Ayumi était douée, oh ça oui ! Avec son sexe tendu planté en elle, coincé dans les profondeurs de sa chair, Kioko était aux anges. Cette situation s’aggrava encore plus quand Ayumi, imprimant une rotation de son corps, se plaqua contre le sien. Kioko soupira, avant de répondre à son baiser, avançant une main pour l’aventurer sur l’une des fesses d’Ayumi, tandis que l’autre alla agripper sa tête, pressant ses cheveux. Elles s’embrassèrent goulument, avec passion, leurs langues et leurs salives se mélangeant dans des bruits de mastication relativement sonores, avant que, finalement, Ayumi n’approche de l’orgasme.
Comme Kioko le pressentait, l’orgasme d’Ayumi était celui de la femme-fontaine, signe qu’elle largua plusieurs litres de cyprine dans tous les sens. Plusieurs jets réussirent à éclater sur le visage de Kioko, à hauteur de ses lèvres, ainsi qu’entre ses seins, avant qu’Ayumi, à son tour, ne vienne se
décharger, larguant tout le stock, trempant la virilité de la belle Kioko dans un bassin de mouille. Si on ne pouvait guère se tromper pour savoir quand un homme jouissait, pour une femme, il était un peu plus difficile de discerner ce moment : elle mouillait continuellement, et, quand elle avait un orgasme, elle mouillait juste
plus... Ce qui, et Kioko l’avait réalisé, ne sautait pas forcément aux yeux, quand votre queue était tendue comme un arc prêt à exploser.
Ayumi se releva, et, n’en ayant pas terminé, se rapprocha du visage de Kioko, avant de s’allonger sur elle, de manière à, tout en honorant un peu plus le corps de Kioko, pouvoir approcher sa bouche de son sexe, et offrir sa fleur à celle de Kioko. Déglutissant silencieusement, les seins tendus, Kioko accueillit cette délicate attention en soupirant lentement.
«
Viens, ma beauté... »
Et la beauté en question vint. Elle enfourna le chibre de Kioko, ruisselant de sperme et de mouille, entre ses lèvres, tandis que Kioko, guère en reste, attrapa les belles fesses de sa partenaire, pour la plaquer contre son visage, et pouvoir ainsi glisser sa langue dans ses entrailles. Cette dernière se mit à remuer, allant chercher la mouille d’Ayumi, et son clitoris, pressant sur son bouton d’amour, tandis que, entre ses doigts, elle empoignait les fesses, les tirant, les écartant l’une de l’autre, sentant ces masses de chair glisser entre ses doigts. Elle devait constater le talent d’Ayumi, qui encercla le sexe de Kioko entre ses seins, le branlant ainsi, tout en le suçant. Kioko gémissait et soupirait, le bas de son visage se recouvrant de la mouille de sa partenaire, une sensation qui était tout simplement divine. D’agréables sensations se répandaient dans tout le corps de Kioko. Son sexe tendu recommençait à la faire souffrir. Elle aussi ne fut donc pas en mesure d’entendre ou de voir la jeune femme qui, depuis quelques minutes déjà, les observaient.
Entre ses lèvres, une sucette roulait, et la jeune créature observait avec un vif intérêt ce qui se déroulait ici. Elle aurait normalement du retrouver Kioko dans un coin sombre et lui faire une petite « surprise », mais, quand elle avait vu que Kioko ne venait pas, elle avait décidé de se rapprocher, et d’aller voir par elle-même ce qui se passait. Les deux femmes faisaient l’amour dans une ruelle discrète, et
Macy, Terranide de son état, comme en attestait sa queue touffue, bondit sur le sol, devant elles.
«
Si ce n’est pas un attentat à la pudeur, je me demande ce que c’est... »
Sa voix était douce, amusée. Lentement, Macy se rapprocha, et s’assit sur le corps d’Ayumi, sa queue venant tapoter la tête de la femme, glissant le long de son cou. Retirant sa sucette de ses lèvres, la Terranide promena ses doigts le long de la croupe d’Ayumi.
«
Tu devrais me présenter plus souvent tes amies, Kioko... -
Hun-hun !! »
Macy se contenta d’un sourire amuse, et se pencha un peu, venant renifler près des fesses d’Ayumi, sentant cette odeur si caractéristique de sueur et de mouille. Ses lèvres embrassèrent le postérieur d’Ayumi, la léchant, et elle enfonça alors un doigt dans son fondement, sans se poser plus de questions. Contrairement aux deux jeunes femmes, Macy était habillée, de manière assez courte : un débardeur blanc montrant son nombril, avec un col, et un minishort vert, si petit qu’on voyait sa culotte. Macy sortait toujours de manière clandestine, afin de ne pas se faire repérer par les Terriens... Mais elle était facilement excitée.
Comme en ce moment.