Hmm...Détend-toi Ludya... Je pense que c'est le genre de chose qui s'apprend... sur le terrain.
Et je devine en toi...Hum... l'âme d'un explorateur...
J'aime... beaucoup partir à l'aventure oui... J'aime beaucoup découvrir... Tout un tas d'trucs... Mais on peut aussi facilement se perdre en cherchant son chemin dans l'univers... en explorant ce monde... où même toi...
Il aimait tant l'entendre et voir la façon dont toute sa vie et ses expressions à elle l'animaient quand elle lui répondait, oui il l'observait beaucoup et était même trop prudent sans doute avant de partir à sa découverte... Elle avait ces petites manies pour repasser certaines de ses mèches derrière ses jolies oreilles de renarde, puis cette façon de le regarder puis de ne même plus le regarder, faisant mine de... De faire comme si tout ça lui était égal ? Où comme si ça lui faisait... Pas grand chose ? Elle le perdait sur certaines de ses expressions comme s'il attendait quelque chose, en fait il attendait trop de signaux d'accords où quelque chose d'exprimer par son corps où sa manière de le regarder mais c'était touuuut le temps indécis jusque là parce que tantôt elle le regarde avec ce pétil et cette fièvre dans les yeux puis tantôt elle détourne la tête comme si elle ne faisait plus attention à sa présence où que rien de tout ça n'avait d'importance, lui à son tour s'en redresse en penchant la tête sur le coté en ayant du mal à interpréter des signaux qu'il n'a jusque là pas encore appris à déchiffrer, ça jouait un peu sur... Sur sa sensibilité où ses nerfs, comme si elle cisaillait sa patience qui serait le crin tendu d'un violon et elle, minaudait en faisant mine de oui et de non avec la finesse d'un archet qui voudrait scier sa corde.
Une corde drôlement résistante parce que ce genre d'attitude le faisait énormément douter ! Il à l'impression, enfin... Il sait au fond de lui qu'il devrait céder non ? Mais mais, maiiiis... Il est plus malin qu'il n'en à l'air, ouie ouie ouie, hihi... Il apprenait vite et il savait quelle chipie, quelle roublarde elle s'aimait à être ! Alors c'était compliquée cette histoire parce qu'il en jouait aussi avec subtilité il répondait où pas à ses appels du corps, du regard, tant que c'était pas précis, tant que la communication était volontairement brouillonne lui aussi tâtait là d'un pas vers l'avant puis de deux vers l'arrière où de deux en avant puis un en arrière, v'la. S'il écoutait sa raison, même si elle se fait drôlement ronger par ses envies, s'il l'écoute et écoute sa propre envie de jouer avec elle, y avait pas de raison de se presser !
Il papillonnait des paupières, clignait rapidement des yeux quand elle posa sa main sur sa joue pour approcher de lui, il avait jamais eu l'impression d'être autant observé... Même si dans son centre de recherche y avait eu tout un tas de caméra le filmant dans tous les angles pour l'étudier il n'avait jamais ressenti l'impression d'être aussi détaillé et foudroyé par un regard, et quel regard... Il l'avait déjà dit mais ses beaux yeux... Ses iris rouges, cette lune sombre formant sa pupille l'hypnotisaient et jouaient avec ses sens comme la lune se jouait de la marée. Ca va par vagues et ça repart, des frissons, un magnétisme d'origine inconnu, ça va et ça revenait du bout de ses pupilles en amendes jusqu'au bout de sa queue ! En petits arcs hérissés laissant derrière eux un semblant de chair de poule.
Puis... Puis... Oh par toutes les créatures inconnues croupissant encore dans le fin fond de l'univers sans jamais qu'on ne les découvre un jour ! A ce magnétisme, ces électrochocs du regard, comme si c'était pas assez troublant déjà il fallut qu'elle fasse ça... Qu'elle saisisse de sa main la sienne, déjà ses doigts fins se faufilèrent trop bien entre ses doigts à lui, pas forcément plus épais de beaucoup mais la différence de chaleur puis de texture glissant l'une sur l'autre ça avait le don de le faire déglutir, sa gorge se noue en avalant difficillement sa salive puis sa respiration se bloque quand sa main voyage, guidée par la sienne jusqu'a sa joue à elle. Et il n'y a que lorsque ses doigts touchent et caresse la joue de Kaori qu'il relache le bloquage de son air, d'une aspiration profonde, comme s'il venait d'émerger à la surface d'une profonde piscine et reprendre son air, là aussi ses yeux venaient de s'écarquiller tout à fait de la même manière qu'un gosse surprise à pas savoir nager et venant d'éviter la noyade en ressortant des profondeurs des eaux pour prendre une profonde et puissante bouffée d'air.
Y se mit à respirer rapidement, même si c'était plus silencieux, à l'approche de ses doigts tout près de ses lèvres, il se mit à respirer, respirer, respirer ! Respirer ! Vite, vite vite si vite ! Ca se voyait presque pas parce que même s'il respirait vite son corps restait pratiquement immobile, comme dans une paralysie incrédule face à ce qui se passe, ses lèvres restant entrouvertes, juste, sa cage thoracique, son torse qui gonfle et se dégonfle à un rythme endiablé, et ça secouait pas son corps qui semblait parvenir à rester calme si ce n'est les turbulences stellaires des étoiles parcourant ses pupilles, ça faisait un peu comme si la vue hors du cockpit d'un vaisseau spatial en tourniquet rapide donnait sur un panorama d'étoiles vrillant sans cesse à l'horizon, ça pouvait même en devenir là aussi captivant et hypnotique.
Ah nan... Nan elle... Elle avait pas fait ça... Avec son doigt ? Si ? Haaaan purée il fond, soudain ses respirations rapides ralentissent mais se font plus, hmmm, plus lentes mais plus profondes et longues à l'entrée de son doigt entre ses lèvres, c'est comme si le bloquage de son corps s'était dissipé lorsqu'il se sentit happé en elle, une petite bille de sueur perla sur sa tempe et coula le long de sa joue jusqu'a son menton, elle coula sur l'imperméabilité lisse de la peau de sa joue et perla presque sèche de son tracé au bout du bout de son visage...
Ha... Nian... Tu... Haaaaaaaaaan... Mais... Maaaaais Qu'est ce que tu faaaaaaaaaais...
Pris d'une bouffée de chaleur et de sa station bloquée, interdite et bouche entrouverte aux yeux écarquillés façon merle en frit, il se décompose, ses traits se relachent et son corps s'assouplit, s'arque en laissant son doigt se faire entrainer là d'dans, ah oui pour en fondre il en fonds, ça se lit sur les traits de son visage, elle avait pas le droit de lui faire un truc comme ça, si ? Là elle... Elle allait trop loin ! Hum... Oui... trop... trrrooop loin... Ah ben qu'elle y aille... Oh oui s'il vous plait qu'elle y aille, il savait pas... C'est bien la première fois qu'on lui léche le doigt comme ça s'il était pas capable de se retenir d'entre ses lèvres entrouverte et s'il avait pas ravalé sa salive à temps il aurait peut être laissé une ou deux gouttes de salive échapper à ses lèvres tant c'était bon, tellement bon, captivé par la sensation, son esprit concentré dessus... Mais ça aurait vraiment fait dégoutant alors il se rappella de la ravaler juste à temps même s'il était passé à deux doigts de laisser sortir un filet de salive.
Elle cesse, elle cesse ! Elle à cessé ! Youhouuu ! Il peut reprendre ses esprits, hein ? que ? quoi ? qu'est ce qui s'était passé là ? Il cligne des yeux comme s'il venait de sortir d'un envoûtement où d'une transe, voyant des étoiles en regardant tout bête son doigt, retombant limite complétement égaré et ébahi sur son petit derrière, la regarde elle puis son doigt. Bon ! Ca va hein il va pas en faire tout un plat des heures durant aussi !
C'était que mon doigt mais... C'est bête... Mais J'ai cru... J'ai eu le vertige, J'ai cru que j'allais tomber dans ta bouche tout entier... Je suis bête hein.
Elle... Elle fait ces choses... Ces choses avec ses queues... Tellement de choses... Habiles, si dextres pour des appendices aussi épais de peluchonnage et duveteux, caressant et soutenant son visage qui le rendent tout chose, le parcourant de sa gorge au bord de ses mâchoires jusqu'au doux miel de ses joues avec ses mains, c'est sûr qu'après l'envoûtement de son doigt y avait de quoi le rendre complétement fou de désir, il arrivait pas à réfléchir, à raisonner, trop, trop de caresses haan et... et pas le moindre répit... Ses queues, trop nombreuses wouahou... Trop de... Trop de sensations à la fois, il se laisse attirer, charmé, fiévreux vers elle, c'est si chaud et doux entre ses mains et ses queues de renardes, qu'il en transpire très légèrement, de charmantes petites billes toutes fines naissant ci et là sur sa peau doraient de reflets mielleux son épiderme halé quand elles se mettaient à éclore.
Ces caresses, cette manière de l'inviter vers elle y avait pas de doute, plus de doute possible... Elle aimait ce qu'il faisait et elle voulait que ça continue, humhuumm... Y avait pas de spectacle plus joli que le visage de Kaori exprimant son désaroi et son envie, la torture de son âme à ne pas encore recevoir son du et maintenant il avait compris, c'est lui qui en jouait parce qu'il savait un peu qu'il était peut être pas assez rapide pour elle mais, l'en voir exacerbée et torturée de sa -maladresse- où inexpérience surjouée la rendait de plus en plus folle et c'était tellement drôle. Ah oui c'était drôle et même merveilleux de la voir comme ça, épanouie et imaptiente, hihi. Il maudirait presque son intelligence Abyssiane d'être encore capable d'analyser ce qui se passe et d'en faire certaines conclusions à un moment pareil ! Elle finirait par le maudir aussi s'il tardait trop non ?
Elle fait tout de même de ces choses avec ses mains et ses queues qui l'éveillent au désir qu'il peut produire chez une femme mais surtout qui l'éveille lui même à son propre corps et se découvre même des parties désirables qu'il n'aurait jamais pensé exister... Elle dessine où même redessine à son jeune esprit sa propre vision de lui même au travers du désir et de l'envie de ses mains choyant son cou et son visage, au moins pour elle il se sentait beau à travers ses doigts, à travers ses regards, si elle savait comme ça lui faisait tellement plaisir après certaines choses qu'il à traversées. Tellement de tendresse, d'invitation et d'envie à travers ses doigts, il peut pas résister à son appel.
Il ressentit la libération de ses lunettes hors de son front et de sa chevelure comme une délivrance, parce qu'il commençait à avoir chaud au contact aussi de cet accessoire, il lui avait posé une question qu'il savait déjà stupide s'il sagissait de son sexe, mais c'était plus fort que lui il fallait à la fois qu'il joue et se rassure.
... Ludya...
Non, ça ne fait pas mal... Au contraire...
J'ai très envie de sentir... hmm...Ludya... ta langue, tes lèvres, tes doigts.
La joue de Ludya glissa sur l'intérieur haut de sa cuisse droite, un baiser... Deux... Baiser... suivi du bout de ses griffes qui, sur la peau si sensible de l'intérieur haut de sa cuisse gauche se plaisait à tracer des cercles, et de sa douce voix, un peu vibrante et plus sensuelle, enjouée, il murmure de façon audible mais, comme une caresse aussi chatouilleuse que le bout de ses griffes :
Un baaaaallon de baudrrruuuuuche...
Puis recommence cette fois, avec deux griffes effleurées à peine, insupportables qu'elles étaient de leurs caresses chatouilleuses il recommença ce maudit chenapan ! Et sa prononciation était intentionellement lente sur les syllabes, ça allait de paire avec le rythme, l'allure insupportable et lente de ces chatouilles et des dessins dont le tracé était rythmé par sa voix et la longueur que prenait sa petite phrase idiote !
Deeeeuuux Baaaaallons de bauuuudruuuuche hihi...
Et encore ! Trois doigts cette fois :
TRRRrrrrroiiiis... Baaaaallooooons de... bauuuuudruuuche... hmmm ? Encore un non ?
Et puis ce n'était pas tout parce qu'a chacun des tracés effleurés de ses ballons auquel il rajoutait depuis le début, en premier seulement l'index, puis l'index et le doigt du milieu, puis trois, puis quatre doigts, lorsqu'il prononçait ces mots il laissait la douceur d'une haleine fraîche glisser le long de ta cuisse, ses lèvres se rapprochant si près de l'aine, sur la peau tout autour de tes lèvres... La vibration de sa voix et de sa joue contre ta cuisse... toujours plus près... Piti à petit... A quelques centimètres à peine de toucher... de toucher...
Quaaaaaaaaaaaaatre... Baaaalllooooooooons....
Oh et puis zut ! C'est lui qui n'en pouvait plus... Son doux visage s'engouffra là en bas, sans prévenir ! Sans prévenir, oui ! Et l'imprévisibilité de la chose alors que tu te serais attendue à entendre, et à devoir supporter cette petite voix murmurée quasi devenue insupportable au même titre que ses chatouillis, attendue à ce qu'au moins il fasse son intéressant avec un cinquième ballon de baudruche chatouillé sur ta cuisse gauche, l'attente d'un inévitable recommençement soudain coupé net, en rajouta à l'effet de surprise !
Il venait de poser un baiser chaste mais bien appuyé sur tes lèvres encore légèrement closes, se pinçant la lippe inférieure en relevant le plissement taquin et malicieux de son regard sur toi, avec une complicité fautive, presque comme s'il se donnait un air coupable d'avoir fait ça puis recommence, et recommence... Et recommence encore... Baisers après baisers contre le tour entier de tes lèvres, il picore à son tour ton sexe de petits baisers tout doux et appuyés, sonores de l'humidité de ses lèvres rencontrant la surface de la peau de ton sexe, des sons répétés, rapides, allant jusqu'a glisser sa joue même contre ton intimité et s'amuser de poser la joue contre ton mont de vénus, pour quelques secondes à écouter de son oreille aussi collée là en bas, l'intérieur de ton corps... Oui il découvre et il y avait une petite part de curiosité.
Ses doigts massent ton pubis, ton mont de venus, glissent le long de l'aine de chaque coté et puis flatte la peau et la chair autour de ton sexe, il tâtonne, palpe... Apprécie les formes qu'il à sous ses doigts, alors parfois il presse comme de la bonne pâte entre ses phalanges quand même un petit peu plus fort par moments, juste par curiosité de voir quelle masse ça fait, quel volume, puis c'est assurément aussi très tentant de toucher. Puis ses mains remontent le long de tes hanches, se joignant depuis l'extérieur de tes cuisses jusqu'a ton nombril à plat lorsqu'il parait glisser plus en avant, inclinant la tête à gauche pis à droite en se léchant les lèvres sur un sourire encore bien rieur et amusé. Il claque ses dents ensembles là en bas en faisant semblant de vouloir la mordre ! Juste histoire de lui faire peur où de lui infliger un grand frisson.
Un frisson liquéfié, fondu par le bout d'une langue qui fera là, bien le tour... Doucement le tour de la peau extérieure de son sexe. Plus il lèche et plus il trouve ça drôlement à son goût même s'il évite encore les zones intérieures, il se plait bien à lécher tout le contour pendant que ses doigts et le bout de ses griffes se balladent dans ce qui devrait être la zone de sa toison pubienne, sur laquelle il laisse courir ses petites griffes en cercles, gratouillés très finement sur cette zone en plus de les y faire courir.
Il la regarde... Il l'observe hein, toujours entre deux coups de langue ses yeux remontent les vallées de son ventre, par delà les collines de ses seins, il guette son regard lorsqu'il veut bien croiser le sien et à chaque fois qu'elle le croise il ne sait pas pourquoi il aime élargir un de ces francs et vifs sourires, jouette, mais il peut plus vraiment parler, tout ce qu'on entend c'est des sons de lappements assez rapides, répétés, faisant aller et aller sa langue qui cette fois à osé s'aventurer dans les cercles de chair intérieurs de sa fleur, il lappe, comme le ferait un petit chaton, assez vite... Puis, hm, sais pas pourquoi il aime fermer les yeux aussi en se laissant aller à faire ça. Ca l'excite, rien que de la voir comme ça... De la lécher à un tel endroit et la sentir se tortiller ça l'excite, ça tient son sexe drôlement dur et droit. Même, presque dur à lui en faire mal tiens ! Mais y s'en fout bien parce qu'il adore faire ce qu'il est en train de faire là.
Ses lappemments, ses petits coups de langue s'accélèrent et deviennent plus longs aussi, utilisant une plus grande partie de sa langue qui viendrait frotter et glisser sur toute sa longueur sur ses lèvres, qui, se font emportée un peu par le mouvement de sa langue qui, elle aussi se fait bien appuyée, comme sa bouche et l'Abyssian possède une drôle de force... Donc ça lèche et ça rape un peu à la limite parce qu'il appuye assez bien sa bouche et s'est aussi solidement agrippé à ses hanches avec ses bras vaisant une partie du tour extérieur de ses cuisses pour que ses mains, là, maintenant, s'agrippent sur le haut intérieur de ses cuisses, faisant comme une sorte de grippe, où de pince, où d'étau avec ses bras l'emprisonnant contre son visage. Il était beau à voir dans l'épanchement de ses envies où appétits contre elle parce que parfois il lui prenait l'envie d'embrasser à pleine bouche son sexe à elle, mais avec autant si ce n'est plus encore de langeur, de passion et d'envie que lorsqu'il embrasse sa bouche, et il se mettait à vibrer en plus, ça n'arrangeait rien aux sensations de sa langue qui paraissait un peu plus vibrante par vibration contre son sexe.
Et il était si bien appuyé que la chair de ses lèvres, eh bien, étaient obligées de suivre les mouvements de sa langue comme une danseuse suivant les pas de son cavalier, si appuyé qu'elle sentait les mouvements de sa belle mâchoire s'ouvrir et se refermer contre elle pour laisser remonter et redescendre sa langue, et il ronronnait lui ! Il ronronnait et souriait alors que sa lèche devenait ravaleuse et dévorante ! Quel vilain petit salopard hein quand même ! Ah ça l'amuse ! Même si y savait pas quelle pression où force il pouvait exercer contre elle sans la blesser, il se modérait parce qu'il pourrait très bien lui faire du mal avec sa force et c'était surtout de ça qu'il avait peur depuis le début, il pourrait exercer plusieurs tonnes de pression dans sa mâchoire où ses bras s'il se contrôlait pas. Et Kaori méritait tout le bien qu'il pouvait lui faire.
C'est pas grave, hmm ? Parce que j'ai envie de toute te mangée !