Mise en forme... [Pv: Opium]

Il était assez tard, un vent chaud jouait avec la cime des arbres sans faire le moindre bruit, il régnait en ce lieu un silence qui n'était brisé que par le murmure des eaux d'un ruisseau proche... le sol était recouvert d'une herbe épaisse et dense, bien qu'il ne marchait pied nue Musashi avait l'impression étrange de ressentir l'humidité du sol  sous ses pieds, une sensation étrange mais loin d'être désagréable.

Le sous-bois semblait désert en cet heure tardive et pourtant bon nombre de créature se dissimulait dans l'obscurité, des buissons frémissaient et des ombres de diverses formes marquaient un passage bref et précipité au travers des zones légérement illuminé par la lumiéres des étoiles et d'une lune toute ronde...

Notre samouraïe se trouvait depuis peu, à nouveau au sein du royaume des vivants, il ne comprenait ni la raison de son retour sur terre ni ce qu'il était à présent car de son expérience on ne meurt qu'une fois et lui avait fait l'expérience de la fin de sa vie pourtant il respirait à nouveau: ceci ne pouvais être naturel...

Ce dernier point il l'avait trés vite comprit en découvrant, peu aprés son retour sur terre, le nouveau visage qu'il possédait ainsi que les pouvoirs dont il bénéficiait à présent... qui plus est la couleur de ses yeux n'était pas vraiment commun tout le monde aussi il comprit qu'une puissance supérieur à lui et à tout ce qu'il avait put connaitre l'avait ramené en ce bas monde mais notre homme se fichait bien de savoir pourquoi.

Quelque soit ce qu'on avait prévu pour lui il comptait bien à présent profiter de cette seconde vie en accomplissant ce qu'il n'avait jamais accomplit et en faisant de nouvelles expériences, choses qu'il ne fit autrefois pour des raisons qui lui paraissait justifié à l'époque mais qui aujourd'hui serait bien inapproprié et stupide de sa part de suivre à nouveau.

Cependant, ce soir là n'avait pas un proggramme qui pouvait créer un débat ou une polémique vis a vis de sa moralité et des idéaux de sa premiére vie qui rentrait en contradiction avec ce qu'il comptait faire de sa nouvelle existence... non ce soir-là notre samouraïe avait décidé de la dédier à la méditation et à l'entrainement aussi, là, seul dans les bois, il commença par quelque mouvements matial lent qui était une forme de méditation et de recueillement en lui même. Ceci se rapprochait beaucoup d'une forme de yoga.

Dans cet état de concentration il accédait à un état de conscience plus élevé, ressentant avec plus grande aisance les choses qui l'entouraient ainsi que les impressions et les sentiments dont les lieux étaient imprégné au fil du temps: c'était une véritable communion avec la nature, mais cette paix et tranquilité intérieur fut trés vite brisé.

Alors qu'il enchainé avec lenteur mais précision et grace ses mouvements, il ressentit une présence à quelque métres de lui, certes comme dis au-paravant il savait que cette forêt abritait à cette heure toute sortes de formes de vie mais ce qui faisait la différence entre cette présence et les autres était que cette derniére observait Musashi mais il continua ce qu'il faisait sans rien laisser paraitre de cette révélation bien que ses sens étaient en éveil et qu'il était prêt à réagir...

   Le soleil aurait bien pu être au plus dans le ciel que terrer dans son coin que cela n’y aurait rien changé. Opium se trouvait là, debout, non loin de l’esprit en pleine élévation spirituelle.

Une épaule posée contre un arbre, les bras croisés sous sa poitrine. Elle avait la longue robe au corsage délicat pour un tissu plus doux, plus agréable au satin, s’apparentant certainement au satin. Son buste y était fermement retenu laissant le plaisir au regard hasard de se perdre dans une poitrine des plus appréciable. Un large ruban noirâtre ceignait sa taille.
Et oui la créature avait choisit délibérément une tenue qui mettrait certainement le samouraï en confiance. Le kimono. Néanmoins, même si elle n’aurait rien redit à la beauté nippone, son orgueil l’obligé à garder une apparence approchant le plus à sa vraie nature. Ainsi, pas de corne pour orner sa tête mais une longue chevelure ébène pour un regard charbonneux. Elle avait aussi troqué sa peau tannée pour une teinte plus pâle la rapprochant d’une beauté plus humaine.

Elle resta longuement, plongé dans un silence immuable à observer le corps de l’homme. Comment pouvez-t-on y rester insensible ? Elle ferait certainement qu’un boucher de lui, malgré tout, à cette pensée qui la fit largement sourire sa fascination revint la surprendre, l’étreignant doucement. Le regard devint plus terne se bornant à toucher de plus près à la mélancolie.
Ca la prenait de temps en temps. Ses iris glissèrent sur l’image qu’il donnait à voir pour atterrir devant ses pieds. La voila qui se perdait dans ses pensées maintenant. La présence s’effaça quelques secondes avant de revenir, plus oppressante.

Un sourire ornait ses lèvres. La créature retrouvait son visage mutin alors qu’elle vit le calme l’investir. Elle se détacha enfin de son arbre faisant quelques pas. Elle opta cette fois-ci pour un rôle lui étant plutôt inconnu. Les samouraïs, malgré leur entêtement pour leur amour du sabre, devant bien avoir quelqu’un qui se devait de veiller sur eux non ?
Du moins Opium le pensait. Jamais elle n’aurait pu penser qu’un homme ose tout simplement se détacher de la chair pour une lame d’acier.

Légèrement remontrance qui lui venait en tête elle avança encore jusqu’à être visible endossant enfin son rôle. Les mains jointes devant ses cuisses elle s’arrêta gardant une distance assez respectable, la tête abaissait ne lui laissant guerre voir le visage dont le sourire ne faisait que s’étioler.
Le jeu venait de commencer.

Miyamoto avait arrêté ses mouvements, droit comme un pique et la tête légérement incliné vers l'avant il attendit silencieusement, évaluant la situation et les risques encourue mais aussi si la demoiselle derriére elle, qui semblait innofensive en apparence, valait la peine qu'il dégaine son katana et ne l'exécute dans le doute où elle serait plus qu'une simple jeune et innocente créature humaine.

Elle était dans son dos aussi ne ressentait-il que sa présence, il ferma les yeux et inspira profondément pour se concentrer un peu plus et essayer de déterminer la nature exacte de la demoiselle proche de lui mais il n'y parvint pas... il n'avait pas encore pleinement l'habitude d'utiliser ses nouvelles facultés, il avait bien en main ses pouvoirs télékinésistes mais son sixiéme sens restait assez flou pour le moment.

Tout en continuant de se concentrer il se décida à entamer la discussion avec l'inconnue mais quoi dire? Généralement il ne parlait pas ou alors trés peu, la plus part des rencontres qu'il avait eu en forêt s'était terminé dans le sang et bien heuresement ce n'était pas dans le sien mais en cet instant notre samouraïe jugeait qu'il recourerait à des pratiques peut être trop extrémiste s'il se décidait à attaquer...

Déformation professionnel tout simplement, dans sa premiére vie on avait toujour tenté de mettre un terme à sa vie et ce lieu se rapporchant le plus de ce qu'il avait connu à son époque le rendait un peu parano et lui donnait de fausses impressions, aprés tout peut être n'était-ce qu'une jeune femme perdue désirant trouver son chemin et espérant trouver une aide en la personne de Musashi aussi se décida t-il à dire, sans pour autant se tourner:

"Il est tard, que venez vous faire en ce lieu?"

En achevant ses mots il se tourna vers la jeune femme, la lune se trouvait à présent dans son dos et sa lumiére également plongeant dans l'ombre le visage de notre protagoniste mise à part ses deux yeux rouges sangs et perçant qui se posérent sur l'inconnue, celle-ci ressemblait quelque peu aux femme de sa premiére vie... il aurait même dit que s'il ne se savait pas à une autre époque il se serait cru de retour à son époque.

Cependant, il savait que ce n'était pas le cas. Il resta donc debout dans la lumiére pour qu'il soit dans l'ombre de face tandis que la demoiselle était à peine plus loin que lui la tête baissé... chose ironique car alors que lui m'aime se dissimulait la personne en face d'elle faisait de même intentionnellement ou non, la tête baissé et plongé dans l'obscurité suffisament pour qu'il ne puisse distingue que sa silhouette et légérement son apparence...

Le sourire quitta le visage de la créature qui s’enticha d’un visage plus sérieux.
L’humanité du samouraï lui échappait comme s’il n’appartenait pas aux humains. Humains qu’elle chérissant tant par leur naïveté et pulsions qui avait toujours su la mettre en émoi. Tant pis elle se contenterait de ce qu’elle aurait ici.

"Il est tard, que venez vous faire en ce lieu?"

Son cœur tapa doucement dans sa poitrine lorsqu’elle entendit la voix s’élevait. Douce mélodie qui la fit frémir pour ravir son ouïe. Décidément bien réceptive envers sa nouvelle « proie » elle se promit de garder son mauvais caractère dans l’ombre.

Sa poitrine se gonfla doucement dans une inspiration elle le visage de la donzelle se releva lui offrant un minois délicat au regard empreint d’une certaine étincelle. Comme si finalement lui cachait sa nature n’était pas de la plus haute importance.
Tant pis elle n’était plus à ça près.

Les iris sombres de la créature se posèrent sur la silhouette qui se découpait devant elle. Prenant grand soin d’y voir les contours comme pour mesurer son potentiel, Opium se décida enfin à parler.
Ses lèvres s’entrouvrir à peine laissant s’échapper une voix  mélodieuse.

Doit-on avoir une raison précise pour profiter de la nature ?

Répondre par une question n’était peut-être pas la meilleure des choses à faire mais chasser le naturel et il reviendra au galot. Néanmoins sa voix resta en suspend comme si ça réplique n’avait pas encore trouvait sa fin.

Et j’ai été assez sotte pour m’y perdre.

Lâcha-t-elle sur un ton plus convainquant. Le regard se détourna comme si la donzelle aurait été gênée de s’avouer perdue. Ses doigts se crispèrent un peu plus s’enroulant dans le tissu de son kimono pour parfaire le sentiment.
Pas bien grande, comment aurai-t-elle put lui laisser croire qu’elle pourrait atteindre à sa vie. Même sous sa vraie forme Opium n’a rien de bien effrayant. Elle concèdera sûrement une bestialité empreinte de passion, mais son excuse reste louable.

Ainsi, elle resta immobile en fixant le sol le rouge montant doucement prendre possession de ses joues.
Oh, il se rendrait certainement très vite compte qu'elle n'avait rien d'humain, de toute façon, Opium ne cherchait déjà plus à lui cacher une aura des plus douces et séduction.

Doit-on avoir une raison précise pour profiter de la nature ?

Musashi n'était pas vraiment satisfait de la réponse, tout d'abord parce qu'il n'aimait pas qu'on réponde à ses interrogations par d'autres questions et d'un second point parce que les mots de la jeune femme ressemblait bien plus à ceux d'un prédateur qu'aux mots d'une jeune femme perdue ce qu'elle prétendit être par la suite et tandis qu'elle ouvrit une nouvelle fois sa bouche sensuel pour parler, notre samouraïe se rapprocha d'elle d'un pas lent:

Et j’ai été assez sotte pour m’y perdre.

Il arriva à hauteur de la demoiselle, il était suffisament proche pour sentir le souffle de la jeune femme voleté dans sa direction, la créature dégageait une odeur des plus douce et délicieuse: comme l'odeur d'une friandise qu'il avait trés envie de goûter tout en sachant que derriére  et enrobage de chocolat blanc se cachait une surprise mais il avait trés envie de prendre de le risque de savoir ce qu'elle cachait.

Il s'imprégnait de sa présence tandis que sa main vint relever délicatement le visage de l'inconnue en plaçant son index sous le menton de la demoiselle il plongea alors son regard de braise dans les yeux qui se présentérent à lui pour finallement dire, tout en rapprochant son visage de la créature de l'ombre comme pour l'embrasser:

"Je doute fort que vous vous soyez perdu... mais quel importance n'est ce pas car a l'inverse je crois effectivement que vous soyez venu profiter de la nature... ma nature peut être? Mais si c'était moi le chasseur et vus la proie en réalité? Vous acceptez d'en prendre le risque....?"

Sa voix était lente et envoutante, comme si son corps possédait une expérience naturelle aux choses de la séductions alors que ce n'était au contraire pas le fort de notre samouraïe quoi qu'il en soit il semblait avoir charmé son interlocutrice, sur ces derniers mots il avaient entendu s'accélérait les battements du coeur de s charmante inconnue, surement une accélération sous l'excitation lorsque Miyamoto termina sa prise de parole en effleurant les lévres de la demoiselle pour reculer son visage tout aussi vite...

Il commençait à jouer avec cette femmelle, cela ne lui était pas vraiment familier mais son instinct avait prit le relais et il aimait beaucoup cela tout d'abors car la jeune femme était plus qu'à son goût et ensuite parce qu'il commençait à ressentir une excitation qu'il n'avait jamais connu mais qui était aussi agréable que la monté d'adrénaline avant le début d'un duel à l'épée.

Le samouraïe était toujour aussi proche et même plus, son corps était collé au sien tandis qu'elle était presque acculé contre un arbre avec trés peu de possibilités de parer à cette proximité mais ceci ne semblait pas déplaire à la créature de rêve qui était en face de lui et qui ans vraiment le laisser paraitre semblait se regaler de la situation et de la tournure que prenait les choses mais ce n'était que l'impression de Musashi...

Il lança un nouvel assaut en se penchant au-dessus d'elle pour aller trés lentement dans son coup, il fit comme un prédateur sentant sa proie en reniflant et en s'impregnant de son odeur qu'il aimait assez et même beaucoup puis il vint gouter la peau douce de ce cou qui était tout offert à lui, elle avit la peau douce et sucrée... un véritable trésor pour les papilles il se recula une nouvelle fois et polngea à nouveau son regard dans celui de la demoiselle pour lui demander:

"Que peux bien attendre une femme aussi délectable que vous d'une ême perdue...?"

Elle le laissa aller à son manège non sans en profiter. Elle trouvait ça presque marrant de le voir ainsi, essayer de la charmer, ça en devenait presque trop facile à son goût.

"Je doute fort que vous vous soyez perdu... mais quel importance n'est ce pas car a l'inverse je crois effectivement que vous soyez venu profiter de la nature... ma nature peut être? Mais si c'était moi le chasseur et vus la proie en réalité? Vous acceptez d'en prendre le risque....?"

Il n’eut aucune réponse. Non, elle se contenta simplement de sourire alors que les prunelles sombres qui étincelaient perdirent de leur couleur pour laisser paraître le regard véritable de la démone. Ce n’était pas tellement une erreur de sa part, non. La chose avait été volontaire. Peut-être une façon de lui répondre positivement.

Un vrai séducteur dans l’âme vraiment. Il plaisait d’autant plus à la démone qui ne s’empêchait de sourire prenant goût à son petit jeu. Et même si à chaque mot il avait effleuré les lèvres de la démone, elle n’avait rien fait pour s’y soustraire ni même le provoquer un peu plus. Les yeux clos elle laissa les mots l’envahir, et résonnaient dans sa tête comme une douce promesse. Irrésistible, elle sentit même un léger fourmillement dans son ventre.
Le jeu de la séduction faisait partie de ses passe-temps favoris. Bien évidement, elle ne pourrait refuser une si belle occasion de se complaire dans cette occasion.

Collée à lui, ou alors était-ce l’inverse, la poitrine d’Opium se soulevait doucement une respiration lente malgré l’excitation qui aiguisait déjà ses sens. C’est comme une machine qu’on met en route. Il suffit d’enclencher le bon mécanisme et les rouages entraînent tout le reste. Leur proximité ne la gêné pas vraiment, malgré tout, ce devait être quelques choses d’instinctif, elle se pressa un peu plus à l’arbre alors que la créature était parfaitement consciente qu’elle ne pourrait s’échapper par là.
Le souffle brûlant de la belle se perdit dans les airs alors que tout comme elle, il prenait tout autant de plaisir dans sa position de dominateur.

"Que peux bien attendre une femme aussi délectable que vous d'une âme perdue...?"

Ame perdue qui cherche une résonance dans une autre plus charitable peut-être.

Ca y est. Les mains de la belle se posèrent sur l’écorce de l’arbre, son dos se décolla un peu de celle-ci et ses seins vinrent un peu plus se pressait contre le torse du samouraï. La balance allait-elle s’inverser ?
Elle se mord doucement les lèvres avant de sourire un peu plus pour lui offrir le même sort. Elle inspire doucement lui laissant à loisir sentir sa poitrine se gonfler. Son odeur vint faire vibrer le reste de son corps qui se montrait encore résistant. Les prunelles ambrés de la démone se détournèrent comme pour se faire désirer.

Ou alors je cherchais un quelconque moyen de trouver un semblant de sérénité.

Elle feint ne plus savoir quel était le but de son errance. Ca lui va si bien. Pas la peine de s’en plaindre, il l’a contre elle encore alors qu’elle évoque ici la possibilité de le laisser tranquille si sa présence ne lui plaît pas. Rien que d’y penser elle en sourit à nouveau revenant fondre dans son regard sur le guerrier tandis que chacun de ses mots avaient trouvés le moyen d’effleurer ses lèvres.
Une possible découverte de sa vraie nature ne semble pas la préoccuper. Elle n’y a pas vraiment réfléchit mais devant autant de charisme la question ne se posa même pas.

Ame perdue qui cherche une résonance dans une autre plus charitable peut-être.

Elle se pressa un peu plus contre le samouraïe et ce dernier adorait cela: il sentait sa poitrine bien coller contre son torse, se soulever a chacune des inspirations de l'inconnue. Une de ses mains ne put alors s'empêcher de glisser le long du corps de la demoiselle caressant ses cuisses puis ses fesses (fermemant) avant d'atteindre ses hanches et finalement son sein gauche qh'il commença a caresser puis a malaaxer légérement tout en titillant la pointe de son téton avec son pouce au travers des vêtements de la demoiselle.

Ou alors je cherchais un quelconque moyen de trouver un semblant de sérénité.

Il sourit à ses mots, il vint alors déposer un baiser dans son cou puis gouta a nouveau sa peau à l'aide de sa langue... elle avait réellement trés bon gout et une peau si douce... il la mordilla légérement pas assez pour lui faire mal mais suffisament pour que cela soit excitant puis il remonta jusqu'aux lévres de l'iconnue à l'aide de sa langue (traçant ainsi une belle ligne humide de la base de son cou à sa bouche) pour ensuite capturer ses lévres dans baiser léger puis les captura nouveau pour un baiser plus passionnée.

"Je crains pour toi que ce ne soit pas la sérinité que tu t'apprête à connaitre... mais pourquoi pas beaucoup de plaisir si tu es partante belle inconnue."

Sa seconde vint alors se poser sur les fesses de la jeune femme pour tout d'abord caresser et masser cette zone avec un plaisir avide puis finallement il la souleva l'invitant a enserrer la taille de Musashi avec ses jambes. Elle était bien contre lui et callait contre l'arbre, il se mordit les lévres en la regardant et lui fit un clin d'oeil avant de plonger sur elle à nouveau pour l'embrasser pleinement à présent, mêlant sa langue à la sienne avec un plaisir non dissimulé tandis que le contact entre son membre et l'entrejambe de cette femme commençait à l'exciter.

Il l'embrassait avidement, mordillait ses lévres avec douceur et envie et continuait d'unir sa langue à la sienne. Il alla glissa ensuite pour se loger dans son cou reprendre ses baisers, jeu de langues et de petites morsure pour attiser lentement le désir de cette femmelle exquise. Il jouait dans son cou tandis que ses lains vinrent malaxer les fasses de sa compagne avec insistance puis ses mains se posérent sur les hanches et enfin la poitrine de l'inconnue.

Il commença par caresser ses seins et les presser l'un contre l'autre en douceur et avec tendresse pour ensuite commencer à dessiner le contour de chacun de ses seins par le biais de caresses appliquées pour ensuite titiler ses pointes en passant légérement ses tétons et ce petit jeu arracha le premier gémissement de la jeune femme. Il se saisit alors délicatement des poignets de la jeune femme pour soulever ses bras et les maintenir au-dessus de sa tête avec une seule de ses mains.

Ceci lui offrait un accés parfait à la poitrine de la démone, de son autre main il entrouvrit le kimono de la demoiselle dévoilant petit à petit son buste splendide. Une fois ses deux seins enfin libérer du morceau d"étoffe, il se mit a caresser ses seins et ses teintons de sa main libre et entama de doux jeu de langues netres ses deux seins puis s'en servit comme d'un pinceau pour dessiner les contours de ses tétons avant de commencer à les sucer puis a appliquer de tendre morsure.

Il s'appliqua à se petits manéges pendant un bon moment au rythme du plaisir prodigué mais en étant toujour de plus en plus passionné dans ses mouvements. Alors que les seins de la demoiselle était a présent bien humidifier et recouvert de salive il les quitta lentement et en douceur pour l'embrasser à nouveau avec tendresse puis il murmura à son oreille:

"J'espére que ça te plais... en tout cas mon corps et tiens je te laisse décider de la suite..."

C’était affreux, elle devait bien l’avouer. Affreusement délicieux que de se voir prendre à son propre jeu.

A la fin de sa phrase la belle créature eut encore le plaisir de sentir les lèvres du samouraï sur sa peau, l’électrisant un peu plus à chaque baiser. Mais ce n’était manifestement pas suffisant. Elle sentit sa langue remontait doucement lui arrachant des frissons de plaisir. Avec le même désir, elle le sentait glisser sur sa peau, sa trajectoire l’amenant inexorablement jusqu’à sa bouche, ses lèvres. Et quel ne fut pas son plaisir lorsqu’il l’embrassa. Opium ne s’était jamais sentit aussi… Possédé. C’était là le mot.
Elle qui s’amusait tant devant la gente masculine se retrouvait désormais dans la position inverse sans même chercher à s’en défaire.

"Je crains pour toi que ce ne soit pas la sérénité que tu t'apprêtes à connaitre... mais pourquoi pas beaucoup de plaisir si tu es partante belle inconnue."

Belle inconnue ?
Tiens l’appellation la fit largement sourire, dévoilant comme dans ses moments une dentition quelque peu carnacière, vestige de son apparence première.

Sans vraiment trop y penser, elle sentit la main de son partenaire glisser sous ses fesses. Les pulsions s’éveillèrent doucement. Ainsi soutenu et toujours adossé à l’arbre, ses jambes vinrent enserrer la taille de Musashi et comme si cela ne suffisait pas, les mains délicates de la démone glissèrent sur ses épaules jusqu’à passer par-dessus celle-ci. L’une se nichant dans ses cheveux à la base du crâne, l’autre restant plus passive sur sa nuque. Avec un plaisir non dissimulé, elle put encore gouter ses lèvres. Ses lèvres s’entrouvrirent doucement laissant le passage libre, sa langue allant accueillir celle du samouraï. Malgré son envie qui devenait d’ailleurs de plus en plus pressante, elle se cantonnait à sa douceur futile. Les deux langues jouèrent un moment, l’une contre l’autre s’élançant dans un vrai ballet pour finalement rompre le baiser

Dans un mélange de délice et d’envie elle succombait les petites morsures qu’il lui prodiguait attisant la flamme de son désir. La créature en soupirant, se mordant doucement les lèvres, sa tête basculant sur le côté, l’invitant manifestement à continuer son petit jeu. Inutile de présent avec qu’elle plaisir encore elle se laissa aller sous ses caresses. La tentation l’enivrait tout simplement et à sa plus grande surprise, elle ne put retenir un gémissement lorsqu’il vint reporter son attention sur ses seins dont les pointes commençaient à se durcir.
Il n’eut aucune mal à prendre possession de son corps s’offrant immédiatement à la moindre de ses initiations.
Les étoffes finirent par devenir inutile sous la main de Musashi qui les écarta. Les yeux se fermèrent, se mordillant toujours les lèvres comme pour s’empêcher de gémir une nouvelle fois. A ces mots

"J'espére que ça te plais... en tout cas mon corps et tiens je te laisse décider de la suite..."

A ces mots elle ouvrit les yeux, posant sur son visage un regard ambré. Oui, Opium se laissait lentement découvrir, tout comme elle lui laissait prendre possession d’elle. Malgré tout, elle lui offrit un sourire mutin, s’accordant une petite vengeance. Et encore pouvait-on voir ceci comme telle ?
Elle se cambra légèrement le toisant l’espace d’un instant ne pouvant s’empêcher de le confronter aux désirs qu’il faisait naître en elle. Le corps de la belle se détendit et son bassin ondula de manière à ce que son intimité vienne lentement tirailler l’entrejambe du samouraï. Y prenant un plaisir malsain elle réitéra le geste à plusieurs reprises, jouant un coup sur la rapidité du mouvement, l’autre sur la pression qu’elle pourrait exercer sur lui.
Mais comme si tout cela ne suffisait, elle ne lui répondit pas.

Ses retrouvant leur liberté vinrent glisser sur le torse de Musashi s’accordant quelques allées et retours avant de se nicher plus haut. L’une sur l’épaule l’autre derrière sa nuque. Elle se penchant sur lui, sa poitrine venant s’écrasait sur son torse alors que ses lèvres vinrent déposer un simple baiser dans son cou. Oui juste un. Doux et délicat. Il put alors sentir ses lèvres le frôler, remontant dans son cou comme lui l’avait fait plus tôt sans pour autant l’embrasser. Ce n’est qu’une fois arrivée tout près de son oreille que le murmure s’échappa d’entre ses lèvres.

Très plaisant. Tu pourrais faire un amant parfait.

Puis elle mordilla doucement le lobe de son oreille pour le faire patienter avant de revenir chuchoter à son oreille.

Mais laisser décider ? Je suis sûr que tu brûles déjà d’envie. Et si je me refusais, hm ? Y as-tu pensé ?

C’était tout simplement trop beau jusqu’à maintenant pour qu’elle se laisse autant aller, il fallait bien pimenter tout ça. Elle serait très certainement capable de se refuser à lui, simplement pour le plaisir de mettre à mal sa libido, et ce, même si elle aussi devrait se passer de lui.

Un baiser encore dans son cou pour le faire languir, et elle la faire patienter jusqu’à sa réponse, ne pouvant chasser un sourire taquin de ses lèvres qu’il ne pourrait surement voir pour l’heure.

[HJ: désolée pour la longue absence, j'espère que cela me pardonnera. é_è]

[HJ: hum... deux mois d'absences tout de même j'ais même arrêté le fofo entre temps ^^' mais envie de reprendre ce rp juste pour voir a quel point tu es désireuse de te faire pardonner :p]


Ses caresses... elles étaient divine. Son jeu de rein était un véritable suplice et en même temps un plaisir et un délice sans fin... sa poitrine, son regard, ses attentions... tout était si doux et si excitant que notre samouraï y perdrait son latin. Un coup son intimité se pressait rapidement contre son membre le titillant et derriére elle appliquait une pression plus soutenue et insistante de quoi faire gonfler son sexe de plaisir et d'envie encore plus qu'il n'en ressentait déjà pour elle en cet instant. S'il se mettait à se laisser dicter par son excitation en cet instant il aurait arraché ce qu'il restait de vêtement a la jeune femme, car il n'avait pour le moment que mit sa poitrine a nue, et aurait retirer ses bas avant de la pénétrer avec force et avidité comme une bête sauvage mais il ne voulait pas accélerer les choses tout de suite il voulait que ce soit elle qui saute le pas.

Elle se mit également a le singer avec ses lévres, faisant semblant de venir l'embrasser pour en faites simplement l'effleurer, ce qui le frustrait quelque peu il devait l'avouer mais en lêle temps attisait son envie et lui offrait l'epoir de baisers plus fiévreux et plus réel (si oj puis dire) dans un avenir proche dans un ébats plus chaud et intime, ou du moins c'est ce qu'il espérait de tout son être jusque dans le bout de son membre dur et toujour titiller par la belle insoumise qui d'ailleurs lui murmura, en deux temps distinct:

Très plaisant. Tu pourrais faire un amant parfait.

Mais laisser décider ? Je suis sûr que tu brûles déjà d’envie. Et si je me refusais, hm ? Y as-tu pensé ?

Il posa alors sa main sur sa joue la caressant et caressant ses lévres avec son puce légérement avant de venir les humidifié par un baiser et un rien de langue, il mordilla la lévres inférieur de l'inconnue offerte avant de se glisser dans son cou, la mordillant une fois encore avant de venir lui chuchoter à son tour:

"Je pourrais te forcé... Y as-tu pensé? Et puis..."

Il glissa sa main droite le long du corps de la jeune femme jusqu'à son intimité et la caressa directement sour son vêtement, tout d'abord il l'effleura légrement puis avec plus d'insistance, il observait avec délice les réactions directes de ses caresses sur le visage de son amante... il inséra ensuite un doigt en elle puis deux pour aller et venir en elle alors qu'il la sentait s'humidifier de plus en plus et que l'étreinte de ses jambes semblait s'intensifier pour son plus grand plaisir car ceci augmentait la pression de l'entre-jambe de celle-ci sur son membre. Il continua alors ses murmures sans cesser de la pénétrer avec son index et majeur...:

"Si tu désirais réellement te refuser a moi tu l'aurais déjà fais... en tout cas si tu refuses de continuer je pense que je ne serais pas le seul a en être frustré... a toi de savoir ce que tu désire le plus... si c'est moi alors tu as un membre chaud et dur qui t'es entiérement offert ma belle inconnue."

Quelle saute le pas. Si Opium n’était pas aussi pleine de contradiction, elle aurait déjà succombée à la déferlante qui la faisait doucement tressaillir de l’intérieur. Une mise à l’épreuve personnelle. Un aboutissement qui la continuerait à un plaisir sans retenu. A croire que la belle porte bien son nom. Elle sait pertinemment qu’elle ne lui résistera pas, de toute façon, en aurait-elle envie ? Non, elle le laisserai prendre le pas sur elle. Elle ne pourrait que se plier devant son péché mignon. Doux venin.
Rien que d’y penser, elle s’en sentit un peu plus électrisée. S’accordant parfaitement, la main du samouraï se posa sur sa joue redessinant ses traits pour venir jusqu’à ses lèvres et là aussi s’attardait sur le courbes, laissant naître un sourire enjoué. Juste pour annoncer le baiser qui vint tout de suite. Délicat et délicieux. La créature le laissa descendre peu à peu dans son cou. Elle s’étira à peine sous ses baisers. Son souffle, ses lèvres, l’envie irrésistible de revenir l’embrasser. Luttant presque contre son désir, sa voix vint la ramener vers le petit jeu qu’elle venait de relancer entre eux.

"Je pourrais te forcé... Y as-tu pensé? Et puis..."

Pourquoi ne finit-il pas ? La déception se lut sur son visage. Juste avant de sentir sa main se hasarder un peu plus sur son corps, glissant sur ses flans, ses hanches jusqu’à revenir sur le devant et rejoindre son intimité. A nouveau le sourire revint sur ses lèvres alors qu’il ne semblait pas s’inquiéter de l’étoffe qui couvrait son intimité en passant outre pour venir directement lui prodiguer quelques caresses.
Elle ferma les yeux aussitôt se cambrant à peine sous la surprise surement de le voir aussi entreprenant. La jeune femme inspira lentement cherchant à ne pas se laisser avoir par autant de désir contenu. Non, elle prendrait son temps même si l’envie de le dévorer se faisait de plus en plus pressante. Sans même s’en rendre compte, elle se mordit doucement les lèvres en sentant son intimité investit par ses doigts. Opium devait bien avouer que son égo allait devoir passer en arrière plan.

"Si tu désirais réellement te refuser a moi tu l'aurais déjà fais... en tout cas si tu refuses de continuer je pense que je ne serais pas le seul a en être frustré... a toi de savoir ce que tu désire le plus... si c'est moi alors tu as un membre chaud et dur qui t'es entièrement offert ma belle inconnue."

Sa bouche s’entrouvrit sans qu’aucun son n’en sorte. Elle ne pourrait se résoudre à lui dire combien elle le désire. Bien sur qu’il a raison.
Le priver de ce moment, se serait se confronter au même châtiment.

Une main se posa sur l’avant bras du samouraï, se refermant doucement sur celui-ci avant de le retirer pour poser la main du jeune homme sur sa cuisse. L’étreinte de ses jambes sur son bassin se resserra un peu plus alors qu’elle vint coller son buste à lui. Ses lèvres vinrent dans son cou, sournoise pour qu’il l’entende, tout autant qu’elle l’embrasse.

On dit qu’il n’est jamais trop tard.

Et pour appuyer sa parole elle le mordilla gentiment. Qu’il ne voit pas ici une mise en garde mais plutôt encore une façon de retarder l’inévitable.
Ses baisers remontèrent jusqu’à ses lèvres qu’elle n’embrassa pas. Juste un baiser aux coins de celle-ci, son visage s’éloigna et les prunelles ambrées allèrent chercher le regard de Musashi.
Mais je ne compte pas m’échapper.

La cambrure de ses reins s’accentua alors que ses doigts glissèrent sur sa nuque dans une ultime attente. Sa poitrine vint retrouver le torse du samouraï alors que la démone se pressait à nouveau contre lui.

Prouves-moi que je ne fais pas fausse route.