Il n’allait pas s’en dire que Vanessa était complètement folle de Karen. D’un point de vue sexuel, car c’était ce qui allait être mis en avant dans les prochains instants, les deux femmes étaient très ouvertes l’une envers l’autre. À de nombreuses reprises Vanessa avait assouvi les fantasmes, même les plus osés, de Karen, et inversement aussi. Ce n’était pas pour rien qu’elles se voyaient réellement comme des âmes sœurs ; elles étaient faites l’une pour l’autre. Cela se voyait dans le sexe, dans la façon dont elles le faisaient entre elles. Et à présent, seules dans une classe vide, les deux amantes s’adonnaient à cœur joie à l’une de leur activité favorite ; les parties de jambes en l’air. Leurs câlins étaient toujours très intenses, très langoureux, témoignant de la puissance de leur amour. Tantôt elles pouvaient faire l’amour de manière virile, puissante et soutenue. Tantôt, elles pouvaient aussi se montrer extrêmement douces et tendres, arrivant à se faire grimper au ciel rien qu’avec les plus intimes et sensuelles caresses dont elles pouvaient faire preuve.
Amantes redoutables, elles étaient aussi un couple fabuleux et aimant, qui à de maintes reprises, et non seulement dans le sexe, s’étaient prouvés amour et sincérité. Cependant, pour l’heure actuelle, les jeux coquins étaient de mises, et Vanessa, après avoir été largement émoustillée par sa bien taquine comparse, avait décidé de lui offrir une petite douceur, pour bien se mettre dans le bain. Souriante, ce fut avec un certain plaisir qu’elle s’était éprise d’amour pour son sexe, qui bandait hargneusement devant elle. Karen n’avait strictement rien à envier aux hommes ; sa verge était aussi longue que large, atteignant une dimension des plus enviables. Au grand bonheur de Vanessa, qui en était pleinement satisfaite. Elle entama une petite fellation, en couvrant son sexe de mille et un baisers.
Puis, elle sentit les mains fermes et douces à la fois de Karen saisir sa chevelure. Un frisson électrisant lui parcourut l’échine, surtout quand elle observa que sa petite femme commençait même à bouger ses hanches, souhaitant apparemment enfoncer d’elle-même son sexe en elle. Elle poussa un hoquet quand l’inspectrice décida de gober avec appétit sa verge, ce qui fit sourire Vanessa bien entendu. Plus elle gémissait, plus ça lui faisait plaisir. Bientôt, ses lèvres englobèrent toute la largeur de ce sexe massif et veineux, allant et venant sur celui-ci. Elle sentait son gland brûlant taper contre le fond de sa gorge, lui procurant alors d’innombrables plaisirs. Karen ne pu se retenir plus longtemps et commença alors à réellement remuer de ses hanches et de ses mains, pour venir forcer la petite tête de sa femme à manger sa verge, ce qu’elle fit bien entendu avec le plus grand des plaisirs.
Sa queue brûlait, et plus elle palpitait dans sa bouche, plus Vanessa avait envie de la pomper. Et ce fut ce qu’elle fit. La jeune femme ne tarda guère à accélérer le rythme, et à intensifier l’emprise que ses lèvres avaient sur ce sexe. La tête de Vanessa allait et venait, et bientôt, elle remuait assez rapidement. La délicieuse verge de Karen s’enfonça profondément et intensément en elle, à un tel point que le bout de son nez se nicha tendrement contre son pubis, et son menton chaudement accueillit au creux de ses bourses, qui ne demandaient qu’à être vidées … « Hmmm … » Ronronnait-elle intensément, savourant alors ce délicieux moment.