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le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]

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Lili Ivanes

Humain(e)

le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]

mardi 28 avril 2015, 18:24:41

Ayant passé une bonne semaine à travailler en cours, sans compter aussi les soirées à réviser mes sorts et livres de magie, il faut que je me change les idées, que je me vide la tête.
Dans la semaine, j'ai ramasser dans ma boite au lettre une pub pour une nouvelle boite de nuit qui viens d'ouvrir, et je compte bien y allé se soir.
Il est 18h00, quand je file sous la douche, je mange par la suite, je fini par m'habiller avec une jolie robe de soirée blanche, assez courte laissant mon dos presque nue, mais surtout me laissant libre de mes mouvements, bien sur avec ce genre de robe je ne met pas de soutient gorge, mais quand même un petit string noir, ainsi que des tallons dorés .
Je termine en me maquillant, un peut de blush rose sur les lèvres, un coup de crayon pour souligner mon regard, du mascara et j'enlève les élastiques de mes cheveux pour ne plus avoir ces couettes, après tout il faut que je donne l'illusion d'être majeur.

23h00 je me dirige vers cette nouvelle boite, trente minutes plus tard, je suis dans la file d'attente, il y a du monde déjà à cette heure là. Je patiente quand enfin c'est à moi, je sort de mon petit sac à main ma fausse carte d'identité, je l'ai déjà utilisé pour rentrer dan d'autre boite et ça n'a jamais posé de problème, le videur regarde ma carte, me regarde et me la rend avant de m'inviter à rentrer, ça à encore marché, je rentre avec le sourire, je donne mon sac à la femme de la consigne en échange d'un tiquet, et me dirige vers l'entrée de la salle de danse, mais après quelques mètres, un videur beaucoup plus grand que moi et large d'épaule s'interpose devant moi avant de me dire d'une voie grave.

Veuillez me suis mademoiselle.

Sans dire un mot, je le suis, puisque étant membre du staff de la boite, si je la ramène je risque de me retrouver dehors aussi vite que je suis rentré.
Il ouvre une porte et m'invite à rentrer, ce que je fait avant qu'il ne la referme derrière. Le son de la musique c'est grandement diminué puisque celle-ci est capitonné, j'en profite pour lui demander la raison de son intervention.

Ou vous m’emmenez monsieur? Est ce qu'il y a un problème?

Il me répond toujours aussi distant et froid.

Vous verrez avec la personne qui veux vous voir mademoiselle.

Qui est donc la personne qui veux me voir et surtout pour quelles raisons, je ne connais personne qui travaille dans le monde de la nuit.

Mathusalem

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Re : le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]

Réponse 1 mercredi 29 avril 2015, 03:52:30

Mathusalem était assis dans son grand fauteuil, sous sa forme naturelle démoniaque, reposé et profitant de l'ignoble et séduisant plaisir d'un cigare, le genre d'invention humaine dont il se délectait. Le cigare était comme lui : imposant, toxique, addictif et symbole de richesse. Devant lui, un central de sécurité doté des mêmes écrans que le PC sécurité de la boîte de nuit, situé juste en-dessous, diffusait les images captées par les caméras officielles, ainsi que quelques-unes moins officielles qui donnaient dans des angles indécents : depuis le dessous de certaines banquettes observant directement sous certaines jupes ou plongeant dans les toilettes... Mathusalem soignait ses désirs pervers et aimait profiter de son pouvoir pour les assouvir.

Ce soir, il avait remarqué une proie splendide pour lui. Il l'avait repérée dès le début, dès son entrée. D'ailleurs, le videur avait un instant tiqué, mais il l'avait laissée passer - il en paierait le prix plus tard. En attendant, elle était trop jeune pour entrer et sa carte d'identité était à coup sûr une fausse. Elle était déjà prête à danser, il la suivit par les caméras. Elle commença à se dandiner dès qu'elle eut déposé son sac à main à la consigne. Sa robe blanche était magnifique, un bel écrin pour une jolie jeune fille, qu'il allait s'empresser de souiller...

Il appuya sur quelques touches et se pencha sur le micro devant lui.

"Otto, tu m'amènes la jeune fille qui vient d'entrer. Robe blanche, cheveux noirs. Elle vient vers toi."

Il changea d'une pression l'interlocuteur.

"Anna, ma douce, fais-moi monter le sac à main qui vient de t'être remis par une petite donzelle aux cheveux noirs et robe blanche, à la bouille de gamine, tu seras gentille."

Sur les caméras, Mathusalem vit Otto aborder la jeune fille, puis la guider vers une porte de sécurité. Le sac à main arriverait plus vite qu'elle, Mathusalem avait fait installer un monte-plat spécial de la consigne, car il aimait pouvoir fouiller librement dans les affaires de certaines personnes. On frappa à la porte et en un instant, Mathusalem prit son apparence du Boss, dans un beau costume blanc.

"Entre, Roméo."

Le jeune Roméo entra, portant le petit sac à main, et le déposa auprès du Boss.

"Voilà, Boss."

"Merci, Roméo... Au fait, on m'a dit que ta cousine cherchait du travail."

"Euh...oui, Boss."

"Tu devrais me l'envoyer, je lui trouverai sûrement une fonction ici."

"Oh, merci, Boss... Je lui dirai de passer dès que possible. Je vous remercie, Boss."


"C'est rien, c'est ça, la famille. Et puis, ça pourrait lui faire un joli cadeau de mariage. Et je sais que tu l'aimes beaucoup."


"Oh, pour sûr, Boss. Merci, Boss."

Roméo partit et le Boss sourit. Roméo transpirait de tous les pores de sa peau son désir pour sa cousine, une bien belle fille selon les photos, qui venait de se marier avec un petit banquier du secteur. Mathusalem se ferai un plaisir de s'occuper de la jeune mariée, puis de la laisser à Roméo pour satisfaire ses volontés perverses. C'est ainsi qu'on asservissait ses employés : en satisfaisant leurs instincts les plus bas. Il ouvrit la pochette de soirée. Il n'y avait pas grand-chose : de la monnaie, un peu de maquillage dont un rouge à lèvres qui n'en était pas un mais un petit vibromasseur, des mouchoirs, et la fameuse carte d'identité. Le faux était bon, mais Mathusalem avait de l'expérience. Il regarda les indicatifs et eut un petit rire nerveux, en voyant que le code de la carte était destiné à un homme et non à une femme. Il remit tout dans la pochette et posa celle-ci sur la table. Il allait bien profiter de cette soirée avec cette Lili Ivanes...si le nom était exact. 

On frappa à la porte à nouveau et Mathusalem jeta un regard sur la caméra devant son bureau. La jeune femme, escortée par Otto, attendait devant la porte, visiblement mal à l'aise. Otto était parfait dans ce rôle, il savait être aussi froid que la glace. Sa femme le lui reprochait souvent, avant qu'elle ne découvre que son homme aimait la regarder se faire prendre par d'autres hommes. Depuis que le Boss avait couvert sa femme de sperme devant lui, leur couple était en plein essor, Otto se contentant d'un rôle de voyeur et sa femme explorant ses penchants pour les jeunes hommes bien montés et les petites perverses...

"Entre, Otto, et fais entrer mademoiselle Ivanes."

Otto entra et invita la jeune fille à le suivre. Puis, il s'éclipsa, non sans un regard sur le Boss, dont il connaissait sûrement les projets. Le Boss se leva et vint faire le baise-main à la jeune fille, un peu surprise, et il en profita pour humer ses pensées superficielles. Oh, quel doux parfum que celui de la fausse fille sage, se délectant des beaux calibres dans tous ses trous, s'avouant à peine son penchant pour le masochisme et recourant bien souvent à des caresses intimes pendant de longues heures dans son lit, à jouer avec ses parures de métal...
Le Boss retourna à son fauteuil.

"Tout d'abord, je tiens à vous remercier, comme tout client de mon établissement, pour l'avoir choisi. Une jolie fille comme vous est toujours un ravissement pour les yeux, et ce qui ravit ma clientèle m'apporte toujours plus de clientèle."

Il ouvrit devant Lili la pochette de soirée et en tira la carte d'identité.

"Mais là, je lis que vous êtres majeur sur cette carte d'identité, qui est un faux manifeste. Et je ne peux tolérer qu'une jeune fille mineure s'introduise dans mon établissement, sans quoi je pourrais avoir des problèmes avec les autorités. Honnêtement, je n'aime pas les policiers, et je pense que vous n'avez pas envie de les voir vous non plus pour répondre d'un usage de faux et d'une usurpation d'identité, je me trompe ? Alors, nous allons devoir trouver un terrain d'entente, entre nous, pour éviter que les autorités ne vous embêtent, vous comprenez..."

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]

Réponse 2 vendredi 01 mai 2015, 17:43:20

Malgré ma demande il me répond aussi froidement, je continue de le suivre, nous montons un escalier et il s'arrête devant une double porte qu'il ouvre avant de m'inviter à rentrer.
Une fois à l'intérieur, je constate que le mobilier ne doit pas être donné, un grand bureau en boit massif, des tableau de maitre accrocher sur les mur, et je n'ai pas le temps de voir le reste que un personnage géant s'approche de moi, une véritable armoire à glace de deux mètres, c'est un homme chauve, d'une quarantaine d'année quelques peut bedonnant dans une costume chic, une fois à ma porté il me tend sa main, je tend la mienne pensant qu'il allait juste me la serrer, mais par ma grande surprise il me baise la main avant de retourner s'asseoir dans son grand fauteuil.
Le membre du staff qui m'a accompagner referme les porte derrière moi, me laissant avec cette homme, qui une fois assis me dit.

"Tout d'abord, je tiens à vous remercier, comme tout client de mon établissement, pour l'avoir choisi. Une jolie fille comme vous est toujours un ravissement pour les yeux, et ce qui ravit ma clientèle m'apporte toujours plus de clientèle."


sur ces mots flatteur je lui sourie, comprenant que la boite de nuit lui appartient, mais mon sourire commence à se décomposer quand je le vois sortir mon sac à main de derrière son bureau, et de sortir de celui-ci ma fausse carte d'identité tout en me disant.

"Mais là, je lis que vous êtres majeur sur cette carte d'identité, qui est un faux manifeste. Et je ne peux tolérer qu'une jeune fille mineure s'introduise dans mon établissement, sans quoi je pourrais avoir des problèmes avec les autorités. Honnêtement, je n'aime pas les policiers, et je pense que vous n'avez pas envie de les voir vous non plus pour répondre d'un usage de faux et d'une usurpation d'identité, je me trompe ? Alors, nous allons devoir trouver un terrain d'entente, entre nous, pour éviter que les autorités ne vous embêtent, vous comprenez..."

Cette carte avait pourtant marché quelques fois sans problème, mon visage montrait clairement une mine pas tranquille, heureusement pour moi il n'aimait pas la police, donc il ne comptait pas les appeler, je lui répond en baissant les yeux.

Non monsieur, je ne voudrais pas avoir à faire avec la police.
Un terrain d'entente? qu'est ce que vous voulez dire? Je comprend que...


Je me rapproche de son bureau pour récupérer mon sac à main et la fausse carte d'identité qu'il à entre les doigts.

... Je vais surtout partir d'ici et ne plus jamais revenir.

J'arrive facilement à attraper mon sac à main, mais quand je tente au vol d'attraper ma carte, celui-ci l'esquive de son bras.

Rendez la moi! Je vous jure que je ne reviendrais jamais, rendez la moi!

 

Mathusalem

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Re : le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]

Réponse 3 samedi 02 mai 2015, 07:17:57

La petite maligne ! Elle pensait s'en tirer ainsi ! Avec un certain amusement, le Boss vit la petite Lili s'emparer vivement de son sac à main, mais il maintint la fausse carte d'identité hors de portée. Il se contentait de l'empêchait d'atteindre la carte d'identité, à mois qu'elle ne veuille l'enjamber...


"Allons, allons, mademoiselle, calmez-vous... Vous comprenez bien que je ne peux pas vous rendre ce FAUX, c'est très dangereux, vous savez. Et je ne peux pas vous laisser partir et l'utiliser pour aller ailleurs, pour user de libertés qui ne sont pas encore les vôtres. Je ne doute pas de votre sens moral ni de votre sens citoyen, mais la tentation est grande, et vous pourriez malencontreusement vous laisser tenter par un autre établissement et vous y introduire ILLEGALEMENT, ce qui ferait de moi votre complice...et ça, je ne le veux pas, vous me comprenez, je pense..."


La jeune femme était dépitée, partagée entre une colère frustrée et une tristesse amplifiée par l'attitude posée du Boss. Celui-ci se leva de toute sa masse, la dominant du bout de la table.

"Allons, hauts les coeurs, chère Lili, si c'est bien votre vrai prénom... Je me sens d'humeur magnanime ce soir. Il existe pour moi une manière de vous faire rester parmi nous et que vous puissiez profiter de mon établissement malgré votre jeune âge, c'est de vous inviter moi-même et de vous maintenir dans mon coin VIP, où personne ne viendra pour vous interroger sur votre âge.

Mathusalem vit un sourire renaître sur le visage de Lili. Il venait de lui offrir un espoir en or.


"Bien sûr, on ne rentre pas dans le carré VIP comme ça. Nous nous connaissons à peine, et il faudra y mettre du vôtre..."

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]

Réponse 4 samedi 02 mai 2015, 10:44:41

Alors que je lui demande de me la rendre, l'homme en face de moi reste calme et courtois, assis derrière son bureau, me sermonnant sur le fait qu'il était dans l'incapacité de me rendre ma fausse carte d’identité.

"Allons, allons, mademoiselle, calmez-vous... Vous comprenez bien que je ne peux pas vous rendre ce FAUX, c'est très dangereux, vous savez. Et je ne peux pas vous laisser partir et l'utiliser pour aller ailleurs, pour user de libertés qui ne sont pas encore les vôtres. Je ne doute pas de votre sens moral ni de votre sens citoyen, mais la tentation est grande, et vous pourriez malencontreusement vous laisser tenter par un autre établissement et vous y introduire ILLÉGALEMENT, ce qui ferait de moi votre complice...et ça, je ne le veux pas, vous me comprenez, je pense..."


Oui je suis dépité, mais aussi partagé en colère et tristesse, les larmes me montent au yeux, à la fois énervé de mettre fait prendre, mais aussi d'admettre qu'il a raison, que ce n'est peux être pas la première fois qu'il est confronté à ce cas, et qu'il n'a pas d'autre choix que de la garder et de la détruire (la carte ID), pourtant j'ai eu t'en de mal à l'obtenir cette carte que j'en ai un petit pincement au cœur.
Difficilement je lui réponds derrière quelques sanglots étouffés.

Ou... Oui... Je comprend monsieur

Alors que je vois l'homme se lever derrière son bureau, celui-ci me lance sur un ton plus jouasse.

"Allons, hauts les cœurs, chère Lili, si c'est bien votre vrai prénom... Je me sens d'humeur magnanime ce soir. Il existe pour moi une manière de vous faire rester parmi nous et que vous puissiez profiter de mon établissement malgré votre jeune âge, c'est de vous inviter moi-même et de vous maintenir dans mon coin VIP, où personne ne viendra pour vous interroger sur votre âge.

Moi qui était désespéré et qui me voyais déjà rentrer chez moi en pleurant, voilà qu'il me redonne le sourire, il à une solution et une bonne.
Il est vrai que si je reste dans le carré VIP, les autre personne ne risque pas de soupçonner quoi de se soit et même si on m'interroge je pourrais toujours mentir après tout avec les jeux de lumière et la boissons, les autres ne ferons pas attention.
Toujours avec se sourire qui viens de renaitre sur mon visage je lui répond.

Oui c'est bien mon prénom monsieur, et je suis contente que vous me proposez ça. Je vais vraiment pouvoir m'amuser et danser jusqu'au bout de la nuit?


Je me vois déjà en train de danser au rythme de la musique, m'amusant comme une petite folle.
L'homme rajoute alors quelques mots.
 
"Bien sûr, on ne rentre pas dans le carré VIP comme ça. Nous nous connaissons à peine, et il faudra y mettre du vôtre..."

Sur ces mots je le regarde intrigué, mais toujours avec le sourire, avant de lui dire.

D'accord... Et bien je m'appelle Lili Ivanes, j'ai 16 ans, je suis collégienne au lycée de Seikusu... Et vous qui êtes vous monsieur?

En sondant mon esprit, cette homme qui n'en était pas vraiment un, pouvais bien voir que Lili n'était pas le jeune fille pur qu'elle pouvais laisser paraitre à première vue, il pouvais voir des images lubriques de Lili se faisant prendre par des créatures, ou maltraité par d'autres personnes, en laisse et dresser par sa maitresse Ishtar une dragonne, une multitudes d'images plus rabaissantes les une que les autres. Il restait à savoir ce que cette homme avait derrière la tête

Mathusalem

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Re : le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]

Réponse 5 dimanche 03 mai 2015, 07:12:50

La petite Lili se détendait et souriait depuis qu'il avait fait briller l'espoir du carré VIP. Elle se présenta, toute pimpante, et Mathusalem se demanda comment on pouvait être aussi lubrique à cet âge sans avoir un peu de sang de démon. Elle suintait de masochisme, de soumission et de plaisirs violents. Mathusalem sentait qu'il allait bien s'amuser...


"Ici, on m'appelle le Boss, petite Lili. Je suis le grand patron de ces lieux et je peux faire de toi la reine de la nuit, si tu y es prête... Mais d'abord..."


Il se décala, appuya sur un bouton.

"Otto, envoie-moi Monica avec du champagne et de quoi...accompagner."

"Tout de suite, Boss."

Puis, il revint à Lili.

"Et si nous commencions un peu la soirée avec quelques bulles ? Tu aimes le champagne ?"

Il n'attendait pas de réponse, il savait que le seul prix du champagne ferait briller les yeux de la jeune fille. Otto ouvrit la porte et Monica entra, portant un seau à champagne et un plateau de quelques petits délices, comprenant de la tapenade d'olive noire, du foie gras d'oie, du hummus et du caviar d'aubergine. La femme était habillée de façon très sexy : un body au bas pincé et au haut bustier noir, mettant son abondante poitrine presque trop en valeur, et une jupette blanche plutôt courte. Mathusalem se ravit de l'odeur de sexe qui l'entourait et perçut le petit ronronnement du jouet qu'il lui avait offert.

"Bonsoir, Monica. Tout va bien ? Et ton mari ?"


"Tout va très bien, je suis aux anges... Et il vient de prendre l'avion, je ne le supportais plus, il était intenable depuis que je suis à vos ordres..."


"Mais le jeu en vaut la chandelle, non ?"

"Oh oui ! J'ai hâte de pouvoir vous montrer à nouveau comme je suis dévouée..."

Monica était devenue une de ses petites esclaves peu de temps avant. Il lui avait fait découvrir des plaisirs qu'elle ignorait en se cantonnant à un rôle de bonne petite épouse, jusqu'à une soirée entre filles dans la boîte de nuit. Il l'avait très vite repérée et avait invité Monica et ses deux amies dans son carré VIP. Elle avait tenté vainement de résister, mais il n'avait pas fallu bien longtemps pour que, selon son bon plaisir, elles s'embrassent entre elles à pleine bouche, puis viennent s'offrir à lui. Il leur avait fait découvrir des plaisirs qu'elles ignoraient. Depuis, ses deux amies s'étaient installées ensemble et Mathusalem passait les voir de temps à autres, et Monica était restée. Elle était devenue totalement accro au goût du Boss et à la sodomie, et elle avait expliquée à son mari qu'elle appartenait de corps à un autre. Le mari l'avait battue, Mathusalem avait envoyé Otto faire le travail, puis il avait obligé le mari à le regarder, lui, faire hurler de plaisir sa femme pendant une nuit entière, la lui rendant à bout de souffle, couverte de sperme, intimement béante et encore bouillante de désir. Elle était si excitée qu'elle avait tentée de faire l'amour à son mari, mais celui-ci n'était plus capable de lui donner le plaisir qu'elle trouvait entre les bras de Mathusalem. Depuis, la situation était devenue compliquée...surtout pour la mari.

Mathusalem la gratifia discrètement d'une tape sur les fesses, bien calculée pour faire vibrer un peu plus le plug anal enfoncé en elle, et Monica rougit de plaisir.

"Allez, laisse-nous, Monica..."

Il la regarda partir et revint sur Lili, qui suivait Monica des yeux, un peu jalouse de l'opulente poitrine.

"Revenons à nous, Lili. Ne me dîtes-pas que vous êtes venue pour rester seule ? Vous attendez des amies ? Un compagnon ? Vous n'êtes pas seule, j'espère, ce serait un crime."

Mathusalem se leva et commença à déboucher le champagne.

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : le nouveau parrain en ville [PV Mathusalem]

Réponse 6 samedi 15 août 2015, 12:05:36

Cette homme grand et bedonnant toujours en face de moi ne me quitte pas du regard, de suis un peut plus détendu, puisque même s'il a découvert que je suis mineur et que ma carte d'identité est une fausse, il comprend apparemment que les jeunes en général on envie de s'amuser.

"Ici, on m'appelle le Boss, petite Lili. Je suis le grand patron de ces lieux et je peux faire de toi la reine de la nuit, si tu y es prête... Mais d'abord..."

Mon esprit vagabonde, me voyant déjà en train de danser sur la piste de danse alors que j'entends "le Boss" comme il se fait appeler commander du champagne avant de m'adresser à nouveau la parole.

"Et si nous commencions un peu la soirée avec quelques bulles ? Tu aimes le champagne ?"

Je ne sais pas monsieur, je n'ai jamais bu d'alcool et encore moins du champagne, mais pourquoi pas si vous ne le dite à personne je veux bien gouter.

Mon dieu, du champagne rien que pour moi, pour mon arrivé, je n'en est vraiment jamais bu, mais j'ai entendu dire que les gens en acheté ou gardé quelques bouteilles chez eux pour de grandes occasion, c'est que ce doit être exquis, cette homme me gâte.
Voilà que la porte s'ouvre, c'est l'homme qui m'a amenez jusqu'à ce bureau qui l'ouvre suivi d'une femme habiller très sexy avec un plateau et un seau qu'elle pose délicatement sur le bureau du "Boss".
Il discute l'un l'autre, j'écoute d'une oreille, alors que je regarde la tenue de cette serveuse qui est des plus aguichante, je regarde ces jambes, ces fesses, sa poitrine qui est grandement mise en valeur avec ce corset, elle me rappel Ishtar que je n'ai pas vue depuis un moment maintenant.
Cette serveuse est vraiment très attirante, je me dit que si elle le désirais je passerais bien un moment avec elle.
Voilà le genre de pensé qui trotte dans ma tête depuis que j'ai la possibilité de me faire pousser un phallus entre les jambes,... du moins je met là faute dessus puisque c'est depuis que j'ai ce pouvoir que je pense plus au femme, à mois que ce ne soit tout simplement que ma perversité qui grandit.

Peut importe, le "Boss" demande à la serveuse de nous laisser en lui donnant un tape sur les fesses, c'est d'ailleurs très familier comme comportement pour une employer un son boss, enfin bref je la regarde sortir et viens à nouveau poser mon regard sur ce quarantenaire alors qu'il commence à prendre là bouteille pour la déboucher il me demande.

"Revenons à nous, Lili."

Oui

"Ne me dîtes-pas que vous êtes venue pour rester seule ? Vous attendez des amies ? Un compagnon ? Vous n'êtes pas seule, j'espère, ce serait un crime."

Et bien, je ne suis pas venue pour rester seule, puisque je suis venue pour danser, mais je n'attend personne, mon amie Kira est malade et les... enfin je suis partie sur un coup de tête, il fallait que je me change vraiment les idées, que je change d'air pendant quelques heures...







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