Un contrat fort peu apprécié [PV Slade]

Astrid ne s'en était jamais caché, elle aimait le sexe. Et alors, quoi ? Son corps était fait ainsi, n'est-ce pas ? Pour réagir à ce genre de traitement délicieux. Il en était de même pour les hommes. Les rendre fou rien qu'en glissant leur sexe entre deux lèvres humides était d'une simplicité enfantine. Si Slade prenait un malin plaisir à dominer ses conquêtes à la force de ce simple membre, il en était de même pour la jolie Princesse qui appréciait grandement ce pouvoir qu'elle avait sur l'homme. Un coup de langue ici, un coup de rein par-là, et elle pouvait rendre fou n'importe quel type. Et elle aimait ça, tout comme elle aimait se faire dominer à son tour. Un jeu auquel elle aimait souvent participer.

Prise dans ce jeu, d'ailleurs, elle s'appliquait néanmoins à la tâche, suçant cette queue avec gourmandise et sensualité. Alors comme ça il aurait voulut s'occuper de son minou en même temps ? La jeune femme s'en amusa. Chaque chose en son temps... il en aurait tout le loisir plus tard. Là, elle se concentrait et profitait du goût de ce sexe...
Il continua cependant à s'occuper de sa poitrine, avec peu de douceur, mais la jolie blonde n'en éprouvait pas moins de plaisir. Ses seins étaient maintenant fièrement dressés, signe qu'elle était excitée.
C'est alors que le chevalier désira maîtriser de lui-même cette petite séance. Il l'agrippa par la nuque, enserrant une poignée de cheveux en même dans dans on poing, et se mit à lui baiser littéralement la bouche.

Astrid ouvrit de grands yeux et poussa un petit cri étouffé de surprise. Heureusement pour la demoiselle, elle avait de la résistance. Et même si la taille impressionnante de ce chibre entrait dans sa gorge avec force et brutalité, à deux doigts de l'étouffer, elle résistait. Ce traitement, même, l'excita. Son intimité, elle le sentait, devenait humide et impatiente.
Puis il cessa, laissant son membre puissant calé dans le fond de sa gorge. La jeune femme eut un mouvement de recule. Oui, elle aurait bien finit par asphyxier ainsi s'il n'avait pas finit par la relâcher. Elle s'empressa donc de se redresser, libérant sa bouche de la présence du monstre et toussa un peu. Tandis que le chevalier complimentait sa gorge, elle sourit, puis se leva pour attraper son verre et boire une gorgée. Ouf ! Ça faisait du bien.

Ainsi debout, elle prenait un malin plaisir à exposer sa croupe aux yeux de son partenaire. Puis elle se retourna.

- Pas tout de suite, mon chou..., minauda t-elle. On a tout notre temps, alors... profitons-en !

Même dans des moments pareils elle aimait faire sa peste. Soudain, ses doigts s'approchèrent du bouchon de la bouteille de vin qui était resté là et donna une pichenette dessus, l'envoyant à terre, non loin devant Slade.

- Oups...

Coquine, elle s'avança, et de dos à l'homme, se pencha et se cambra pour récupérer l'objet. Elle se releva lentement, sensuellement, le laissant observer ses formes à sa guise. Puis elle se tourna de nouveau vers lui, faisant rouler l'objet lentement de son pubis jusqu'à sa mâchoire, passant entre ses seins, puis elle finit par s'en défaire, attrapa un morceau de sa robe, alla bander les yeux du chevalier. Autant s'amuser jusqu'au bout ! Penchée sur lui, elle lui souffla à l'oreille :

- Toi et moi, cette nuit, on va faire des étincelles.

Souriante, elle alla embrasser le cou de Slade, laissant parfois glisser sa langue chaude sur sa peau. Ses mains caressaient sensuellement son dos, son torse, l'intérieure de ses cuisses, effleurant de temps en temps seulement son sexe...
Les yeux bandés, Monsieur n'avait plus qu'à suivre ses autres sens...

Le vin avait son utilité, ça lui évitait d'avoir la gorge sèche et irritée après un traitement brutal de cette sorte. Il eut un petit sourire avant de regarder la jeune femme, les yeux un peu brillants et humides à cause de l'asphixie, et un peu de bave au coin de la lèvre, mais c'était la réaction logique, surtout qu'il y avait eu un magnifique fil de bave entre la verge et la bouche de sa future femme, réaction physique liée au moment où il lui avait baisée la bouche… enfin, il ,n'avait prévenue qu'il était parfois- souvent -  brutal… Il eut un regard amusé alors qu'elle était là, croupe joliment mise en valeur, presque une invitation à la sodomie, il fallait le reconnaître…

Il eut un grand sourire avant de finalement commencer à e lever avant de la voir envoyer valser  le bouchon par terre et se mettre à jouer avec… tout son petit jeu pour exacerber son envie  était plutôt payant, il allait finir par lui sauter dessus…. Il lui sourit et la regarda avant de la voir passer un bandeau sur ses yeux… il était un peu compliqué pour lui de bien réagir ainsi… aimant bien contrôler, c'était difficile pour lui  d'accepter de perdre ce contrôle… et alors qu'elle finissait de lui bander les yeux – il la laissait néanmoins faire, sachant qu'il ferait tout cesser à l'envie.

« Oh, je me doute qu'on va faire des étincelles… la seule chose à prévoir est de bien choisir le lit ou je vais te briser les pattes arrières à coup de rein, car je doute que tu puisses t'en lever avant demain, après ça... »

Il ricana à sa blague avant de lui saisir un poignet  à l'instincte et l'emprisonner dans sa poigne de fer et de glace avant de tâter le canapé de la main jusqu'à trouver un morceau de tissu plutôt long. Et lui faire une légère clé de bras pour lui attacher une main dans le dos et y joindre, de force son autre main pourlui lier les poignets dans le dos… il l'attira à lui. Lui aussi il pouvait jouer à ce genre de jeux…

« Voilà, on va dire que nous sommes  quittes, ainsi ! »

Il eut un petit sourire amusé avant de finalement l'attirer vers lui, et errer sur sa peau, en fonction de ce qu'il reconnaissait de son corps jusqu'à ses lèvres, sans lenteur ni douceur, des baisers et des morsures précises qui laisseraient probablement de légères marques rouges. Il eut un petit sourire amusé avant de finalement se décider à l'embrasser avec fougue….

« Tu m'handicape, je t'handicape, logique... »

Il sourit avant de redescendre et lui mordre un rien bestialement le mamelon et glisser une main entre ses cuisses, impérieux, conquérant. Il sourit en sentant son intimité humidifiée…

« On dirait que tu es prête, mais avant cela, je me suis dit que j'aimerai que tu me donnes du plaisir  avec tes seins… ce doit être tellement bon… ; si c'est pas trop gros pour que tu puisses en faire le tour avec…. »

Il sourit, amusé...

Astrid aimait chercher la petite bête, pousser son partenaire, l'exciter jusqu'à ce qu'il vienne la chercher brutalement. Pourquoi ? Elle n'avait pas de réponse, elle n'y avait jamais réfléchit. C'était son truc, un point c'est tout. Et le fait que Slade soit un peu brutal lui plaisait carrément. C'est comme ça qu'elle aimait coucher. Il fallait que ça bouge. Sans doute parce que ça lui faisait penser à un combat... Allez savoir !
Elle voyait bien que le chevalier s'était légèrement crispé lorsqu'elle lui avait bandé les yeux. Oui... il aimait tout contrôler, elle le savait, et c'était bien pour cette raison qu'elle avait agit un peu, pour titiller son self-contrôle. Amusant, non ? Tout comme les mots qu'ils prononça: choisir un lit pour lui briser les pattes arrière à coup de reins, il disait. Amusant et excitant ! A condition qu'il ne lui brise pas au sens strict du terme. Finir dans un fauteuil roulant à vie, merci bien !

C'est alors qu'il lui saisit les poignets, forçant, l'obligeant à amener ses mains dans le dos pour qu'il puisse l'attacher. Astrid se mit à rire doucement, se laissant faire sans trop se débattre, juste un peu pour la forme. Voilà qui promettait d'être alléchant, n'est-ce pas ? Il l'attira ensuite vers lui, posant ses lèvres et ses dents avec fougue un peu partout sur son visage, son cou, puis ses lèvres. La Princesse rejeta un peu sa tête en arrière, profitant du traitement en soupirant d'aise. Elle lui rendit son baiser avec tout autant d'envie. « Tu m'handicape, je t'handicape ». Évidemment ! Elle sourit de plus belle et lui mordilla gentiment le bout du nez avant de répondre sur un ton lubrique :

- Et j'adore ça...

Il vint lui mordre bestialement le mamelon et elle laissa échapper un doux gémissement qu'elle réitéra lorsqu'il glissa sa main entre ses cuisses. Il exprima ensuite le souhaite qu'elle lui fasse du bien avec sa poitrine. Astrid sourit et s'empressa de revenir s'agenouiller au sol pour glisser son sexe tendu entre ses seins doux et chauds. Elle ne pouvait en faire le tour entièrement, mais pas loin ! Ce serait amplement suffisant. Elle commença alors à le branler de cette manière, encore et encore, avant de donner quelques coups de langues sur son gland lorsque celui-ci s'approchait de sa bouche. Cependant, elle ne le prenait pas en bouche. Pas cette fois.

- Alors, tu aime ça ?

Peu de chance que ce ne soit pas le cas ! Astrid accéléra un tout petit peu le rythme, refermant un peu plus ses seins pour presser sur le sexe de Slade.

Beaucoup parlaient de joutes amoureuses… Slade était d'accord avec cel…. Il n'y avait jamais vraiment d'égalité, mais toujours un vainqueur, et un perdant. OU du moins, dans le cas de la joute amoureuse un dominénant et un dominé. Et Slade avait tendance à souvent rechercher la dominance. Cette histoire ne mettait pas un terme à la notion de respect, elle mettat juste en place une hiérarchie, une forme d'ordre, l'un y gagnait l'autorité et l'autre gagnait le besoin de la respecter… l'un contrôlait, et l'autre était contrôlé… et Slade était quelqu'un qui avait besoin d'ordonner, de contrôler. C'était plus fort que lui, plus puissant que ses instincts habituels. Il eut un soupire… il n'aimait pas avoir les yeux bandés, mais bon, elle avait les mains attachées solidement dans le dos. Donc d'une certaine manière, on pouvait dire que c'était un donné pour un rendu, non ? Petit sourire. C'était vrai que cela mettait beaucoup de piment dans la situation, lui qui ne pouvait voir ce qu'elle se préparait à faire, et elle qui ne pouvait pas intervenir seule…

« Oh, vraiment, tu adores être ainsi attachée ? »

Il sourit en l'entendant gémir sous l'assaut de ses dents, qui laisseraient probablement une petite marque autour de sa pointe de chair qui disparaîtrait sans doute dans  une heure ou deux. Oui, il ne comptait pas lui laisser de marques comme ça, pas pour l'instant du moins. Il n'en avait ni l'envie ni l'idée… alors à quoi bon ? Il continuait à jouer avec son corps, avec les sensibilités de la jeune femme jusqu'à ce qu'elle accède à son envie, se plaçant, il s'en doutait, de façon à ce qu'il sente sa verge glisser entre les globes de chair de la jeune femme. Il étendit les mains et lui saisit la poitrine qu'il comprima autour de la verge. Elle n'en faisait pas le tour. Il retint un commentaire sur son manque de poitrine, d'abord pour ne pas la vexer et ensuite parce que ce n'était pas nécessaire de pouvoir en faire le tour pour qu'il apprécie le traitement. Elle avait une poitrine douce et agréable. Autant en profiter.

Il lui flatta la joue alors qu'elle le laissait plus ou moins maître des choses. Il lui sourit sans la regarder- comment aurait-il pu ? – alors que ses mains, pressées avec force sur sa poitrine. Il maintenanit ainsi le carcan de chair et elle se chargeait de bouger, quoiqu'il s'amusât par moment à donner quelques coups de reins plus ou moins brutaux, finissant par lâcher les seins pour la tenir par les mamelons. Tirant dessus pour maintenir ses chairs mammaires autour de son vit, serrant davantage alors qu'elle léchai le gland quand elle pouvait…. C'était délicieux… délicieusement délicieux, il en eut plusieurs froissons qui se passèrent de commentaire et il ne répondit pas.

Il cessa néanmoins avant une première jouissance pour la simple et bonne raison qu'il n'avait aucune intention de souiller dès le début so visage… il n'aurait plus envie de lui rouler galoches sur galoches alors ! Il sourit et avec fermeté, il lui saisit les épaules et la redressa avant de la pousser en avant, jusu'à la table basse, il connaissait les lieux par cœur., la forçant à y poser son bassin en appuyant tant sur sa nuque qu'au creux de ses reins...

« Bon, et bien maintenant o va voir ce que tu peux encaisser… si tu peux tenir le coup... »

Il ricana, mais sans méchanceté, c'était un petit défi, un challenge… il la tenait toujours avec cette main calme mais forte qui appuyait sur ses reins…. Son autre main glissait sur sa croupe, caressant l'infime cicatrice invisible à qui ne la sachait pas présente à cet endroit là. Il eut un petit sourire avant de finalement lui faire un léger sourire, se pencher sur elle et lui mordiller la nuque, ses doigts errant de sa rosette à ses grandes lèvres humides dans lesquelles il entrait parfois sans ménagement. Comme s'il la possédait déjà.

« Bon, ton cul ou ton minou ? »

Il eut un nouveau rire taquin avant de s'agenouiller derrière elle et se mettre à attaquer ses lèvres intimes comme il avait attaqué sa poitrine. A coup de dents, de langue,  de lèvres, parfois il remontrait lui cracher sur le petit trou, comme pour préparer les deux  à son passage… il avait lâché ses reins pour lui agripper les cuisses pour l'empêcher de les bouger…

« Regarde comme tu mouilles, on a l'impression que tu n'attends que la suite... »

Oh qu'il aimerait qu'elle lutte, qu'elle se débatte, qu'ils luttent…. Ça aurait peut être l'air d'un viol vu de l'extérieur, mais ça n'en serait pas un…. Et puis, reconnaissez que e serait sans doute  tellement plus agréable, non ?

Le traitement du sexe entre ses deux seins était divin, et cela l'excitait. Il l'aidait de ses mains, faisant aller et venir son chibre à l'ai de coups de reins qui ravissait la demoiselle. Ses joues rougissait légèrement preuve que la température de son corps grimpait petit à petit. Elle se mordillait la lèvre, observant le membre viril qui disparaissait presque entre ses deux monceaux de chair tendre. Il prit alors le bout de ses mamelons pour continuer sa tâche, ce qui eut pour effet comme un choc électrique délicieux chez la demoiselle. Elle gémit, sentant ses mamelons durcir encore sous les doigts arrogants du chevalier. Puis elle continua de le lécher un peu, pour l'exciter davantage. Il aimait ça, ça ne faisait aucun doute et pourtant, il ne lui répondit pas. Elle n'en prit pas ombrage, se contentant de profiter de ce qui se passait.
Puis, soudain il l'attrapa par les épaules pour la redresser et la pousser vers une table basse, l'obligeant à se plaquer contre celle-ci. La prise qu'il avait sur sa nuque et ses reins étaient suffisamment puissant s pour qu'elle ne puisse bouger. Et pourtant, elle aurait aimé le faire. Cette position était un peu inconfortable, et elle aurait aimé continuer à avoir le dessus encore un peu, pouvoir le taquiner encore... et voilà qu'il gâchait son plaisir !

L'homme voulait passez à quelque chose d'un peu plus sérieux venant tour à tour caresser son anus, puis son intimité avec ses doigts tout en mordillant sa nuque. Astrid eut un frisson, et une grimace. Quoi ? Il hésitait entre sa chatte et son cul ?! La jeune femme grimaça et fronça les sourcils. Pas question qu'il passe par-là, ça non ! Personne n'avait jamais osé la sodomiser, et pour cause, cet endroit était interdit !
Elle voulut bouger, mais Slade se mit soudain s’acharner avec sa langue et ses dents sur son intimité. Astrid rougit franchement lorsqu'elle sentit qu'il crachait sur son petit trou rose. Alors il avait vraiment l'intention de faire ça ?! Elle poussa un gémissement, à mi-chemin entre le plaisir qu'elle ressentait et la colère alors qu'il observait avec justesse qu'elle mouillait. Oui, elle s'était en effet attendue avec impatience à une suite... mais n'avait pas envisagé qu'il veuille s'en prendre à son cul !
Astrid se mit à gesticuler. Pas facile de se libérer avec la force du chevalier sur ses cuisses et les mains attachées dans le dos !

- Ah non ! Pas question que tu mette ton machin dans mon cul ! Je suis une Princesse, pas une catin !

Il n'y avait que ce genre de salope pour aimer ça, pas vrai ? Elle tenta de le frapper à coup de pieds, mais rata sa cible plusieurs fois. Étalée ainsi à moitié sur la table, le cul en l'air, ce n'était pas bien pratique de viser. Elle grogna de rage en se tortillant.

- T'entends ?! Lâches-moi !

Ah, elle faisait moins la maligne, maintenant, c'est clair ! Si elle savait qu'elle faisait exactement ce qu'il avait envie qu'elle fasse... elle se serait peut-être abstenue.

Il n'avait pas l'intention de la  ménager. Il sourit et hésita à retirer son bandeau… il avait repris le contrôle… alors pourquoi l'enlever ? Il eut un petit sourire avant de finalement se dkre qu'après tout, ainsi, il aurait l'excuse qu'il ne verrait rien… il eut un un nouveau sourire alors qu'il continuait à jouer avec son intimité, venant masser son petit trou alors qu'elle se mettait à protester… une princesse, donc elle ne se faisait pas enculer…. Et bien elle y passerait, nul doute là dessus… mais en même temps, elle avait tout fait pour l'inciter à jouer. Il lui sourit avant de continuer aini jusqu'à estimer le tout bien près, malgré ses protestation…

« Allons, tu vas adorer je te jure ! »

Il éclata d'un ricanement alors qu'il  appuyait son pouce contre son fondement  jusqu'à l'y faire entrer en continuant de faire jouer le reste de la main sur son intimité, y faisant entrer ses doigts ave de la douceur et en me temps, de sa fermeté. Il eut un nouveau sourire avant de se pencher sur elle  et lui mordiller le dos, les omoplates et autres. Il  la maintenait contre la table en jouant avec elle ainsi qu'elle se débattait…. Il retira ses doigts d'elle, de ses deux orifices pour se décider à jouer autrement…

« Une queue comme celle là dans ton cul, je peux te jure que tu en redemanderas ! »

Il approcha sa verge de son derrière et frotta celle-ci le long de la raie de ses fesses avec lenteur et amusement en la sentant se prendre  au jeu.. elle avait encore beaucoup d'énergie dites donc !  Il eut un petit sourire… elle allait adorer… elle l'avait réclamé un peu, non ? Il  lui mordilla la peau du cou, lui laissant un léger suçon avant de la saisir avec fermeté par les épaules et la retourners sur le dos pour se pencher et dévorer ses chairs mammaires avec sauvagerie, laissant de petites rougeurs sur son corps là où il jouait avecelle avant de finalement laisser glisser les mains jusqu'aà ses cuisses, ses fesses qu'il saisit, écarta bien… et présenta son gland contre son entrée « intrdite » et il lui lança alors :

« Je sais c'est gros, mais tu connais la musique, non ? »

Il sourit et força un peu alors que son derrière opposait une sacrée résistance, elle cherchait à résister et en plus son énorme sexe semblait ne pas vouloir rentrer …. enfn, après un effort, ce fut son gland qui fut en elle avant de commencer à pousser davantage, très lentement… c'était si serré… au fond, c'était tetre bien sa première sodomie… il sourit alors qu'il difficulté il venait chercher à aller plus loin, un peu brusque, mais il se contenait…

« Putain c'est bon ! T'es serrée comme c'est pas permis ! »

Il sourit en venant l'embrasser avec fougue, lui mordant la lèvre avant de commencer des vas et viens dans son derrière. C'était plus que laborieux, mais il s'imposait, ainsi, face à elle. Hors qde question de la prendre par derrière… après tout, elle ne pouvait pas riposter en face à face… si ? Il lui mordilla le cou et la joue encore en la tenant toujours par les fesses… peu à peu alors qu'il arrivait à s'aménager un chemin, aussi difficile que ce soit...

Astrid s'était mise à forcer sur le tissu qui entravait ses mains. Mais il avait bien serré le bougre ! Peu importe la manière dont elle s'y prenait, à part maltraiter sa jolie peau, elle ne parvenait à rien ! Et voilà que Slade prétendait qu'elle allait adore ça ! La jolie blonde en doutait fortement et grogna, tirant encore et encore sur ses liens improvisés. Elle protesta de plus belle lorsqu'elle sentit le pouce du chevalier dans son fondement. Elle rougit de colère et de gêne en se crispant. Argh ! Ça ne présageait rien de bon, vraiment. La traiter ainsi, quel toupet ! Il avait beau également s'occuper de son intimité, la jeune femme était tellement tendue qu'elle ne parvenait même plus à savoir si elle éprouvait du plaisir ou non. Plaquée contre la table, les mains attachées, il lui était difficile de se débattre, surtout qu'il se penchait sur elle et mettait tout son poids sur son dos ! Elle avait beau être une guerrière et avoir de la ressource, là, elle n'arrivait pas à grand chose.

Il pensait, en plus, qu'elle en redemanderait ?! Astrid gesticula et cracha d'un ton mauvais :

- Tss... rêves !

Non, elle ne se voyait pas faire ça. Pour elle, la sodomie était douloureuse et humiliante ! Surtout pour une Princesse comme elle. Elle sentit alors le sexe tendu de l'homme se frotter contre ses fesses et elle se crispa de nouveau, se mettant à gesticuler de plus belle. Il lui fit de nouveau un suçon, puis l'agrippa par les épaules pour le retourner. Astrid tenta bien de s'extirper de ses pattes, mais sans succès. Merde ! Elle fut plaquée sur le dos cette fois, écrasant ses mains et ses bras de son propre poids. Et ce n'était pas confortable du tout ! Il se mit à attaquer ses seins avec avidité. Le souffle court, la jeune femme sentait venir le moment fatidique... qui ne tarda pas malheureusement. Il écarta ses fesses avec ses mains puissantes, avant de commencer à forcer.

La jolie blonde poussa un petit cri interloquée, rougissant de plus belle. Instinctivement, elle serra les fesses aussi fort que possible, imaginant ainsi empêcher Slade de parvenir à ses fins.

- Je... j'ai dit non ! Arrête !

Mais elle aurait mieux fait de se laisser faire. Plus elle forçait, plus le chevalier faisait de même, et plus la progression du membre en elle était douloureux ! Il n'était pas encore rentré entièrement en elle, au contraire, mais c'était déjà très difficile pour elle ! Souffrante, elle gémit alors qu'il la brusquait, se forçant son passage avec brutalité. Oui c'était serré ! Et pour cause, elle continuait obstinément à serrer ses fesses musclées par l'entraînement.
Il plaqua ses lèvres sur les siennes, maintenant puissamment ses fesses entre ses mains, et plus il tentait des vas et viens, plus son membre s'enfonçait en elle sans qu'elle ne puisse rien faire.

- Ah... aaah... Slade... tu me fait mal !

Elle grimaçait tandis qu'il la pénétrait maintenant avec plus de facilité. Ce n'était pas aussi désagréable qu'elle se l'était imaginée, mais ça n'avait rien de jouissif non plus ! C'était douloureux, et à chaque coup de rein, elle avait l'impression qu'il la remplissait presque jusque dans ses tripes.
Puis, finalement, hargneuse, elle referma ses dents sur l'oreille de Slade comme une sauvage, ne cherchant pas à la lui arracher, heureusement pour lui, mais à le mettre en garde. S'il continuait, elle allait véritablement se fâcher !!

Consentante ou pas, c'était une chose. Le plaisir en était une autre, et là, dans ce derrière si serré qu'il devait subir sa première sodomie, ce ne pouvait pas être plus serré… chaque mouvement était laborieux, était difficile, mais qu'importe en fait en y réfléchissant. Il adorait ça et si c'était douloureux pour le moment, le plaisir viendrait. Il finissait toujours par venir ! Il lui fit un petit sourire avant de se continuer ses actions malgré ses protestations… q il avait une certaine habituede du ciomportement féminin, et le déni n'était que la première étape….

Elle suppliait presque d'arrêter  mai il en était hors de question. Il eut un léger sourire avant de finalement lui sourire et lui susurrer  dans le creux de l'oreille, sur un ton suave et plein de miel au rythme de ses coups de boutoir qui se faisaient de plus en plus envahissants, de plus en plus puissants, aussi, en même temps…

« Non, je n'arrêterai pas…. C’est déjà trop tard ma belle, alors détends toi, et tu verras, ça passera crème... »

Il eut un petit sourire alors qu'il continuait à couvrir son corps d'attentions avec soin et avec  fougue alors que la jeune femme subissait ses assauts… il sentait son corps se raidir, elle herchait à éviter tout changement dans la pénétration, car il sentait son petit trou se serrer alor qu'il continuait ses mouvements de rein de plus en plus secs et brutaux.

« Tu ne comprends rien… si tu ne te détends pas, si tu ne te laisse pas faire, tu aura stoujours pas… laisse toi aller et tu vas adorer, ma belle ! »

Il lui mordilla le lobe de l'oreille alors qu'elle  continuait à tenter de se défaire de lui…

« Plus tu vas te débattre, plus ça va être pénible…. Si tu cesses e forcer, alors tu verras, tu commenceras à aim... »

Il se tut, elle venait de lui saisir l'oreille entre ses dents. Il fallait un sacré culot pour oser faire ça… il eut un léger sourire avant de finalement enfoncer deux doigts en elle sans réelle douceur. Mais bon, qu'importe ! Qu'elle morde son oreille, elle se ferait mal aux dents bien avant qu'il n'ait lui même mal… le svaait-elle au moins ? Il eut un petit sourire amusé.

« Mords si ça te détend, mais tu vas te blesser toute seule...

Il resta fiché en elle, sans bouger.

Au moment même où Astrid referma ses dents sur l'oreille du chevalier, elle comprit que c'était stupide. Avait-elle déjà oublié que cet homme n'en était pas vraiment un ? Oui, il n'était pas seulement humain, il avait autre chose, c'était un chevalier de l'hiver et sa Reine lui avait octroyé des pouvoirs, des dons. Elle, en revanche, n'était qu'une simple humaine faîtes de chair avec pour seules armes ses ongles et ses dents. Or, voilà, elles ne lui étaient d'aucun secours face à lui. Elle n'avait déjà pas pu le toucher avec son épée, alors qu'est-ce qu'elle espérait au juste ?
Slade savait très bien ce qu'il faisait, et il savait aussi pertinemment qu'elle n'avait aucune chance de faire quoi que ce soit, à part de se laisser faire. Mais la bougresse n'avait pas envie d'abandonner comme ça ! Il semblait sûr de lui, persuadé qu'elle allait céder et adorer ça. Astrid n'avait pas envie de lui donner raison, sa fierté l'en empêchait.
Elle avait toujours été extrêmement têtue comme fille, vraiment ! Ses parents, ses précepteurs, ses nourrices et ses servantes s'en étaient maintes fois arrachés les cheveux depuis qu'elle était née.

Cependant, elle devait bien admettre qu'il avait raison. Plus elle se débattait, plus c'était désagréable pour elle. Tiraillée entre sa fierté et sa conscience, la jeune femme, le souffle court, fixait Slade avec froideur sans plus savoir ce qu'elle devait faire exactement. Il avait violemment pénétré deux doigts en elle, lui faisant échapper un gémissement. Il s'était figé, rendant la chose d'autant plus agaçante et frustrante pour la demoiselle dans le cœur battait fortement contre sa poitrine. Son sang pulsait violemment dans ses veines, et au bout d'un moment, elle poussa un grognement de colère.

- Très bien. Alors défonces-moi le cul, si ça te chante, mais je te préviens. Tu as VRAIMENT intérêt à faire en sorte ce que j'aime ça.

Sinon quoi ? Peu importe ! Elle avait finalement décidé de capituler. Elle n'avait pas vraiment eu le choix. La gorge nouée, encore honteuse de s'être laissée avoir aussi facilement, elle finit par se détendre et à cesser de serrer les fesses, ouvrant même un peu d'avantage ses cuisses. Puis elle inspira un bon coup, priant pour que ce soit pas trop insoutenable.

Slade finit par reprendre ses vas et viens. Et bien sûr, même si cette entrée de la jeune femme restait extrêmement étroite, il lui fut bien plus facile de la pénétrer ainsi. Astrid pouvait sentir le membre dur entrer plus profondément encore en elle, glissant avec moins de difficulté. Elle avait un peu moins mal, mais elle était toujours tendue et nerveuse.
Et voilà, petit à petit, elle ne ressentait plus la même douleur. C'était toujours un douloureux quand même, mais cela devenait largement supportable. Pire encore, elle commença à réaliser... que c'était agréable. Elle en rougit, tandis qu'il continuait à la prendre à coup de reins dans son fondement. Elle soupirait sous l'effort, essayant tant bien que mal de garder un peu d'honneur en essayant de ne pas laisser son corps s'exprimer comme il en avait envie. Car, malheureusement, il avait raison, elle commençait à apprécier.

Son intimité mouillait de plus en plus, laissant parfois couler un peu de fluide jusqu'au sexe de Slade et son fondement, facilitant encore davantage son passage. Astrid se mordit les lèvres lorsqu'elle faillit laisser échapper un gémissement de plaisir. Plus il entrait profondément, plus elle sentait qu'elle perdait la bataille. Au bout d'un moment, elle ne put plus luter. Le sexe imposant du chevalier était si gros et si processif, qu'elle finit par devoir admettre que cela lui faisait beaucoup de bien. Elle se mit à gémir, de plus en plus, se cambrant un peu. Il avait encore gagné !

Oui, Astrid avait été bien naive de lui mordre l'oreille... quoique... en fait les morsures durant l'acte avaient un certain charme et il pouvait aoucir sa teneur en carbone pour qu'elle puisse le mordre un peu.. mais de quoi le blesser, faire un petitpeu mal... il eut un léger sourire accompagné d'un clin d'oeil amusé alors que finalement elle relâchait l'oreille en gémisant sous les attaques intimes de ses doigts inquisiteurs... impérieux, il fouillait son intimité, il fouillait son corps et essayait de découvrir chaque zone ensible, chaqu endroit qui la ferait gémir plus fort. Plus encore, il essayait même parfois d'utiliser un peu ses ongles pour jouer sur son corps, et même dans son corps, laissant glisser, comme des griffures imaginaires, ses ongles contre ses parois internes, un jeu parfois douloureux, parfois payant...

Finalement, elle capitulait, elle se rendait... alors il se pencha sur elle, glissant ses mains sur ses reins sans reprendre ses mouvements. Il venait saisir ses mains et arracher leur entrave pour qu'elle ait de nouveau l'usage de ses bras si elle désirait se cramponner, parce qu'il ne s'était jamais agi d'autre chose que de la mise en bouche. IL eut un sourire carnassier alors qu'elle admettait oralement qu'elle capitulait. Et une légère menace avec ça… et quelle menace inutile ! Il comptait bien la faire couiner, et sans doute même gueuler un peu -de plaisir cela va de soi – il fallait juste que la douleur passe…

« T'inquiète, chérie, je sais ce que je fais... »

Il lui sourit et alors qu'il venait l'embrasser, il  l'enlaçait et venait la relever contre lui avait de  la plaquer contre le mur le plus proche, dos à lui, et il se représentait vers son petit trou joliment dilaté par son précédent passage… il  laissa glisser sa verge contre l'humidité de son entrecuisse avant de se précipité contre sa rosette et y entrer avec brutalité, sans la moindre douceur, et commencer ses mouvements de reins, elle parlait de lui défoncer le cul, soit !

« Voilà ce que j'appelle défoncer un cul, ma belle... »

Il lui saisit son sein d'une main, l'autre venant la plaquer davantage contre la paroi de glace, une glace qui était certes froide, mais pas autant que celuiui qui s'employait à soulager ses envies…. Cette main glissa bientôt entre ses cuisses, dont il reprit la fouille intensive.

Dieu merci, Slade avait finit tout de même par lui détacher les liens qui entravaient ses mains. Et ce n'était pas du luxe ! Car elle commençait à souffrir ainsi d'avoir les bras dans le dos écrasés sous son propre poids.
Astrid ne doutait pas une seule seconde qu'il sache ce qu'il faisait... après tout, tout ceci était calculé, elle le savait. Il était sans doute bien mieux placé qu'elle pour savoir si ce genre de chose était plaisant pour une femme ou pas. Il avait déjà du l'expérimenter, ce qui n'était absolument pas le cas de cette blonde délicate.

Il l'embrassa, soudain, et se débrouilla pour venir la plaquer face contre un mur. Astrid y posa ses mains, grimaçant, encore un peu douteuse. Elle put sentir sa verge contre son intimité, et elle s'attendait en effet à ce qu'il la pénètre de nouveau pas son fondement. Mais peut-être pas aussi brutalement, ce qui expliqua sans doute son cri de surprise et de douleur. En effet, il lui défonçait littéralement le cul. Et si cela se trouvait être particulièrement désagréable les premières minutes, cela devint rapidement bon. Bien malgré elle !

Astrid finit donc pas se détendre et lâcher la bride, finissant alors par aimer cela, oui, se mettant à gémir sous les assauts brutaux de son partenaire. Le souffle court, elle se mordilla la lèvre doucement, laissant échapper petit à petit des gémissements et des cris toujours un peu plus bruyant.

- Aaah... Slade... t'arrête surtout pas !

Elle avait complètement changé de discours, décidément ! Cambrée, elle ne pouvait qu'apprécier d'avantage les coups de reins du chevalier et couiner encore de plaisir. Tant et si bien qu'à son plus grand étonnement, elle sentit son corps s'embraser. Merde ! Elle allait jouir, là ?! Rougissant subitement, elle tenta de retenir l'orgasme qui pointait.
Mais elle avait beau lutter, son orgasme éclata, la faisant crier de plaisir... au moment même où la porte s'ouvrait brutalement.

Astrid sursauta. Jubal avança d'un pas, passant l'encadrement de la porte. Sur son visage, on pouvait lire un mélange de rage, de mépris et de peine. Ses poings fermés tremblaient de colère tandis qu'il était figé face à cette seine terrible. La jeune femme jeta un regard derrière son épaule et fronça les sourcils. Bon sang, qu'est-ce qu'il fichait là ?! Pourquoi était-il rentré sans prévenir à ce moment précis ? Astrid repoussa Slade et se tourna vers lui.

- Jubal ? Merde, tu pourrais frapper avant d'entrer !!

Le jeune homme lui jeta un regard froid, et leva la main... pour frapper trois coup contre la porte. Une pure provocation, de sa part qui laissa la demoiselle muette. Il s'avança alors encore un peu la regardant toujours.

- J'étais venu voir si tout allait bien. Visiblement tu t'éclate, petite sœur. Et vous !

Il se tourna subitement en direction de Slade. Son visage exprimait désormais a rage et la colère. Il devait certainement lutter pour ne pas lui sauter immédiatement à la gorge.

- Co... comment osez-vous salir la plus belle fleur des Winterfell ! Vous n'êtes pas digne de...
- Arrête, Jubal ! C'est mon futur époux, non ? S'exclama la jolie blonde.
- JE NE LE SUPPORTERAIT PAS !! Se mit à hurler le jeune homme, faisant sursauter de nouveau sa sœur, étonnée. Tu avais raison depuis le début, Astrid, ce n'est qu'un putain de contrat, ils ont pas le droit de te forcer. Je... je ne peux pas te laisser gâcher ta vie en t'unissant à cet... à ce chevalier de pacotille. Tu mérites tellement mieux...

Astrid était soufflée. Elle s'approcha un peu de lui.

- Comme qui ?
- Astrid... tu...
- Non, je veux te l'entendre dire, le coupa t-elle.

Il y eu un silence gênant. Très gênant même, alors qu'elle attendait, nue et immobile entre les deux hommes. Jubal posa son regard d'elle à Slade, puis de Slade à elle, avant de lâcher :

- Tu ignores tout de ce que je suis prêt à faire pour toi, Astrid... C'est à moi de veiller sur toi. A moi de te protéger. Je suis ton grand frère.

Il n'avait pas donné de vraie réponse, il avait contourné la question. Mais Astrid, les yeux brillants et humides, ne savait même plus quoi dire...

Son comportement avait changé du tout au tout, on était passé de la jeune femme qui voulait que tout arrête à celle qui réclamait que cela continue… une femme qui en redemandait…. Oui, prévisible, il le lui avait dit, non ? Petit sourire amusé alors qu'il la pilonnait avec violence. Oui, il avait entendu son cri de douleur, mais plus encore, il avait entendu ceux-ci se changer en gémissements de plaisir, puis, comme il l'avait voulu en couinement et enfin en cris de plaisir… il le savait et il le lui avait dit, non ? Elle allait adorer… et elle adorait, au final. Il ne put s'empêcher de sourire, de rire légèrement, même entre deux coups de reins, entre deux râles de plaisir.

Avec le fait qu'elle se détendait, il sentait le fondement de la jeune femme prendre peu à peu la forme de sa verge, comme pour lui offrir plus de plaisir, chose qui se passait de facto. Et alors qu'il continuait ses violent mouvements, il la vit, non, plutôt il la sentit se tendre, se tendre jusqu'à ce qu'il ne puisse qu'entendr ela juissance de la jeune femme, la jouissance qu'elle lui offrait, celle qu'elle n'avait jamais offert à personne d'autre avant lui et qu'elle n'offrirait, osait-il le penser, à personne d'autre…

Peut être avait-il tort de penser à cela ainsi, mais d'une certaine manière, il avait l’impression de l'avoir complètement possédée en la prenant insi, guère plus doucement que si elle vait été un sac à foutre. La différence était qu'il n'avait pas joui. Elle, si. Mais la réprocité viendrait…. C'était ce qu'il pensait, mais il avait apparemment tort, en effet, elle avait entendu au même titre que lui le bruit de la porte qui claque. Quelqu'un était entré. Et elle sut avant lui…

Il SE laisa repousser alor que nue, elle s'adressait à on frère. Après coup, pas trop difficile de marcher ou de se tenir debout ? Il n'y était pas allé avec le dos de la main morte… il eut un petit sourire avant de les écouter… ou du moins écouter les récrimination de cette midinette qui servait de frère à sa pensée. Il lui lança un regard glacial et venant de Slade, cela voulait dire beaucoup. Il ne put s'empêcher alors de s'approcher, lui aussi, alors qu'Astrid mettait les choses au clair avec lui…

Avec sarcasme il se mit à applaudir, lentement, comme pour faire remarquer qu'il ne goûtait au spectacle qu'avec une bonne dose de sarcasme. Il prit enfin la parole sur un ton railleur, moqueur et peu aimable, on sentait poindre une forme d'agacement. De olère aussi ? Peut être ! Il ne put s’empêche d'indiquer les sièges disponibles aux deux personnes. Il avait encore la queue luisante joliment dressée devant lui.

« Prince Jubal je crains que nous ne partions du mauvais côté, maintenant, venez vous asseoir, toi aussi Astrid, s'il te plait. Je crois que la conversation de demain va être avancée à tout de suite...  alors asseyez vous, ce sera plus simple je pense… voilà comment ça va se passer. Primo, prince Jubal, parce que vous l'avez dit sous le coup e la colère, je pase l'éponge sur votre insulte… mais la prochaine sera la dernière. Je ne suis renommé ni pour ma tolérance, ni pour ma pitié… alors quand je vous dit qu'à la prochaine insulte je brose tous les doigts et que je vous arrache la langue, je ne mens pas. Si le pacte doit tombe rà l'eau pour que j'obtienne légitime réparation, alors soit. Mais je crois qu'Hamilcar a trop besoin que je fasse cesser la tempête pour rompre le pacte avec ces blessures légères... »

Il se servit un verre de vin, mais n'en proposa qu'à astrii. Pui il but une gorgée avant de rajouter sur un ton plus courtois.

« Ensuite, quant à souiller ou profaner le corps de votre sœur, je ne l'ai pas fait contre sa volonté à ma connaissance… d'autant plus qu'elle a aimé cela… alors je vais aussi oublier cela, d'autant que parler de souillure quand on ne rêve que d'inceste est un concept qui est des plus amusants je trouve… je l'i dit à votre sœur vos regards ne m'ont pas échappé, et si votre sœur n'y croit pas, moi je sais ce que je vois, alors pour cette peine, les coutumes locales voudrait que je vous arrache les yeux avant de vous les faire manger. Je ne le fais pas, remerciez ma clémence… ce serait la moindre des choses. »

Enfin, il conclut.

« Au moindre faux pas soyez heureux de n'être que banni, maintenant si vous voulez absolument faire quelque chose, alors soit, moi aussi je vais donner un avvertissement... »

Des repli du canapé, il sortit un petit couteau qu'il employa pour clouer la main de jubal à la table à une vitesse foudroyante avant de tourner la lame sur elle-même, jusqu'à ce qu'il hurle. UN bon signal qu'il était temps de se reprendre, non ?

Astrid était un peu bouleversée. Comprenons-là, elle venait de prendre un véritable ascenseur émotionnel ! Une minute plus tôt, elle jouissait des coups de reins de Slade donné dans son fondement, et soudain, elle se faisait surprendre par son frère dont les mots raisonnaient étrangement. Il était en colère, peut-être contre elle, mais surtout contre le chevalier. Elle se demandait d'où lui venait tant de haine envers cet homme sensé devenir son époux. Certes, il l'avait battue au combat, mais ce n'était tout de même pas si grave ! Cela ne justifiait pas cette animosité si forte ! Jubal avait toujours été très proche d'elle, et très protecteur aussi, cela avait toujours été ainsi. Il était son grand frère, c'est vrai, mais étais-ce la seule explication ? Au fond d'elle, la jeune femme savait pertinemment pourquoi il agissait ainsi. Elle refusait simplement de voir la vérité en face. Parce que ce n'était pas bien ? Parce qu'elle ne pensait pas que ces sentiments étaient réciproque ? Et parce qu'elle ne voulait pas lui faire de peine ? Oui, sans doute un peu de tout cela.

Slade se mit à applaudir, comme quelqu'un qui vient d'assister à une scène amusante, mais agaçante. Jubal tourna son regard froid dans sa direction. Le chevalier le mit alors en garde, son comportement lui avait véritablement déplu et ça pouvait se comprendre. Il les invita à s’asseoir, ce que fit Astrid, silencieuse, bien trop pensive pour penser à cacher sa nudité. Jubal, lui, hésita, restant debout quelques secondes avant de finalement opter pour s'installer non loin de sa sœur. Slade, malgré son ton posé, était menaçant. L'affront du jeune prince l'avait mit en colère et il était même prêt à mettre ce contrat de mariage en danger pour réparer cela. Cependant, il avait peut-être raison. Leur famille avait trop besoin de leur aide pour faire cesser cette tempête...

Slade se servit un verre de vin, puis en remplit un deuxième pour Astrid, oubliant certainement volontairement d'en offrir à Jubal qui ne nota pas vraiment la provocation. La jolie blonde, elle, s'empressa d'en prendre une gorgée pour tenter de masquer son anxiété. Surtout lorsque l'homme commença à parler de leur petite partie de jambe en l'air. Astrid sentit Jubal se crisper encore davantage. Il n'allait pas tarder à perdre le contrôle... Inceste... il avait dit inceste. La Princesse ferma doucement les yeux, puis regarda son frère. Il tentait de garder contenance, ne quittant pas le chevalier des yeux. Puis tout alla très vite. D'un seul coup, Slade vint planter un couteau dans la main de Jubal, tournant alors la lame dans la chair. Le jeune prince poussa un hurlement, tirant une grimace qui illustrait là la douleur qu'il ressentait. Astrid ouvrit de grands yeux horrifiés et se jeta sur son frère.

- Jubal ! Mon Dieu ! Slade, tu es complètement fou !

La jeune femme était atterrée, regardant le sang couler sur la table avec effroi. La mâchoire serrée, son frère la fixait aussi, immobile, quoique toujours un peu tremblant. Étais-ce de la douleur ou de la colère ? Un peu des deux. Il prit cependant sur lui et siffla :

- Vous vous méprenez, chevalier de l'hiver. S'il y a bien une chose que mon père déteste par dessus tout, c'est que l'on touche à ses enfants. Heureusement pour vous... je ne suis pas de ceux qui vont pleurer dans les jupons de leur mère pour si peu.

Sa voix tremblait elle aussi légèrement. Il redressa la tête, fixant Slade d'un air étonnement calme maintenant, et lança à l'intention de sa sœur.

- Tu ferais mieux de reculer, Astrid.
- Quoi ? Jubal qu'est-ce que...
- Recules, répéta t-il d'un ton plus ferme.

La jeune femme s’exécuta, se levant du canapé. Elle savait que son frère n'allait pas accepter ça, elle savait qu'il voulait s'en prendre à Slade, mais elle avait peur, car elle savait de quoi était capable son futur époux. Jubal allait-il risquer lui aussi de faire tout capoter, laissant ainsi leur pile à la merci de cette tempête ? Ça ne le ressemblait pas.
Jubal leva sa main valide et agrippa fermement celui de Slade qui tenait le couteau. A cet instant, l'air sembla se charger d'une énergie étrange, un vent se leva même d'on ne sait où, faisant voler les cheveux d'Astrid qui regardait autour d'elle sans comprendre ce qui se passait. Abasourdie, elle vit alors une étrange aura rougeâtre émaner de son frère dont le regard avait changé... un regard qu'elle ne lui avait jamais connu. Il ouvrit la bouche, mais ce fut une voix rauque et caverneuse qui en sortie, et non la voix douce de son frère.

- Vous avez la chance d'avoir obtenu les pouvoirs de votre Reine, Chevalier. Mais vous n'êtes pas le seul, ici, à qui on a offert la puissance.

Un rictus se forma sur ses lèvres et soudain, avec une force incroyable, il arracha le couteau de sa main et se libéra. Une lumière rouge extrêmement aveuglante éclata alors, obligeant Astrid à se protéger les yeux. Et lorsqu'elle les rouvrit, ce n'était plus le Jubal qu'elle connaissait. Il avait... changé. Mais d'où lui venait cette puissance ?! Elle ne comprenait pas.

- Jubal...
- Je te l'ai dit, petite sœur. Je suis prêt à tout pour te protéger. Même si cela signifie pactiser avec un démon, pour obtenir la force nécessaire.

Un démon ? Il avait fait ça ? Mais quand ? Pourquoi ?! Elle ne parvint pas à poser la question. Jubal glissa ses mains dans son dos pour en sortir deux katanas. Il fixa Slade, d'un regard mauvais et obscure, avant de se préparer à bondir sur son ennemi. Mais Astrid, ayant comprit ses intentions et reprenant ses esprits, se jeta entre eux, arrêtant son frère à temps.

- Non ! Non Jubal. Je t'en supplie. Je ne comprend pas pourquoi tu as fait pareille idiotie. Ce que je sais, c'est qu'en agissant ainsi tu met notre famille en danger.
- Pousses-toi, Astrid ! C'est entre lui et moi...
- Pour le moment, la seule chose qu'il y a entre lui et toi c'est moi, alors tu vas m'écouter !! Tu vas quitter cet endroit, tout de suite, et retourner chez nous. Tu vas sortir ta plus belle tenue et te préparer à mon mariage, est-ce que c'est clair ? Pouvoir démoniaque ou pas, tu restes mon frère. Alors, fais-moi plaisir... baisses ces armes et vas t'en. Je ne te laisserait pas tout faire foirer.

Jubal l'observa à travers ses yeux effrayants, semblant hésiter. Puis soudain, petit à petit, il retrouva son apparence d'origine. Il semblait assommé, vide et triste. Puis, sans un mot, il tourna les talons et sortit rageusement de la pièce. Astrid avait tout juste eu le temps de voir une larme couler le long de sa joue. Elle se tourna alors vers Slade, les yeux humides elle aussi.

- Voilà... tu es content ? Tu n'aurais pas du le blesser.

Elle était en colère contre lui. Mais elle était surtout dévastée par le départ de son frère... et d'avoir apprit qu'il était allé jusqu'à pactiser avec un démon, à vendre son âme... pour elle.

Belle désillusion pour sa fiancée, non ? Non cnontente de décourvrir que Slade avit euraison pour le regard du frère sur la sœur, elle voyait que celui-ci pactiasait avec le démon… et salde jubilait. IL avait une bonne raison de le tuer, il avait une bonne raison de l'abimer et de le détruire. UN obstacle potentiel de moins que cela. Oh oui, il n'était pas rassuré, mais il était excité à l'idée d'affronter un démon et si astrid ne s'était pas interposée il aurait entamé le combat… ce qu'ils ne savaient pas, ni le frère ni la sœur, c'était que Jubal venait de se condamner à mort. La rein ne tolérait aucun démon ici… rien du tout… il regarda la jeune femme aolors que le frère s'en allait.

« Quoi ? »

Maintenant c'était la faute du chevlier de l'hiver ? Il en tombait des nues ! IL n'en revenait pas que l'on en vienne à l'accuser ainsi ! C'était inique ! Il n'avait rien demandé là dedans !  IL n'était pas celui qui avait pactisé bon dieu !  Il avait prit du sang au ieu de la vie !  Qu'attendait-elle ? Qu'il ferme les yeux ? Il se omporterait comme il faudrait le faire quand eil irait chez elle, il s'ttendait à ce que ses invités se comporte selon les loi de la cour de l'hiver.

« Il n'aurait même pas du venir. »

Froide réalité. Un homme ayant pactisé, c'était la mort assurée ici… elle ne le savait pas, mais voulait-il lui dire ? Il n'en savait rien…. En fait, voir Jubal tué par l reine ce serait quelque chose d'assez amusant et divertissant…. Il lança un nouveau regard à astrid. Il allait néanmoins se justifier devant elle, il avait horreur de cela… il leva les yeux au ciel avant de plonger son regard dans le sien et de la plaquer contre le mur.

« Tu te rends compte qu'il et condamnable à mort juste par sa présence ? Je ne veux pas la mort de ton frère, je te l'ai montré je crois, j'avais des motifs de le tuer je ne l'ai pas fait, j'ai juste pris du sang en lieu et place de sa vie… c'est tout !  Alors ne râle pas contre moi, râle contre toi et ton aveuglement. Tu t'es volontairement aveuglée ! Alors maintent ouvre les yeux et dis toi bien uen chose. Si la reine le trouve ici, car elle sait sans doute déjà, elle le tuera et on entendra encore son agonie dans plusieurs siècles entre se murss… soit il part définitivement, soit il faudra le tuer avant qu'elle ne s'y colle… je t'offre le choix de me dire ce que je fais… alors ne vient pas me demander des comptes ! »

Il sourit avant de changer de sujetet la plaquer de nouveau, mais face au mur avant de finalement lui  tenir les hanches.

« Mais ça je m'en fous… tout ce danger, ça m'excite...alors je vais jouir avec toi et ensuite, une fois bien ramonée nous en parlerons... »

Il ne lui laissa pas le choix, ses mains puissantes venant lui écarter les fesses, dévoilant son petit trou qui avait eu le temps de joliment se refermer après son passage, et il s'enfonça violemment en elle... son plaisir d’abord et ensuite les grandes discussions.

Astrid était à la fois profondément attristée et folle de rage. Jamais elle n'aurait cru Jubal capable d'une telle chose... pactiser avec un démon ? Tous ça pour récolter les fruits empoisonnés d'une puissance capable de la protéger ? C'était idiot ! Ça dépassait l'entendement. Peut-être était-elle en train de rêver... elle allait se réveiller et tout ça ne serait qu'un cauchemar, une farce... elle avait du prendre un coup sur la tête.
La jeune guerrière ne savait même plus comment réagir, ni ce qu'elle devait faire à présent. Elle avait envie de courir, de rattraper son frère pour l'enlacer et lui dire qu'ils allaient tout arranger. Mais elle savait au fond qu'il n'y avait qu'une seule chose à faire : être raisonnable et se marier. Se marier pour éviter un second incident diplomatique et amener sa famille à sa perte. L'erreur de Jubal était déjà bien assez grave à elle seule, pas la peine d'en rajouter. Assaillit par une multitude d'émotions contradictoires, la jolie blonde essuya rapidement une larme du dos de sa main, trop fière pour se laisser aller à des sanglots devant Slade.

Elle lui en voulait un peu de s'en être prit à Jubal, de l'avoir provoqué..., mais après tout ses agissements étaient logiques. Elle aurait sans doute fait de même à sa place. Elle était seulement... déchirée par ce qui venait de se produire. Jubal amoureux d'elle... pourquoi n'avait-elle pas voulut voir la vérité depuis tout ce temps ? Alors que cela lui semblait si évident aujourd'hui. Quelle idiote elle avait été... Le chevalier de l'hiver avait raison. Il n'aurait pas du venir. Elle non plus d'ailleurs..., mais trop tard pour retourner en arrière. Son père avait prit une décision et elle allait s'y tenir.

Subitement, elle se retrouva plaquée contre le mur et Slade tenta de lui remettre les idées en place et lui expliquant à quoi son frère s'était exposé en agissant ainsi. Astrid soutint son regard, interdite, écoutant ce qu'il avait à dire jusqu'au bout, sans l'interrompre. Elle avait la gorge serrée tandis qu'elle savait pertinemment qu'il avait raison sur toute la ligne. Elle espérait que Jubal disparaisse de lui-même, très loin. Elle ne se sentait pas la force de lui faire face de nouveau. C'était mieux pour lui.

Elle resta silencieuse, n'ayant pas l'intention de répondre quoi que ce soit. Pour dire quoi ? Ça n'aurait rien changé. Elle fut retournée et de nouveau plaquée contre le mur. Elle eut une grimace, sachant pertinemment ce qu'il cherchait à faire. Elle sentit ses mains écarter ses fesses de manière impérieuse. Il ne comptait pas revenir sur le sujet avant d'avoir finit ce qu'il avait entreprit avec elle un peu plus tôt. Astrid retint son souffle, enfonçant ses ongles dans le mur, se préparant à subir la douleur d'une pénétration telle que celle-ci. Elle ne réprima son cri qu'en se mordant la langue, alors qu'il s'enfonçait violemment dans son fondement, écartant douloureusement ses chairs.
Le souffle coupé, elle avait néanmoins apprit de son erreur plus tôt. Elle prit donc sur elle pour se cambrer, offrant plus facilement sa croupe au chevalier, faisant de son possible pour ne pas trop se crisper. Au bout de quelques vas et viens brutaux, elle sentit la douleur passer.

Petit à petit, alors qu'elle en doutait, la souffrance fit place au plaisir. Ses joues commencèrent à prendre des couleurs, son souffle s'accéléra et le silence qu'elle gardait jusque là se mua en quelques gémissements tandis qu'il continuait à la prendre. Elle devait bien avouer une chose... elle avait beau en être une, elle détestait qu'on la baise comme une princesse en porcelaine. Et le côté un peu brutal et violent de Slade... l'excitait.