Une soirée à la lune rose! (pv:Ahri)

Fania avait eut une journée exaspérante et très longue. On lui avait demandé sur une histoire qui durait depuis quelques mois. Un mystérieux pyromane sévissait en ville  depuis trois mois et visait les personnes qui étaient criblés de dettes et étaient dans l’incapacité de rembourser. Il travaillait en somme pour de riches marchands ou des syndicats du crime. C’étaient des activités plutôt illégales. On avait donc remis l’affaire à Fania aux bouts de deux mois.  Et, pendant un mois, elle enquêta. L’affaire était plutôt dur jusqu’à ce que Fania entendu comment contacter cette personne lorsque l’on avait besoin de lui. Elle fit en sorte de déguiser un garde en riche marchand et lui demanda de le contacter. Le pyromane vint à l’endroit. Le riche marchand lui demanda s’il avait quelqu’un à qui faire payer mais qu’il voulait savoir avant de payer la somme s’il était bien la personne concernée. Il commit l’erreur de se vanter des nombreuses maisons qu’il avait incendié. Cela concordait avec les maisons des victimes aussi Fania se jeta sur lui  pour le plaquer et lui mettre les fers, les crimes qu’il avait commis étaient indubitable aussi elle le mit dans la prochaine charrette pour pendaison. Elle n’en tira toutefois aucune information sur les syndicats du crime qui régner en ville. Cette personne avait une lueur étrange dans les yeux presque démoniaque.

Après cet épisode, elle dut s’occuper de toutes les formalités administratives et rapports qu’elle devait effectuer pour que Langley accepte ce qu’elle avait fait au pyromane. Le temps était passé bien vite et la nuit commença à tomber. Elle prit donc un bain moussant pour se délasser et s’habilla dans sa tenue de Chevalier en cuir. Elle aurait pu mette une tenue de soirée mais elle préférait garder cette tenue pour aller dans son harem. Elle aimait bien montrer qui était la chef. En plus, elle avait reçut un message lui indiquant que La Lune Rose, qui était le nom du harem qu’elle fréquentait, avait une nouvelle. C’était de ce que l’on disait une terranide. Sachant cela, elle avait déboursé une importante somme d’argent pour pouvoir l’avoir en première. Elle avait payé il y a deux jours et ce soir tait le grand soir où on lui avait dit de venir. Bien sur, tout ces messages étaient discrets, il n’était pas question que la cour soit au courant bien qu’elle pensait que certaines personnes étaient au courant.

Elle quitta donc le château de nuit et se rendit en ville. Elle n’avait pas l’impression de se camoufler pour l’instant mais quand elle arriva dans les alentours du harem, elle se fit discrète et puis elle entra.

-Maitresse Fania, quelle joie de vous voir ! Venez entrez, votre esclave personnelle vous attend dans le salon rose. Suivez-moi…

La tenancière de la Lune Rose était quelqu’un de très spécial. Elle aimait sa profession et cela se voyait.  Sa manière de se dandiner pendant qu’elle marchait, sa cigarette dans une main et sa coupe de champagne dans l’autre main. Tout indiquait qu’elle aimait ses activités nocturnes. Une autre chose qu’elle aimait bien c’était qu’ici tout le monde l’appeler maîtresse. C’était une règle qui ne dérogeait pas. Il faut dire que vu les sommes considérables qui étaient payés cela n’était pas très étonnant. Quand elle fut arrivé au environ du salon, elle s’arrêta :

-Si vous avez besoin de quoi que ce soit à l’intérieur, où que vous avez des envies comme faire venir plus de personnes. Vous trouverez une clochette à faire sonner.
Si vous le faîtes, je viendrai et vous demanderez ce que vous voulez et vous l’aurez.

-Je vous remercie.

Fania entra et laissa la belle tenancière qui répondait au nom de Clara. Le salon rose était un des salons les plus chères. Il y avait donc tout le confort matérielle. Une splendide lit à baldaquin, des armoires où il y avait pleins de tenues en latex pour les relations dominantes/dominés. Il y avait aussi du champagne avec des coupes ainsi qu’une épaisse fumée bleuâtre qui se dégageait et avait des effets aphrodisiaques. Et, il y avait effectivement une petite clochette dorée.

Elle était déjà venue ici, et appréciait l’endroit. Elle se rendit compte qu’elle n’était pas seule une terranide était là. On aurait pu croire à une terranide renarde mais c’était beaucoup plus que ça c’était une terranide kitsune. Les nombreuses queux  qu’elle possédait la désignait comme telle. Vu qu’elle était nouvelle, Fania ne savait pas si lui avait les recommandations sur comment l’appeler. Et, elle ne connaissait pas son nom. Elle s’assit donc sur le bord du lit et elle sourit

-Ma chère, j’apprécierai énormément une petite gorgée de ce champagne après la dure journée que j’ai eu. Vous seriez bien aimable de me dire votre nom…

Une bonne façon de voir si elle connaissait le sien aussi. Elle attendait donc que son esclave sexuelle comme elle aimait les appeler obéisse. Bien qu’elle ne savait presque rien sur son obéissance.

Ahri menait la belle vie depuis un long moment sur Nexus, elle était devenue incontournable dans son propre milieu, le libertinage.  
Nombreux étaient les hommes de plus en plus riches à venir me voir et dépenser des sommes de plus en plus folles pour une parties de plaisir avec moi. Mais aussi, il y avait de temps en temps certaines femmes qui venaient d'elle-même à moi, que ce soit pour apprendre ou pour le plaisir simple.
Slimia, la slime bleue qui m'avais autrefois coûté une fortune- Fortune que je pouvait débourser cinq fois maintenant -  est revenue me voir un jour, pour jouer encore. Cette fois, il n'était pas utile de la mettre dans le bain, mais le lit a bien failli céder cette nuit là.

Un jour, une femme, grande et séduisante – à mon goût en somme, pourrait je dire avec une point d'ironie, tout le monde est à mon goût -  est venue me voir pour ... m'offrir un travail ?
- J'ai bien peur de ne pas avoir tout entendu. Vous voulez me voir travailler ? Je travaille déjà pour moi. ♥
- Il ne s'agit pas de vous trouver un travail, j'exige de votre part que vous vous engagiez à venir fréquenter notre établissement.

La conversation n'en menait pas large, la dame qui s'était présentée comme tenancière d'un établissement nommé « La lune rose » en précisant que c'était un 'araim'. Je n'avais aucune idée de ce que pouvait être un 'araim' alors je me montre davantage plus récitente.
- Si votre établissement sers aussi à faire plaisir aux clients, je peux aussi le faire depuis chez moi. ♥ Qu'avez vous de particulier qui pourrait m'intéresser ? ♥

Le nœud du problème. Ahri ne saisissant pas  toute la grammarie de la langue, un 'araim' pouvait être plein de chose
- La lune rose propose à ses client moult femmes libertines qui ne répondent qu'a se faire plaisir. En cela vous êtes loin d'être unique.

J'y réfléchit rapidement, beaucoup de femmes... qui ne veulent que se faire plaisir ... Plein de raisons rapide de s'offrir rapidement un sacré paquet d'énergie spirituelle, soit plus de temps encore jeune et belle et plus de temps encore pour le plaisir pur, pour encore la longévité, pour encore la luxure et cetera...  J'étais déjà emballée rien qu'avec ceci, mais la tenancière rajouta :
- De plus, une somme non négligeable vous attends lorsque le client est satisfait des prestations offertes.

Mes oreilles de renardes tressautèrent, de l'argent en plus si un client était content ? Mais autant dire qu'on m'offrait directement cet argent, d'autant plus que Séduction faisait facilement l'affaire, le meilleur aphrodisiaque magique, voire plus que ça, mon sort insère un sentiment d'amour réel envers moi, le moindre geste en présence d'un Séduit est de son point de vue plus beau qu'un rêve. Tout autours de lui est rose, avec des paillettes et tout ça. La 'patronne' pouvait voir qu'elle avait fait mouche, quand en me regardant dans les yeux, elle pouvait y lire le mot ''ARGENT'' au fond de mes pupilles.
- Soit. J'accepte votre proposition. ♥

La tenancière semblait un peu soulagée, derrière son masque impassible. Il n'était pas très évident d'inviter des personnes en tant qu' « esclaves personnelles » quand ces dernières font déjà fortune d'elle-même. Pour moi en revanche, j'éviterais de l'appeler « petite » mais je ne l’appellerais jamais « maîtresse » non plus, elle restera une personne sans nom pour moi. Et puis, quand bien même elle serait douée, elle, elle ne vivrait pas plus longtemps que moi, or que moi, je peux devenir immensément expérimentée sur la voie du sexe et rester en vie excessivement longtemps.
- Parfait, vous commencerez dès demain.

Aussi je me retrouvais engagée dans un milieu à peine connu. Le lendemain, quand le soleil était au dessus de tout, une femme – pas celle d'hier – m'attendais pour m'emmener a La Lune Rose.  Après une rapide visite, j'ai pu connaître la vraie signification du araim, lequel allait rapidement me plaire. Ce premier jour n'était que pour me faire une sorte de visite, c'était encore le lendemain où les choses sérieuses allait réellement commencer.

Le jour, ou plutôt le soir suivant, on me demanda d'aller en salle rose, après m'y avoir conduit, j'inspecte les lieux avec un rapide tour de propriétaire. Cette salle n'avait rien à envier à ma Grande Chambre, excepté peut-être pour la taille du lit et les menottes lourdes qui sont placées chez moi,  il n'y avait pas ici non plus de pilules change sexe, sait on jamais. Mais ça compensais avec des petits joujoux supplémentaires et des petit bonus un peu moins visible.

J'avais emporté avec moi quelques objets, on ne me l'avais pas conseillé, mais je me suis justifiée avec le fait que mon Orbe a un lien vital avec moi, aussi, j'ai eu la permission de le garder, j'ai emporté aussi avec moi quelques pilule change sexe, plus discret à cacher dans les vêtements. On ne m'avait presque rien dit sur la personne qui avait particulièrement envie de m'avoir seule en tête à tête, à part pour me dire que c'était une femme et qu'elle avait pour nom Fania, ça ne m'avançais pas trop, dans la mesure ou rien de politique ne m'affectais le moins du monde, de mon point de vue, humain à Terra ou sur Terre c'est la même chose.
Devant l'attente qui se prolongeait, je pouvais remarquer que je commençais à avoir le Toucher exacerbé. Je cherchais des yeux la cause lesquels s'attardèrent sur un bâtonnet qui fumais et qui avait une odeur bizarre. Bon, il ne fallait pas m'enfermer des heures ici, sinon je finirais par me faire plaisir seule, mais voilà que la porte finit par s'ouvrir.

La femme qui se tenais là est dans la norme question grandeur, j'étais donc un peu plus grande qu'elle, elle devait avoir un peu plus que mon age en revanche et elle était blonde. Elle se contenta de s’asseoir sur le lit, avant de sourire et de me dire :
- Ma chère, j’apprécierai énormément une petite gorgée de ce champagne après la dure journée que j’ai eus. Vous seriez bien aimable de me dire votre nom…

Le ton employé n'était pas l'idéal pour bien me placer, alors je préférais esquiver une réponse âcre et me contenter de faire une fleur au 'client' Reste à savoir quelle bouteille est celle de champagne, les bouteilles se ressemblant toute et n'ayant aucune étiquette pour me permettre de me rattraper. Après un bref moment d'hésitation, je finis par attraper le verre d'une queue tandis que je verse le contenu d'une des bouteilles, un liquide ressemblant au jus de pommes, mais avec des bulles. Tandis que je faisais ça, je lui répond doucement :
- Je me nomme Ahri, je connais le votre car on m'a soufflé il y a peu. ♥

Je ne lui dit pas que je ne connais pas son métier, et que de toute façon on s'en fiche. On n'est pas ici pour parler de qui à le meilleur métier, je ne changerais pas mes positions et elle non plus. Du moment qu'elle fait ce qu'il lui plaît et qu'elle me laisse en paix.
(en y repensant, si j'avais eu vent du métier de fania, ç’aurait été une raison supplémentaire de se méfier d'elle, car autant maintenant mes clients repartent de chez moi plus ou moins sains et sauf, autant j'avais déjà auparavant occasionnés une dizaine de mort à mon actif sur l'enceinte de Nexus.)

Je lui tend avec ma queue son verre,e je n'en ai pas pris personnellement, je me méfie un peu des liqueurs en bouteilles, je préfère bien mieux les liqueurs du corps humain, si l'on voit ce que je veux dire ...

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Note : femme-renard = kitsune, femme-renard à neuf queues = kitsune 'kyu'bi inari.

je me suis pas attendu à faire aussi long, j'avais peur de pas écrire assez. XD

Ahri avait obéit  à sa simple demande et une de ses nombreuses queux caudales attrapa un verre avec beaucoup de délicatesse en versa du champagne et  le tendit. Ahri savait manier ses queux. C’était très promettant. Fania accepta le verre en caressant la queue de la belle kitsune et commença à le siroter. Elle ne savait pas quoi dire à cette étrangère mais elle songea qu’elle ne lui avait pas dit son nom et peut être que comme elle était nouvelle, elle ne savait comment fonctionner cet endroit.

-Je m’appelle Fania, ma chère. Certains m’appellent Dame Fania, d’autres  m’appellent maîtresse. Tout dépend quelle est votre spécialité.  Au cas où vous ne le sauriez pas la petite clochette qui se trouve dans le coin permet d’appeler  la maîtresse de maison pour qu’elle accepte chacun de nos désirs s’il manque quoi que ce soit. Cela peut être une fille, la maîtresse elle-même par exemple ou des petits objets permettant de se faire plaisir, de la nourriture enfin vous voyez le genre.

Fania avait repris là ou elle s’était arrêter et continuer ses caresses les queux caudales d’Ahri. Pourquoi ? Elle en avait envie tout simplement. La fumée aidait un peu à se sentir proche la seule personne de cette pièce qui pouvait la soulager. Bien que Fania semblait normal, elle se sentait un peu excitée par la kitsune. Elle s’interrogea :

-Je n’ai jamais vu de kitsune avant…. Puis-je savoir comment les kitsunes sont crées ? Un  terranide renard avec un humain peut être ? Car, vous semblez plus hybride que terranide, ma belle.

Fania continuait ses caresses et se demandait si c’était des parties érogène de la kitsune car elle avait déjà rencontré des terranides chats qui lui avait dit sur un  ton suppliant de continuer de caresser  cet endroit. Fania se demander ce que la kitsune savait faire.

-Vous êtes en tout cas très belle et d’une très jolie constitution. Clara m’a dit que vous étiez nouvelle mais que vous aviez de l’expérience dans le domaine et que je vous valiez les 300 pièces d’or que j’ai dépensé pour avoir du bon temps avec vous. Alors quel est votre domaine de prédilection ? Car, si vous êtes comme moi, la fumée doit vous faire un peu d’effet.

Fania en songeant à cette idée sentit un peu de liquide couler sur ses cuisses. La fumée était insidieuse car plus on la respirer et plus des idées perverses et des envies se faisait ressentir. Fania se leva posa son verre et se dirigea dans les bras d’Ahri en l’enserrant dans ses bras leurs deux têtes étaient proches l’une de l’autre.

-J’ai terriblement envie de jouer avec vous, ma belle. Toutefois, avant que l’on s’y mette vraiment. J’aimerais vous faire une fleur. Que diriez-vous de faire monter une ou eux esclaves sexuelles qui obéissent au moindres de nos ordres ? Cela ajouterait un peu de piment à notre relation… C’est vous qui voyez, vous pouvez m’embrasser et on abandonne l’idée ou prendre la petite clochette et demander deux esclaves terranides pour que l’on s’amuse un peu plus…

Pendant qu’Ahri était dans ses bras, elle avait terriblement l’envie de l’embrasser et c’était très difficile de résister mais elle voulait si Ahri cèderait ou préférait cette idée perverse que la Fumée l’avait poussé à avoir. Une main était baladeuse et continua à caresser ses queux tandis que l’autre alla lui gratouiller les oreilles .

Elle pris le verre délicatement tout en semblant m'analyser, elle caressa aussi la queue qui lui avait ''servi'' le verre. Elle devais ignorer que mes queues étaient presque semi autonomes, mais elle vit de son point de vue que j'en redemandais, car la queue était restée sur ses genoux.
En attendant, elle me dit :
-Je m’appelle Fania, ma chère. Certains m’appellent Dame Fania, d’autres  m’appellent maîtresse. Tout dépend quelle est votre spécialité.  Au cas où vous ne le sauriez pas la petite clochette qui se trouve dans le coin permet d’appeler  la maîtresse de maison pour qu’elle accepte chacun de nos désirs s’il manque quoi que ce soit. Cela peut être une fille, la maîtresse elle-même par exemple ou des petits objets permettant de se faire plaisir, de la nourriture enfin vous voyez le genre.

Oui, je voyais le genre, une salle pour rester confiner et garder des plaisirs en continu, je connaissais bien le système. Enfin, on ne manquait de rien ici, mis à part les filles... Deux autres des mes queues étaient parti jouer avec Fania, qui en profitais pour les caresser. Elle ignorait probablement que c'était un de mes rares point faible, le point faible facilement trouvé bien que peu évident si on y pense pas trop. En soi, Fania devait sûrement avoir déjà joué avec des terranides possédants des point faibles similaires aux miens pour que le geste qu'elle fait soit acquis inconsciemment.
Elle me questionna :
-Je n’ai jamais vu de kitsune avant…. Puis-je savoir comment les kitsunes sont crées ? Un  terranide renard avec un humain peut être ? Car, vous semblez plus hybride que terranide, ma belle.

La curiosité. Les humains en on, mais pas seulement eux, toute créature peux potentiellement être curieuse, c'est un acte ''normal'' basé sur un choix instinctif. Vous faites face à un truc inconnu, vous pouvez soit la trouver dangereuse et fuir, prudence étant mère de sûreté, ou examiner et s'approcher, la curiosité l'emportant.

- on me pose rarement la question. ♥
Pour faire court, je suis animale de base. Mes parents étaient renards aussi et mes ancêtres probablement. J'ai été changée en humaine grâce à un mage raté qui, aux portes de sa fin de vie, a essayé de se transcender en moi. Et ... Il a pas tout réussi. ♥

Elle continuait de me caresser d'un geste machinal. Pour elle ça paraissait anodin, pour moi, c'est comme si elle me caressait l'entrejambe depuis tout à l'heure. En parlant d'entrejambe, le stimuli qu'elle m'offrait me faisait pas mal de bien ... si on voit ce que je veux dire. Sinon, j'avais un peu de mouille qui arrivait. Un peu.

- Vous êtes en tout cas très belle et d’une très jolie constitution. Clara m’a dit que vous étiez nouvelle mais que vous aviez de l’expérience dans le domaine et que je vous valiez les 300 pièces d’or que j’ai dépensé pour avoir du bon temps avec vous. Alors quel est votre domaine de prédilection ? Car, si vous êtes comme moi, la fumée doit vous faire un peu d’effet.

À la nouvelle, je fronce les sourcils. 300 pièces d'or ? C'est très loin de Slimia, pour qui j'ai du débourser 1000 pièces de platines... On ne prend que l'apparence je suppose, de loin comme de près, je suis une terranide. Mais caché, je suis bien plus que ça. En fait, malgré mon apparence terrane, je ne serais jamais esclave d'humain, ma magie est trop forte pour eux. Et même sans ça, les queues qu'elle caressait actuellement pourrait chacune l'attaquer de manière différente, si je le souhaitais. Mais ce n'étais pas de ça qu'on veut, hein. La salle remplie d'odeur aphrodisiaque n'allait pas prêter place à une pulsion de meurtre, et l'argent qu'on allait me donner à la fin serait ... légèrement compromis si l'on retrouvait un cadavre à la place du client.
- Voyons, s'il parait que les kistunes ont une lubricité infinie, j'en suis la preuve vivante. ♥

Ça et de toute manière je secrétais moi même mon propre aphrodisiaque, qui était plus puissant que celui diffusé. Je restais donc assez lucide par rapport à la jeune humaine en face de moi. Mais le fait quelle tombe sous la luxure maintenant peut-être un avantage pour moi. Je pouvais sentir qu'elle était déjà excitée, de son entrejambe se dégageait de délicieuses senteur qui signifie pour moi ''énergie vitale supplémentaire''. Elle se désintéresse de mes queues et viens m'enlacer, mais au lieu de jouer directement avec moi, elle me dis :
- J’ai terriblement envie de jouer avec vous, ma belle. Toutefois, avant que l’on s’y mette vraiment. J’aimerais vous faire une fleur. Que diriez-vous de faire monter une ou eux esclaves sexuelles qui obéissent au moindres de nos ordres ? Cela ajouterait un peu de piment à notre relation… C’est vous qui voyez, vous pouvez m’embrasser et on abandonne l’idée ou prendre la petite clochette et demander deux esclaves terranides pour que l’on s’amuse un peu plus…

Derrière un visage impassible, je devenais de plus en plus mécontente. Une fleur ? Inviter plus de fille pour qu'elle se fasse plaisir serait une fleur ? Je ne lui suffirait pas ? C'est bien ce que l'on va voir. La kitsune à la magie rose facile que je suis va rapidement la faire changer d'avis.
- Nous verrons bien ... Plus tard. ♥

Effectivement, si l'humaine parvenais, par un miracle ou que sais je, à me doubler en lubricité, si jamais j'étais réellement vannée la première et qu'elle avait encore la forme, là seulement je pourrais l'appeler maîtresse, pour le moment, de mon point de vue, c'était une petite, une petite un peu insolente sans le vouloir et qui allait rapidement comprendre qu'on ne parle pas d'inviter d'autres filles quand on a une kitsune dans les bras. Elle me chatouillait l'oreille en me caressant encore les queues.

Suite à ma courte réplique, qui signifiait littéralement que non, pas d'autres filles pour elle, je décide d'attaquer à mon tour. Mes queues , hormis celle qu'elle touchais, l'enlacèrent à son tour, la rapprochant davantage. J'en profite pour l'embrasser tendrement, mais pas longtemps en premier lieu, plus longtemps ensuite. Pendant ce temps, mes mains commencèrent à caresser son corps encore vêtu. Je ne pouvais malheureusement pas lancer de véritable assaut sur son corps, c'est elle le client, je dois me plier – avec plus ou moins d'improvisation certes – à ses choix. Si par exemple elle veut se dégager de l'étreinte de mes queues, je devrais la relâcher. J'essayais cependant de faire tomber petit à petit l'armure qu'elle portait.

Fania songea à ce que lui avait dit la kitsune. Elle était née de deux parents renards et un magicien avait amené sa transformation à maturité. Est-ce que c’était comme ça que les terranides avaient été crée ? Avec de la magie ? Fania aurait bien aimé songer d’avantage à cette idée mais elle avait d’autres chats à fouetter en ce moment. Elle avait en face d’elle une belle kitsune qui ne demander qu’une chose. Cette chose était évidente, elle voulait que Fania lui fasse plaisir. Fania avait dans l’idée que la kitsune était de celles qui préféraient le plaisir du moment.

La kitsune avait en effet refusé l’idée d’amener des filles supplémentaires en entourant de ses queux, la belle Fania. Fania sentait une lueur de désir et de défi dans les yeux d’Ahri. Ses iris oranges semblait dire de venir la tester avant de penser à d’autres filles. D’ailleurs, Ahri s’approche vivacement de Fania pour l’embrasser très vite. Fania fut pris de cours. Elle aurait d’ailleurs aimait que le baiser se prolonge car à peine elle allait réagir qu’il se termina.

Toutefois, Fania put réagir plus facilement quand Ahri l’embrassa la deuxième fois en mélengeant sa langue avec la sienne. D’ailleurs une de ses mains soulevèrent sa robe et alla se placer sur l’entrecuisse de la terranide. Fania sentit un peu de liquide sur sa main et elle en déduisit que la kitsune avait mouillé. Elle mit fin au baiser et frotta son nez contre la kitsune.

-Eh bien, on est cachotière, ma belle…. Je te fais tant d’effet que ça ? Je dois bien avouer que tu m’en procures autant...

Elle avança sa tête et l’embrassa dans le cou.

-Tu veux sentir comme j’ai chaud en bas ? Tu n’as qu’à me déshabiller … J’ai envie de sentir ton corps contre moi… J’ai même envie que me lèches à des endroits dont peu de personnes possèdent l’autorisation.

Fania était clairement excitée, trop même. La Fumée n’était pas censée être aussi forte normalement. Des idées perverses d’elle et d’Ahri en plein ébat venait se graver dans sa tête. Elle désirait la kitsune. Non, c’était même plus fort que ça elle voulait la kitsune de tout son être. Elle baissa le haut de la robe d’Ahri pour ses seins se dévoile et que son autre main malaxe sa poitrine pendant que l’autre en bas exerçait des petites caresses affectueuses sur son entrejambe. Elle trouvait Ahri à son goût et elle ne voulait pas que ses vêtements ne lui soient ôtés car elle était bien plus jolie comme ça. Cette robe apportant tant de suggestion était très excitante.

-Ahri… Promet moi une chose, garde ta robe, tu es magnifique avec et se serait une insulte pour cette robe de te l’enlever. Je veux te voir jouir avec …

Oui, Fania parlait assez grossièrement. Mais, cette kitsune la rendait dingue et puis on était dans un bordel pas dans un couvent donc le langage grossier était toléré. Et, Fania ne pouvait pas s’empêcher sa nature de maîtresse ressortir.

-… mais avant que tu jouisses, je veux que tu me fasses du bien… Enlève mes habits et lèche mon petit minou qui n’attend que ça…

Elle lui avait dit ses mots à l’oreille pendant qu’elle continuait à la caresser et à jouer avec sa poitrine touchant même du bout des doigts un téton. Elle lui avait dit sur le ton de la suggestion mais ça n’en restait pas moins un ordre. C’était histoire de lui faire regretter de ne pas avoir accepté les autres filles. Une toute petite vengeance, bien méritée même si Fania trouvait que c’était plus une récompense qu’une punition.

Fania savait que la kitsune voulait continuait plus loin depuis tout à l’heure avec ses queux cela se voyait dans son attitude car une bonne maîtresse voyait ce genre de chose. Fania avait donc autorisé qu’elle poursuive ce qu’elle voulait faire avec la condition qu’elle n’enlève pas ses vêtements et qu’elle lui lèche l’entrejambe.  Fania avait le sens des convenances tout de même et voulait commencer légèrement avec sa petite protégée si durement acquise. Elle ne doutait pas qu’Ahri serait à la hauteur de ses compétences.

 

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relis toi de temps en temps, y'a quelques erreurs de grammaire ^^

Je fais probablement figure d'exception dans le cadre de développement terran. Je n'était pas Terranide, malgré les apparences. Fania devait éviter de confondre, même si finalement ça ne changerais pas grand choses.  Ahri avait juste beaucoup plus de capacités magique que tout autre terranide.
Je disais précédemment que si elle me battait en luxure, je l’appellerais maîtresse, elle aurait effectivement gagné, mais pas simplement, elle écraserais littéralement les dires de la kitsunes. Pour moi, le sexe est vital, c'est comme manger ou dormir. Demanderais t-on aux gens s'ils sont doués pour manger du pain ou pour respirer ?
L'humaine semblait dépitée par le premier baiser. Mais c'était juste pour répondre à sa question, le second baiser fut heureusement plus long, elle avait même réagit positivement en jouant de la langue. Ma cliente pour la nuit s’avança bien vite en passant ses mains sur mon corps, glissant à travers mes vêtement. Elle me touche à l'aine, et la retire rapidement, sûrement car elle avait récupéré un peu de ma cyprine.

-Eh bien, on est cachottière, ma belle…. Je te fais tant d’effet que ça ? Je dois bien avouer que tu m’en procures autant...
- Ah oui ? Tu n'as pas de queues que je pouvais caresser, moi. C'est comme si depuis le début de la rencontre, je te caressais entre les cuisses. ♥

Elle se contenta de m'embrasser dans le cou, sans doute était elle déjà enivrée par les vapeurs aphrodisiaques qui flottaient en l'air.
- Tu veux sentir comme j’ai chaud en bas ? Tu n’as qu’à me déshabiller … J’ai envie de sentir ton corps contre moi… J’ai même envie que me lèches à des endroits dont peu de personnes possèdent l’autorisation.

Elle me donnait des ordres, tout en agissant d'elle même. Elle fit glisser ma robe pour exposer mes seins et me caresser à la fois les seins et l'entrecuisse. Je ne pouvais pas lui offrir les léchouilles qu'elle souhaitais pour le moment, mais on ne peux pas tout avoir, soit elle se décidait à me lâcher, auquel cas je pourrais, soit elle garde les mains là ou elle les as encore maintenant, auquel cas, les léchouilles verront bien ...
-Ahri… Promet moi une chose, garde ta robe, tu es magnifique avec et se serait une insulte pour cette robe de te l’enlever. Je veux te voir jouir avec …

*Ah ben c'est pas gagné pensé-je. Je sui répond toutefois :
- Si c'est ce que tu souhaites... ♥
Le nombre de fois ou j'ai pu jouir s'élève au nombre incroyable de ... 1. Et face à une slime au taux de lubricité quasi égale au mien. Ahri s'est fait tellement passer dessus que les caresses que Fania procure ne lui font en réalité bien peu de plaisir. Le seul moment où une simple humaine comme Fania pourrait me faire plaisir,  ce serait en caressant mes queues sans cesse. Mais je camoufle, je fais semblant, même en semblant réaliste. Il n'est pas malaisé de faire croire que les actions de l'autre te font plaisir.
-… mais avant que tu jouisses, je veux que tu me fasses du bien… Enlève mes habits et lèche mon petit minou qui n’attend que ça…

*Mais j'y pense bien, petite ♥ pensé-je de nouveau.
En effet, je n'allait pas rester les bras croisés en attendant qu'elle trouve mon – ou plutôt mes 9 - points faibles. Non, mes queues - en parlant du loup (ou du renard) – S'étaient enserrés autours de nous, elle se glissèrent sous les vêtements de Fania. Il n'était pas possible d'enlever ses vêtement du haut sans les arracher, elle avait les mains sur mon corps et ne semblait pas vouloir s'arrêter. et ç’aurait été dommage de lui arracher, j'y perdrait au final. En revanche, trois de mes queues lui ôtèrent assez vite son pantalon. Elle se glissèrent ensuite en direction de l'aine de Fania, deux d'entre elles caressèrent chacune l'intérieur d'une cuisse et la troisième se frotta directement sur l'entrejambe humide de Fania. Je riais doucement
- Hmm hmm. ~♥ (oui c'est bien un rire.) Tu es bien humide aussi, grande coquine. ♥

''Grande'' Si pour Fania ça n'avait que peu de signification, pour moi, appeler quelqu'un ''ma grande '' est un miracle en soi. Fania aurait facilement pu être nommé ''petite'' comme tout le monde, mais ça rentrerait mal car le client se croit dominant. Pour l'heure, j'allais lui faire plaisir avec mes queues, afin de la ''paralyser'' par la luxure, afin de pouvoir la coucher, lui ôter son haut et obéir bien langoureusement à sa demande.

Mes queues qui se débattaient sous les vêtements  restant à Fania trouvèrent finalement deux collines qu'elles encerclèrent sans ménagement, une fois les seins enroulés, la pointe des queues chatouillèrent les mamelons légèrement durci, pour les rendre à la fois sensible et tendre. Et ce que ça lui suffirait pour tomber, ou faudra-il finalement se montrer plus inventif pour avoir ce que je désirais ?

Fania était assise sur le lit quand elle remarqua que ses bas se firent la malle grâce aux queux d’Ahri. Elle sentit les queues la toucher à l’entrecuisse e sur son intimité tout comme elle sentait les autres queues touchaient ses seins.

- Hihi… Tu me chatouilles avec tes queues…. En tout cas, tu as une grande dextérité avec…. Je me demande si tu sais te battre à l’épée avec…. Puisque tu sembles tellement apprécier mon corps, je vais enlever mon haut pour que tu puisses t’amuser un peu plus et pendant ce temps, je vais te caresser tes belles queux puisque tu sembles aimer ça.

Fanai n’était pas dupe et avait compris le message d’Ahri quand elle lui avait dit que ses queues  lui faisait autant d’effet que lui caresser l’entrejambe. Elle voulait manifestement que Fania lui caresse ses queues.

Fania lui gratouilla une dernière fois les oreilles et leva ses mains pour que la belle lui enlève son haut. Une fois, cela fait et que son haut tomba, elle constata que les queues lui faisait beaucoup d’effet. Elles étaient très douces au toucher son entrejambe dégoulinait par les caresses incessantes qu’elle recevait. Ses tétons se mirent à durcir par leur contact et elle tomba à la renverse de contentement pendant qu’Ahri avait manifestement envie d’elle.

-C’est si bon…. Ce que tu fais…. Mais, n’oublie pas de me lécher… Pendant ce temps…

Elle n’avait pas finit sa phrase emportait par une bouffée de plaisir. Les effets de l’aphrodisiaque entraînait un désir important mais aussi une grande excitation tactile à la base. Elle écarta les cuisses profitant de la douceur des queues  et avec ses pieds caressa les fesses de la belle kitsune et elle trouva ce qu’elle cherchait. Elle sentit l’endroit où les queux étaient reliées aux fesses de la kitsune.

Avec ses deux pieds, elle prit en tenaille cet endroit et commença à caresser comme un petit chien ses queues. Cet endroit devait être  un endroit clé car c’était le seul endroit où toutes les queue étaient attachée les une aux autres. Elle pouvait donc à partir de cet endroit caresser toutes les queuxes.

Elle était rapidement essoufflée et ses mouvements devenaient incertains car elle était noyée dans le plaisir qu’elle ressentait dans ses nouvelles sensations. Sentir les poils contre sa peau était très agréables. Elle profita que ses main soit libre pour se caresser la poitrine et toucher les queues d’Ahri.

-J’espère que tu apprécies…. N’hésite pas à m’indiquer tes endroits sensibles… Tu n’as pas un corps comme les autres…. N’oublie pas… de me lécher…. le minou….

Elle se tortillait de plaisir sous les assauts des queues et elle pouvait jouir à tout instant. Toutefois, elle se retenait pour qu’Ahri puisse la lécher. Son statut de maîtresse lui permettait de lutter contre son envie de jouir, c’était aussi ça le sadisme... On l’était avec le corps des autres mais aussi avec le sien. Fania se savait aussi femme fontaine et voulait réserver cette petite surprise dans la bouche d’Ahri. Fania contrairement à ce que l’on pouvait penser n’était pas égoïste et penser aussi au plaisir de sa partenaire et pas qu’à elle.

Toutefois, Ahri connaissait bien son œuvre et Fania ne pouvait pas résister longtemps à ce traitement de faveur. Tout son corps indiquait qu’elle ovulait jouir. Il y avait ses tortillements, sa cyprine qui coulait de plus en plus, son souffle irrégulier, ses petits gémissements

-Ahri…. Goûte-moi de ta langue, je veux sentir ta langue entrer en moi….

Un ordre, un de plus. Fania parlait dès fois comme une amie et dès fois elle se montrait autoritaire bien que cette dernière avait bien du mal à montrer son autorité dans cette position. Elle songeait qu’Ahri devait apprécier le traitement qu’elle lui réservait de ses mains et de ses pieds pour mettre autant de temps à intervenir. Il aurait été si facile de jouir comme une petite catin en ce moment même. Mais, elle résistait attendant le moment adéquat.

Je pouvais deviner que mes queues lui faisait de l'effet, moi je pouvais tricher, mais elle n'en avait pas l'occasion, la vapeur aphrodisiaque entravait un peu sa lucidité. Pour moi, en revanche, c'est open bar.
- Hihi… Tu me chatouilles avec tes queux…. En tout cas tu as une grande dextérité avec…. Je me demande si tu sais te battre à l’épée avec…. Puisque tu sembles tellement apprécier mon corps, je vais enlever mon haut pour que tu puisses t’amuser un peu plus et pendant ce temps, je vais te caresser tes belles queux puisque tu sembles aimer ça.

Avait-elle saisi mon point faible aussi aisément ? C'est à la fois probable et peu réaliste... Pour moi en tout cas, après, je suis en présence d'une des rares personnes qui pense à prendre soin de mes queues avant même de commencer à jouer. Tout pouvais encore arriver.
Elle me caressait une nouvelle fois les oreilles avant de me laisser l'occasion de lui retirer le haut de sa tenue. Elle s'écroula ensuite dans le lit, me permettant de dominer l'action, tout en lui laissant l'illusion de me contrôler par les dires
- C’est si bon…. Ce que tu fais…. Mais, n’oublie pas de me lécher… Pendant ce temps…

Je n'oubliais pas. Aucune inquiétude à avoir de ce point de vue là, je n'allais pas juste la faire bien dormir, j'allais probablement lui faire profiter d'un confort total. Tout ce qui pouvait être érogène pour elle allait être passé au crible et méticuleusement comblé.
Je m'approchais davantage, comme un mâle sur la femelle, sans pour autant l'être. Je pouvais maintenant jouer avec ses seins, à mon tour, je palpais de mes mains ses deux seins - qui, même si n'étaient pas de ma taille, n'étaient pas à négliger non plus – tout en léchant l'un des mamelons, tandis que la  pointe d'une de mes queues jouais avec l'autre. Pour attendrir un peu son téton,  je le mordille gentiment, c'est important de les attendrir quand il sont dur.

Pour riposter, elle me bloqua contre elle avec ses jambes, si j'étais un mâle à l'instant, je serais en elle, et je ne pourrais plus me retirer. Elle cherchais mes queues de ses pieds et continua de me les caresser. Me procurant au passage pas mal de nouvelles sensations qui ne me déplaisent pas.
Elle était haletante et gémissante quand elle me dit :
- J’espère que tu apprécies…. N’hésite pas à m’indiquer tes endroits sensibles… Tu n’as pas un corps comme les autres…. N’oublie pas… de me lécher…. le minou….

Lui indiquer mes points faibles ? Non non non, les points faibles devaient être trouvé naturellement, comme j'étais en train de faire, mais si elle caresse mes queues sans savoir que c'est mon point faible, alors que plusieurs indices pré-cités ont été énoncés devant elle, c'est dommage. ♥

enfin, le client en redemandais, aussi j'allais devoir bientôt m'y mettre.  Mon coté sadique dominante voulait la faire jouir sans même avoir à utiliser la langue, et je la sentais sur le point de céder, pour preuves, mes queues qui jouaient avec ses cuisses devaient lutter désormais pour garder l'entrejambe exposée à la troisième queues, deux autres queues avaient aussi envie de jouer avec l'aine de Fania, et si je l'avais vraiment voulu, la totalité de mes queues auraient pu jouer avec, pour la faire jouir sans tarder dans une mer de doux poils canin. Mais la vérité...

La vérité, il fallait que je m'y plie, même si j'aurais bien aimé la faire jouir sans, il fallait que je le fasse. Aussi, cessant de jouer avec ses seins - ou plutôt laissant à nouveau trois queues de plus sur elle - Je descend lentement le reste du corps, tout en caressant des mains et de la langue depuis la poitrine jusqu'au nombril, puis du nombril à l'aine, retirant la queue imbibée de mouille, j'attaque doucement ... avec les doigts. Eh non, je voulais bien jouer avec elle, et non seulement la contenter
- Ahri…. Goûte-moi de ta langue, je veux sentir ta langue entrer en moi….

On pouvais voir qu'elle se donnais du mal pour ne pas jouir immédiatement. Après avoir joué encore dix secondes avec ses lèvres intimes avec les doigts, je finit par lui offrir ce qu'elle voulais : lécher la petite boule de plaisir qui était très humide. Le goût de sa mouille n'était pas mauvais. Plus vierge, mais encore bonne à garder en bouche, elle ne devait pas avoir de rapport bien longs avec des mâles, ou alors plus depuis longtemps. Après avoir lavé l'entrejambe de Fania de sa cyprine, je passe ma langue en elle. Elle avait bon goût aussi à l'intérieur. Sans cesser de remuer, j'utilise aussi les doigts.
Vu comment elle insistait pour que je le fasse, je me doute bien qu'elle allait jouir sous peu, mais exciter davantage l'humaine permettais de l'épuiser un peu plus, or, c'est ce que je voulais. Je ne songe pas un instant qu'elle puisse me vaincre en luxure, pas dans son état, et même sans, elle ne pourrait pas.   Tandis que je m’apprêtais à recevoir en plein visage une giclée de mouille gratuite, deux queues étaient parties chercher dans mon sac mon orbe. Je n'allais pas me gêner pour me refaire une santé devant elle.

Spoiler: HRP (cliquer pour montrer/cacher)

HRP : Non, je n'avance pas plus que ça, j'ai déjà eu l'expérience d'un RP qui s'est arrêté à cause du fait que je prenais des décisions à la place de l'autre, le joueur en est parti (sur un de mes précédents forums). Même si ici tu m'y autorises en MP, je ne le ferais pas.

Fania était noyée sous le plaisir. Il était rare qu’elle arrive à cette jouissance aussi vite. Elle était heureuse. C’était que du bonheur. Toutefois, elle résistait. Car, Ahri descendit de ses seins petit à petit et même encore lorsqu’elle s’attaqua sur son intimité, elle ne mettait que les doigts.

-Tu veux te … faire…. désirer…. ma belle…. ?   

Parler était difficile devant la jouissance C’était très difficile de résister, elle atteignait ses limites. Que faisait Ahri ? C’était au moment où elle allait abandonner qu’elle sentit une langue lui chauffer les entrailles. Une belle petite langue râpeuse qui intervenait enfin. Peut-être trop tar d’ailleurs car la langue n’eut qu’à tournicoter que dix petites secondes. Elle se cambra et se mit à crier tellement fort que les pensionnaires du bordel devaient entendre ses cris.

-AAAAHHHHH….. AHHHHHHRRRRIIIIIIIII !!!!!!!! AAAAAHHHHHHHH…. OHHHH…. AHHHHHRRRRRIIIIIIII…..

Fania posa une main sur la tête d’Ahri et se mit à jouir. Mais, elle ne se contenta pas que de jouir, oh non, c’était trop simple. Fania était une femme fontaine et elle jouit donc abondamment en aspergeant la tête d’Ahri du jet qui partit s’étendre sur deux mètres de hauteur. Elle criait, elle gémissait, bref elle était déchaînée et elle jouit pendant plus de dix bonnes secondes car elle s’était retenue et toute cette accumulation de frustration s’était relâchée d’un seul coup.

Elle haletait, elle avait du mal à revenir sur terre. Après tout, cette sensation c’était ce qu’elle recherchait et elle aurait pu se noyer littéralement dedans. Mais, sur terre, il y avait des limites des contraintes et on ne pouvait pas faire ce qu’on voulait. Toutefois elle fut paralysée pendant une minute, elle cherchait sa respiration les pieds collés contre le dos d’Ahri pendant la durée de la jouissance.

Elle se redressa péniblement, elle aurait préféré à être choyée par Ahri. Elle s’u connaissait tellement bien qu’elle en oubliait presque l’idée de lui faire jouée l’esclave. Ce n’était pas qu’elle tombait amoureuse, non. C’était plus de la reconnaissance pour connaître si parfaitement le corps  d’une femme et de savoir l’exploiter à fond. Elle était vidée mais elle gratouilla les oreilles d’Ahri et l’embrassa, elle sentit un petit goût de sa cyprine dans la bouche d’Ahri.

-Tu as été si magnifique… Tu es comme une lionne devant une belle pièce de choix…

Elle lui caressa ses belles et splendides queues avec ses mains. Elle l’embrassa avec reconnaissance. Fania savait qu’il n’y avait rein de plus qu’un orgasme pour rapprocher les gens.  Fania s’installa sur les jambe d’Ahri et continua à caresser les queues.

-Alors, ma belle ? Quel est la suite du programme ? Tu comptes me faire jouir à nouveau ou que je te fasse jouir ? On pourrait aussi utiliser la clochette… C’est toi qui vois. Tu as su bien choisir tes arguments jusqu’à présent. Mais, je suis quelqu'un de très lubrique et j’adore jouir….

On pouvait déceler dans le regard de Fania, un étrange regard lubrique. Elle venait de coucher mais manifestement depuis le début de la soirée c’est la première fois que Fania s’adressait à Ahri en position de soumise. Les rôles s’étaient inversés. Fania n’avait pas l’habitude qu’on la conteste mais Ahri lui avait prouvé ses compétences et elle était très heureuse d’être avec elle. De plus, les différents aphrodisiaques abaissaient considérablement ses barrières psychiques.

-J’ai tellement envie que tu me prennes avec tes queues… Tu es si belle et tu mets tellement de cœur à l’ouvrage.

Inconsciemment, Fania se mettait devant le rôle de la petite fille qui cherche à obtenir les faveurs de sa mère. C’était comme si elle savait qu’Ahr était plus vieille qu’elle.

La cliente du jour pouvait s'en rendre compte, je jouais avec elle. Je voulais bien lui prouver que j'étais le fil conducteur, et que ses « ordres » n'en étaient pas.
- Tu veux te … faire…. désirer…. ma belle…. ?

Toutefois, elle fut satisfaite quand, lorsqu'elle fut sur le point de céder, je lui apporte ce qu'elle voulait. Fania après avoir mis une de ses mains sur mon crâne, dans une volonté de me laisser aux premières loges pour sa jouissance, se mit à crier, et à crier fort :
-- AAAAHHHHH….. AHHHHHHRRRRIIIIIIIII !!!!!!!! AAAAAHHHHHHHH…. OHHHH…. AHHHHHRRRRRIIIIIIII…..

Et j’eus ainsi la délicieuse surprise venant d'elle, elle déversa une très belle quantité de cyprine en plein dans ma bouche et sur mon visage, sur les draps du lit aussi, car je ne pouvais contenir le tout. Pour la première seconde j'avais été surprise, j'ai tenté de reculer, la main de Fania me retenait un minimum, après la surprise, j'en savoure toute l'intensité, en absorbant le plus possible. 
Quand Fania eut cessé, les draps étaient bien gorgé, je n'avais plus soif pour les deux jours à venir et mon orbe allait se satisfaire avec le reste. En parlant de celle ci, je l'avais désormais en main pendant que je me relève. Fania était sonnée, même si elle pouvait encore voir, et ainsi assister à mon petit repas. Mon orbe se mis à luire lorsque je l'approche de mon visage, ôtant ainsi par la même occasion toute cyprine s'y trouvant, je passe aussi mon orbe dans ma bouche, brièvement. J'avais envie de garder un peu du goût, je passe ensuite l'orbe sur son entrejambe. Elle devais sûrement ressentir comme des petites succions un peu partout ou c'était humide. Je terminais finalement avec les draps imbibés, lorsque mon orbe cessa de luire, les draps étaient secs, mais avaient gardé l'odeur, une petite partie du liquide ayant été absorbée par le tissus avant mon orbe.

Ah, inutile de dire que j'avais bien peu bougé, si sa main avait quitté ma tête, elle me retenait toujours de ses pieds. Je retire finalement mon orbe, le reposant à coté du sac qui n'avait de toute façon pas bougé d’à coté du pied du lit. Fania arrivait finalement à se redresser, elle vint jouer un peu avec mes oreilles et m'embrassa.
- Tu as été si magnifique… Tu es comme une lionne devant une belle pièce de choix…


Elle me complimentait, elle avait pourtant été relativement simple à faire jouir. Il n'était pas non plus très ardu de faire jouir les humains non plus. Pour les hommes, remuer du bassin et jetant quelques phrases vulgaires et provocantes suffisait. Pour les femmes, savoir où placer langues, doigts et dans mon cas queues étaient un prérequis. Fania parvenais à se relever, ce qui en soi était déjà un exploit en soi. La jouissance pouvais servir de purge, mais pouvais occasionner une belle perte d'énergie provoquant les somnolences. Nombre d'humains se faisaient plaisir pour s'endormir, ou se réveiller, ou les deux. Aussi provoquer la jouissance était un moyen d'endormir ou de réveiller les gens. Pour Fania, logiquement c'était le sommeil à l'heure actuelle.
Ou peut-être songeait-elle que je serais du coup la seule à ne pas jouir de la situation et qu'elle voulait y remédier ? Ce serait louable de sa part et tout à son honneur, mais aussi un peu fou. Comment dépasser, en tant que simple humain, une créature qui prouve que sa réputation en lubricité et luxure n'est plus à faire ?
- Alors, ma belle ? Quel est la suite du programme ? Tu comptes me faire jouir à nouveau ou que je te fasse jouir ? On pourrait aussi utiliser la clochette… C’est toi qui vois. Tu as su bien choisir tes arguments jusqu’à présent. Mais, je suis quelqu'un de très lubrique et j’adore jouir….

La refaire jouir ? Sachant qu'elle ne pourrait jouir que deux fois - au plus, et elle venais d'en faire une - avant d'aller une bonne fois pour toute au pays des songes, ça restait à voir. Me faire jouir ? En soi, pour elle espérer me voir jouir révélerais autant du fantasme que du miracle. Il n'était pas question de toucher à cette clochette, je voulais la voir s'effondrer uniquement grâce à moi seule, un point, c'est tout.

Fania avait envie de continuer, cela se voyait dans son regard. Aussi, j'eus une idée. Espérons qu'elle y soit consentante, si c'était le cas, j'allais m'amuser, tout en lui laissant de son point de vue une chance supplémentaire de voir la chimère de ma 'jouissance'.
- J’ai tellement envie que tu me prennes avec tes queues… Tu es si belle et tu mets tellement de cœur à l’ouvrage.

Oui … En parlant de queues, elles se mirent à agir en la caressant de nouveau, sur les seins comme à l'entrecuisse, dans le cou et sous les bras aussi. Et si elle acceptait ma proposition,  elle allait probablement en gagner une personnelle temporairement...
- Puisque tu insiste, je te propose un petit jeu. ♥
J'ai emporté en secret un certain nombre de médicament ayant pour effet de se procurer un membre masculin, la durée n'est pas bien longue, dix minutes au mieux. Je te propose de jouer avec moi en premier, puis je prendrais le second, toi le troisième et ainsi de suite, jusqu'à ce que l'une de nous deux jouisse.♥
Pour que ce soit un peu équitable, tu peux utiliser les jouets de la pièce hormis la clochette et je n'utiliserais pas mes queues quand ce sera à moi de jouer. Ça te semble convenable ? ♥

Je lui proposais un jeu amusant - oui, pour moi le sexe est tout autant un jeu qu'un moyen de longévité et de la nourriture – mais il ne fallait pas se voiler, la bataille était inégale, quand bien même je partais sur un handicap. Le médicament à meilleur effets après plusieurs prises, or si Fania n'en avait pris aucun jusqu'à maintenant, et moi plus d'une cinquantaine de fois.  Toutefois l'avantage apparent que pourrait avoir Fania serait probablement intéressant pour elle.

Fania avait rapidement vu l’orbe mais elle ne s’en occupait pas. Elle trouvait plutôt mignon qu’un aspirateur permettait d’aspirer la mouille qu’elle avait utilisée. Ces engins magiques… On ne savait plus quoi inventer de nos jours. Elle écouta Ahri lui parlait pendant qu’elle lui donnait des petits coups de langue sur le cou d’Ahri et qu’elle ressentait les queux d’Ahri. Elle se leva en laissant ses fesses se dandiner et se rapprocha de la clochette.

-Depuis, le début on obéit à tes règles et tu les dictes de telle manière à ce que je puisse pas gagner. Mais les règles, elles sont faites pour être brisées. Si je veux gagner…. Il  faut donc que je vis les interdits ! Je vais appeler deux esclaves…  ou plutôt une flopée d’esclaves… On en choisira deux et on testera tes pilules sur elle, on pourra utiliser les instruments de la pièce et la première qui arrive à faire jouir sa partenaire à gagner.

Elle ne lui laissa pas le temps de réflexion et elle fit sonner la cloche. Aussitôt la tenancière surgit à la porte.

-Que puis-je pour vous ?

-J’aimerais avoir le panier exotique. Elles obéiront à moi-même ainsi qu’à Ahri…

-Vous connaissez le tarif c’est 10 pièces de platines.

-Oui, je sais mais Ahri en vaut la peine croyez-moi. D’ailleurs restez vous aussi, je sais que vous aimez bien ce genre de jeu…

-Je reviens…

Clara revint quelques minutes plus tars avec cinq esclaves. La première s’appelait Léa et elle était très nymphomane. La deuxième s’appelait Elsa et elle était terranide soumise de naissance. La troisième s’appelait Farah et sa peau était sombre. La quatrième s’appelait  Elizae et c’était une elfe rousse. La cinquième était une tekhanne qui avait abandonné son statut de militaire et s’appelait Lia.

-Vous avez fait vite Clara… Vous devez vraiment être excitée par le petit jeu qui se prépare. Ma belle Ahri, je te présente Clara, Léa, Elsa, Farah, Elizae et Lia. Elles ont chacune pleins de bras et elles pourront caresser tes queux pendant que tu coucheras avec l’une des leurs. Choisis en une et montre moi comment fonctionne ces petites pilules. Chacune de ses filles vont chercher à te satisfaire puisque je n’y arrive pas toute seule et que tu le mérites tant.

Aussitôt dit aussitôt fait chaque fille se mirent à caresser chacune des queux d’Ahri Ahri n’avait peut être pas l’habitude de se faire caresser ses queux en même temps. Fania se dirigea sous la robe d’Ahri.

-En fait, avant que l’on fasse le jeu, je vais te satisfaire comme je te l’ai dit avant. Crie mon nom quand tu jouiras….

Et, Fania se mit un faire un jolie cunnilingus léchant les entrailles d’Ahri, les dévorant mêmes. Pendant ce temps, les filles vinrent se coller contre Ahri et elle pouvait sentir des seins et des minous se frotter contre elle pendant que ses queux se faisaient masser par des mains de professionnelles. Fania ne doutait pas qu’Ahri succomberait à ce traitement d’honneur, elle voulait la voir jouir, la voir reconnaître que c’était elle la maîtresse et pas l’inverse. Ahri prenait beaucoup trop de liberté depuis le début, elle allait le payer cher…

Lia

http://th08.deviantart.net/fs71/PRE/i/2014/119/a/4/sci_fi_courtesan_by_keleus-d7ft20a.jpg

Elizae

http://fc08.deviantart.net/fs70/i/2014/007/c/6/_c__elves_by_lufidelis-d70n0oq.png

Farah

http://th03.deviantart.net/fs70/PRE/f/2013/290/e/8/malika_makeda_by_dameodessa-d6qs1al.jpg

Elsa

http://fc09.deviantart.net/fs11/i/2006/242/6/f/Furry_Pin_up__by_Sirenz.jpg

Léa

http://fc01.deviantart.net/fs70/f/2012/340/7/7/771417694c88d04e3ffddaf991e79050-d5n9muq.jpg

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Pour toute réponse à ma proposition, elle se leva et pris la clochette. Que comptait-elle en faire ?
- Depuis le début, on obéit à tes règles et tu les dictes de telle manière à ce que je puisse pas gagner. Mais les règles, elles sont faites pour être brisées. Si je veux gagner…. Il  faut donc que je vis les interdits ! Je vais appeler deux esclaves…  ou plutôt une flopée d’esclaves… On en choisira deux et on testera tes pilules sur elle, on pourra utiliser les instruments de la pièce et la première qui arrive à faire jouir sa partenaire à gagner.

Puis sans attendre, elle agita la clochette. De deux choses l'une. J'allais considérer la paye comme trop facile et je risque fort de la refuser. Mais ce n'était qu'un moindre mal, car de plus, je ne suffisait pas, ça restera indiqué dans mon premier test que la cliente a été peu satisfaite de moi seule. Même si ça ne se note pas et que ce n'était pas le but recherché, il ne fallait pas s'imaginer penser normalement quand on est une créature non humaine.
Entre Kitsune, c'est la tout simplement la honte de recevoir la proposition d'une humaine, d'accepter et ne pas réussir à la satisfaire seule.
Je tente de garder ma déception pour moi, derrière un visage impassible, mais un point ne trompais pas, mes pupilles. Malgré l'obscurité de la pièce, elle étaient extrêmement fine, presque comme si je n'en avait plus , signe que quelque chose m'irritais profondément.
Ce qu'il y a avec le plan de Fania, c'est qu'elle recevrait finalement l'inverse de ce qu'elle pensait obtenir. Si elle songeait qu'apporter plus de filles à mon égard était une bonne chose, c'était en fait le contraire qui se passerait. J'allais être moins efficace et j'allais moins réagir aux stimulations. Pour faire court... Une personne de trop ? deux fois plus de sexe, deux fois moins sensible. Six personnes de trop ? Six fois plus de sexe, six fois moins sensible.  De plus, la lubricité dont je fait preuve peux pratiquement me laisser généralement insatisfaite, même après une orgie. Comme un homme qui aime prendre une chope et lever le coude, mais qui jamais n'est tombé ivre et qui chercherais la boisson parfaite pour le devenir.  

Entre temps, du monde s'était attroupé, ce que je pouvais ressentir plutôt que de la joie était un sentiment de gêne et de honte, comme si six des sept filles devant moi se moquaient de mon incapacité à suffire à une simple humaine. J'avais même pratiquement envie de partir malgré l'orgie qui s'annonçait, c'est dire.
- Vous avez fait vite Clara… Vous devez vraiment être excitée par le petit jeu qui se prépare.

Non, elle rêvait de pouvoir corriger une insolente kitsune qui ne savais contenter une seule femme et qui pourtant à son propre bordel.
Ma belle Ahri, je te présente Clara, Léa, Elsa, Farah, Elizae et Lia.

On s'était déjà rencontré avant, ce n'était pas la peine ... J'étais de très mauvaise foi et ça n'allait pas aller en s'arrangeant. Je considérais le jeu actuel de Fania comme un véritable affront rappelons le.
Elles ont chacune pleins de bras et elles pourront caresser tes queux pendant que tu coucheras avec l’une des leurs.

Plein de bras ? Elle n'en ont que deux chacune, avec elle ça faisait... euh... sept, plus sept... quatorze... Heureusement que j'avais appris à compter un minimum... Certes, ça faisait plus que mes neufs queues, mais je conservais toujours un avantage, à savoir la force pure, pour mes queues, et la magie. Certes, je ne pourrais en toucher qu'une à la fois, mais ça ne ferais plus sept contre une mais deux contre six. On partait sur de mauvaises bases.  
Choisis en une et monte moi comment fonctionne ces petites pilules.
Super... Confirmer le fait que j'ai emporté mes pilules face à celle qui ne m'autorisais pas à les prendre et ce avant même la rencontre... Ça partait de mal en pis... Dans la suite, il ne manquait plus qu'elle demande des dagues pour me crucifier sur place et un collier d'obsidienne pour n’empêcher de m'en sortir
Chacune de ses filles vont chercher à te satisfaire puisque je n’y arrive pas toute seule et que tu le mérites tant.

Ce ne fut concrètement que cette phrase qui aurait pu être retenue comme étant positive. Toutefois, l'état dans lequel j'étais m'empêchais de ressentir la moindre gratitude. Ni la moindre sensation quand les filles passèrent derrière moi pour me caresser les queues. J'étais sur les nerfs, dans un état qui à la fois me donnais envie de tout briser et de me fondre dans le décor, ou encore de tout annihiler. Et dans cet état, je ne ressentais pas le moindre plaisir. Elle pourrait jouer avec moi aussi longtemps qu'elle le désirait, je n'aurais pas davantage de réactions.
Fania se glissa sous ma courte robe avant de dire :
- En fait, avant que l’on fasse le jeu, je vais te satisfaire comme je te l’ai dit avant. Crie mon nom quand tu jouiras….

Crier son nom ? Quand je jouirais ? Il m'en faudrait bien plus actuellement. Dans l'immédiat, je rejetterais les avances de cette pièce, rentrerait chez moi avec deux mâles terranides fraîchement capturé, encore sauvage, pour qu'ils me prennent violemment. Une verge ou deux bien dure et des muscles saillants à tâter... Rien que cette idée me fit glisser un peu dans le plaisir personnel...

J'étais tellement peu réceptive aux plaisir corporel en ce moment que je n'avais ici qu'une simple forme de supplice. On pouvait dire effectivement que c'était pratiquement la première fois que je ressentais ça... Du moins en tant que presque humaine, en tant que renarde les périodes de reproduction me donnait un arrière-goût similaire.

Fania y mis de l'entrain, sans douter une seconde que son plan avait totalement changé mon point de vue sur la partie actuelle. Quand bien même six alliées jouaient avec elle, je n'en tirais aucun profit. Je m'ennuyais. C'était aussi simple que cela. L'ennui. Autant je ressentais de l'ennui, car j'avais désormais en tête qu'une humaine n'avait pu se satisfaire de moi seule, et cette simple pensée pouvais tant me déprimer que je pourrais me changer en renarde et m'exiler de Nexus à tout jamais sur-le-champ, autant le plaisir que l'on tentais de m'offrir était fade. Oh, bien sûr, je pourrais faire semblant, en gardant les traits attentifs je pourrais prononcer les bons soupirs au bon moment et je pourrais même simuler un peu de mouille histoire de faire joli. Mais le cœur n'y est pas, et n'y sera pas...

Puis, un petit truc se ravivait. Pas grâce aux efforts des sept femmes sur moi, mais une pensée qui viens chasser mon sentiment de déprime actuelle pour le troquer avec la compétition à laquelle j'étais habituée. Cet esprit de compétition remplaçait à la perfection cette minable déprime. Elle ne semblait pas pouvoir gagner seule, alors elle appelle des amies, soit. Je riposterais de la meilleure manière que je puisse faire, en les faisant jouir l'une après l'autre. Après tout, c'est comme si à table vous aviez faim et que vous étiez écœuré, mais qu'il fallait finir encore six assiettes ... et demie.

Elles purent remarquer une différence entre les débuts, ou je n'avais aucune forme de réaction « réelle » et une passivité maladive, et maintenant, car je relançais l'attaque. Il me sera difficile de toute les charmer, autant ne pas s'y risquer, mais user de mes queues actuellement n'est pas impossible. Plusieurs d'entre elles attaquèrent directement les parties exposées à l'air libre de chacune, les deux seins de l'une, les fesses de l'autre... L'une des filles avait déjà mouillé, et le trou à son entrecuisse était bien ouvert, comme l'a constaté une des queues qui s'est enfoncé dedans alors que cette dernière ne voulait que la caresser, mais il n'y avait pas que les queues, l'une des fille s'accrochait à mon bras, parvenant à le libérer, je lui offre dans la foulée des caresses bien sentie sur son entrecuisse, et sans plus tarder, j'enfonce mes doigts dedans, rapidement, chacune des femmes allait être satisfaite.
Quand à Fania, eh bien je simulais, pour lui faire plaisir. Des répliques de 'la jambe qui se relève ''involontairement'' ', des 'petits soupirs' bien casés, des ''Han'' quand je le pouvais, ce qui était un peu difficile avec celle à la couleur de peau différente qui enfonçait son aine dans ma bouche.  Rien ne laissait indiquer que je simulais, même si au fond, je m'ennuyais ferme, il fallait cependant conserver un minimum de dignité - si tant est que j'en aie - et parvenir à faire jouir les femmes qui tentaient elles aussi de me faire jouir.

Les filles s’étaient mises à l’action et avait commencé à caresser les queux pendant que Fania s’occuper de faire un cunnilingus à la kitsune.  Toutefois, elles ne s’attendirent pas à la suite. Léa qui s’occupait d’une des queux, constata que cette dernière alla se lover contre ses seins et commencer à caresser ses seins. Sentir le doux pelage contres seins l’excita profondément. Elle continua de caresser cette queux qui se montrait si courtoise envers elle. Les autres étaient un jalouse de Léa. Lia se faisait cette remarque quand elle sentit sa queux se dirigeait vers ses fesses et tentait d’y pénétrer elle laissa faire car elle avait toujours apprécié de se faire prendre par les fesses. Tout ce spectacle excitait beaucoup Elizae qui en mouillait d’avance. Elle put sentir une queux glisser sous son entre jambe et la pénétrer, elle cria un peu pendant la pénétration et Fania songea que la kitsune appréciait le cunnilingus. Elsa caressa le bras d’Ahri espérant avoir une petite faveur de la belle. Cette dernière la caressa dans son entrejambe elle se laissa aller en jouant avec les queux. Farah était très jalouse de ses amies car s’était la seule à être délaissé, elle décida de prendre le taureau par les cornes et de coller son aine sur la bouche d’Ahri. C’était une posture provocative. Elle était aux anges quand elle sentit la langue râpeuse touchait son aine. Clara était collé contre les dos d’Ahri et s’occupait de la base ou partait toutes les queux, c’était la seule qui s’occuper de sa tâche sans se préoccuper qu’Ahri s’occupe d’elle. Elle envier ses camarades mais le travail d’abord. La chef devait montrer l’exemple.

Fania continuait de lécher le clitoris d’Ahri quand elle se rendit compte que quelque chose clochait elle sortit sa tête de son entrejambe et regarda le spectacle de dépravation que les prostituées qu’elle avait engagées se faisait. Ahri ne respectait pas les règles du jeu. Elle méritait une punition… Elle laissait aux bon soins les queux aux jeunes femmes et s’asseya sur les jambes d’Ahri. Une main s’occupa de caresser l’entre jambe, l’autre était surs ses seins. Elle essayait de frotter son corps contre celui d’Ahri. Sa bouche s’attaquant à ses tétons. Elle ovulait que ce corps jouisse… C’était si dur à obtenir ? Elle avait vu ses camarades prendre leur pied et doutait qu’elle parvienne à obtenir ce qu’elle voulait. Elle ne comprenait pas pourquoi la kitsune ne voulait se laissait aller. Les gens pratiquait essentiellement le sexe pour la jouissance que l’on éprouvait mais la kitsune elle s’en fichait. A quoi bon pratiquer le sexe dans ces conditions ?

Fania se posait ses questions. Pendant, ce temps, les filles était de plus en plus excitée. Bien sur, elles obéissaient aux directives et elle avait réussit à caresser toutes les queux. Toutefois, elles se laissaient aller dans la dépravation la plus totale. C’était si bon. Comment refuser ? Elizae était d’ailleurs au bord de la jouissance. Lia s’en rapprochait aussi. C’était des catins et elles adoraient le sexe, ce n’était donc pas bien dur d’arriver à les faire jouir. Clara entendait tous ces corps en chaleur et commença donc à se toucher mais elles continuaient son ouvre avec acharnement. Elle glissa à l’oreille de la kitsune qu’elle voulait jouait. C’était presque une plainte dans sa voix. Farah se lâchait totalement face aux assauts de la langue et répéter sans cesse que c’était bon qu’il fallait continuait Elsa laissait la main d’Ahri rentrer en elle librement et criait son nom. Léa mouillait de plus en plus fortement par le pelage doux de la kitsune.

Une petite voix s’exprima :

-Alors ma belle, j’ai bien fait d’avoir amené ces jolies créatures ? Tu as l’air de t’en donner à coeur joie.

C’était Fania qui admirait le spectacle et qui trouvait que la kitsune était très forte dans son domaine. Ce n’était pas donne à tout le monde résister à l’assaut de d’autant de femmes. La kitsune était une grande perverse.