Le livre intitulé " ႠႢႣ ႧႫႤႵჅჅႧ ႣႻႽჀ "

Vaelh ne se régalait pas que de l'étroitesse de son amante qui comprimait son membre. Tout en cette instant était un véritable délice. Il percevait les frissonnements de la jeune femme, ses convulsions, son humidité. Sa chair parlait au mâle mieux que ne l'aurait fait sa voix. Chaque parcelle de cette peau douce qu'il malmenait lui renvoyait l'écho d'envies magnifiées, même plus contenues, et d'une sincérité désarmante. Et attentif comme il l'était, Vaelh s’imprégnait de ce qu'Arashi ressentait et désirait au plus profond d'elle.
Magnifique.
Et la suite le fut d'autant plus.
La surprise qu'il lut dans les yeux de son amante fut jouissive. Sous elle se dressait le large pieux du mâle, tout à disposition pour qu'elle s'y empale et perde la tête, et voilà qu'on lui disait de ne rien en faire. Pire encore, malgré l'extase qui approchait, la délivrance lui était interdite.
Puis elle désobéit magistralement. Au diable l'interdiction de se mouvoir, elle se laissa chuter sur le pieux de luxure pour s'y damner à jamais, victime de son propre désir, de sa propre folie. Même si Vaelh s'était attendu à une petite rébellion similaire, l'envie à la limite de la violence que la jeune femme déploya pour blottir cette virilité en elle avec une note de désespoir, comme si elle craignait que tout ne puisse se finir trop vite, eut une saveur absolument divine. Chaque petit millimètre descendu le long du mât apportait son terrible lot de plaisir, et la sensibilité de Vaelh ne l'aidait en rien. Il ne luttait même pas, savourant ce mouvement vertigineux qui l'avala tout entier. L'extase montait, montait, et bientôt son membre se mit à subtilement palpiter, ajoutant au supplice de la jeune femme.
L'Incube posa ses mains sur les flancs de la poitrine de son amante comprimée contre son torse. D'instinct, il vint chercher sa gorge pour la dévorer de baisers. Arashi s'en retrouva possédée, mobilisant toutes ses forces et son endurance pour ballotter le large membre du Démon entre ses chairs étroites, ne l'épargnant aucunement. C'est parfaitement contraire aux règles établies, mais qui aurait pu la blâmer ? Qui aurait seulement pu résister à l'envie de s'infliger un tel bien alors qu'un sexe aussi délicieux que celui-ci était déjà à demi engagé ? Qui aurait simplement pu résister à Vaelh, de toutes façons ?
Et puis, quelle grâce mêlée de fureur dans ce mouvement de hanche... L'échange d'un regard lui appris qu'Arashi ne cherchait pas qu'à se libérer d'un plaisir devenu trop grand : elle se donnait en spectacle, s'offrait à l'expert qui saurait sans doute reconnaître son savoir faire, son énergie, et la flatter en conséquence.
Il ne se fit pas prier.
Hann, gronda-t-il à haute voix, et tant pis pour les voisins. Tout ça, rien que pour moi, hein ? Hmmrr... Bien. Excellent. Essaye comme... Hm. Comme ça.
L'incube plaqua sa paume contre la fragile intimité de l'amante, tant pour y écraser son point de plaisir que pour lui imprimer un mouvement de vas et viens dans ses ascensions et ses descentes. Ainsi, son bassin n'allait plus seulement de bas et haut, mais aussi d'avant en arrière.
Alors l'Incube se mit à donner tout ce qu'il avait. Le moindre centimètre de son être, sa moindre parcelle d'énergie... Tout. Sous elle, il se mit à l'écarteler avec rage, avec emprise, la faisant sienne sans commune mesure. Elle conservait son propre rythme, et lui y allait plus fort et plus vite encore, malmenant cette entre-cuisse qu'on lui offrait avec la vigueur que son amante méritait. Il la propulsait vers de nouveau sommet, sans plus de pause. Il la poussait toujours plus loin, sans plus lui offrir de prise. Un sprint final terrible, impossible, candencé par le claquement de leur bassin l'un contre l'autre ; nuancé par une note humide ; harmonisé par un concert d'approbation fait de gémissements et de grondement fous.
Vaelh n'avait toujours pas autorisé Arashi à jouir. Pourtant, il la torturait au delà de toutes endurance, si bien que son trépas n'était plus qu'une question de seconde. Il voulait la voir lutter jusqu'au bout, de toutes ses forces, pour que l'explosion finale en soit presque fatale. « Tiens bon », pensa-t-il presque tout haut. « Tiens bon, pour moi ». Son regard était de feu, ses yeux profitait de visage de son amante dévastée par le plaisir.
Un grand coup de rein.
Suivit d'un autre, plus puissant
Puis un autre, plus rapide.
Le mâle aussi était sur le point de venir. Mais pas maintenant. Elle d'abord.

Souffle après souffle, voilà qu’elle s’essouffle. Sa respiration résonne telle une mélodie sous le plaisir qui l’acharne de plus en plus, les yeux à demi fermer, son souffle accélérer, sourire étirer, elle fixe l’incube pour qu’il voit qu’il est le désiré. Mouvement après mouvement, l’intimité de la vampire s’échauffe pour fournir plus de plaisir à celle-ci et plus de fermeté au barreau fière de l’incube qui se faisait si bien accueillir dans cet antre chaud et  humide de la jeune vampire. Que de plaisir ce faisait à ce moment, elle ne manquait de rien, en ce moment son tout était cet être qui partageait sa couche.

Que de rêve…

Durera-t-il?

La vampire courbe légèrement la tête vers l’arrière continuant se plaisir à faire ses mouvements sur cette fierté lui étant offerte telle la fontaine de jouvence face à elle, en elle, irrésistible, qui aurait seulement put y résister? Personne, seul un fou aurait refusé de s’y amuser. C’était si bon. La vampire veux s’en régaler encore, même lorsque le moment qui allait venir se feras, elle voudrait que cela continue, même si elle est fatiguée, elle veut que tout ce jeu continue. Que cruauté cela allait être de devoir s’en séparer, sans aucun doute cela allait l’être. Elle s’en mordit même légèrement la lèvre.

L’incube posant ses mains sur elle, ses lèvres à sa gorge pour y poser multiple baiser provoquant de mainte soupire sous toute cette sensation si délicieuse et si forte, elle en lâcha une râle de plaisir, sourire à ses lèvres de satisfaction. Leurs regards s’entrecroisant pour expliquer tout ce qui se passait, pour que leurs regards se dictes tout sans oser se parler, sans oser tenter de brimer se spectacle. Ce sourire à ses lèvres qui se désirait envoutant comme une succube, elle s’en mordit à nouveau la lèvre en continuant ses mouvements, lentement, gracieusement, légèrement bestial même par moment.

Qui aurait pu la blâmer?

Hann, Tout ça, rien que pour moi, hein ? Hmmrr... Bien. Excellent. Essaye comme... Hm. Comme ça.

Elle eut un sursaut alors que cet paume experte frappa cette endroit si fragile et caressait cette endroit avec plaisir, écrasant son bouton rose provoquant de forte râle de plaisir à la vampire qui était rendue rouge à son visage, appréciant ses mouvements de haut en bas et ses allées d’en avant et d’en arrière. Elle gémit une nouvelle fois, accélérant ses mouvements pour se donner encore plus. Ce qu’elle aimait cette incube,  par amour ou juste pour le plaisir qu’il lui procurait, sans doute plus sur le deuxième des choix. Tout le monde aime cet incube, cet expert, ce désirant prédateur, ce fauve au  allure de roi, ce délice, cet être parfait.

Tout allait si vite, les mouvements si délicieux de l’incube, si parfait et si unique alors que la vampire faisait tout autant de son bord, provoquant deux terribles tempêtes qui s’affrontait. La douceur cruelle de la vampire mêlé à celle de la tempête chavirant de l’incube. Leurs souffles se mélangeait, leurs halètement qui devenait un concert d’une mélodie parfaite. Leurs regards s’entrecroisant, Vaelh pouvant voir tout ce plaisir qu’il donnait, le corps de la vampire tremblait sous tous les frisons que cet incube lui offrait. Elle sentait le regard de l’incube se faire sur son visage, elle souriait encore plus, laissant ses gémissements se faire encore plus forts, son visage ravagée par ce plaisir.

Elle résistait…

Elle savait qu’il voulait qu’elle résiste…

Si dure…

Si bon…

Les secondes passa, elle gémit encore plus, serrant les draps de chaque coté de l’incube, fermant pendant un instant ses yeux pour les rouvrir et fixer l’incube, elle lâcha un long râle.

Un frison…

La résistance brisant…

Soupire si fort et si bon qui sortit de la bouche de la belle vampire. Elle fixa celui-ci et ses mouvements se firent rapide, fort, bougeant avec grâce son bassin pour ressentir celui-ci encore plus en elle. Elle lâcha un grand râle alors qu’elle ne put résister plus longtemps, une jouissance se faisant. Libération, si parfaite, si bonne alors qu’elle cambra légèrement son corps, sa tête plier légèrement vers l’arrière, tout son corps, ses sons, tout exprimait ce plaisir qu’elle avait à ce moment. Mais elle en voulait encore, comme une drogue si bonne elle voulait continuer, malgré cette épuisement elle continuait ses mouvements rapides dans cette zone humide et maintenant plus serrer, la femme voulait qu’il se laisse aller au plaisir aussi…

Mais elle voulait encore jouer par la suite… Elle adorait les jeux, surtout venant de ce charmant incube.

Voudra-t-il?

Elle l’espérait.

Pour rien au monde l'Incube n'aurait tenté de retenir le râle de délice qu'il laissa échapper lorsque le plaisir foudroya son amante. Un tel courant électrique brisa la jeune femme, la brûla jusqu'à l'âme pour n'en laisser qu'un vestige qui, même assommé pour l'instant, avait encore plus faim qu'avant. Son petit sexe chaud et étroit avait convulsé tout autour du large pieux du mâle en un hommage érotique, poignant et sincère à sa fougue. Une jouissance absolue et total dont l'odieux Démon se nourrit sans modération.
Oui, au final, elle avait vraiment joué le jeu. Elle méritait bien une petite récompense en plus de ce premier et violent orgasme. En fait, elle avait besoin d'encore plus. Vaelh le sentait. Il était pour elle plus seulement une drogue, mais une nécessité vital. Dans les affres du plaisir, l'extase de la polymorphe troublait l'air comme des langues de fumée, et on y lisait à quel point elle adorait sentir toute l'ampleur de l'érection du mâle en elle. Ainsi, Vaelh la fit s'allonger sur son torse sans que son membre ne la quitte pour lui souffler.
- Pauvre toi... Suis-je tant à ton goût ? Je vais t'offrir ce que tu semble tant vouloir au fond de toi, littéralement, mais que tu n'oses pas formuler.
Le Démon fit s'écarter son amante, avant de lui commander de s'installer à quatre pattes quand bien même ses jambes vibraient encore. Il se plaça derrière elle, poussant son dos pour que son visage repose sur le lit mais que son bassin reste parfaitement offert. Vil, il fit glisser quelques instants son membre entre les cuisses de la jeune femme, sans la prendre, avant d'empoigner son membre à pleine main pour le guider en elle d'un seul coup. Le large sexe de l'Incube se mit à aller et venir en Arashi sans la moindre petite retenue. Leurs bassins s'entrechoquaient durement, sans merci. Plus de douceur, rien qu'une ébauche complètement insensée, vectrice de sensation proprement absurde. Vaelh la pilonna, encore et encore, la dominant tant de sa taille que de sa force.
Arashi ne se faisait même plus simplement prendre, elle se faisait baiser par ce beau mâle qu'elle avait si bien chauffé, qui employait cette large queue avec autant de talents.

Dieu... Arashi était à Vaelh. Il pouvait décidé de tout, la jeune femme aurait accepté de peur de se voir retirer ses faveurs. Mais qu'elle se tienne bien : Vaelh n'en avait pas fini.
- Je veux t'offrir ma jouissance que je sens venir et que je n'ai pas envie de contenir, lui souffla-t-il lubriquement, laissant la jeune femme savourer les palpitations subtiles du sexe de son amant en elle. Mais, j'aurais peur de me tromper... Peut être que ça n'est pas ce que tu veux ? Peut être que tu ne veux pas m'entendre gronder sous l'orgasme ? peut être que tu ne veux pas sentir ces larges coups de reins finaux ? peut être que tu ne veux pas de mon sperme ?
Bien sûr, ce salaud savait très bien que c'est exactement ce que son amante voulait. Mais cette dernière commençait à connaître la musique : elle allait devoir le convaincre, ou peut être le supplier, d'y aller à fond. De toute façon, l'étalon était déjà bien parti. La force que ses coups dans le sexe étroit de la jeune femme était telle que s'il ne la tenait pas par les hanches, elle s'en trouverait très vite désarçonnée.
Et d'ici qu'elle trouve la force de pousser son mâle à jouir, ce dernier noyait tant son corps éprouvé que son âme folle de sensations démentielles et d'images toutes plus aguicheuses les unes que les autres, dans lesquelles Arashi se voyait recevoir son jus chaud de différente manière. En elle. Sur sa poitrine. Son visage... Elle n'avait qu'à choisir.

Tremblement de plaisir, soupire finalement, respiration saccadée, sourire aux lèvres remplie de satisfaction. La vampire était loin d’être déçue, mais elle en voulait plus, tant plus. Elle ne voulait pas que ça se termine. Elle voulait que ça continue, encore… Encore et encore, presqu’à ce qu’elle ne pense qu’à se faire faire du plaisir par cet incube. Qu’elle ne pense qu’au sexe si bon, si chaud, si parfait de cet créature infernal qui entrait et sortait en elle. Elle voulait continuer à sentir ce corps si près d’elle, elle sentait l’odeur enivrante de la créature qui la faisait presque bavée encore d’envie.

Elle en désirait encore…

L’incube la fit coucher un peu plus sur son corps, se corps si chaud, si confortable, si parfait. Elle en lâcha même un léger soupire de plaisir sous les frisons qui la parcourut malgré le plaisir qu’elle venait que de subir. Mais la vampire semblait en cette nuit étrange, toujours en forme pour continuer ce plaisir si fort qu’elle ne vivra surement moins de se haut plaisir avec d’autre personne. Elle avait un sourire, observant l’incube, les yeux légèrement plissés, tendre sourire aux lèvres qui montraient tout le plaisir qu’elle ressentait et qu’elle éprouvait pour lui.

« - Pauvre toi... Suis-je tant à ton goût ? Je vais t'offrir ce que tu semble tant vouloir au fond de toi, littéralement, mais que tu n'oses pas formuler. »

La vampire ne put qu’en sourire, il voulait encore jouer? Comique et cruel incube va, mais que ce que tu es fait est si bon que la vampire ne pourra être fâcher contre l’être si parfait que tu es. Elle fit une petite mine quand il se retira d’elle, qu’allait-il faire? Elle voulait encore de se membre en elle, le sentir aller et venir en elle avec plaisir, folie et panoplie de sensation.  Il voulait qu’elle soit à quatre pattes, ce qu’elle fit avec grand plaisir, bougeant légèrement son bassin pour le faire désirer à la prendre.  Elle se mordit timidement la lèvre.

D’un geste dominateur il la força à poser son visage contre le lit, son bassin, ses fesses, tout bien en vue, tout bien exposer. Arashi frémit simplement à l’idée de se faire prendre ainsi, que le membre en elle entre en elle un peu plus loin, touchant de nouvelle place de son intimité pour  lui provoquer de nouvelle vague de plaisir malgré la jouissance qu’elle avait eu. 

Qu’elle cruel incube,  caressant  ses cuisses, l’entre de ses jambes sans rien faire, voilà ce qui faisait frissonner d’envie et d’attente la vampire. Elle sentit après quelque seconde le membre se plaçer à la mire d’entrée et sans patience, il fit entrer ce pieu de chair au plus profonds d’elle qui lâcha un long soupire de plaisir. Si bon… Elle ferma ses yeux alors qu’il se mouvait en elle d’une toute nouvelle façon, oubliant la douleur, allons dans l’indécence. Coup après coup Arashi succombait à nouveau, gémissant ce plaisir fantastique en des gémissements longs et démontrant ce qu’elle ressentait.

«Je veux t'offrir ma jouissance que je sens venir et que je n'ai pas envie de contenir »

Il avait fait une pause, elle sentit son membre s’agiter, montrant bien qu’il fera sortir ce plaisir, l’extase dans peu de temps, elle voulait ressentir sa jouissance, entendre son soupire d’extase, ressentir en elle ce délicieux plaisir, elle voulait goûter l’incube, tout l’incube.

« Mais, j'aurais peur de me tromper... Peut être que ça n'est pas ce que tu veux ? Peut être que tu ne veux pas m'entendre gronder sous l'orgasme ? peut être que tu ne veux pas sentir ces larges coups de reins finaux ? peut être que tu ne veux pas de mon sperme ?  »

Elle fit une petite mine par cela, mais eut un très fin rire, elle s’y attendait bien, vils démon. Elle lâcha un soupire alors que les doigts de l’incube tenait ses hanches sous ses coups si bon, si fort, leurs bassins s’entrechoquant en de malsain claquement. Mais la vampire souriait sous ce plaisir, elle s’en mordit doucement la lèvre alors qu’elle eut un léger sursaut, voyant ses visions si bonne à ses yeux se faire dans sa tête. Vision qui s’accentuait de plus en plus, provoquant fort soupire, fort gémissement, oublions voisin, et ce qui entourait, elle ne voyait elle que celui qui était face à elle.

Elle en voulait encore.

Elle voulait le savourer…

Encore.

Elle lâcha un doux gémissement en regardant vers l’arrière, regardant l’incube de ce regard charmeur, désireux, suppliant. Elle se mordit la lèvre par la suite sensuellement, clignant doucement ses  yeux pour échapper de nouveau son de plaisir, les joues légèrement teinter de rouge, pour montrer cette timidité qu’elle avait, pour contraster avec cet élan de débauchee.

« Chère incube…  Je veux… Mh… vous entendre… »

Nouveau soupire d’extase, d’envie de plaisir, elle laisse ses yeux entre-ouvert, regardant vers l’incubes, bougeant doucement son bassin pour montrer qu’elle désirait que vivre l’extase, le plaisir et subit la fin de l’envie de l’incube, elle voulait sentir le plaisir de l’incube sortir de lui pour s’exprimer au monde de ce qu’il voulait.

« Montrer votre plaisir incube, montrer moi votre extase… »

Elle tremblait.

C’était l’envie qui se sentait.

Elle voulait goûter l’incube, de son tout début jusqu’à la fin.

On ne pouvait absolument pas définir Vaelh par un seul terme. A quiconque eut dit qu'il était généreux, il suffisait de lui raconter comme le monstre s'était refusé à jouir pour Arashi jusque là, lui offrant toute sa sève ; à quiconque eut dit qu'il était avare, il suffisait de nouveau de regarder la jeune femme pour voir a quel point l'Incube aimait donner.
Non, on ne pouvait pas définir Vaelh par un seul terme. Ni même par une série d'entre eux sans prendre le risque de se retrouver à mentir, pour la simple bonne raison que l'Incube était un amant changeant. Un amant multivalent. Il portait des masques et pouvait en changer à chaque instant. Lui même en arrivait à ne plus tout à fait savoir s'il était lui même.
Et la situation n'arrangeant rien.
Le plaisir montait, montait, jusqu'à flirter avec le point de non retour. Son large pieux lové dans cette si petite étroitesse, il laissait la chaleur de la passion carboniser son cœur noir. Les sensations étaient démentes. Délirantes. Et il adorait ça. Sans la moindre gêne, il observait avidement la corps de la jeune femme au dessus du sien. L'expression de son visage était saisissante. Les tressautement de sa poitrine généreuse le fascinaient. La souplesse de ses mouvements étaient passionnante. Mais le mieux restait de contempler son sexe humide qui avalait avec un appétit éhonté tout le membre virile du Démon à un rythme toujours plus élevé. Vaelh se voyait disparaître, avalé par de grands coups de bassins, son gland ballotté dans l'absolue fournaise du désir de son amante aussi dévouée qu'endurante et gourmande.
-Je vais jouir... Avait-il soufflé avec à la fois une note de surprise et d'impatience. Se rendant compte qu'il allait effectivement pouvoir s'envoler vers l'extase, son sourire se fit féroce, et il saisit son amante par la menton. Il lui grognait au visage.
-Oh, oui. J'y suis presque. Tu me sens palpiter en toi ?
Effectivement, le tronc généreux de Vaelh s'agitait de plus en plus. Le souffle du Démon se fit court.
-Hampf... Tu l'as mérité. Prend... Tout !
Et ce fut le coup de départ du sprint le plus effréné de tous
Vaelh s'empara du fessier d'Arashi à pleine main, soulignant qu'il la possédait toute entière. L'instant d'après, il allait et venait en elle de toutes ses forces, de toutes sa fougue, de toute sa vitalité. Ses coups de reins allaient faire s'écraser son gros gland jusqu'au plus profond de son amante. Sa vigueur poussait son bassin et ses bourses à venir frapper l'entre-jambe de la vampire. Le plaisir irradiait de tout Vaelh comme un monstrueux venin qui vint corrompre les nerfs de son amante pour la lier à lui le plus intimement possible, pour partager son orgasme.
La passion du Démon semblait sans faille, sans limite. Heureusement qu'il tenait Arashi fermement, sans quoi un telle rodéo l'aurait désarçonné. Son énergie semblait infinie, son plaisir semblait croître sans fin, si bien que si l'on avait voulu être cru, les termes « ils la basait de toutes ses forces » auraient tout a fait été indiqués.
Et dans une dernière série de coups vigoureux plus espacés les uns des autres, Vaelh fut frappé par l'extase totale. Sa bouche s’ouvrit en grand pour avaler désespérément tout l'air de la pièce alors que son membre puissant palpitait furieusement pour cracher sans compter toute l'essence du mâle.
Le plaisir était une véritable tempête mortelle. Mais pour l'avoir bravé mille et une fois, Vaelh n'avait pas peur : il l'accueillit même à bras ouvert, emportant Arashi avec lui dans un tourbillon ou plus rien n'avait de sens. Luttant contre des spasmes orgasmiques, il parvint à rouler de sorte à ce que Arashi se retrouve allongée avant de se retirer de son étroitesse remplie. Là, le mâle empoigna son membre à pleine main. Le monstre infligeait une ultime attaque à son amante, se branlant avec une vigueur débordante devant elle tant pour flatter ses yeux que pour achever de jouir sur le bas de son ventre et sa poitrine.
Puis l'épisode fut terminé, et Vaelh retomba à côté de son amante, tout contre elle, son membre contre sa cuisse encore vibrante. Loin d'être fatigué, ses traits étaient emprunt d'une telle forme qu'ils semblaient luire.
Dans une dernier sourire satisfait, il vint placer tendrement sa paume entre les cuisses de la vampire. Il la fixa longuement, reprenant son souffle, guettant dans ses yeux ce qu'il pouvait rester de son appétit.

Soupire et gémissement, le corps de la vampire s’agitait sous tout ce plaisir qui se démontrait en elle, son corps tremblait sous la passion de cet acte. Sa bouche ouverte, respirant rapidement alors qu’elle faisait ses mouvements contre le membre de l’incube qui lui-même participait à ce plaisir. Elle ferma les yeux un instant, serrant le torse de l’incube sous ce plaisir qu’elle avait toujours bien qu’elle venait de jouir, ses chaires écrasant toujours le soldat de l’incube pour lui donner encore plus de plaisir. Elle cherchait son air, désirant encore plus de plaisir. Elle sourit grandement retrouvant un nouveau pique de plaisir, gémissant encore une fois.

Elle adorait sentir ces mouvements qui  la saisissait de plus en plus, elle pouvait ressentir ainsi tout le plaisir de l’incube fasse à la petite démone qu’elle était. Elle se sentait comblée d’avoir put donner tant de plaisir à un être de perfection qu’était cet incube. Elle se mordit la lèvre, regardant l’incube de ce regard qui voulait tout dire ce qu’elle ressentait, oh oui, elle en ressentait plein de sentiment à ce moment-là. L’incube avait su trouvée les points faibles de la vampire. La vampire qui pencha sa tête vers l’arrière pour gémir une nouvelle fois sous cette sensation qui fut si forte.

Elle savait que la fin arrivait…

Malheureusement.

«  Je vais jouir… »

Ses paroles, vinrent résonner comme une douce mélodie au creux de l’oreille de la belle vampirette qui fut honorée des mots de l’incube qui lui ferait cet honneur de donner de cette semence. L’incube afficha cet air animal sur son visage, regardant vers Arashi de cet air qui pouvait rappeler le chasseur face à sa proie, bien que c’était évidemment le cas, Arashi était que la docile proie qui laissait la bête s’occuper d’elle, il lui donnait ce qu’elle méritait… Doucement la vampire se mordit la lèvre sous cette nouvelle barre d’excitation, les doigts de l’incube lui saisissant par le menton, ce grognement, cet excitation…

C’était si bon…

« Oh, oui. J’y suis presque. Tu me sens palpiter en toi? »

La vampiresse frémit, évidemment qu’elle le sentait, c’était extraordinaire. Elle adorait cela. Elle en voulait encore plus, elle voulait le subir pleinement dans ses derniers moments. Elle voulait tout de lui, ses doigts se serrant encore contre lui, son souffle cours aussi, tout comme l’incube. Son membre palpitant, mouvant, ne faisait qu’amplifier le plaisir qu’elle ressentir en elle.

« Hampf... Tu l'as mérité. Prend... Tout ! »

Comment décrire ce qui arriva par la suite… C’était inexplicable… Les mouvements, les saccades, les gémissements, les deux êtres étaient en symbiose. Leurs gémissement s’entremêlait, leurs mouvements s’agençait pour aller du mieux qu’ils pouvaient ensemble. La vampire planait sous ce plaisir si bon qui lui était offert à elle. Ce plaisir était si fort qu’elle ne savait pas s’il était vraiment d’elle ou bien si c’était cet incube qui contrôlait son plaisir, mais elle adorait cela.

Ses coups… C’était si bon, cette profondeur, cette délicieuse sensation d’être complétement frapper de l’intérieur… C’était une sensation qui lui sera inoubliable. Elle ferma ses yeux un instant, gémissant fortement en serrant le torse de Vaelh, sa voix résonnant comme une douce mélodie de gémissement. Qui fut alors aussi occupé par Vaelh qui gémissait cette passion brulante qui les parcourait tous les deux. 

La vampire écarquilla les yeux alors sous cette sensation qui fut si particulière, si envoutante, l’entrainant dans un labyrinthe infinie de sensation tout aussi fabuleuse les unes que les autres… Une multitude de plaisir qui arrêta alors qu’elle se retrouva sur le dos. L’incube au-dessus d’elle, lui donnant ce délicieux spectacle de lui qui se masturbait pour se finir sur son ventre et sa poitrine. La vampire laissait son souffle rapide sortir et sourit grandement en regardant le démon qui montrait son plaisir.

Puis celui-ci ce laissa tomber contre le lit, près d’elle… Contre elle, son membre contre sa cuisine. La vampire se mordit la lèvre alors qu’elle regardait vers le visage parfait de l’être démoniaque. Elle était fatiguée, mais elle en avait encore envie. Elle avait envie encore de chavirer dans le jeu du démon. Elle l’observa et souffla doucement en se serrant contre l’incube, glissant l’un de ses doigts contre ce liquide sur sa poitrine, glissant lentement son doigts jusqu’à sa bouche puis doucement goûta à la semence du démon. Sa pupille s’affina et elle frissonna sous toutes les sensations et la saveur que cela dégageait, elle lâcha un long et séduisant soupire puis regarda vers Vaelh.

« Incube…  Je désire encore que vous me montrer vos talents… Je suis sure que vous avez plus qu’un tour sous votre sac… »

Elle sourit encore plus, son corps frissonnant sous le désire d’en avoir encore, elle avait tant d’envie.

Les lèvres de Vaelh s'étirèrent en un sourire immense qui, bien qu'il fut teinté d'amusement, de plaisir et d'envie, trahissait surtout une infinité de reflets prédateurs. D'un timbre si vibrant qu'il vint prendre la jeune femme jusque dans sa chair, il murmura :
-A aucun moment je n'ai douté de toi.
Le mâle n'avait évidemment pas manqué de nuancer sa réplique de sorte à la rendre aussi nébuleuse que délicieuse. Au final, qu'avait-il exactement voulu dire ? Que d'une certaine manière, il était rassuré que la jeune femme veuille encore s'envoler ? Qu'il était satisfait de voir en elle une énergie aussi infatigable ?
A moins qu'il s'agissait d'un petit élan de sarcasme qui visait à taquiner l'amante en soulignant que le Démon se doutait bien que dans son état, elle n'aurait jamais pu dire non.
Pour une fois, le mâle laissa le temps à la Polymorphe de trouver un sens à ce qu'il lui confiait -à condition qu'elle puisse seulement rassembler les fragments de sa conscience-. Peu enclin à ne pas mettre chaque seconde à profit, il pausa ses larges paumes sur le galbe aguicheur des cuisses de son amante, y diffusant une chaleur presque volcanique tandis qu'il entreprenait de les masser. Ses mouvements étaient amples, félins... Ses doigts descendaient avec une grâce aquatique et une légèreté aérienne jusqu'au genoux de la jeune femme, la laissant languir, avant de remonter avec grâce jusqu'à l’articulation de ses hanches. Il décida de s'y arrêter pour y dessiner de petites arabesques du bout des doigts, profitant de l'agréable texture du derme de sa victime. Joueur, il la fixa un instant avant de lui lancer :
-Si mon nectar est tant à tout goût, pourquoi t'embêtes-tu à piocher dans celui que j'ai répandu sur toi ?
Vaelh se pencha, une lueur de conspiration dans l'or de ses yeux. Avec une fougue soudaine, il s'appliqua à laisser ses lèvres se défouler sur l'ample poitrine qui s'offrait à lui, histoire d'affoler le cœur qui s'y cachait.
-Viens me boire à la source, plutôt...
Et comme ça aurait été évidemment beaucoup trop facile de simplement laisser les adorables lèvres de l'amante avaler goulûment cette large friandise, Vaelh ne s'offrit pas tout de suite. Il préféra continuer son exploration éhontée, martyrisant le moindre grain de peau qui passait sous la pulpe de ses doigts, sans oublier de malmener ses seins . Il parvenait encore à sentir les petit spasmes sporadique dans les cuisses et les hanches de la jeune femme, trahissant son plaisir passé, ou son impatience pour des jeux futurs.
Plus bas, le mâle se livra à un supplice supplémentaire : non content d'électriser sa victime de ses doigts et de ses lèvres, il se mit à imprimer un léger mouvement de bassin qui venait faire glisser son évidente virilité contre les jambes nues d'Arashi. Bien sûr, un tel jeux qui soulignait toute la générosité du mâle, et sa sensualité, n'était plus nécessaire : la jeune polymorphe savait à présent très bien à quoi s'en tenir.
C'était juste par gourmandise. Par pure envie.
Comme il avait l'avantage, Vaelh en profita pour largement profiter de la vue. Il leva les yeux de la poitrine d'Arashi pour couler sur tout son corps un regard lourd de sens et de luxure. Chaque grain de peau qu'il voyait, il s'imaginait le couvrir de sa sève. Chaque zone érogène, il s'imaginait la tourmenter d'un million de manière différente. Dans ses pensées, il ne sentit même pas qu'il souriait et que sa prise sur la poitrine généreuse de son amante s'était raffermit en se nuançant d'une onde de domination et de possession.
Parce qu'après tout... Cette polymorphe était à lui. Il pouvait... Disposer de toi comme bon me semble... T'employer à ma guise pour mon simple plaisir... Te déguster comme une petite friandise sexuelle tout à fait alléchante... Prendre mon plaisir au travers de tes orgasmes à répétitions... Te faire du bien jusqu'à t'en faire du mal. Sa voix semblait venir de partout à la fois, comme si le venin du démon -le plaisir-, avait infecté Arashi au point qu'elle souffre d’hallucinations.
-Il doit bien exister un milliard de jeu auxquels je pourrait me livrer pour m'amuser avec toi. Ou pour m'amuser de toi. Et c'est ce que je ferais. Maintenant que tu m'as invoqué, que je t'ai goûté, j'ai planté mes crocs dans ta chair. Je connais ta saveur, ton arôme, et tu ne pourras plus jamais te cacher de moi. Plus. Jamais. Tu es ma petite soumise.
Il marqua une pause, l'air songeur malgré la gravité de ses mots.
-Je serais l'incarnation de tous tes fantasmes. Petite flamme au fond de ta conscience, je pourrais décider de devenir un incendie de passion à tout moment. A la moindre petite envie, je viendrais saturer ton esprit délicieux de visions terribles...
Pour illustrer et prouver ses propos, le mâle fit un mouvement de bassin plus appuyé de sorte à ce que son membre chaud vienne obséder les pensées de la vampire, pour instiller dans son âme l'étincelle de la luxure, avant de s'en servir comme d'une base pour y faire naître un millier de fantasme, tous plus torrides les uns que les autres.
Au final, Arashi n'avait eu qu'à penser au sexe de Vaelh pour que s'imposent à elle des scène dans lesquelles...
Ses doigts crispé autour d'un tel tronc allaient et venaient.
Sa poitrine comprimée encerclant un tel  pieux montait et descendait.
Ses lèvres avides pompant cette verge aspiraient en se mouvant.
Son étroitesse trempée se laissait allégrement baiser par une telle queue.
Plus les visions se succédaient, plus elles devenaient explicites, précise, et même... Palpable. Mais elles prirent fin petit à petit lorsqu'une voix délicieuse lui souffla :
-Mais je sais que tu adorerais ça, te faire tourmenter au quotidien. Cela pourrait bien devenir une réalité. Une terrible et plaisante réalité.
Vaelh vint alors se placer entre les cuisses d'Arashi, comme pour la prendre ici et maintenant, sauf qu'au lieu de saisir ses cuisses il se pencha au dessus d'elle.
-Signons un pacte toi et moi. Savoureuse, délicieuse, bonne comme tu es, tu constitues une récréation de choix. Alors entendons nous. Signons un tout petit pacte.
L'Incube posa l'un de ses doigts sur son pectoral, traçant une ligne de feu qui imprima sa peau d'un motif noir abstrait. Par la suite, il s'empara de l'index de son heureuse victime pour le positionner sur son sein gauche, juste sur la trace encore chaude d'un orgasme consommé.
-Tu n'as qu'a reproduire ce petit signe, et je serais en toi. Dans tes pensées, et... Il ajouta plus bas, avec un sourire malicieux : dans ta petite chatte.
L'incube laissa le poids de ses mots venir alourdir l'atmosphère déjà magmatique, avant de souffler d'un timbre parfaitement luxurieux :
-Mais rien ne presse. Tu dois déjà venir combler cette faim qui te tiraille, non ? Alors vient, mon petit jouet. Pompe mon tronc jusqu'à me faire jouir, et je déciderais d'un nouveau jeu. Tu pourras signer quand le cœur t'en dira. Et tant que tu y es... Montre moi ce que ta nature de polymorphe te permet. Je suis sûr que ça peut ajouter un petit plus à la scène.
Il n'ajouta rien, préférant voir si la jeune femme serait capable de l'étonner.

Le plaisir, douce caresse qui passe dans notre corps, le parcours pour nous faire éprouver tant de délicat sentiment tout comme des décharges. Ses décharges montrant le plaisir et le désir qui grandit. Oui une désir qui vous veux, qui veux vous faire chavirer, encore et encore. En ce moment la vampire était en train de chavirer vers l’extase, l’incube usait de talent pure de leurs race pour vaincre toute les dernières protections de la vampirette. Mais nous ne pouvons pas dire que la vampire c’est défendue, elle s’est laisser aller dans ce jeu, entrant dans ce jeu avec plaisir, participant de tout son corps, de toute sa voix.

La vampire souriait grandement, observant l’incube, l’analysant alors qu’elle voulait encore plus de plaisir, soupirant d’envie, voulant dévorer ses lèvres, prendre encore plus son membre, le faire jouir d’envie, la faire jouir de plaisir. Elle voulait encore jouer, encore et encore, elle souhaiterait que jamais cela ne se termine, bien qu’un jour cela arrêteras, mais elle savait que ce ne seras pas tout de suite, fort heureusement pour elle…

Elle hallucinait des plaisirs, passant par diverse étape de son esprit, enflammant le corps de la vampire de cet tordeur passionnel.

Encore

Et encore.

« Il doit bien exister un milliard de jeu auxquels je pourrais me livrer pour m'amuser avec toi. Ou pour m'amuser de toi. Et c'est ce que je ferais. Maintenant que tu m'as invoqué, que je t'ai goûté, j'ai planté mes crocs dans ta chair. Je connais ta saveur, ton arôme, et tu ne pourras plus jamais te cacher de moi. Plus. Jamais. Tu es ma petite soumise. »

C’était vrai, elle était a ce moment sa soumise malgré le fait qu’elle avait un maitre. En fait, a présent elle en avait deux. Deux maîtres charnels, deux maîtres démoniaques, un incube et un autre type de démon qu’elle ne pouvait identifier le type. Malgré ses paroles, elle n’avait pas peur, elle en eux même un léger soupire d’envie de le savoir qu’il pourrait arriver n’importe quand pour s’amuser avec son corps. C’était si excitant.

« Je serais l'incarnation de tous tes fantasmes. Petite flamme au fond de ta conscience, je pourrais décider de devenir un incendie de passion à tout moment. A la moindre petite envie, je viendrais saturer ton esprit délicieux de visions terribles... »

Les pupilles s’affinèrent, les visions parcoururent son esprit des plus divines visions. Le plaisir charnel reprenant en ascension dans son corps. Elle lâcha un nouveau petit gémissement dans le milieu de ses visions, sa cyprine coulant encore plus sous ce désir qui grandit de plus en plus encore, devenant plus que tout ce qu’elle avait déjà ressentis dans cette soirée torride et délicieuse. Tout s’accentuais, devenant magique, parfait, délicieuse, si réaliste qu’elle se sentit presque a ce moment-là, a cette endroit de ses plaisirs, mais tout ceci prit fin à la voix enchanteresse de l’incube.

« Mais je sais que tu adorerais ça, te faire tourmenter au quotidien. Cela pourrait bien devenir une réalité. Une terrible et plaisante réalité. »

Elle voulut parler, elle ouvrait la bouche, appuyant sa langue pour vouloir émettre un son, mais il mourut alors qu’il se plaça entre ses jambes, mais rien de plus, il ne la prit pas, mais il était pencher par-dessus elle. Elle frémit fortement, soupirant de plaisir, ses yeux pâles fixant le délicieux incube si près de son corps.

« Signons un pacte toi et moi. Savoureuse, délicieuse, bonne comme tu es, tu constitues une récréation de choix. Alors entendons nous. Signons un tout petit pacte. »

Elle observa celui-ci, ce mordant la lèvre sensuellement, tremblant de désir qui grandit encore et encore à ce moment, tourment éternel de plaisir, il était certain que l’incube en seras son déclencheur,  elle allait tant pouvoir en profiter, de ce plaisir charnel si bon. Elle lâcha un doux soupir, glissant ses doigts contre le torse sensuelle de l’incube un instant. Elle tremblait encore de plaisir, son corps reluisant sous le plaisir et les jeux déjà fais.

«  Tu n'as qu'a reproduire ce petit signe, et je serais en toi. Dans tes pensées, et... dans ta petite chatte.  »

Un silence se fit, mais on pouvait entendre un petit son pour montrer l’excitation de la vampire à ces mots, si simple, si parfait. Elle pourra le revoirs quand elle désirait alors, c’étais savoureux, parfais, encore mieux qu’elle le pensait.

« Mais rien ne presse. Tu dois déjà venir combler cette faim qui te tiraille, non ? Alors vient, mon petit jouet. Pompe mon tronc jusqu'à me faire jouir, et je déciderais d'un nouveau jeu. Tu pourras signer quand le cœur t'en dira. Et tant que tu y es... Montre moi ce que ta nature de polymorphe te permet. Je suis sûr que ça peut ajouter un petit plus à la scène. »

Le sourire de la vampire se fit encore plus grand, elle lâcha un doux petit soupire, faisant pencher l’incube pour qu’il aille contre le lit, doucement elle l’embrassa, il put sentir les lèvres de la vampire s’adoucir pendant le baiser, la polymorphe se serra a lui, il pouvait sentir tout son corps modifier pendant le baiser pour devenir plus doux, ses formes plus définit et douce et surtout plus alléchante au regard. Elle arrêta le baiser et murmura doucement.

«  Vous pomper…? Vous faire jouir? Cela seras fait avec le plus grand des plaisirs… »

Doucement ses lèvres glissèrent sur son menton, puis son cou, puis son torse. Sa langue sortant pour aller offrir un petit coup de langue. Elle eut un petit rire, glissant ses lèvres sur sa peau pour lui offrir des frisons, glissant jusqu’à son membre. Elle sourit, observant son membre, sortant la langue pour caresser son sexe du bout de sa langue, puis lentement elle se saisit de la base puis commença a le prendre en bouche et a y faire de long mouvement avec cette langue douce et ses lèvres pulpeuse et alléchante, une de ses mains glissant sur ses bourses pour offrir une légère caresse.

Elle s’appliquait, y mettait tout son corps, toute son âme sur cet acte, allant plus vite et plus lent des fois, elle partait de temps en temps suçotter son gland avant ou après lui faire une gorge profonde. On sentait son envie de vouloir subir un de ses jeux.

Le Démon était victorieux sur tous les plans. Il savait qu'il venait de s'acquérir une âme, et qu'il pourrait en disposer comme bon lui semblerait pour peu que sa victime puisse fantasmer sur son pieux épais. Il n'y avait nul besoin de chercher à la briser davantage, de souligner le rapport de force en vigueur... Un ordre s'était naturellement établi : la Vampire n'était qu'une chatte juste bonne à être baisée, à avoir la chance se faire fourrer par un pieu large et juteux ; et le mâle était celui qui décidait de quand et comment ces choses se déroulaient.
-Facile, avait-il ponctué, tant à propos de cette ordre des choses que la polymorphe elle même.
La suite ne fut que prévisible, en cela qu'Arashi exécuta le moindre caprice du mâle. Son physique s'affina encore plus, évoquant au Démon certaines de ses consœurs démoniaques -les cornes et le caractère en moins-. Agréable, très agréable à l’œil. A un tel point que Vaelh, gourmand, ne put s'empêcher de pétrir cette nouvelle chair pour la tester.
-Très pratique comme don. C'est comme avoir une infinité de petites chiennes pour le prix d'une seule. Quoi que...
Il n'alla au bout de sa réflexion que mentalement : Arashi était peut être capable de changer de peau, mais pas d'âme. Elle devait plutôt être vue comme une soumise avec une infinité de masque à porter. Masques tous plus baisables les uns que les autres, il allait sans dire.

Si, lors des premiers instants, le mâle avait daigné la polymorphe suivre son propre rythme, il décida bien vite qu'elle ne méritait plus cette liberté. Sans relâcher la pression qu'il exerçait sur l'imaginaire de sa victime, Vaelh la fit basculer sur le dos et l'enfourcha de sorte à présenter son gros mât droit entre ses seins. Ils s'empara rudement de telles rondeur pour s'en faire un fourreau dans lequel il pourrait faire glisser toute la longueur de sa virilité, avant d'invectiver cette salope de vampire pour que ce soit elle qui fournisse l'effort nécessaire au maintient de sa poitrine. Ainsi, il eu le champ libre pour l'attraper par le cheveux avant que son gland volumineux ne s'écrase contre ses lèvres jusqu'à forcer le passage. N'en déplaise à la suceuse -de sang-, le mâle, qui la considérait déjà bien peu, ne l'employait plus que comme un défouloir sexuel. Raide comme jamais, sa queue  veinée, puissante, palpitante, raclait avec brutalité contre l'ample poitrine au centre de laquelle elle était coincée. Quant à son gland, c'est grâce à un mouvement de va et viens devenu outrageusement bestial, même selon des standards démoniaques -c'est dire-, qu'il baisait la bouche de la vampire.
Un tel manège dura, encore et encore. A chaque fois que l'orgasme affluait, Vaelh le repoussait tel une immense vague. Il continua de procéder de la sorte jusqu'à ce que, fatalement, la déferlante extatique soit devenue trop vaste pour être contenue. Ainsi, au terme d'un terrible concert de râle puissants, la sève du mâle se mit à jaillir en force. La gorge et la bouche d'Arashi furent saturées de cet épais liquide en premier, avant que le gros pieux palpitant ne se retire pour que Vaelh l'astique avec entrain, presque avec rage, pour souiller tout le visage de sa soumise et sa poitrine.
Comme pour conclure son acte de désacralisation, l'Incube s'infligea une dernier mouvement de poignet sur sa verge tendue, la purgeant des derniers volumes de son jus bouillant. Il soupira en laissant retomber sa hampe tendue contre la gorge tendue de sa soumise, son expression d'extase se changeant en le sourire le plus corrompu que la polymorphe ai pu voir de sa vie.

L'espace d'un instant, il la jaugea en silence, satisfait de son œuvre. Et, lentement, il dédaigna cette petite lame qu'il cachait dans l’accessoire qui tenait en place sa coiffure. L'outil avait une forme étrange, vicieuse, et semblait suinter d'un venin noirâtre et nocif.
Plus doucement encore, Vaelh approcha l'arme des yeux de la Vampire.
-Ferme les yeux. Tais-toi. Ne bouge pas.
Le timbre employé ne laissait pas place à la discutions : Soit elle s’exécutait, soit sa vie avait de forte chance de s'arrêter là. D'ailleurs, le Fantasme incarné ne lui laissa guère le temps de réagir : l'acier gelé de l'objet vint se poser sur ses paupières closes pour y tracer une série de symbole, lesquelles s'étendirent en des lignes ésotériques jusqu'aux oreilles, au front, au nez et à la bouche de la jeune femme. Concentré, le mâle traça d'autres marques similaires à même la peau de sa victime, tantôt autour de sa poitrine, sur son ventre, ses bras, ses cuisses, et atrocement près d'entre ses cuisses. L'acier gelé de l'outil traçait inlassablement son sillon, jusqu'à ce que le mâle prononce un unique mot aux sonorités surnaturelles.
En un éclair, les sens d'Arashi devinrent presque aussi sensible que ceux du Démon. Le simple fait d'exister, de respirer, devenait une source d'orgasme constante. Mais ça n'était pas le plus surprenant, loin de là : lorsqu'elle rouvrit les yeux, la petite chienne ne put que se demander si elle venait de mourir pour se réincarner au paradis. Deux Vaelh lui faisait face. L'original, toujours à califourchon sur elle avec sa verge tendue, et un second, identique à la seule exception de ses prunelles faites d'argent plutôt que d'or.
Les deux parlèrent d'une seul voix, désignant un motif complexe tracé entre les seins souillés de sperme de la vampire :
-Signe, où le jeux s'arrête.

Sa langue contre son membre,  avec lenteur et plaisir elle laissait son rythme aller au rythme de sa langue et de ses lèvres, voulant provoquer plaisir et en même temps provoquer une frustration, un  désir qui grandissait, elle voulait qu’il lui demande plus, elle voulait entendre sa voix lui demander d’en faire plus. Bien que malheureusement elle ne l’entendra aucunement, mais cela n’était pas grave, elle avait ce qu’elle voulait. Sur le bout de la langue elle avait ce goût tant désiré, le goût de ce membre chaud qui la faisait chavirer, perdre raison, la damnait de désir.

Lentement elle ouvrit un œil, levant son œil pour observer ses expressions, elle ronronna doucement sous des visions de passion qu’elle rêvait, rêvant de se faire prendre ainsi et de telle manière, rêvant de se faire toucher ainsi et de telle manière. Elle ronronna un peu plus.  Tremblante de plaisir qu’a des scènes tout aussi séduisante les unes que les autres. Mais l’incube en voulait plus, il n’était pas satisfait de sa bouche? Il la renversa sur le lit, la faisant chavirer sur le dos, elle leva un sourcil sous la surprise, observant le délicieux incube qui se glissa sur elle, son membre digne entre ses seins qu’il se saisit pour  faire un serrement sur le membre de la luxure incarné. Elle frémit fortement sous les sensations que cela lui provoqua a cette seconde, glissant ses doigts sur sa poitrine pour exercer la pression demander. Elle frémit encore plus, soupirant d’aise alors que le gland frappa sa bouche qu’elle ouvrit avec plaisir. Elle se faisait baiser la bouche, mais elle adorait cela, la sensation, le goût, la dureté, elle ne pouvait rêver mieux.

Elle suçotait le gland, sa langue glissait sur son membre à chaque mouvement. Elle rêvait d’en avoir plus, de le sentir mieux. Elle tremblait encore plus  sous le désir qui la ravageait tellement qu’elle ne pouvait que mouiller plus d’excitation. Les secondes et les minutes afflua, que nenni! Pour elle le temps n’existait plus, n’était plus présent dans ce moment. Seul le membre contre sa poitrine et dans sa bouche était son temps, ne pouvant compter que sur lui, elle lâcha de faible râle de plaisir. Tremblante de toute cette passion.

Puis le moment vint, Elle tremblait sous les râles de l’incube, la plus délicieuse de toute les mélodies a ses oreilles, elle tremblait fortement, réclamant son prix qui vint avec puissance, avalant ce liquide si bon, le savourant comme on savoure un bon vin. Elle tremblait sur cette délicieuse sensation, ravageant encore plus tout son corps.  Subissant,  elle contemplait le liquide si épais sur ses lèvres, son visage et sur sa poitrine, jusqu’à ce que le membre se pose contre sa gorge. Elle admira les traits d’extase du démon et devint inquiète quand la corruption apparut sur les lèvres de l’incube.

Elle sursauta légèrement en voyant la lame qu’il approcha doucement d’elle, un nouveau tremblement d’inquiétude la pris. Surtout alors qu’il l’approcha de ses yeux, elle était inquiète, ne comprenant pas, avait peur dans son extase, se demandant ce qu’il allait faire.

« Ferme les yeux. Tais-toi. Ne bouge pas. »

Sec, sans discutions, elle ne pouvait qu’obéir, elle tenait à sa vie, elle ferma  les yeux immédiatement quand il lui dit de fermer les yeux, elle ne bougeait pas, ne disant rien, mais elle avait peur. Sentant le froid se poser contre ses paupières, c’était difficile. Elle ne savait pas ce qu’il faisait, sentant l’acier glisser sur sa peau si sensible. Il semblait faire tout son corps, prenant plus de temps près d’endroit stratégique. Elle avait son cœur débattant de plus en plus.

Puis un mot vint…

L’extase, le plaisir pure la parcourut, comme si elle venait de comprendre le sens de la vie. Sentant tout son corps s’extasier sous un ressentit jamais eu. Elle lâcha un faible soupire de plaisir, tremblante a cette instant sous les sensations qui devenait encore plus forte. Ses lèvres tremblaient alors qu’elle voulut ouvrir la bouche, mais a la place ses yeux ouvrir, ses pupilles s’affinant sous la vision.  Était-elle morte? Car effectivement devant ses yeux un véritable paradis s’y trouvait, l’incube en double.

Leurs voix parlant, presque comme un écho qui ne put que ravager de plaisir les oreilles de la nocturne.

« Signe, ou le jeux s’arrête. »

Elle ne pouvait s’empêcher, regardant les incubes avec passions, ses yeux montrant se plaisir et ce ravage qu’il venait de lui causer, ses doigts glissant contre son sein gauche, repensant aux mots que l’incube lui avait dit pour le pacte. Elle sourit grandement, se mordant légèrement la lèvre, un léger sursaut lui venant alors qu’elle murmura avec passion.

«  Oui… »

Lentement elle soupira, glissant un de ses doigts, partant reproduire ce symbole qu’il lui avait montré un peu avant. Elle tremblait fortement sous le plaisir qui passait dans tout son corps, elle leva ses yeux, fixant l’incube de ses yeux qui suppliait, regardant l’autre incube, cette copie si réel et qui semblait si délicieuse. Elle les voulait, elle voulait ressentait l’incube encre plus, ressentir cette passion causer par deux de lui. C’était si merveilleux, ce qu’il lui avait fait, lui provoquait de petit soupire sous la passion. Elle avait une respiration légèrement plus vite sous l’envie.

«  Je…  montrer moi l’extase…  Je… je suis toute à vous… »

Son doigt finissant alors de tracer ce symbole.

Arashi était comme une pauvre proie sans défense, prise dans un immense feu de forêt dont les murs magmatiques se rapprochaient d'elle. Elle n'avait plus aucune chance, et n'en avait jamais eu depuis le début d'une telle aventure. Peut être s'était-elle imaginée qu'à un moment ou un autre, elle aurait pu s'en sortir ; faire mine de lutter. Risible. Arashi était dans l’œil d'un cyclone infernal, lequel gagnait en intensité depuis le début des hostilité.
A présent, la polymorphe ne pouvait plus que suffoquer et finir en cendre. Et c'est peu dire.

En parlant de suffoquer... Arashi allait avoir de quoi faire avec deux membres épais braqués sur elle. Le premier mâle, celui aux yeux d'argent, ne perdit pas une seconde : il s'installa à genoux près du visage de la victime ; son mât tendu, concret, réel, heurta les lèvres de la vampire pour s'approprier sa bouche. Comme la polymorphe y était à présent habituée, le mâle au regard argenté s'empara d'elle comme d'une chose. Ses mains puissantes vinrent prendre possession de sa chevelure pour imposer lui même un rythme lent aux mouvement amples.
Pour le plus grand plaisir d'Arashi, Argent ne semblait pas être une simple copie de Vaelh, mais bien un avatar distinct : en témoigne la manière dont il se régale en découvrant les lèvres, la bouche et la gorges de son amante comme s'il n'avait pas encore pu la goûter. Tandis qu'il frissonnait, son sexe atteignit sa belle taille. En poussant contre la chaire de la victime, le gland du mâle laissait sur son passage la plus luxurieuse et goûteuse des souillures. Ravi d'avoir trouvé un si délicieux défouloir, et taquin de nature, il avait tendance à accentuer ses assauts en les ponctuant d'un mouvements secs à chaque allé.
-Hmmrr... Pas mal. Pas mal du... Hmm, du tout. Tu es aussi étroite ici qu'entre tes cuisses, mortelle ? La provoqua-t-il en ponctuant ses mots d'un mouvement plus ample, pour faire valoir la largeur de son membre, l'air de dire « étroite ou pas, j'y serais serré avec ce que je vais te mettre ».
Pas de doute : Argent s'amusait déjà. Curieux, il cessa même de se mouvoir lui même, privant la pauvre Arashi d'une large moitié de son imposant membre divinement bon, pour voir si elle avait encore la force de s'en occuper elle même, ne serait-ce qu'à coup de langue.
Quant au Vaelh aux yeux d'or, celui auquel la jeune femme s'était habituée jusque là, il couvait sa victime d'un œil ludique. De ses grandes mains, il lui tenait les cuisses écartées comme un rappel de sa condition. Ses doigts fiévreux pétrissaient sa chair sans relâche ni signe de fatigue. Alors, comme un cruel prédateur, il décida qu'il avait encore faim. Il enroula sa main gauche sous la base de son gland humide, pressant son membre en le massant de bas en haut en imprimant à sa manœuvre une subtile rotation du poignet. Ainsi astiqué, le membre du mâle n'avait aucun mal à conserver sa raideur caractéristique.
Son outil bien en main, il le guida contre le petit sexe définitivement souillé de cet amuse-gueule mortelle. Il y entra en force, d'un unique coup de rein qui coupa le souffle d'Arashi déjà bien occupé avec un autre tronc en bouche. Cette fois, Vaelh ne contait pas tourner autour du pot : les premiers coups qu'il donna trahirent son intention de faire de cette baise la dernière de cette session. C'est serait un sprint directe, brutale, histoire de se vider pour de bon. Dans un tel état d'esprit, le Démon n'eut pas la patience d'attendre que la jeune femme esquisse le moindre geste pour se mettre en place. Il se contenta de la pilonner avec toute la force dont il était capable, dans un concert de râles graves et chauds. D'un geste vif, même rageur, il s'empara de la croupe de sa victime pour la coucher sur le flanc, lui écarter les cuisses en grand pour se ménager plus d'espace -et pour son seul plaisir-, et s'allongea derrière elle. Arashi se retrouva complètement exposée, plus nue que jamais, le moindre centimètre carrée de chair intime de son corps révélé dans une position aussi osée.

-C'est ça qui te plaît, sale chienne ? Grondait-il sans pitié à l'oreille de son jouet, poussant sa large verge en avant avec une telle rage que son bassin claquait contre le fessier malmené de la Polymorphe.
De son bras libre, il vint soutenir la cuisse de la créature qui n'était plus qu'un amas de plaisir.
-Te faire bourrer de fond en comble par de grosses queues, c'est ce qui te fait baver d'envie ? cracha à son tour argent en fouillant la chevelure de la jeune femme du bout de ses doigts semblables aux serres d'un rapace insatiable.
-Finir couverte et pleine et foutre bouillant, c'est là tout ce qui te désir ?
Difficile de savoir ce qui était le plus dur : les verges qui la ravageaient, la manière dont on la prenait, ou les mots qu'on lui lançait sans plus cesser ; quoi qu'il en soit, cet odieux manège s'étala sur quelques minutes pendant lesquelles toute la magie des mâles jumeaux posséda la Vampire ou point que son âme ne fut plus qu'une masse de sorcellerie Démoniaque hyper-sensible à la moindre suggestion, jusqu'à ce que le moindre port de sa peau devienne érogène. Les vigueurs des deux mâle fit écho à la déchéance et l'abandon absolu de la polymorphe lors du dernier effort luxurieux, lequel s'acheva, pour argent, en un grondement silencieux pendant qu'il se répandait sur le visage de la victime, et par un râle entrecoupé de spasmes virils pour Vaelh qui gava la chatte étroite qu'il bourrait de son sperme chaud.

C'est au moment d'un tel pic d'extase que, pour Arashi, la réalité se dilua dans une débâcle de lumière blanche qui porta avec elle les fruits de l'inconscience. Son corps fut rompu en deux, en quatre, en mille, et chaque fragment fut plongé dans cette clarté invraisemblable, pour y fondre et s'y évaporer. C'était comme mourir, comme quand l'âme se libère de son enveloppe mortelle. Sauf qu'au lieu d'errer vers une autre réalité, l'âme de la jeune femme, lorsque le plaisir retomba enfin, fut réintégrée petit à petit dans son corps.
Et quand ses sens lui revinrent, elle constata qu'il n'y avait plus aucune trace de Vaelh. Ni sa présence, ni son odeur, ni la débauche qu'il avait laissé sur les draps. Il n'y avait qu'Arashi nue allongée sur le flanc, sur son matelas au draps défaits, un étrange ouvrage au pied du lit. En fait, passé la couverture du livre, laquelle ne portait ni titre, ni marque distinctive, toutes les pages étaient vierges. Un bel ouvrage en soit, mais un ouvrage vide et banale.
Ainsi, à moins qu'elle ai rêvé tout ça, Vaelh l'avait non seulement privé de lui même, mais du plaisir qu'il lui donnait et de sa magie
Mais, pire encore : après l'avoir tant poussé, il avait conduit la Vampire à vivre le monde sous un autre jour, à un autre niveau. Dans cette réalité ou elle était de nouveau conscience, elle pouvait se sentir comme un manque abominable lui tordre les tripes : comment pourrait-elle vivre "normalement" après s'être élevé à de tels niveau de sensation ? Elle pourrait bien essayer de s'adonner aux plus abjectes des orgies, peut être ne retrouverait-elle jamais cette extase.
Jamais.
Comme une droguée en manque, peut être allait-elle se mettre en quête de sa prochaine dose. Bon courage pour la trouver.