Les territoires d’Ashnard, j’y vais de temps en temps, vue mes voyages qui sont de plus en plus fréquent. Je voyage souvent de Nexus jusqu’à Ashnad ou jusqu’à qu’à Tehkos. Qu’importe les guerres, un assassin n’a pas d’honneur, ni de lois ou même de partis pris, enfin… Oui j’ai un partie pris… Celui de l’argent. L’argent mène le monde dit-on? Oui, cela est vrai, l’argent mène les gens et surtout les assassins qui se déplacent pour ce métal si précieux aux yeux des gens. Je suis de ce genre, donner moi de l’argent et je me déplacerais pour répondre à ce sordide travail que vous m’offrirez, car je sais que ceux qui demande un assassina ne désire pas avoir du sang sur les mains comme moi cela ne me pose aucun problème.
Un contrat fut signé à la guilde assassine, on m’avait réclamé en les terres d’Ashnard, voilà donc pourquoi j’étais ici. Je marchais, lentement, cacher sous cette sombre cape qui recouvrait mon corps. Je me dirigeais à pas lent vers cette citadelle du nom d’Edea. Connus, réputée et souvent c’est dans ses cas là qu’ils se passent le plus d’évènement qui nécessitais les assassins. On me disait que c’était une personne dans l’entourage du baron même qui me faisait quérir, voilà qui est intéressant, une bonne part d’argent m’était même offerte, voilà qui était encore mieux, mes runes en frémissait sous le désir que j’avais face à cette choses si humaine.
Après quelques heures me voilà face à Edea. J’observai la citadelle et lentement j’y entrai telle une ombre subtile en passant entre les gardes comme si je n’étais effectivement qu’une ombre solitaire. Lentement je progressai dans cette ville avec aise, facilité et surtout connaissance, je visitais la ville, posant de petite runes à quelque croisement pour être sure que s’il se passait qu’elle que chose je pourrais aisément m’échapper, ne sait-on jamais, les humains sont des êtres avares et parfois bien surprenant. Voilà pourquoi à présent je ne prends aucune chance, je ne veux pas me faire surprendre, je n’aime pas les surprises et surtout quand mes plans vont mal ou pas comme je l’espérais, généralement sa m’agresse au plus haut point et je deviens fort rapidement colérique.
Gare à ne pas mettre l’assassin en colère, sinon le matin vous vous réveillerez avec la gorge qui rit.
Voilà qu’après deux heures de marche et de runes apposés je fis un rapide brin de toilette pour me mettre prête à rencontrer le baron. J’arrangeai mes cheveux que je fis bien installer ce nœud pour tenir en place mes longs cheveux bruns. Je plaçai mon bandeau aux symboles runique sur mon œil vidés éternellement d’existence, un trou sans fond de vie. Je soupirai, observant mon corps à travers cette glace puis je regardai par la fenêtre, puis je plaçai mes diverses dagues sur mon corps, puis terminer de m’habiller. Mon reflet se fit et je pus acceptée mon apparence.
Je tournai les talons, partant vers l’extérieur de cette taverne pour aller vers cette demeure qu’on m’avait demandée de me rendre, j’y allais rapidement, sans presse, j’avais tout mon temps devant moi, là n’est pas mon problème vue que je peux vivre encore des centaines d’années face à moi, contrairement à ses humains, cela est une chose que j’aime, leurs petites âges face à moi qui peut vivre si longtemps et voir des choses bien plus qu’eux. Je soupira seulement une nouvelle fois alors que je me fis arrêter par des gardes surveillant la porte que je devais entrée.
« Halte, qui va-là? »
J’enlevai légèrement mon capuchon pour observer l’un des gardes.
« On m’a réclamée ici… Je viens sous la demande d’un certain Flawo… »
Les gardes la regardèrent puis ce regardèrent, ils semblèrent hésiter, puis se murmurèrent entre eux, c’était si ennuyant, car je pouvais les entendrent, mes oreilles pointues, bougeant légèrement à chaque murmures, c’était ennuyant. L’un des gardes me regarda et il dit de sa voix grondant et qui cherchait à se faire autoritaires, ce que je dut me faire violence pour ne pas lui rire en plein face.
« Venez elfe, on vous conduit à la salle d’audience. »
Ils se retournèrent, je suivis alors calmement les gardes, observant chaque détail de la demeure de ce noble. Les nobles, tous pareils… Oui effectivement tous pareils à chaque détails de leurs demeures. On s’arrêta devant une porte, je gardais mon visage camoufler sous cette capuche, l’ennuie dans mon visage aurait pu se lire s’il aurait été dévoilé au grand jour… Mais il ne le fut pas, pas pour l’instant.
J’attendis… encore… et encore… Une chance que j’ai une certaine petite patience.
Puis le moment arriva…
« Faites entrez Dame Väria…! »
Je ne pus qu’avoir un léger rire, moi une dame! Pfft! Ses humains tous des êtres particuliers avec leurs titres! Les portes s’ouvrirent alors que je fis mes pas dans cette grande pièce, je ne regarda personne d’autre que le baron, j’avançais, encore et encore jusqu’à être à quelque mètres du baron et je posa un genou au sol, faisant tomber cette capuche de mon visage pour dévoiler ma tête, mes oreilles légèrement pencher. Avant d’entrer on m’avait bien dépourvu de mes deux armes, bien que j’en avais plusieurs autres sur le corps.
« J’ai entendu dire que vous aviez besoin d’un assassin, un contrat fut signer pour que je me rende ici… À votre domaine où je pourrais avoir de plus vaste explication sur ce que vous désirerez que je commette et surtout la récompense promise. »
Je gardais la tête basse, j’avais tout de même un minimum de respect envers les personnes haut-gradé, voyons! Je m’étais tu, levant mon œil unique vers le baron, le calme restant sur mon visage alors que mon œil analysait de la tête au pied cet humain.