Patronyme: Mathilda Anastasia De Cuprum
Surnom: Sa famille la surnomme affectueusement "la Bricoleuse".
Rang: Noblesse Métallique
Age: 19 printemps
Sexe: Jeune damoiselle
Race: ESPer
Orientation sexuelle: Pansexuelle, si on prend en compte ses ébats avec des machines.
Mathilda est un joli brin de femme bien proportionné, possédant de longues jambes glabres, des bras fins, un ventre plat, et des hanches pleines, qui laissent deviner un fessier doux et tendre. Sa poitrine n'est pas volumineuse, et est même plutôt discrète, généralement comparée à deux petites poires mures, par la noblesse vaporeuse. Sa courte chevelure de feu est éméchée et toujours coiffée de sa paire de lunettes d'artisane, et ses beaux yeux bleus sont souvent comparés à deux Solsticium raffinés, ce qui, sur
Mecanicae Imperium, passe pour un beau compliment.
La tenue de Mathilda se compose essentiellement de cuir, de tissu bordeaux et de pièces en étain. La sacoche accrochée à sa taille contient quelques pièces d'or ainsi que quelques Solsticium, qu'elle utilise pour ses inventions. Elle évite toutefois d'en porter trop, afin d'éviter qu'elle n'entrent en résonance avec celles incrustées dans son bras mécanique – un prototype d'exosquelette, qu'elle met au point à ses heures perdues – et ne créaient un conflit dans son fonctionnement. Son ensemble est certes court, mais reste très sexy malgré tout, ce d'autant plus qu'elle est complétée par de longues bottines en cuir, qui lui arrivent un peu au niveau des genoux, ainsi que par de longs collants de soie bleus.
Comme sa tenue le laisse suggérer, Mathilda est une artisane dans l'âme, et se complaît bien plus dans les rouages et la tuyauterie de ses créations, plutôt que dans la bienséance et la soie de la haute noblesse. Bien que pratiquement tout les Vaporéens pratique l'ingénierie et la mécanique, quelque soit la strate de la société, la jeune femme est probablement l'une des rares noble, née avec un tournevis dans la main. Elle peut passer des journée entières enfermée dans son atelier, à dessiner des plan et bricoler des bidules, avant de sortir tester ses engins sur le terrain. D'ailleurs, celui-ci est un vrai chantier et rares sont les documents rangés, tant Mathilda est concentrée sur ses inventions. Il lui faut même parfois plusieurs heures, avant de retrouver quelque chose. Hyperactive, elle peut travailler plusieurs heures d'affiler sans prendre de pauses, avant de s'endormir sur sa table de travail, au beau milieu de la nuit.
De façon générale, Mathilda est véritablement passionnée par l'ingénierie, pouvant observer le fonctionnement d'un mécanisme durant des heures, sans se lasser. A contrario, la noblesse et la politique l'intéressent peu, voir même pas du tout. Trop de protocoles idiot à retenir, trop d'hypocrisie, trop de mièvreries, bref, que des comportement qui ne font que l'agacer, elle qui est plutôt franche et directe, n'usant jamais de faux-semblants.
Les
De Cuprum ont toujours été un rouage important de la grande mécanique qu'est l'empire de vapeur. Possédant de nombreuses forges et métallurgies, cette entreprise familiale est le plus grand fournisseur d'armures de l'empire, spécialement lorsqu'il s'agit des Marcheur, le cuir étant plus adapté aux voltigeurs. Cependant, n'allez pas croire qu'ils se salissent les mains dans les usines. Certes, ils en sont les dirigeants, mais la famille est essentiellement composée d'ingénieurs et de politiciens. Malheureusement, la nouvelle génération, uniquement composée de femmes, est d'avantage intéressée par les arts, tels que la musique, que par la conception de machines. Ou du moins, presque toutes.
Mathilda est la dernière d'une fratrie de trois sœurs, plus âgées qu'elle de quatre et sept ans. Très tôt, la jeune fille s'intéressa à la subtilité des mécanismes les plus complexes et aux doux ronronnement des machineries, passant des heures à regarder les rouages tourner, cherchant à comprendre leur fonctionnement. Soulagé de voir enfin une de ses filles intéressée par la mécanique, il initia sa fille cadette à l'ingénierie dès l'âge de six ans, et la petite s'avéra être une élève attentive et enjouée. Parfois, son père concevait des puzzles et des casse tête, qui avaient pour but de développer autant la débrouillardise que les capacités de réflexion de sa fille. Et, lorsqu'elle résolvait l'énigme, apprenait ensuite à reproduire les mécanismes. Augmentant de manière constante ses capacités, le père de famille décida bien vite de faire d'elle l'héritière de ses entreprises, estimant plus judicieux de confier les rênes à une personne qui connaissait les ficelles du métier, qu'à de jeunes dindes se complaisant dans la musique. D'autant que sa femme faisait tout pour que ses filles intéressent l'empereur, espérant par leur biais intégrer la famille impériale.
C'est vers l'âge de 12 ans que Mathilda commença à étudier les Solsticium. Si elle se révéla bien vite incapable de pratiquer les Arias, la jeune fille compris à l'inverse comment les appliquer dans les mécanismes et la manière qu'ils avaient à complexifier d'avantage encore ces derniers. C'est à cet âge là que la jeune fille commença à passer de longues heures enfermée dans sa chambre, à bricoler divers appareils tous plus inutiles les uns que les autres, mais servant avant tout à peaufiner sa compréhension des systèmes important les pierres de mana, jusqu'à ce qu'elle découvre, pratiquement par erreur comment associer les Solsticiums à un mécanisme, pour augmenter la force exercée par un corps. Depuis ce tournant dans sa vie, Mathilda s'escrime à développer un exosquelette capable de décupler la force d'un homme par deux, et pourquoi pas d'avantage encore.
Il lui fallut néanmoins cinq ans, avant de parvenir à réaliser son premier prototype, un bras mécanique alimenté et contrôlé par cinq Solsticiums, chacun imprégné d'une Aria différente. C'est en présentant son invention, au concours annuel des jeunes prodiges de l'empire, qu'elle parvint à intéresser l'armée, qui trouva son invention particulièrement utile. Ce concours lui permis ainsi d'obtenir, de la part de la famille impériale, un atelier dans
le quartier des inventeurs, ainsi qu'un accès plus libres aux matières premières. Ainsi, depuis deux ans maintenant, Mathilda ne cesse d'améliorer sa création, la rendant plus légère, mais également plus puissante. Et elle est même parvenue à ajouter une arme dans la paume du gantelet mécanique. Il lui reste pourtant de nombreux prototypes à concevoir, avant d'atteindre son but...
Elle s'est déflorée avec une de ses machines, mais n'a encore jamais couchée avec quiconque. Cela est dû au fait qu'elle ait passée pratiquement toute son adolescence entre quatre murs, avec pour seule compagnie ses inventions, ainsi que son père qui lui rendait tout de même visite. Mathilda a donc découvert la sexualité en se frottant l'intimité par accident contre la tuyauterie de l'atelier familial. Elle s'est depuis conçue un "fauteuil de réflexion", qui l'aide à se détendre lorsqu'elle stresse et ne trouve pas de solution à son problème. Il s'agit en réalité d'une machine sexuelle, avec des godes montés sur pistons et vérins, pratiquement sa seule partenaire sexuelle.
Mathilda est une véritable professionnel en ingénierie mécanique et magique, et sait exactement comment faire fonctionner tel Solsticium dans tel mécanisme. Avec son esprit vif qui carbure à deux cent à l'heure, elle analyse rapidement les systèmes et y apporte les corrections requises en un temps record. En revanche, si elle sait manipuler les Solsticiums, elle est au contraire incapable d'incanter une Aria sans faire une faute tout les trois mots. La jeune femme n'as jamais réussie à retenir la moindre formule magique, et encore moins à les réciter sans causer de désastre.
Actuellement, son grand projet est de créer une armure exosquelette complète, à la fois légère et lourdement armée pour l'armée de Mecanicae et capables de décupler la force des soldats (
un peu dans le même style que les armures Dwemers de Skyrim ). Pour l'heure, elle n'a réalisée que deux trois prototypes de gantelets et de bottes, pouvant dors et déjà être utilisés aussi bien par Les Marcheurs que les Voltigeurs.
En tant qu'ESPer, Mathilda dispose d'un pouvoir lui permettant de manipuler la graviter sur un rayon de dix mètres maximum autour d'elle. Bien qu'elle l'utilise principalement pour tester la puissance de ses prototypes, il lui arrive parfois d'annuler la gravité sur sa personne, ce qui lui permet alors de flotter dans les airs. Bien entendu, il s'agit d'un pouvoir qui fatigue tant physiquement que mentalement, ce en quoi la jeune femme s'exerce, afin de faire durer ce pouvoir dans son utilisation dans le temps. Du moins, entre deux bricolages...