Les terres sauvages, quoi de mieux pour commencer une récolte ? Mais récolter quoi, des herbes ? Non, des animaux, et pas n’importe quels animaux : Des terranids. De très bels créatures dans la plupart des cas. Bels créatures qui apprécient souvent la nature comme ici. C’est en pensant ça que nous retrouvons notre marchand d’esclaves, Chijou la mauvaise herbe. Cette même mauvaise herbe fixait un petit chemin au sol. Au sol ? Oui, il était en hauteur, dans un arbre plus précisément. Il devait fixer le sol pour une futur marchandise, et quoi de mieux pour l’attraper qu’un piège fait avec un peu du sang de la plante blonde. Attention, quelque chose de compliqué si il y a du sang vert. Dés que la victime actionnera le filet, la fiole se brisera sur une corde et sera dans le piège. Ça doit être de cette manière que Chijou attrape ses proies.
Le seul inconvénient à ça est le temps. Ça prenait à un temps fou pour que quelqu’un passe par ici. L’endroit était pourtant très beau, un ruisseau ruisselle, la vue était belle. Bref, un beau décor. Mais malgré tout, la mauvaise herbe n’avait rien attrapé depuis qu’il était là.
« Ils ont mi un panneau « Attention : piège » au début du chemin ou quoi ?! »
Oui, ça l’excédait d’attendre aussi longtemps. Il faut dire qu’il a vu le soleil se lever et là, il le voit se coucher. Enfin, il voyait que le soleil allait se coucher. Il est évident qu’aucunes terranids n’allaient passer maintenant. Enfin, Chijou ne le remarquait pas, mais quelqu’un était en train de venir, tout juste quand il retirait le piège.