regarder sa série favorite qui passait à cette heure-ci.

Lindsay sourit, puis vint derrière elle et se pencha, venant l’embrasser tendrement sur la tempe. « Tu t’es bien reposée ma puce ? » Lui demanda-t-elle, tout sourire. Il n’y avait pas à dire ; elle se complaisait à merveille dans sa vie de maman … Et pour rien au monde elle ne changerait ça. Maintenant, rien ne l’empêchait d’améliorer tout ceci … Et c’était ce qu’elle comptait faire dans quelques heures.

Branchée devant « Games Of Throne », Kelly releva la tête quand sa mère l’embrassa en se lovant contre elle, trouvant ça... Space.

« Tu... Tu vas bien, ‘Man ? »

Elle était encore plus troublée en voyant que sa mère s’était teinte les cheveux en noir, et portait une curieuse robe chinoise, qui lui donnait un air... Et bien, Kelly aurait dit qu’elle était parfaite pour le casting d’une future James Bond girl. Après sa douche, Lindsay avait en effet enfilé de nouveau sa robe chinoise, et sourit donc à sa chère fille, en venant s’installer à côté d’elle.

« Bien sûr que je vais bien ! Pourquoi est-ce que ça n’irait pas, hum ?
 -  Ben, euh... Parce que tu... Tu t’es teinte les cheveux ?
 -  Oh, ça... Je trouve que ça me va bien, pas toi ? »

Kelly ne dit rien pendant quelques secondes, avant de tourner la tête, légèrement gênée... Puis elle eut soudain une petite idée, et tourna à nouveau la tête vers sa mère, oubliant complètement, pour le coup, les mésaventures de Tyrion Lannister.

« Tu as rencontré quelqu’un, c’est ça ?
 -  Hum... Je ne peux rien te dire !
 -  Rooh, allez ! »

Une lueur malicieuse traversa le regard de Kelly, qui se contenta de sourire. Oh ! Comme elle avait honte de transformer ses deux filles, et de former une grande famille avec elles ! Ce soir ! Oui, ce serait ce soir, elle ne pouvait pas attendre plus longtemps ! Elle avait tellement hâte de le faire, de les transformer toutes les deux... Sa bouche se fendillant d’un léger sourire moqueur, elle se rapprocha encore de sa fille.

« C’est... C’est une surprise ! »

Kelly fronça les sourcils, se demandant presque si sa mère n’était pas en train de se droguer un peu. Non, c’était idiot ! N’empêche... C’était vraiment trop bizarre de la voir comme ça, dans cette robe. La main de Lindsay alla caresser et ébouriffer ses cheveux, ce qui donna lieu à un autre baiser.

« Je vais vous préparer du saumon avec des pommes de terre et de la crème... Et quelques fines herbes, aussi... Ça vous ira ?
 -  Oh... Euh... Oui... »

Lindsay lui sourit, ravie, puis retourna à ses couverts.

Bientôt, bientôt... Bientôt, la famille serait enfin unie !

Unie ! Une belle famille unie, physiquement et sur tout les autres plans. Lindsay s’attendait cependant à ce que Kelly soit, à ce moment-là … Réticente à l’idée de ne faire plus qu’une avec Sabrina. Pourtant une fois que ce cap serait passé, elle n’en regrettera pas une miette ! D’une part elle deviendra une slime, et d’autre part, tout son être, sa conscience, sa personnalité, tout et absolument tout se mélangera à Sabrina, ne créant alors qu’une seule personne … Rassemblant deux sublimes femmes en une. Comment Lindsay ne pouvait pas être impatiente à l’idée de voir ce que cela allait donner comme résultat. À quoi elle ressembler sa nouvelle fille ? Comment allait-elle se comporter ? Autant de question dans son esprit, qui allaient trouver réponse ce soir même.

En attendant, elle devait préparer à manger. Ainsi, toujours aussi bienveillante envers ses filles, elle eut instantanément l’idée de ce soir. Elle s’en alla donc dans la cuisine, qui était ouverte sur le salon. Une cuisine américaine, qu’elle avait pu se fournir notamment grâce à son job actuel. Rien qu’à y repenser, elle se dit qu’elle avait peut-être fait une erreur en n’allant pas au boulot aujourd’hui. Il ne fallait pas qu’elle perde son travail ! Tout allait si vite en plus … C’était la pire chose qui pouvait lui arriver. Se secouant la tête, elle chassa ces mauvaises pensées puis s’attela finalement à sa tâche. Le temps s’écoula, elle ne s’en rendit même pas compte. Le soir commençait donc à tomber, et le repas était presque prêt. Il ne restait plus qu’à dresser la table, et pour cela, elle demanda l’aide de l’une de ses filles.

« Kelly, ma chérie, tu veux bien mettre la table ? C’est presque prêt, et je n’aimerai pas vous faire attendre. » Lui demanda-t-elle gentiment. Kelly, toujours scotchée à sa télé, tourna la tête puis se leva d’un coup. « Heu … Oui maman, si tu veux. » Lui répondit-elle, allant donc vers le buffet pour chercher tout ce qu’il fallait. Ce ne fut l’affaire que de quelques minutes avant que tout soit dressé, et que le repas soit enfin prêt. Lindsay appela son autre fille et Sabrina, leur annonçant donc que le repas était prêt. Elles mirent un peu de temps à venir, mais finalement, elles étaient là, et la petite famille pu ainsi se mettre à table. Un dernier moment à quatre, car ce soir, elles ne seraient plus que trois … Voire deux, si Lindsay, dans son euphorie, décidait aussi de faire fusionner Deborah. Mais, elle serait bien triste de n’avoir qu’une seule fille, donc elle chassa cette idée aussi vite qu’elle était venue.

Le repas se passa donc dans une plutôt bonne ambiance, Kelly étant visiblement très heureuse de voir sa meilleure amie diner avec elle. La discussion fut tournée sur la mère de Sabrina, et sur comment elle avait bien pu mettre à la porte sa fille. Heureusement que sa relation avec était déjà tendue avant toutes ces histoires ; cela lui donna de quoi dire, sans risquer de commettre une bavure qui compromettrait tout. Au milieu de tout ça, Lindsay regardait donc ses trois filles, et ne pouvait que sourire doucement ; malgré tout ce qu’elle avait fait, et tout ce qu’elle comptait faire … Elle ne pouvait pas le nier ; elle les aimait éperdument toutes les trois, l’une autant que l’autre. Au final, elle était encore plus fière et contente de ce qui allait se produire dans une ou deux heures ; sa famille serait enfin heureuse et unie, de cette manière.

En toute honnêteté, transformer Deborah en Slime serait, pour Lindsay, le plus compliqué. Deborah était plus jeune, plus fragile... Mais Lindsay ne s’arrêterait pas tant que sa famille serait enfin complète, et totalement réunie. C’était son objectif, et elle comptait bien l’accomplir, le mener à terme. Pour cela, Lindsay était prête à tout, mais Kelly serait la première étape, la plus simple pour accomplir ce qu’elle avait en tête. Le repas démarra donc, et, tandis qu’elles mangeaient, Sabrina leur avoua que c’était vraiment super cool de l’héberger, remerciant chaleureusement Lindsay. Cette dernière se contenta d’un sourire poli :

« Non, ce n’est rien, vraiment... Tu fais un peu partie de la famille, après tout. »

Il y avait, dans cette phrase, un sous-entendu que Sabrina fut évidemment la seule à percevoir... Pour le moment. On parla ensuite des actualités récentes à Springtown, à savoir l’explosion de l’armurerie, probablement du fait d’un routier ivre, et la crise de folie de Monsieur Donovan, qui avait abattu plusieurs personnes dans la rue. Des actes auxquels Lindsay  n’était pas étrangère, même si elle évita, bien évidemment, de le signaler.

« Je comprends pas pourquoi il a fait ça... Monsieur Donovan était toujours gentil avec les enfants. »

Le moment était émouvant, et Lindsay tenta de les rassurer comme elle le pouvait... Ce qui n’était pas forcément évident, vu que c’était à cause d’elle que Monsieur Donovan avait tiré sur des pompiers, avant d’être abattu par la police. Et Lindsay était, bien naturellement, incapable de sentir la moindre once de remords. Elle était juste trop égoïste, trop arrogante, pour ça. Elle ne voyait là qu’un sujet de conversation comme un autre, et des réconforts artificiels. Oui, oui, mes chéries, la mort de Monsieur Donovan était horrible. Oui, ce vieillard nous manquera beaucoup, oui, c’était abominable et incompréhensible... Mais, sérieusement, un retraité en moins, ce n’était pas la mort, non ? Enfin... Si, pour lui... Fort heureusement, Lindsay réussit à orienter le sujet sur autre chose, et le repas se poursuivit.

Puis le repas céda place à la nuit, et Lindsay laissa Sabrina dormir dans la chambre de Kelly, tout en venant faire comprendre à Sabrina que, cette nuit, Kelly irait les rejoindre.

Et, naturellement, la nuit alla les rejoindre. Lindsay ne dormait pas, toute impatiente à l’idée de...

...De passer aux choses sérieuses !

Le grand moment était enfin arrivé ! Enfin, l’un des grands moments. Car à priori, Kelly n’était que la première ; Deborah allait, tôt ou tard, passer sur le grill à son tour. Mais Lindsay devait réfléchir à comment procéder, car elle était plus jeune, plus fragile. L’opération était donc dangereuse pour elle. C’était une question épineuse à laquelle elle n’avait pas encore de réponses. Néanmoins, en attendant, elle décida de se concentrer uniquement sur Kelly. Car cette nuit, elle allait … changer, irrémédiablement. Lindsay ne dormait pas, elle attendait que toute la maison soit complètement endormie pour passer à l’acte, avec Sabrina.

Cette dernière faisait elle aussi semblant de dormir, avec Kelly. Lindsay lui avait autorisé, aux yeux de ses autres filles, afin que cela ne soit pas suspect. C’était elle qui allait préparer le terrain, notamment en ouvrant la porte de la chambre depuis l’intérieur. Les heures passèrent les unes après les autres, et finalement, le moment était venu. Lindsay sortit de sa chambre, habillée de sa succulente nuisette et robe de chambre toute légère. Sur la pointe des pieds, elle rejoignit la chambre de Kelly, et la porte s’ouvrit alors. Sabrina était en place, et elle fit entrer sa mère, qui referma doucement et silencieusement la porte, en la fermant à clé. Souriante, elle ne put s’empêcher de donner un vigoureux baiser à sa fille, tout en lui souriant. *Es-tu prête, ma chérie ?* Lui chuchota-t-elle, voulant s’assurer que Sabrina savait ce qui l’attendait.

Plus rien n’allait être comme avant. Sabrina et Kelly allaient … Fusionner, pour donner naissance à un nouvel être, unique, rassemblant les deux filles en une seule et même entité homogène. Rien que d’y penser, cela donnait des frissons à Lindsay, qui n’avait aucune limite. Cela ne lui faisait rien d’infliger ça à Kelly ; à ses yeux, c’était une évolution ! Evolution qui avait un prix. Ainsi, Sabrina et Lindsay s’approchèrent du lit où dormait Kelly, l’observant. *Comment on va procéder, maman ?* Demanda Sabrina, n’ayant malgré tout aucune expérience en matière de manipulation de slime. Lindsay sourit, puis lui chuchota qu’elle allait la guider. Le but allait être de d’abord transformer Kelly en slime, puis de la faire fusionner avec Sabrina. Pour cela, Sabrina allait tout simplement faire ce que, autrefois, Nieva a fait. Sauf qu’au dernier moment, elle n’allait pas prendre possession de Kelly. Ce n’était pas le but du jeu.

Reste à savoir si Kelly devait rester endormie, ou non. Nul doute qu’au moment de la fusion, elle allait se réveiller. Toutefois, pour la transformation en slime, cela pouvait se passer sans qu’elle se réveille. Et dès lors, Sabrina s’activa, et commença à se liquéfier, pour ensuite s’introduire dans le corps de son amie. Kelly, toujours endormie, poussa néanmoins des gémissements, commençant à se mouvoir dans son lit, sous le regard attentif de sa mère. Lindsay observait et supervisait tout, prête à intervenir si un pépin arrivait. Fort heureusement, Sabrina se débrouilla comme un chef, et à terme, finit par sortir du corps de Kelly … La transformation ayant eu un nette succès. *Elle … Elle est une slime à présent ?* Chuchota Sabrina. Lindsay hocha de la tête, puis lui montra en prenant tout doucement la main de sa fille, Kelly, pour la presser entre les siennes. Elle finit par se liquéfier, se transformant alors en slime.

C’était donc un franc succès … Mais ce n’était que la moitié du travail. Lindsay fit un signe à Sabrina, pour lui dire de procéder à la dernière étape. Il lui suffisait de se liquéfier un peu, et de tout simplement s’écraser contre Kelly, qui se liquéfiera aussi. Leurs corps allaient se fondre entre eux, puis allaient se mélanger, s’amalgamer, pour finalement fusionner. Sabrina sentit son cœur battre fort, puis commença alors son travail. Tout commença en douceur, et Lindsay observa alors le corps de Sabrina devenir slime, perdant petit à petit la forme qu’il avait. Le corps de Kelly réagit en conséquence, commençant lui aussi à se liquéfier … Juste au moment où Kelly rouvrit subitement les yeux. « Mais, mais !!! » S’écria-t-elle, faisant alors écarquiller les yeux de Lindsay. Il fallait réagir, et vite ! La mère de famille se précipita au-dessus de ses deux filles, et posa rapidement ses mains derrière leurs têtes. Elle commença à appuyer, voulant alors forcer et accélérer la fusion. Et pour ne pas laisser le temps à Kelly de crier, bien entendu. Celle-ci fut rapidement hors de capacité à parler, et poussa de gros gémissements, avant que Lindsay ne fasse complètement fusionner la tête des deux slimes.

Rapidement après, tout le reste de leur corps suivit, fusionnant à rapide allure. Un tas de gelée se forma … Uniforme, homogène. Lindsay patienta un moment, puis sourit en voyant que ce tas bougeait, et commença à prendre une forme humaine. Quelques secondes après, un corps des plus féminins se créa. La fusion avait fait l’effet d’une sorte d’addition ; la morphologie de Sabrina s’était additionnée à celle de Kelly. Ce qui en résultat en une silhouette des plus plantureuses, aux formes généreuses et délicieuses. Une belle poitrine émergea, des hanches larges, une taille appropriée … Jusqu’à ce détail ; une verge. Oui, Sabrina ayant oublié de la faire disparaitre, elle se retrouva naturellement présente.

Encore quelques secondes, et une nouvelle fille apparut complètement. Sublime, magnifique, et très, très bien membrée. Le résultat d’une belle fusion entre Kelly, et Sabrina. « Coucou, ma chérie … » Dit Lindsay, en regardant sa nouvelle fille ouvrir lentement les yeux.