Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

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Le Diablotin

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Allongé dans le dos, Alastar ne pouvait qu’acquiescer. Des mecs qui battaient leurs copines, qui les forçaient, qui les trompaient dans des partouzes... Vous comprenez pourquoi il aimait tant ce monde, non ? Ah, l’amour ! C’était définitivement bien peu de choses face à la Luxure ! Le Diablotin se contenta d’un léger sourire. Calliope termina son autobiographie en avouant, dépitée, qu’elle était sans doute maudite. Lui se contentait de la caresser. L’amour, ce n’était pas vraiment avec un Incube qu’il fallait s’attendre à le trouver... Mais, à sa manière, Alastar savait être le plus galant et le plus amoureux de tous les amants romantiques de la planète. Ne lui avait-il pas offert son petit-déjeuner au lit ? Un délicieux petit-déjeuner bien chaud qu’elle avait savouré avec plaisir ! Et, mieux encore, il ne l’avait même pas butiné un peu cette nuit ! Hey, c’est que notre beau démon finissait par devenir social, à force. Calliope semblait maintenant toute prête à retrouver le contact de son amant diabolique, et le prouva même en allant l’embrasser, se blottissant contre lui. Ses généreux seins s’enfoncèrent contre son torse, et il posa une main sur ses cheveux, continuant à les caresser. Comme elle avait tardivement pris sa douche, ils étaient encore soyeux et agréables, confortables à toucher. Son autre main vint caresser la courbe du dos de la jeune femme, savourant sa belle peau contre ses doigts chauds. Il finit par la poser sur sa jambe, la soulevant, plaquant ainsi davantage la femme contre lui, si bien qu’elle put sentir, contre son corps, la verge en érection du Diablotin. C’était presque à croire que son sexe avait un mode automatique le faisant automatiquement bander quand une jolie femme était proche de lui.

Un sourire retourna éclairer son visage, et il remua un peu, déplaçant la femme, son sexe venant frotter contre son pubis. C’était comme si sa verge se déplaçait toute seule. En réalité, autour d’elle, de fins tentacules rouges en étaient sortis, se plaquant contre le corps de Calliope, et poussaient la verge du diable, la faisant se frotter contre la peau tendre et nue de la femme, la rapprochant ainsi de ses lèvres intimes.

« Comme tu le vois, je ne t’ai pas touché pendant que tu dormais... Mais, si certains de tes voisins se mettent à divorcer quand leurs maris apprendront que les gosses de leurs chéries ne sont pas d’eux... Hum, disons que je n’y serais pas totalement étranger. »

Alastar sourit de manière insolente, et embrassa la femme sur le bout du nez.

« J’ai connu la Déesse des Malédictions, tu sais... Et je ne sens pas sa présence sur toi. Et puis, si tu étais maudite, tu ne m’aurais jamais rencontré, pas vrai ? Je t’offre quatre jours de pure folie et de pure liberté, et tu es en compagnie du plus merveilleux amant qui puisse être... »

Alastar aimait bien se jeter des fleurs, mais il était dans son rôle : celui de l’Incube. Il l’embrassa sur les lèvres, et glissa son sexe en elle, sans se presser. La main caressant les fesses de la femme se retira ensuite pour titiller l’un de ses seins, le pressant, et sa queue caudale s’enroula autour de la taille de la femme, tandis qu’il caressait avec son autre main les cheveux de la belle, frottant sa nuque tendrement, ses ongles glissant dessus.

« J’aimerais... Humm... J’aimerais te dire que tu n’es tombée que sur des mufles, ma perle... Mais... Tu comprends... Je suis pour que chacun puisse profiter de la beauté de mes... Hummrrr... Copines... S’ils s’en montrent... Dignes... »

Il l’embrassa sur le menton, mordillant légèrement sa peau, et ensuite sur la joue, léchant sa peau.

« Toujours aussi délicieuse... »
DC d’Alice Korvander.

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Calliope Tick

Humain(e)

Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

Réponse 16 mardi 09 septembre 2014, 15:52:52

« Comme tu le vois, je ne t’ai pas touché pendant que tu dormais... Mais, si certains de tes voisins se mettent à divorcer quand leurs maris apprendront que les gosses de leurs chéries ne sont pas d’eux... Hum, disons que je n’y serais pas totalement étranger. »

Un petit rire parcourut le corps de l'irlandaise, et elle ferma brièvement les yeux en sentant le Diablotin déposer un baiser sur son nez. Elle s'étira doucement par la suite, écoutant la réponses de son amant, quant à sa possible malédiction.

« J’ai connu la Déesse des Malédictions, tu sais... Et je ne sens pas sa présence sur toi. Et puis, si tu étais maudite, tu ne m’aurais jamais rencontré, pas vrai ? Je t’offre quatre jours de pure folie et de pure liberté, et tu es en compagnie du plus merveilleux amant qui puisse être... »

Hochant doucement la tête, elle fit vagabonder la pulpe de ses doigts sur le bras du démon, souriant plus sereinement. Oui, c'était vrai. Si jamais elle était vraiment maudite, elle n'aurait sans doute jamais eu la chance de voir débarquer ce mâle plein d'entrain et de vigueur. Ou alors, ça ne se serait pas passé aussi bien.

Elle arqua légèrement les reins, laissant la queue du diablotin se glisser autour de sa taille, et profita des caresses qu'il lui offrait si généreusement. Elle frémit en le sentant s'insinuer en elle, écartant lentement ses chairs humides, et imposant sa taille.

Elle laissa des soupirs quitter ses lèvres, cambrant doucement son dos, appréciant les caresses qu'il lui dispensait. Elle sentait sa peau s'embraser sous ses doigts experts.

« J’aimerais... Humm... J’aimerais te dire que tu n’es tombée que sur des mufles, ma perle... Mais... Tu comprends... Je suis pour que chacun puisse profiter de la beauté de mes... Hummrrr... Copines... S’ils s’en montrent... Dignes... »

Elle sourit en laissant un gémissement glisser hors de ses lèvres qui s'entrouvraient, ses mains à elle venant entourer sa nuque. Ce qu'elle aimait le sentir en elle. Sur elle. Le contact avec son corps mâle viril l'émoustillait. Elle ne pourrait jamais s'en lasser. Elle gémit de plus belle en avançant les reins, suivant le rythme qu'il avait initié.

« Toujours aussi délicieuse... »

Un sourire éclaire son visage, tandis que son souffle se fait plus court. Son sang commence à bouillir dans ses veines, tandis que la passion la fait sienne, et qu'elle penche la tête sur le côté, venant à son tour embrasser son cou, sa mâchoire, titillant le lobe de son oreille du bout de ses dents.

« Et toujours aussi... Hmm... Imposant, flatte-t-elle son amant démoniaque dans un soupir. »

Elle a toujours aimé ce genre de réveil coquin. Faire l'amour au saut du lit, c'était vraiment divin. A peine émergée du pays des rêves, voilà que des sensations presque oniriques venaient faire trembler son corps. De passion, de frisson, de désir. Elle s'animait sous les coups de reins langoureux d'Alastar. Elle avait les lèvres entrouvertes, les joues un peu rougies, mais surtout, elle avait le regard brillant de concupiscence.

Dès qu'Alastar remuait en elle, même faiblement, elle en oubliait ses mauvaises expériences. Elle se laissait aller à ses mains expertes, à sa queue caudale qui se faisait douce et ferme. Elle vivait une sorte de thérapie, par le sexe. Et c'était vraiment, vraiment bon.

« Oh... Alastar..., souffla-t-elle en avançant le bassin pour le sentir plus profondément en elle. »

Le Diablotin

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Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

Réponse 17 mercredi 10 septembre 2014, 01:49:33

Sa verge se faufilait en elle, pour une délicieuse pénétration matinale. Voilà une manière de bien entamer la journée, en faisant l’amour, en la pénétrant longuement et agréablement. Il la serrait contre lui, et il savoura le contact des lèvres de la femme sur son cou. Elle gémissait contre lui, belle, voluptueuse, magnifique et agréable. Quatre jours avec elle... Il risquait de les adorer, et de ne pas les sentir passer. Oh, ils n’allaient pas les passer intégralement dans le lit, bien entendu, mais, pour l’heure, c’était un excellent moyen de réveiller la jeune femme. Sa queue caudale titillait ses belles fesses, s’enfonçant dans ces dernières, en appréciant la volupté, la rondeur, la douceur. Il remuait très lentement le corps de la femme contre le sien. Rien à voir avec la manière dont il l’avait langoureusement assailli hier soir, en la pénétrant avec ses deux queues. Le Diablotin était un excellent charmeur, un séducteur qui préférait faire plaisir aux femmes pour qu’elles tombent dans sa main plutôt que de les tuer sexuellement en les baisant tellement qu’elles finissaient par sombrer dans le coma.

Elle soupirait son nom, lentement, de sa belle bouche, et lui souriait, continuant à la prendre, caressant son dos, jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir. Il ne jouit qu’à ce moment, contrôlant à la perfection son propre plaisir. N’était-il pas un démon de luxure et de plaisir, après tout ? Il jouit également en elle, et la conserva contre son corps pendant quelques secondes, savourant le contact de ses cheveux, la chaleur de son corps, ses seins enfoncés contre son torse. Ils restèrent ainsi pendant quelques minutes, son torse se soulevant et s’abaissant lourdement, puis, lentement, avec une délicatesse infinie, presque comme s’il avait peur de casser ce fragile et tendre corps, Alastar la repoussa. Cette rousse sulfureuse était l’incarnation même du beau sexe, et, tout en s’écartant d’elle, il caressa la commissure de ses lèvres avec l’un de ses doigts griffus.

« Tu es une humaine que j’apprécie beaucoup, ma belle Calliope... Mais je ne vais pas passer ces quatre journées à rester affalé sur ton lit. »

Oh, ce n’est pas que ça lui déplairait, car ce lit était très agréable, mais il savait les humaines gourmandes, et capricieuses. Elles aimaient la diversité, et c’était tout à leur honneur. Alastar s’extirpa du lit, en lui délivrant quelques ultimes baisers, puis se redressa. Il était toujours nu, et se retourna face à elle, récupérant le plateau-repas.

« Tu vas pouvoir que je suis un amant élégant, je vais m’occuper de la vaisselle. »

Si ce n’était pas admirable ! Alastar était un démon s’amusant à briser les clichés, sans doute parce qu’il avait comme grande sœur une femme autoritaire qui prenait un malin plaisir à le torturer sexuellement. Cette éducation originale, là où bien des incubes étaient formés pour être des hommes dominateurs et brutaux, des amants cruels et violents, expliquait l’apparente complexité de son mode de raisonnement. Il sortit de la chambre, délaissant la délicieuse odeur de la femme, qu’il retrouva toutefois assez rapidement dans le reste de l’appartement, et entreprit de faire le ménage. Laver fut en réalité très rapide, et l’idée était surtout de lui laisser le temps de sortir de sa chambre, de ne pas la brusquer. Ils avaient encore toute la journée pour baiser comme des taureaux.

Quand il la sentit s’approcher, il se mit à ouvrir la boucle, parlant sans la regarder, avec sa queue caudale qui frottait sur le sol :

« Est-ce que tu as un boulot ? Je te dis ça, car je suis un homme qui aime bien faire du sexe dans des endroits... Non prévus pour. »

Il se retourna vers elle, un sourire malicieux sur les lèvres.

Calliope pouvait s’attendre au pire !
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Calliope Tick

Humain(e)

Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

Réponse 18 jeudi 11 septembre 2014, 22:18:20

Le plaisir montait, dévastait le moindre brin de raison, et plongeait Calliope dans une déferlante de sensation. Elle gémissait le nom du démon, s'agrippant à lui toujours plus, et bientôt, le paroxysme du plaisir arriva, et la rousse eut l'impression de s'échouer sur les rives du septième ciel.

Elle sentit également l'Incube venir en elle, et ça redoubla sa jouissance, alors qu'elle serrait les cuisses contre lui, comme pour le faire épouser parfaitement chaque courbe de son corps.

Quand le délice de l'orgasme décrut, l'irlandaise était plongée dans une douce torpeur, enserrant Alastar entre ses bras et ses cuisses. Mais tout à une fin, même momentanée. Il la repoussa doucement, comme pour ne pas la blessée, et passa une griffe sur les lèvres entrouvertes de la belle. Un sourire éclaira ses traits tandis qu'elle tournait légèrement la tête pour le regarder, pour apprécier sa beauté.

« Tu es une humaine que j’apprécie beaucoup, ma belle Calliope... Mais je ne vais pas passer ces quatre journées à rester affalé sur ton lit. »

Elle rit un peu. A vrai dire, elle se disait exactement la même chose. Pas que la perspective de passer quatre jours dans ce lit à s'envoyer en l'air lui déplaisait, mais elle avait un travail quand même. On était dimanche aujourd'hui, alors ça allait. Mais le lendemain, elle reprenait le boulot. S'étirant alors contre le démon, Calliope hocha la tête.

« Tu vas pouvoir que je suis un amant élégant, je vais m’occuper de la vaisselle. »

Un sourire fleurit derechef sur ses lèvres alors qu'il se levait en l'embrassant légèrement.

« C'est vraiment très attentionné, merci. »

Elle le laissa quitter la chambre avant de se lever à son tour, et de se glisser dans la douche. Comme à son habitude, la douche du matin ne prenait jamais très longtemps. Cinq minutes sous le jet qui, d'eau chaude, devenait froide à la fin. C'était pour se réveiller, et être d'attaque pour une bonne journée.

En sortant de la douche, elle ne mit qu'un léger déshabillé noir, presque transparent, et une robe de chambre blanche, en satin, fluide et épousant chaque courbe de son corps.

« Est-ce que tu as un boulot ? Je te dis ça, car je suis un homme qui aime bien faire du sexe dans des endroits... Non prévus pour. »

Un rire lui échappa, et elle se glissa contre lui, ses cheveux encore mouillés de la douche.

« Oui, j'en ai un, effectivement. Je suis sûr que ça va te plaire, en plus... »

Avec un sourire, elle s'adossa au plan de travail, où la vaisselle était posée, propre.

« Je suis secrétaire de direction pour un grand PDG de Glamorous, une grande marque de lingerie sexy. »

Elle se mordilla la lèvre, se demandant ce qu'il allait apprécier le plus. Le fait qu'elle s'habillerais en tailleur-jupe plutôt sexy, ou le fait qu'elle reçoive souvent des échantillons de nouvelles collection pour montrer au PDG, et que parfois, elle les mettait pour démonstration.

« Je ne suis pas femme à dire non à l'insolite, par ailleurs. »

Elle triturait la lanière de sa robe de chambre, qui masquait encore le déshabillé qu'elle portait.

Le Diablotin

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Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

Réponse 19 vendredi 12 septembre 2014, 09:22:03

La voir se mordiller les lèvres était toujours un plaisir visuel intense, et il savait qu’elle lui cachait quelque chose... Sous ce peignoir qu’elle serrait, tout en lui expliquant qu’elle travaillait à Glamorous. Le nom ne lui disait absolument rien, mais elle précisa que c’était une grande entreprise spécialisée dans la lingerie sexy, ce qui amena Alastar à sourire. Un franc sourire amusé, alors qu’il s’approchait d’elle. La femme avait pris une nouvelle douche, étant désormais toute propre, avec très certainement une nouvelle envie de se faire butiner. Dans le cas contraire, elle n’aurait pas mordillé ses belles petites lèvres. Pour lui, c’était un véritable appel au viol, au sexe sauvage et intense, où l’idée était juste de baiser en hommage à la beauté, à la volupté, et au sexe.

Il se rapprocha donc d’elle, et tendit sa main, venant caresser sa joue, sous ses mèches de cheveux, ses doigts allant empoigner l’une de ses oreilles, la caressant tendrement, délicatement.

« Il y a une chose que j’aime beaucoup chez les humains... Et en particulier chez les femmes. Vous avez beau être déjà belles, vous prenez un malin plaisir à l’être encore plus. Ce parfum, ces gestes nerveux... Et vos vêtements, surtout. Les succubes ne portent généralement que du cuir ou du latex moulant. Je ne dirais pas que c’est laid, et je mentirais en affirmant une telle chose, mais... Un peu de diversité ne fait pas de mal. »

Ses doigts remuaient, et il se pencha vers elle, venant l’embrasser, tandis que sa queue caudale remontait délicatement le long d’une des jambes de la femme. Elle remontait de plus en plus, vers le haut, filant sous le peignoir, ce qui lui permit de constater qu’elle avait, sous cette tenue, une autre tenue, plus fine, à dentelle. Il la frotta à hauteur du bassin, près de son intimité, et le côté tranchant de sa queue vint frotter son sexe, remuant un peu dessus, avant qu’il ne la retira. Ses mains glissèrent sur les pans de sa robe de chambre, appuyant dessus.

« Montre-moi ça... Les goûts d’une femme belle qui sait s’entretenir... »

Il tira d’un coup sec, et la robe de chambre tomba à même le sol. Le regard d’Alastar s’illumina de malice et de désir, et il sentit son sexe recommencer à lui faire mal devant le magnifique spectacle qui s’offrait pour ses yeux ébahis. Sa robe de chambre était déjà un appel au viol, mais ça, là... C’était une ode à la beauté. Une fine tenue noire à dentelle, qui cachait autant qu’elle masquait. Ses mains en tremblaient légèrement, et il massa les seins de la femme à travers sa tenue, un sourire sur le coin des lèvres, ses pouces glissant le long de ses tétons, les frottant fermement.

Sa queue caudale continuait à se déplacer, frottant les jambes de la femme, pour filer dans son dos, retournant titiller ses fesses.

« Ne te déshabille pas, ma belle, conserve ton emballage... »

Il se pencha à nouveau contre elle, son nez venant frotter tendrement le sien, et il l’embrassa encore, gobant sa lèvre supérieure entre les siennes, tirant dessus, avant de fourrer sa langue dans sa bouche, jouant avec la sienne. L’une de ses mains remonta pour agripper sa nuque, et il s’avança un peu, venant la plaquer contre le mur à proximité, sa verge venant frotter contre sa tenue à dentelles. Son autre main vint agripper l’une des jambes de la femme, la soulevant pour qu’elle enroule les siennes autour de sa taille. Il déplaça ensuite cette main, griffant sa cuisse, soulevant sa tenue, gagnant ainsi accès à son vagin, à son intimité... Qu’il alal explorer sans se poser plus de questions, la pénétrant d’un coup sec, sa verge glissant merveilleusement dans son trou.

« Huuuummm... Ce que tu es bonne, ma chérie !! »

Et c’est ainsi que l’insatiable Diablotin recommença à la pénétrer, sans aucune hésitation.
« Modifié: vendredi 07 novembre 2014, 16:24:19 par Le Diablotin »
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Calliope Tick

Humain(e)

Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

Réponse 20 vendredi 07 novembre 2014, 12:52:45

La rousse était impatiente qu'il découvre sa tenue. Elle était certaine qu'il aimerait ce qu'il verrait. Mais il fit durer le plaisir, se contentant de la flatter, de l'effleurer... Calliope frissonnait de plaisir sous ses doigts, sous son appendice caudal. Elle avait relevé la tête, observant le Diablotin avec un désir non feint. Elle ne regrettait plus le tour raté de la veille. Si ses amies savaient... Mais non. La rousse ne partagerait pas ce secret. C'était son petit plaisir. Malgré la grande expérience de son amant, et son amour des femmes, elle avait l'impression d'être exclusive. Unique. Ça, ça lui plaisait à la belle. Elle se dévergondait avec plaisir sœur ses caresses.

Ses lèvres se mêlèrent naturellement à celles du diabolique amant, et Calliope ferma les yeux, se laissant porter par le désir qui grimpait encore un échelon. Ses hanches s'avancèrent d'elle-même vers l'homme, alors qu'elle dardait sa langue à l'assaut de celle d'Alastar.

Quand le peignoir tomba enfin, Calliope ne put retenir une expression de plaisir sincère en voyant la réaction du démon de la luxure. Un gémissement lui échappa quand il tortura délicieusement sa poitrine. Elle creusa le dos, avançant presque son buste vers lui, avide. Ses hanches restèrent en arrière, profitant de cette délicieuse intruse qui venait flatter sa croupe.

« Pas de risque... Je garderais tout ce que tu voudras... »

Sa voix rauque et sensuelle se mua en un soupir quand il approcha de nouveau son visage du sien. Le baiser, intense, n'était rien comparé avec la violence du désir qui la tenailla dès lors qu'il la plaquant contre le mur. Ses jambes remontèrent naturellement contre lui, pressée qu'elle était de le sentir à nouveau en lui.

Sa gorge laissa échapper une plainte satisfaite dès lors qu'il fut enfoncé en elle, et ses mains se nouèrent sans se faire prier à la nuque de l'incube terriblement séduisant.

« Oh, Alastar... »

Elle bougea ses hanches au rythme qu'il imposait, son souffle commençant à avoir quelques irrégularités. Elle était aimée comme si elle était une véritable déesse, et ça flattait son ego. Se sentir aimée, désirée, voir l'admiration dans les yeux d'autrui... Elle ne s'en passerait pas. Ça lui redonnait confiance en elle. En la vie. En les hommes même. Avoir invoqué Alastar était mieux qu'une thérapie, et la rousse en profitait au maximum, arquant son bassin pour l'entrechoquer avec celui du diablotin.

Elle ne voyait pas le temps passer lorsqu'elle se trouvait entre ses bras, comme ceci. Elle était haletante et respirait le plaisir par tout les pores de sa peau. Ses soupirs, mués en gémissements, puis en cris, n'étaient pas feints.

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Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

Réponse 21 samedi 08 novembre 2014, 02:16:00

Alastar avait pour lui d’être, contrairement aux autres démons peuplant l’Enfer, quelqu’un qui était capable d’humour. C’était malheureux à dire, mais l’engeance démoniaque avait un sens de l’humour absolument déplorable. La fierté, de fait, s’accommodait mal avec l’humour, tendant même à la court-circuiter. Impossible de faire de l’ironie face à un individu trop borné, et trop susceptible. Or, l’Incube était un homme avec un sacré sens de l’humour, et ce même si son humour, très particulier, pouvait ne pas être perçu par les humains. Il s’amusait notamment beaucoup à jouer avec leurs clichés. Les humains pensaient, naïvement, que les démons étaient tous des êtres maléfiques et monstrueux, une logique confortable qui les amenait à se prendre pour des gens bons et sympathiques. Le Diablotin en usait énormément, et sa galanterie était une certaine forme d’ironie sociale. Il était aussi galant que brutal, comme il le démontrait en ce moment même en prenant Calliope, en lui faisant l’amour. Sa verge s’enfonçait en elle, ses bras la maintenaient, et il savait qu’elle était en son pouvoir. Aurait-il été un brin plus autoritaire et plus mâture qu’il aurait pu faire d’elle son esclave, obtenir sa soumission dans un acte de passion dément, l’un de ces moments où la raison s’effaçait totalement.

Le Diablotin la prenait avec ses vêtements, plaquant l’agréable corps de la femme contre le mur, lui roulant des pelles à plusieurs reprises. Sa queue caudale retourna à l’assaut, non pas pour explorer à nouveau ses fesses, mais pour s’enrouler autour du corps de la femme. Alastar usa alors de sa magie, afin de se servir de cette queue pour la durcir, dans le sens où elle devint plus résistante, plus lourde, et donc plus à même de soutenir le corps de la femme. De cette manière, il put déplacer ses mains, et les déplaça sur chacun de ses seins. Il les malaxa fermement, à travers le tissu de son vêtement, et retourna l’embrasser, fiévreusement, sa langue filant dans la bouche de la jeune femme, son membre se perdant dans les tréfonds de son corps, remuant d’avant en arrière. Les minutes se succédèrent aux secondes, et les coups de trique du Diablotin rythmèrent leurs ébats, ainsi que les orgasmes de la femme.

Il se retenait, se contrôlait, le plaisir de Calliope, ses soupirs, ses couinements, ses gémissements et ses cris le renforçant. Lui-même lui offrit sa semence à plusieurs reprises, sa vigueur redevenant à chaque fois intacte. La magie rose les entourait. Il pétrit pendant de longues secondes les seins de la femme, et entreprit de la déshabiller à nouveau, puis continua à remuer. Les corps étaient enlacés, dans une longue danse, sensuelle et ardente. Assoiffé, son membre partait à l’assaut, dans les profondeurs du corps de la femme, la prenant longuement, intensivement, avec une passion diabolique. L’entendre gémir son nom était un véritable régal.

Au bout d’un moment, il finit par se déplacer. Il avait pitié du dos de la femme, et préféra le ménager en la repoussant. Ils finirent sur sa table, Alastar repoussant de la main les objets qui pouvaient éventuellement s’y trouver. Nus, ensemble, ils se faisaient l’amour avec la passion dévorante de deux jeunes amants ayant attendu des années avant de passer à l’acte. Le Diablotin haletait et soupirait, la sueur coulant de son corps pour glisser sur celle de la femme, se mélangeant à la sienne, soupirs et cris fusionnant ensemble en harmonie. Il la coucha sur la table, et partit à l’assaut de cette dernière, son corps suivant le sien, attiré comme un aimant.

Sa main droite s’appuya sur le rebord de la table, et la gauche alla pincer son téton. Ayant libéré son ventre, sa queue caudale fouettait l’air libre.

« Aaaah, Calliope... »

Étalé contre son corps, sa main libéra le rebord de la table pour caresser brièvement sa joue.

« Si j’étais du genre à me marier, je te demanderais de m’épouser pour pouvoir profiter pleinement de ton corps magnifique... »

Dans la bouche d’Alastar, c’était un compliment.
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Calliope Tick

Humain(e)

Depuis combien de temps étaient-ils ainsi, imbriqués l'un et l'autre, gémissant et criant ? Elle ne savait pas. Elle ne savait plus. Perdue dans un maelström de sensations grisantes, la rousse s'agrippait au démon de la luxure comme une naufragée à sa bouée. Le mur s'éloigna de son dos pour laisser place à la table. Son déshabillé était trempé de sueur. Il glissa sur ses épaules. Les liens s'étaient dénoués, et le fragile sous-vêtements glissa, dévoilant sa nudité. Ses seins appréciaient les attentions de l'incube. La pointe en était dressée, sensible et délicieusement malmenée par son amant.

Ses cris se succédaient, au même titre que ses orgasmes. Elle n'avait jamais connu ça. Elle savourait chaque vague d'extase, chaque coup de rein puissant qu'il lui donnait. Elle était folle de plaisir. Elle ferait littéralement tout ce qu'il lui demandait à cet instant, incapable de raisonner convenablement.

« Ah, Alastar ! »

Elle se sentait flattée de ce qu'il venait se dire, et, en ouvrant ses yeux, elle le regarda avec désir.

« Si... Mh... Si c'était mon genre... Je... Aaah ! Je dirais... OUIII... »

Une déferlante de plaisir l'acheva à cet instant. Elle arqua le dos, griffant la table, le Diablotin et même sa poitrine, son esprit en feu voyant des étoiles, des feux d'artifices même.

Calliope ferma les yeux. Emportée par le plaisir et par la puissance qui se dégageait des coups de reins de son amant. Quand l'orgasme cessa, la rousse était haletante. Son bassin répondait toujours aux attentions d'Alastar, alors que ses.doigts caressaient les griffures avec tendresse. Elle releva le buste, venant embrasser le démon sur le torse, remontant dans son cou, et venant capturer ses lèvres. Une de ses mains glissa sur la table, allant enserre l'appendice caudal.


[H-S -- un petit peu plus court que ce que je ne pensais, désolée ^^]
« Modifié: mardi 11 novembre 2014, 17:59:52 par Calliope Tick »

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Re : Machinations diaboliques et rituel (presque) raté [Le Diablotin]

Réponse 23 mercredi 12 novembre 2014, 01:35:18

Fort heureusement, ce n’était pas le genre d’Alastar non plus. Libre, il voulait rester libre ! S’unir, ce n’était pas pour lui, il voulait rester l’amant hyperactif qu’il était, afin de continuer à butiner des femmes comme elle. Un presque inconnu pour elle, qui l’avait à moitié violé dans son lit, et qui continuait à la prendre, contre la table, comme une vulgaire traînée. Les deux amants étant d’un côté de la table, selon leurs mouvements, cette dernière avait tendance à se redresser, amenant alors Alastar à poser le plat de sa main sur le rebord opposé de la table, afin de la faire basculer, de la ramener à un niveau acceptable. Il continua à la prendre, grognant et soupirant, sa verge continuant à enfler, presque automatiquement. Incube, adepte de la magie rose, il pouvait volontiers augmenter la taille de sa verge, et avait souvent tendance à le faire dans des coïts de cet acabit. Son sexe grossissait pour remplir autant que possible la fente de la femme. Elle jouit, et lui aussi, encore et encore. La table finit par se redresser à nouveau, avant de se rabattre sur le sol, Alastar soulevant le corps de la femme, se maintenant ensuite au-dessus d’elle. Il voulait la voir en train de jouir, il voulait voir ce visage irradier de plaisir, il voulait voir ce spectacle visuel, ce bouquet magnifique... Honnêtement, voir une femme jouir, la voir en plein extase, c’était l’une des plus belles choses qui soient... Si ce n’est LA plus belle. Romantique jusqu’au bout des ongles, pour un démon, il la regarda donc s’abandonner sur la table, son visage n’exprimant que du bonheur... Du bonheur pur, comme si elle était au Paradis. Lui, un démon, était en train d’insuffler le bonheur dans le cœur et dans le corps des autres. C’était le monde à l’envers !

Difficile de dire ce qui provoqua sa propre jouissance : était-ce l’acte sexuel en lui-même, ou le spectacle, magnifique, de cette femme traversée par le plaisir, et qui remplit son cœur d’allégresse ? L’un des deux, probablement, ou sûrement les deux. Dans un soupir, il se répandit également en elle, déversant sa semence dans son con. À nouveau, il espérait que cette femme, souhaitant rester libre et autonome, prenne la pilule, car l’Incube était un homme à la semence fertile. Il balança sa crème dans le ventre de la femme, et sortit ensuite, comme elle, de ce moment d’extase, cette parenthèse de bonheur qui lui était offerte. Le plaisir de cette femme avait été tellement fort qu’elle avait fait couiner la table, et lui avait griffé le dos.

Diable ! Une vraie bombe en feu !

« Haaaa... Haaaaaa... »

Alastar respirait vivement. Il conservait toujours le même teint de peau rouge, mais de la sueur commençait à couler le long de son corps. Calliope était contre lui, et elle se mit à agir à nouveau, venant caresser les marques qu’elle lui avait faite dans son dos, courbant la tête pour aller embrasser son torse. Lui maintenait l’équilibre, précaire, de la table avec ses deux bras tendues, et frissonna. Cette femme avait une pile au cul, et une telle perversion brûlait en elle qu’il était convaincu que, si jamais elle finissant en Enfer, il insisterait auprès de sa sœur pour venir récupérer son âme, afin d’en faire une succube. Elle glissa le long de son cou, remontant tout près de ses lèvres, ce qui l’amena à poser une main sur ses cheveux quand elle se rapprocha, et à murmurer son nom :

« Calliope... »

Il n’y avait que dans les ébats sexuels que répéter le nom de son partenaire avait quelque chose d’excitant. Ils s’embrassèrent à nouveau, tendrement, comme deux amants en pleine passion, et il eut l’agréable surprise de sentir la main de la femme s’éloigner pour venir attraper sa longue queue caudale, le faisant soupirer... Et sourire en même temps. Alastar se redressa, entraînant Calliope avec lui, soulageant la table de leur présence. Sa queue ondula sur elle-même, et vint caresser le dos de Calliope, remontant le long de sa colonne vertébrale. Alastar aurait pu la prendre dans la même position qu’hier, sa verge dans son con, sa queue caudale plantée dans son fondement, jusqu’à la faire tomber d’épuisement à nouveau. Sa verge était toujours, en effet, en érection, frottant contre les cuisses de la femme, laissant sur sa tendre peau une traînée de sperme et de mouille.

« Ma queue te manque ? C’est vrai que je ne l’ai pas trop utilisé aujourd’hui, celle-là... Il est temps de changer ça. »

Calliope allait voir tout ce qu’on pouvait faire avec une longue queue flexible comme ça ! Il n’attendit pas vraiment son avis, et la relâcha.

« Mets-toi à quatre pattes, en bonne chienne que tu es ! »

Il avait haussé le ton. Il aimait le beau sexe, c’était un fait, et c’était indéniable... Mais il aimait aussi donner des ordres, et voir les femmes se plier à ses quatre volontés. Une fois que Calliope mise en position, sa queue caudale fila sur le côté, et s’enroula brièvement autour du cou de la femme, avant que la pointe de la queue ne remonte, puis ne décrive un arc à hauteur des lèvres de la femme. L’extrémité avait de nouveau pris la forme profilée et arrondie d’une verge, et formait comme un collier autour du cou de la femme. Cependant, la queue ne l’étouffait pas, et laissait suffisamment de mou pour ne pas gêner Alastar.

S’humectant les doigts avec ses lèvres, il les enfonça ensuite dans le fondement de la femme, venant humecter ses parois internes, cherchant à bien les lubrifier, puis posa ses mains sur ses fesses... Et la pénétra. Quand son vit entra en elle, s’enfonçant dans son anus, sur le devant, le bout de sa queue caudale rentra dans sa bouche, afin qu’elle puisse la sucer. Et, comme elle l’avait griffé, Alastar ne tarda pas à donner le tempo, en lui administrant une belle claque sur ses fesses.

« Là, là, ma salope, c’est parfait ! »
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Calliope Tick

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Un sourire taquin ornait les lèvres de la rousse, qui caressait l'appendice caudale, avant qu'Alastar ne les change de place et de position. Elle déposa de petits baisers un peu partout, sur les griffures qui étaient à portée de ses lèvres, tandis qu'il parlait. Elle frissonna au son de sa voix, impatiente de la suite. Elle était vraiment enfiévrée. Elle était un peu épuisée, mais toujours partante. Elle ne se reconnaissait plus. Mais elle adorait ça.

Docilement, avec le regard brillant de convoitise, l'irlandaise se mit en position, comme demandé par Alastar. Ses genoux se posèrent sur le carrelage de la pièce, alors que sa croupe se relevait, et que son dos se creusait. Ses mains se posèrent à plat, et sa peau frissonna en réponse à la soudaine fraîcheur de son appui, comparé à la chaleur qui émanait de son corps.

Un nouveau frisson la secoua tandis que l'appendice caudale se glissait sur son corps, entourant sa nuque et venant effleurer ses lèvres. Elle avait repris cet aspect si semblable à une verge. Gourmande, Calliope ouvrit les lèvres, lapant le membre. Elle gémit sourdement alors que les doigts du démon se faisaient inquisiteur, et elle creusa un peu plus le dos, totalement offerte à la convoitise de son amant diabolique.

« Oh, Alastar... »

Elle ne put continuer car le mâle venait enfin en elle, forçant son entrée lubrifiée avec passion. Et l'autre appendice glissait entre ses lèvres, étouffant les sons de de ses gémissements. Elle commença alors à aspirer le membre dressé, sa langue venant le cajoler avec douceur.

Elle gémit quand une main claqua sur ses fesses, et ondula en réponse, son corps s'adaptant à la présence de l'incube. Calliope soupirait, suçotant le sexe dressé qui coulissait entre ses lèvres. Elle avançait et reculait la tête en rythme. Le même que celui qui était donné par les coups de reins de son amant déchaîné. Elle recula la tête un instant, le temps de soupirer le nom du démon et d'avaler sa salive, pour ne pas baver partout.

« Alastar... Mmmh ! »

Elle reprit l'appendice entre ses lèvres, mettant plus d'ardeur encore à sucer, aspirer et jouer tout contre la peau veinée avec le bout de sa langue.
« Modifié: mardi 25 novembre 2014, 15:50:47 par Calliope Tick »

Le Diablotin

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Discrètement, la magie rose agit à nouveau. Subtilement, Alastar continuait à être le bon amant qu’il prétendait être. Il influa sur les jambes de Calliope, dans le but de les protéger face au carrelage. En effet, son corps risquait de glisser dessus, et il ne voulait pas que la jeune femme s’écorche dessus. Il tâcha donc de renforcer un peu la résistance de la peau de la femme à cet endroit. Cette humaine était une bonne hôtesse, il se devait d’être aussi, en retour, un bon démon. Un bon compagnon et un bon amant. Juste retour des choses. Il ne s’était pas reçu un coup de poêle en pleine figure, ou une croix chrétienne dressée devant lui accompagnée d’un tonitruant « Vade Retro » ! Cette femme l’avait pleinement accepté, peut-être même avec un peu trop de facilité, mais il n’allait pas se plaindre. Il pouvait ainsi donner dans son couplet : le sexe. L’Incube rentra donc en elle, son mât se nichant dans la porte arrière de la femme, butinant avec la délicatesse d’un éléphant dansant du rock le corps de la femme.

Sa verge remuait en elle, glissant de plus en plus facilement dans cet étroit corridor. Il fallait bien l’admettre : Alastar ressentait un profond plaisir à l’idée de prendre ainsi cette femme. C’était comme si le plaisir de la sodomie était génétiquement encodé dans son corps. Les démons étaient reconnus pour être de grands sodomites. L’imaginaire collectif terrien ne se limitait-il pas à cette image ? Celle d’individus condamnés à être perpétuellement sodomisés par des démons en rut, aux visages grimaçants et aux mains griffues ? L’image, si elle était furieusement clichée, n’en décelait pas moins une certaine part de vérité. Le Diablotin remuait en elle, et sentait le plaisir venir, augmentant avec son labeur. Il prenait Calliope sans relâche, en allant de plus en plus vite, en s’enfonçant de plus en plus profondément, sa queue caudale faisant de même. Elle remuait comme un serpent dans la bouche de la femme, provoquant de délicieux bruits de succion et de mastication. Cette femme était vraiment une perle rare. L’avoir pour lui tout seul, et ce même si Alastar était fondamentalement quelqu’un d’ouvert au partage, était un grand plaisir. Il se régalait en la prenant ainsi, remuant en elle, remuant dans son corps, sa virilité tendue s’enfonçant de plus en plus dans sa chair. Ses mains se crispaient sur sa peau tendre et chaude, distribuant parfois quelques gifles sur ses fesses, toujours un peu plus fortes. Grognant et haletant, le démon se révélait fidèle à lui-même : un amant intensif, mais non moins empreint d’une certaine forme d’attention, de tendresse… Un être paradoxal, mais qui s’estimait diaboliquement efficace. Ses mains s’écartaient parfois des fesses de la femme pour caresser ses hanches, pour glisser sur ses côtes. Mine de rien, Alastar avait été formé. Il savait, grâce aux succubes de sa maison, notamment grâce à sa sœur, que le corps féminin recelait de multiples zones érogènes, ces zones de plaisir où de simples pressions pouvaient déclencher le plaisir. Afin de se révéler être un bon Incube, le Diablotin avait notamment dû caresser le corps de certaines femmes, afin de les faire jouir, mais sans jamais toucher leur sexe. Il l’avait fait, et, quand ses mains s’écartaient, c’était le signe qu’il s’attaquait aux zones érogènes de la femme. Ses doigts s’appuyaient sur les hanches de la femme, à des endroits très précis, uniquement destinés à libérer son plaisir, à la laisser aller.

« Hum… Tu as vraiment… Un corps magnifique… »

Depuis sa position, il voyait toute la magnificence du corps de Calliope. Il voyait son dos magnifique, sa longue chevelure de feu, et ne pouvait s’empêcher de se dire que la petite Calliope était bien chanceuse. Son invocation ratée aurait pu avoir de fâcheuses conséquences, en emmenant chez elle un démon qui l’aurait déchiqueté, aurait dévoré son corps, puis pissé sur ses os et chié dans ses organes. Au lieu de ça, elle tombait sur un impayable amant qui se faisait royalement plaisir à la défoncer. Sa verge, en effet, s’enfonçait de plus en plus, labourant la porte arrière de la jeune femme. Il s’y enfonçait sans aucune réelle gêne, sans aucune véritable hésitation, simplement pour le plaisir de s’y enfoncer, et de pouvoir la pénétrer avec plaisir et envie. L’homme ne faisait rien de plus que de remuer en elle, de remuer de plus en plus vite, et sentait la mouille de la femme.

N’était-ce pas là le plus beau des nectars du monde ? Il griffait son corps, pinçait sa peau, puis retournait malaxer ses fesses, son délicieux cul. Oui, que cette femme n’ait aucun amant, aucun copain prêt à bondir dès qu’un type la reluquerait de trop près, était curieux. Soit elle préférait les enchaîner, soit elle avait, elle aussi, quelques squelettes dissimulées dans ses placards… Mais, hey, ce n’était clairement pas lui qui allait la juger pour quoi que ce soit ! Alastar ne voulait qu’une chose : que son voyage ici n’ait pas été fait pour rien. Pour lui, se présenter à cette femme était pour elle un honneur, car il estimait être un amant exceptionnel…

« Là, là… Ma petite salope, hummm… Un beau corps, bien… Bien comme je les aime, hunn… »

Sa queue caudale se retirait parfois de la bouche de la femme, et venait frotter ses joues, dans un geste qui se voulait affectueux. Elle retournait ensuite s’enfoncer dans sa bouche, et ne tarda pas à jouir, bien plus rapidement que l’autre queue du Diablotin, celle nichée dans les tréfonds du corps de la femme, et qui ne voulait rien faire pour en sortir… Car elle n’avait aucune raison d’en sortir.
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Calliope Tick

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La présence du Diablotin en elle était vraiment délicieuse. Si Calliope n'avait jamais eu de chance avec les hommes, elle s'avérait néanmoins affamée dans le domaine du sexe. Elle ne résistait jamais face à un homme rentrant dans ses critères. Alors Alastar... Il était plus que dans ses critères. Il exsudait la sensualité, littéralement, et ça avait suffit à la rousse pour qu'elle tombe sous le charme.

Les yeux mi-clos, la belle étrangère ondulait sous les coups de reins puissant du démon, oubliant parfois même qui elle était. Son esprit était enfiévré par le désir. Par la fièvre du sexe. Elle suçait avec application, passionnée, souhaitant rendre le plaisir qu'il lui donnait. Elle se cambrait au maximum qu'il lui était possible, gémissant tant qu'elle le pouvait, malgré sa bouche occupée.

Un bref instant, elle s'étonna de ne pas ressentir la douleur du frottement de ses genoux contre le sol carrelé, mais elle oublia bien vite cette pensée alors qu'il déverse son plaisir en elle. Elle manque de s'étouffer, mais réussit à en avaler une grande partie. Elle gémit sourdement quand la liqueur légèrement salée coula de la commissure de ses lèvres.

« Alastar... mh... »

Sa voix est profonde et sensuelle, marquée par des accents plus aigus quand le plaisir se fait plus pénétrant.

« Encore... Oui...

Encore des compliments, songeait-elle, sous le charme. Encore des sursauts de plaisir... Elle aspira encore cette appendice caudale qui venait de décharger une belle quantité de sperme entre ses lèvres, enfiévrée. Elle remuait comme elle pouvait, possédée par le désir et le plaisir. Elle se cabrait, elle ondulait contre les coups de reins du diable qui la ramonait. Elle était brûlante. Elle était ensorcelée.

« Oh ouiii... »

Elle n'en pouvait plus, et pourtant, elle en redemandait. Son amant était exceptionnel. Elle se devait de l'être tout autant. Elle en avait réellement envie.

Le Diablotin

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Ils étaient comme deux amants en rut, mutuellement en manque, baisant sauvagement et sans relâche pour entretenir la flamme qui brûlait en eux. Calliope était aussi belle que perverse. Un Incube se trouvait dans sa maison, avec la soif sexuelle d’un démon de Luxure. Calliope, elle, était une simple femme, en train de se faire sauvagement prendre par l’homme. Le Diablotin la prenait rudement, ses mains se crispant sur ses fesses, s’appuyant sur sa peau douce et chaude. Le Diablotin avait joui dans sa bouche, et, plus il jouissait, et plus il avait envie de jouir. La fatigue physique qu’il ressentait, et qui le faisait suer, le rendant plus nerveux, plus impatient, plus assoiffé, était compensé et amoindri par sa perversion et par le plaisir naturel qu’il ressentait en couchant avec cette femme, en forniquant longuement et joyeusement avec elle. Sa queue enflait en elle, comme un monstre assoiffé, et chacun des soupirs et des cris de la femme l’excitait, le motivait, galvanisant ses pulsions et sa passion. Le Diablotin la prenait, encore et encore, toujours, avec une force et une énergie insoupçonnables.

« Oh oui... Hunnn... Calliope, haaaaa... »

Remuant en elle et contre elle, ses coups de reins se multipliaient, de plus en plus forts, de plus en plus impatients, de plus en plus rugueux. Il ne cherchait nullement à l’épargner, mais la traitait de la même manière qu’il traiterait une esclave de son harem, ou une femme mariée se faisant chier au lit avec son mari, et qui se faisait prendre par le Diablotin en pleine nuit dans sa cuisine, ou en allant aux toilettes... Si ce n’est dans son lit conjugal, face à un mari profondément endormi. Plus c’était pervers, et plus Alastar était excité. Après tout, avant d’être amoureux du beau sexe et du sexe tout court, il restait un démon de Luxure. Le Diablotin s’enfonçait en elle, les minutes s’étirant, comme s’il avait oublié de jouir. Sa queue remuait en elle, profondément, lourdement, tapant contre son clitoris, défonçant son bouton de plaisir.

Il la faisait hurler, la défonçant joyeusement. Qu’elle hurle, qu’elle se casse la voix, il ne demandait que ça ! Qu’elle verse des larmes de souffrance et d’un plaisir insondable tandis qu’il continuerait à la prendre, à la pénétrer, à la baiser joyeusement. Les minutes se prolongeait joyeusement, jusqu’à ce qu’il finisse par se déverser en elle. Dans un long soupir, Alastar se crispa sur les fesses de la femme, appuyant sur sa chair, la meurtrissant, puis il jouit, longuement et généreusement, balançant dans son corps de multiples giclées de foutre.

« Haaa.. Haaaa, ma belle... »

Pendant une bonne minute, il avait répandu son foutre en elle, et laissa sa queue en elle pendant un certain temps. Sa main gifla alors les fesses de Calliope.

« Alors, ma chérie... Tu te sens bien, avec mon foutre dans ton corps ? »

Le Diablotin avait joyeusement joui en elle, et sa queue caudale venait caresser son ventre, frottant son estomac, là où le sperme venait de s’accumuler, gonflant très légèrement sa peau. Quand Alastar retira son sexe, le sperme se déversa sur le sol, en compagnie de la mouille de la femme, filant entre ses jambes, éclaboussant ses cuisses.

« Ne te repose pas trop, ma chérie, ma queue a encore envie de se nicher dans ta bouche... »

Pas sa queue caudale... L’autre.
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Calliope Tick

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Le temps semblait avoir arrêté son cours, pour la rousse haletante. Elle ne savait plus quelle heure il était, ou depuis combien de temps ils étaient ainsi. Tout ce qu’elle savait, c’était que c’était putain de bon, et qu’elle prenait un pied d’enfer. Son corps souple se courbait sous les coups de reins du démon, alors qu’elle criait à s’en casser la voix. Elle plaignait ses voisins. Ou, tout au moins, elle les plaindrait si elle avait les idées claires. Elle faisait un boucan de tous les diables. Si quelqu’un appelait la police pour tapage, elle n’en serait pas étonnée.

« Alastaaaar ! »

Elle avait l’impression de flotter, de nager, dans un océan de désir, de plaisir. Son corps était parcouru de frissons. Sa peau était aussi brûlante que le feu au creux de ses reins. Elle criait à s’en faire mal à la gorge, mais elle n’en avait cure. Le flot impétueux du plaisir noyait son bon sens, et la forçait à venir s’échouer sur les rivages de l’orgasme, encore et encore.

Quand elle ressentit l’instant où le Diablotin aussi se libérait en elle, elle gémit à nouveau, creusant les reins pour l’accueillir au plus profond d’elle. Et quand il se retira, libérant alors le trop plein en elle, elle gémit à nouveau, essoufflée. Le liquide chaud coula entre ses cuisses, déclenchant une nouvelle vague de frissons.

« C’est… Mmm…. Délicieux ! »

Complètement chavirée par la jouissance, Calliope avait les yeux mi-clos. Un sourire étira ses lèvres alors que son amant lui faisait part d’une envie. Elle se redressa, étirant légèrement son corps, avant de se retourner pour faire face au démon. Elle se mordilla la lèvre inférieure, et son regard quitta celui d’Alastar pour descendre jusqu’à cet appendice encore luisant qui venait de quitter le confort chaleureux de son entrejambe. Elle approcha ses lèvres, les arrondissant pour laisser passer le membre toujours dur de façon à ce qu’il soit constamment en contact avec elles. Elle aspirait en même temps, l’invitant à se nicher toujours plus loin.

Ses mains étaient venues se poser sur les hanches de l’amant diabolique, le rapprochant d’elle à mesure qu’elle faisait disparaître le sexe érigé entre ses lèvres carmines. Sa langue se mit à l’ouvrage, alors qu’elle commençait à initier un mouvement de coulissement lent, et langoureux. Elle creusait les joues, l’aspirant jusqu’à ce qu’il touche le fond de sa gorge, et le repoussait, toujours en l’aspirant, nettoyant la peau rouge de leurs précédents ébats.

Puis, peu à peu, le rythme se modifia, devenant plus rapides, plus… Hachés. Elle prenait plaisir à lui faire cette gâterie, et y mettait tout son cœur. Ses cuisses serrées retenaient le flot humide qui ne cessait de vouloir s’échapper, les rendant collantes. Et ses mains vagabondaient sur le corps parfait de l’incube, descendant doucement vers les bourses cachées, pour les malaxer.

De temps à autres, ses lèvres relâchaient leur étreinte sur la verge tendue pour venir aspirer ces dernières, les suçotant avec malice, puis elles revenaient à ce sucre d’orge qu’elle dégustait. Quelques fois, elle relâchait tout, remettant en place sa crinière de feu, et venant parsemer de baiser le bas-ventre d’Alastar. Puis elle reprenait son ouvrage, avec toujours plus de passion.

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Les deux amants continuaient à s’amuser, sans relâche, avec le même désir, et avec une passion toujours renouvelée. C’est ça qui était terrible avec un Incube : peu importe la fatigue physique que le démon ressentait, ses batteries se rechargeraient toujours, tant que son ou ses partenaires étaient excités. Les pulsions sexuelles étaient sa force vitale, ce dont il se nourrissait, et il les avalait avec joie, retrouvant à chaque fois sa vigueur et sa force naturelle. À genoux devant lui, Calliope ne pouvait que se laisser faire, et lui obéir, optant pour une nouvelle fellation... Qui ne serait sûrement pas la dernière. Alastar soupira. Le Diablotin lui caressa les cheveux, relevant la tête, avant de la regarder à nouveau. Depuis hier, ils baisaient comme des animaux en rut, comme des bêtes en manque, et, pour autant, il n’arrivait pas à se lasser... Pour Calliope, l’exploit était d’autant plus fort qu’elle n’était pas une succube, et qu’elle était seule. Oh, qu’elle était douée ! Indiscutablement, si, au jour du Jugement, elle finissait en Enfer, Alastar se débrouillerait pour récupérer son âme errante dans les Limbes, afin de pouvoir la former, en faire sa concubine... Calliope serait une magnifique succube, Alastar la voyait déjà avec de belles petites ailes rouges, une queue caudale, à séduire de jeunes éphèbes sur Terre, des hommes amoureux qui se jetteraient entre ses bras.. Chez le Diablotin, le sexe oral avait la faculté de galvaniser son imagination, car, pour une fois, l’hyperactif Incube n’avait pas grand-chose à faire. Il laissait Calliope agir, caressant ses cheveux, la laissant toute à son expertise de sa belle queue gonflée.

Elle savait y faire, cette petite, et elle le prouva en continuant à le sucer, remuant le long de sa queue. C’était magnifique, savoureux, et Alastar la laissait faire, sentant progressivement les doigts de la jeune femme flatter ses testicules... Une autre partie du sexe qu’il ne fallait pas négliger. Calliope multipliait les gorges profondes, et l’érection du beau diable s’emballa, son membre durcissant de plus en plus. Alternant, Calliope retirait parfois sa bouche de son sexe, et allait aspirer et lécher ses testicules, glissant sa langue sur ses poils pubiens.

« Ah, Calliope, Calliope... Quelle énergie, quelle motivation... Vas-y, vas-y, continue, continue, ma belle... »

Il la récompensait, caressant tendrement ses cheveux, les frottait délicatement, avec une tendresse infinie. Après tout, il était important de lui montrer toute son affection. Elle couchait avec un Incube, dans ce qui, pour elle, semblait assurément relever du rêve. Alastar souriait lentement, gai comme un pinson. Qu’il était bon, en effet, de sentir une femme s’activer sur votre verge, vous montrer toute son affection, tout le désir qu’une queue gonflée et chargée de désir lui inspirait. Le Diablotin n’avait aucune raison de la repousser, et, pendant de longues minutes, on n’entendit rien de plus, dans la pièce que les bruits de succion de la bouche de la femme rousse, se mélangeant à ses soupirs et à ses gémissements.

Douée et motivée, Calliope variait les plaisirs, remettant sa chevelure en place, puis elle embrassait le corps d’Alastar, ce qui faisait que son membre turgescent frottait son menton. Il glissait sur sa peau, et il la laissait faire, caressant ses cheveux. Les minutes défilaient, et sa queue caudale venait caresser le dos de Calliope, glissant sur son corps.

« Là, Calliope, là... Ouii... Ouiii... »

Peu à peu, le plaisir avalait le corps du Diablotin, ce qui se manifesta par une belle érection, et par un bel orgasme. Sa main se crispa sur les cheveux de la femme, et il enfonça son membre dans sa bouche, puis balança en elle un foutre blanc et chaud, haletant et soupirant profondément, balançant des chapelets de foutre en elle. Le Diablotin s’abandonna en elle, longuement, généreusement. Il balança en elle son foutre chaud, et laissa ensuite son sexe en elle, plantée dans sa bouche. Il avait bien rempli cette dernière, et le sperme déformait les joues de Calliope.

« Bois lentement ta soupe, Calliope... Tu es si bonne, ma petite chérie... »

Il lui laissa le temps de le faire, puis retira son sexe, et s’étira les bras.

Ah, qu’est-ce qu’il pouvait aimer ces êtres humains !
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