L’apatride était dans son monde, plongé dans son univers, sa verge venant labourer le corps de la femme. C’était une Drow, une magnifique Drow, et la baiser avait quelque chose de magique, tout simplement. Son sexe s’enfonçait en elle, ses mains se crispaient sur ses fesses, et il remuait, s’aplatissant contre son bassin, les courants d’air frais venant à peine diminuer la température interne de son corps. Les Drow étaient un fantasme sexuel à Ashnard, et on comprenait bien pourquoi. Avec sa chevelure blonde, ce corps délicat et ses formes angéliques, Alaun avait tout de la poupée noire et chaude, une femme parfaite, aux formes incroyables. Cahir était sincèrement ravi, et même honoré, de pouvoir baiser une telle femme. Il y allait de plus en plus vite, et, même si Sosanelle se trémoussait devant lui, son esprit se focalisait de plus en plus sur le boule d’Alaun, sur la forme arrondie et courbe de son divin postérieur. Oui, cette femme était très belle, et, pour l’apatride, la prendre était excellent. Elle hurlait à la mort, et ses cris le galvanisaient. Difficile de croire que personne ne pourrait les entendre, ce qui l’incita à redoubler d’ardeur.
Sa verge filait en elle sans trop de difficulté. Une fois que la machine était lancée, elle ne risquait pas de s’arrêter avant d’avoir atteint le terminus. Le chevalier s’enfonçait en elle, dans le même geste, dans la même litanie, mais sans jamais sentir la lassitude pointer. Il avait beau savoir qu’une nuit longue et éreintante l’attendait, il ne voulait pas saloper son travail. Ses doigts s’enfonçaient dans la chair de la femme, la griffant à moitié, malaxant ses formes. Il ondulait contre elle, soupirant de plaisir, les minutes se diluant rapidement. C’était une bonne vieille levrette à l’ancienne, et force est d’admettre que ça faisait du bien. Le vent caressait son corps, le sexe les enveloppait, le plaisir et la douleur les liant en une sensation de joie aliénante qui transcendait ce qu’ils ressentaient. Cahir était perdu, yeux clos, afin de savourer ce moment. Des soupirs s’échappaient de ses lèvres entrouvertes, et son chibre continuait à remuer. Son vit s’enfonçait en elle.
« Hunnn... »
Il remuait, remuait, remuait, et, plus il remuait, et plus la vague montait. La partition montait, filant dans les hauteurs, et le plaisir approchait du point névralgique, du sommet, de ce moment jubilatoire où il allait pouvoir se lâcher, et se perdre avec elle. Son sexe trempait dans sa mouille, qu’il sentait à chaque coup de reins, formant comme une sorte de couche heureuse et liquide dans laquelle il trempait avec délectation. Sosanelle finit par se rapprocher d’elle, et parvint à le tirer (un peu) de ses pensées en l’embrassant. Il cligna des yeux, et une main alla se déplacer pour empoigner violemment les fesses de l’autre femme, se crispant sur son cul. Ce baiser fut l’ultime touche dont notre valeureux homme avait besoin. Sa main se déplaça, et se crispa sur les cheveux blonds de la Drow. En d’autres circonstances, il aurait pu tirer dessus, la soulever, mais il savait que c’était douloureux... Et il avait un peu trop de respect pour ces femmes pour la punir. Ses mains se contentèrent donc de caresser sa chevelure, puis, dans un soupir, en sentant la langue de Sosanelle dans sa bouche, et en la mordillant légèrement, il s’abandonna.
Son érection fut une libération. Il soupira dans la bouche de la femme, mordant sa lèvre inférieure sous un réflexe de plaisir. Sa verge se vida dans le corps de la femme, balançant plusieurs giclées de foutre. Si les premières secousses eurent lieu dans la cible, par la suite, Cahir sentit Alaun partir en avant, et le sexe de Cahir se retrouva à l’air libre, crachant sa semence sur le corps de la femme, aspergeant ses fesses, formant de belles tâches blanches sur son cul.
« Haaaa... » soupira l’homme, après ce baiser.
Il se retrouva ensuite seul, les sens en feu, et l’esprit... Heureux. Il venait de jouir, et Alaun avait l’air heureuse. Il observa le corps de cette femme, épuisé, sentant le calme revenir en lui... Jusqu’à ce que l’autre femme le pousse, l’envoyant sur le sol. Cahir se retrouva assis par terre, et sentit sa gorge s’assécher en voyant les longues jambes fuselées de la femme, sa nuisette, ses hanches, puis ses seins... Et son visage. Après avoir joui, sa queue était un peu plus calme, et Sosanelle lui rappela alors que Cahir allait devoir se surpasser ce soir. L’homme esquissa un léger sourire.
« Je me tiens prêt à relever le défi... »
Cinq orifices à remplir... Il savait de quoi elle parlait, et il était suffisamment confiant pour se dire qu’il en serait capable... Et ce même si ces deux femmes avaient l’air d’être aussi exigeantes que Lya. Il vit ensuite la main de la femme descendre vers son sexe, et frissonna quand elle le caressa. Son membre était recouvert d’un mélange de foutre et de mouille, formant comme une couche protectrice sur son appareil génital, tachetant aussi ses poils pubiens. Un spectacle qui était à la fois glauque et étrangement attirant. Il soupira, fermant les yeux, appréciant le contact des doigts de la femme sur son membre.
« Il faut que je m'assure que tu seras prêt à nous satisfaire entièrement, alors détends toi et apprécie, mmh ? l’encourageait-elle.
- Hum... Oui... »
L’homme n’était pas d’une grande conversation, mais, fort heureusement, sa verge ne tarda pas à se redresser à nouveau, ce qui amena la femme à rapprocher ses seins. Cahir n’en perdait pas une miette. Une cravate de notaire... Étrangement, ce spectacle était toujours particulièrement excitant pour lui, et il savait que ce n’était pas un geste facile à réaliser. Outre la nécessité d’avoir une poitrine suffisamment développée pour le faire, il fallait aussi savoir bien se servir de ses seins. Fort heureusement, il avait affaire à des professionnelles, et il sentit la femme glisser sa verge entre ses seins, tout en le regardant en lui parlant.
Pour seule réponse à sa question, Cahir soupira. Il s’était redressé, appuyé sur ses mains, et ces dernières serraient la pelouse.
« Haaa... T’es si belle à voir, So... Sosanelle... Aaaahh... »
L’apatride savourait ce traitement délicieux... Oh ça oui !