Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le Choc entre un super-héros et une ... fausse super-héroïne ? [Pv Wolverine]

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Lollipop Du Vivier

Créature

Tu te ballades ce soir. C'est drôle, j'ai l'impression que tu ne fais que ça, te promener, le soir, la journée, à la recherche de sang, d'amour, de miséricorde, de pitié, de punition, de je ne sais quoi. Tu es toujours aussi calme et tranquille que d'habitude, ton visage pâle ne reflète aucun sentiment. Aujourd'hui, tu es là, dans ces rues sombres, durant cette nuit, pour une seule et unique raison. Tu as besoin de sang. Tu es faible, encore plus fragile que d'habitude. Une victime, tu as besoin d'une victime, de son sang qui coule doucement dans ta gorge, qui colore tes lèvres d'andrinople et de carmin. Ce sang si bon, qui laisse un gout amer dans ta bouche, un arrière gout de mort, de pourriture...

Ce sang qui t'aide à te sentir mieux, qui te permets de survivre, de garder cette jeunesse, ces traits de jeune femme, cette peau de bébé, cette peau douce, ces yeux qui surveillent le monde de ton regard clairs, ton regard de femme fatale. Tu ne souris pas, tu respires à peine, ta robe frotte contre la peau de tes genoux, tu aimes le contact avec le tissu. Il est temps de te décrire. Ce soir, ta robe n'est pas celle de d'habitude. Elle est encore plus proche de ton corps, elle moule encore plus tes formes de jeunes femmes, le haut du corset colle ta poitrine, laissant apercevoir la fin du tatouage. Le bas de ta robe moule ton ventre plat, s'arrêtant vers bas de tes cuisses, quelques centimètres au dessus de ton genoux. Ta robe est noire, tu es seulement une silhouette, une belle silhouette qui cherche.

Cherche ta proie. Tu passes devant des bars. Des victimes inoffensives, bourrées d'alcool, de drogues, prête à dormir, ce sont des victimes faciles. Leur sang est un peu altéré, bien sûr, mais toujours bon. Tu choisis si tu les tue, ou si tu les épargnes. Ca dépend de ton caractère, de ton humeur, de leurs têtes. S'ils sont totalement bourrés et ne font pas de vagues, ils se réveillent avec deux trous dans le cou, et c'est tout. Sinon, ils ne se réveillent pas. Tu peux être sans pitié, toi, quand la mauvaise humeur y est. Ce soir, il te faut une victime bien fatiguée. Tu as trop tardé pour demander ton du de sang. Tu es fatiguée, tu auras du mal à invoquer plus de deux ou trois colombes, si jamais ta victime est en forme, n'a pas bu.

Tu traines toujours devant un bar. Tu attends que quelqu'un d'intéressant sorte. Et là. Là voilà, ta victime. Un homme. Jeune, sang...fabuleux. Ton corps se raidit, ta langue passe sur tes lèvres, les humidifie. Ce sang. Tu avances rapidement derrière lui. Dans tout ton corps, un frisson parcoure ta peau, tes cils se mettent à papillonner. Il est bien bourré. Il est bien saoul. Il a du mal à avancer. Oh, ce sang...Ca sera un délice, un repas de roi, un vrai régal. Comment un humain peut avoir un sang de cette qualité ?

Tu l'as suivi. Ton pas léger est rapide, il n'a pas du t'entendre. Bourré comme il l'est, il ne doit même pas savoir que tu es là, non ? Tu veux son sang, juste son sang, ce sang qui vient chatouiller ses papilles. Tu accélères. Ta colombe sur ton épaule lance un cri. RAH ! Merde ! Elle aurait du se taire, ta colombe ! Il va se retourner maintenant. Agis, vite ! Ta voix froide s'élève dans le silence d'une ruelle abandonnée. Vous êtes seuls.

"-Oh, bonsoir..."

Attends ? Tu essais de faire quoi, là ? De lui faire croire que tu viens de le rencontrer comme ça ..? Tu viens de le suivre pendant dix bonnes minutes, Lollipop ! Puis...Raaah ! Tes cheveux reviennent devant tes yeux, tu es prêtes à repartir. Mmm. Qui te dis qu'il ne te connais pas, hein ? Toi, l'Orchidée, la Fatale ? Tu es bête, non ? Tu l'as suivi, tu veux son sang, son si bon sang qui respire ... l'héroïsme ? Non, tu déconnes. C'est sans doute quelqu'un de courageux, de fort...C'est ce que te dit son sang. Tu veux le gouter. Tu lui fais dos. Mais tu hésites. Ta colombe piaille encore, bougeant ses ailes sur ton épaules. Elle s'envole et vient se poser sur le haut de la tête de l'inconnu. Tu te retournes, sifflant pour que ta colombe revienne vers toi. Tu ne sais plus quoi faire. Vois sa réaction face à toi et à ta colombe qui commence à gratter son crane.




N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

James Howlett

E.S.P.er

Logan titubait en s'éloignant du comptoir ; il avait sifflé une bouteille de whisky et quelques pintes brunes pour passer le temps, et laisser l'alcool l'enivrer. Il sourit en arrivant dans la rue ; non seulement il fallait des quantités phénoménales d'alcool pour obtenir l'effet escompté – l'ivresse- mais en outre, ses capacités auto-génératrices détruisaient les molécules d'alcool dans son sang à une vitesse extraordinaire, si bien qu'il lui arrivait rarement d'être ivre plus de quinze minutes. Il comptait toutefois en profiter et s'offrit une balade à pied dans la fraîcheur de la nuit de novembre. Pour un canadien comme lui, l'hiver japonais était une brise. Sous son indémodable blouson de cuir, il ne portait qu'une chemise à carreau. Logan s'alluma une cigarette et expira longuement. La journée avait été infructueuse ; non seulement il n'était pas parvenu à convaincre un adolescent de rejoindre l'école de Charles Xavier, mais d'autre part, il avait reçu un message de ce dernier lui signalant que le SHIELD avait établi une cellule sur place, et qu'ils semblaient avoir eu vent de la présence du Wolverine à Seikusu. Et comme chacun sait, Logan avait des rapport plutôt tendus avec les militaires américains.

Chancelant encore, il remonta la rue déserte qui lui faisait face, afin de se diriger vers son hôtel, lorsque son odorat lui rapporta une odeur inhabituelle, qui se rapprochait à pas feutré. Tout d'abord, il ne compris par de quoi il s'agissait ; l'être qui le pistait avait à la fois l'odeur d'un être humain, mais aussi de quelque chose d'autre, qu'il ne parvenait pas à identifier. En tout cas, cette entité semblait bien en avoir après lui, puisque lorsqu'il tourna dans une ruelle sombre à dessein, elle le suivit. Soudain, une certitude le frappa de plein fouet : c'était l'odeur de quelqu'un de vivant qui n'était pas supposé l'être ; autrement dit, un vampire. Logan en avait rencontré assez peu, aussi curieux que cela puisse paraître, n'en avait affronté aucun.

Lorsqu'une voix féminine s'éleva dans le silence de la ruelle, Logan s'arrêta net, sans se retourner. Son facteur guérisseur combiné à l'adrénaline avait presque achevé leur ouvrage, et il n'était pas loin d'être sobre. Avant qu'il ne puisse réagir, un bruit de froissement d'ailes le fit sursauter. L'instant d'après, ce qui semblait être un oiseau s'était perché sur le sommet de son crâne, entre ses cheveux de jais. Davantage surpris qu'effrayé, il secoua rapidement la tête pour chasser ce qui s’avéra être...Une Colombe. Faisant volte face, il fronça les sourcils en dévisageant la jeune femme qui se tenait devant lui. Brune, grande mince et pâle, elle était malgré elle, l’archétype du vampire femelle et Logan ne put s'empêcher de se demander si elle était aussi assoiffée de sexe que de sang, comme les rumeurs sur son espèce semblaient l'attester.

« Salut Morticia, ça roule ? T'as pas pris ta dose ? T'es sûre de pas te tromper de client ? »

Tout en parlant, Logan avait fait quelques pas vers l'inconnue. Il ne sous-estimait pas le danger qu'elle représentait, simplement il n'avait pas peur d'elle, et il comptait bien le lui faire comprendre. Quant à lui pomper le sang, c'était évidemment hors de question. Lorsqu’il fut en face d'elle, il avait complément dessoûlé, et ses muscles bandés gonflait le cuir de son blouson, même si son visage affichait une décontraction apparente. Si Charles Xavier le réprimandait lorsqu'il tuait ses adversaires, Logan n'avait jamais pu se résoudre à leur accorder le pardon. Or qui disait vampire, disait forcément meurtrière. Au moindre faux pas de cette dernière, il n'hésiterait pas à lui plonger ses griffes dans ce qui lui servait de cœur.

Lollipop Du Vivier

Créature

La colombe revient vers toi en quelques battements d'ailes, peu encline à rester autour de cet homme qui la chasse si violemment. Tu la laisses se reposer sur ton épaule, elle frotte ses plumes soyeuses contre ta joue, et roucoule doucement. Tu le fixe, sans un mot, son odeur a changé, tu le sens. Tes yeux s'écarquillent lentement. Pourquoi son odeur a changé ? Pourquoi il parait bien plus ... en forme ? Les effluves d'alcool qui l'entouraient disparaissaient au fur et à mesure, te laissant étonnée. Toi, l'Orchidée, tu ne comprend pas encore pourquoi, comment. Il n'est pas un vampire, tu le sait, tu en es sure, mais il parait pouvoir régénérer son sang qui sent bien moins l'alcool. Le gout n'en serait que meilleur, bien sûr. Encore faut-il que tu puisses le gouter, son sang, à cet homme.

Maintenant, tu vois beaucoup mieux son corps, son visage, il est bien plus qu'une silhouette que tu détailles. Bel homme effectivement. Un peu trop sauvage dans ses traits, tu trouves. Une barbe qui mange totalement son visage aux traits brutaux. Deux beaux yeux bleus qui semblent gratter dans ton corps pour y découvrir les secrets les plus sombres de ton âme. Tu caresse ta colombe de ta main droite, un sourire naissant sur tes lèvres andrinoples, alors que ta tête se balance de droite à gauche. Ce n'est pas n'importe qui, c'est bien ce que te disait son sang, ce qu'il t'expliquait. Il n'a pas peur. Qui aurait peur d'une femme, après tout ? Mais il est bien plus que courageux, il te fait face, proche de ton corps immobile.

"-Ce n'est pas poli, de m'affubler de surnoms ridicules et stéréotypes."

Comment a-t-il compris ? Comment a-t-il su que tu étais une vampire, une femme de la nuit qui tue et vide de son sang les inconnus que tu penses inoffensifs. Celui-là ne l'est pas, mais il t'intéresse. Son sang est trop bon. Tu ne peux pas rater une occasion pareille, ce n'est tout simplement pas imaginable de laisser ce sang t'échapper. Peut-être a-t-il des effets régénérateurs, qui plus est ! Tu souris doucement, un sourire innocent et ton bras s'avance dans un mouvement gracile vers le jeune homme.

"-Je suis La Marquise, si tu veux tout savoir...et je ne me trompe jamais."

Ton sourire s'agrandit encore, ta colombe roucoule, comme si elle comprenait tes pensées. Ton bras est entre vous deux, mais tu ne le touches pas, tu restes immobile, le fixant. Tu commences à tourner autour de lui, à une distance respectable, le détaillant sous toutes les coutures alors que ta colombe se pose sur l'épaule de cet homme, prête à mordiller le lobe de son oreille. Tu es calme, très calme. Tu souris toujours très doucement comme une enfant.

"-Je ne veux pas te tuer. Je ne tue pas mes victimes. Surtout quand leur sang est comme le tien. Tu ne veux pas que j'y goute...?"

Cette fois ta main vient toucher le cou du jeune homme, ton doigt caressant sa peau jusqu'à son torse. Tu aimes bien mettre en confiance. Si il est gentil, il pourrait t'offrir son sang sans que tu n'ai à devenir violente...
« Modifié: mercredi 06 novembre 2013, 18:15:27 par Lollipop Du Vivier »




N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

James Howlett

E.S.P.er

Logan tempêtait ; la placidité apparente de la créature l'agaçait. Pourquoi ne se ruait elle pas sur lui, toutes canines dehors, qu'on en finisse ? Mais non, visiblement Vampirella voulait faire la conversation. Peut-être était-elle en train de se rendre compte qu'elle avait sous-estimé sa proie. Une légère surprise se lisait en effet sur le visage de porcelaine de la jeune femme. Logan sourit malgré lui ; elle devait avoir senti la qualité exceptionnelle de son sang, à présent. Cependant, elle ne devait pas se douter de son squelette en adamantium, ni de ses aptitudes inhumaines. « Tu es un stéréotype à toi toute seule, ma petite ». Petite, elle ne devait pas l'être tant que ça d'ailleurs. Logan avait entendu des histoires sur des vampires qui vivaient depuis presque un millénaire. Quel âge avait l'inconnue ? Logan lui-même était né à la fin du dix-neuvième siècle, ce qui le rapprochait dangereusement des cent cinquante ans, sans que son corps ne trahisse le moindre signe de vieillissement. Mais contrairement aux vampires, il ne se nourrissait pas de sang humain, du moins pas en temps normal. Logan eût un léger mouvement de recul lorsque la "Marquise" tendit le bras vers lui, sans même chercher à le toucher. Visiblement, elle était complément tarée. L'oiseau qu'il avait chassé un instant plus tôt trônait à nouveau sur son épaule massive. Le Wolverine ne répondit pas la Marquise, mais son regard rageur laissait imaginer l'étendue de sa mauvaise humeur.

Finalement, lorsqu'elle repris la parole, Logan ne put s'empêcher de rire à gorge déployer, découvrant deux rangées de dents immaculées et carnassières. « On ne me tue pas aussi facilement, Marquise, tu demanderas à mes ennemis, ils essayent depuis une centaine d'années ! » Néanmoins la décontraction du Wolverine n'était qu’apparente. En posant la main sur lui, la jeune femme avait largement dépassé la frontière qu'elle ne devait pas franchir. Il ne lui fallut qu'un instant pour sortir une griffe avec laquelle il entailla légèrement la gorge de la vampire, d'un geste fluide du poignet. La blessure n'était pas douloureuse seulement préventive. Maintenant qu'il savait que le S.H.I.E.L.D l'observait, Logan évitait de semer la mort sur ses pas. Il ne tuerait la marquise que si c'était strictement nécessaire. « Tu peux boire tout le sang que tu veux cela ne te conférera pas mes habilités, j'en ai peur ». Logan ne mentait pas : de nombreuses expériences avaient été menées sur son sang et ses cellules – parfois contre son gré – sans parvenir à isoler son facteur guérisseur. Pour imiter le Wolverine, il fallait probablement le cloner. « Donne-moi une seule bonne raison de pas te tailler en pièces, Marquise, mais ne te trompe pas, ça pourrait chauffer pour tes petites fesses en porcelaine ». Logan souriait de toutes ses dents. Ses pulsions animales l'envahissaient peu à peu et il attendait le moindre faux pas de la créature pour se jeter sur elle, avide de violence. Cette rencontre ne pouvait pas finir autrement que dans la brutalité, Logan en avait la certitude. Mais avait-il envie de la déchiqueter de ses propres mains, ou bien de s'accoupler avec elle ? Les signaux que lui envoyait son cerveaux était contradictoires.

Lollipop Du Vivier

Créature

Folle, toi ? C'est bien ce qu'on dit de toi, ce qu'on dit de ton esprit, totalement foutu pour l'humanité, pus bon qu'à nourrir des colombes, déjà grignoté par la folie, par le sang mal acquis, les remords et la piété. Mais tu ne le penses pas, tu vis avec cette folie douceâtre au quotidien, tu vis avec depuis quelques bons siècles. Tu es une vieille folle à l'apparence juvénile, au regard clair et calme, au corps fragile et gracile. Une folle qui ne s'assume pas et qui n'assume pas ses actes irraisonnés, ni son besoin de sang pour survivre. Il serait si bête de vieillir soudainement et d'en mourir parce qu'un jeune homme courageux ne veut pas te l'offrir gracieusement.

Il parait énervé. Ton attitude le gonfle, apparemment. Tant mieux, il ne sera que plus réceptif à ce que tu dis, à ce que tu fais. Stresser les gens pour rien est une méthode qui fonctionne avec toi, les autres sentent enfler une colère sourde qui leur fait faire des choses inutiles et ils te laissent le temps d'agir comme bon le semble. Ils sont comme obligé de faire passer cette haine que tu fais monter chez eux, avec tes mouvements lents, tes paroles calmes. Même ta colombe les faire devenir fous. Après tout, on voit peu souvent une colombe qui suit sa maîtresse, qui agit comme celle-là. Un oiseau de pureté qui fait souffrir quand tu le demandes, sans même qu'ils y aient pensé. Ca les énerve au plus haut point, c'est sur.

C'est normal après tout, et tellement amusant ..! Ton interlocuteur commence à devenir violent, ironique, mauvais et le regard qu'il fixe sur toi est assez explicatif. Il te hait, il hait encore plus ta colombe qui l'emmerde au plus haut point et tu es devenu dans son esprit une sale chieuse de vampire qui lui paiera sa placidité. Il bout de rage. Et toi ?

Toi, tu es calme. C'est un défaut qui rend tes ennemis fous de rage, fous de colère, qui parfois les fait stresser ou éclater de hargne. Tu es impassible, imperturbable, même quand une drôle de griffe en fer vient caresser ton cou d'un mouvement rapide et animal, laissant une longue trace écarlate sur ta peau blafarde. Tu restes paisible et silencieuse, indifférente aux insultes et aux menaces, serine dans ta folie douce. Tu souris, alors que ta main se pose sur la griffe de fer pour la faire reculer d'une pression. En retour, contre cette attaque soudaine, ta colombe se met à mordre violemment l'oreille de l'homme, s'élevant en un piaillement autour de lui pour lui donner des coups de bec à répétition dans l'oreille le faisant saigner d'une manière assez étonnante.

Les coups de bec de la colombe sont très violents, ils suivent la pensée de leur maîtresse. Tu n'aimes pas qu'on te prenne à la gorge, comme ça. Tu n'aimes pas qu'on ne soit pas d'accord avec toi, non plus. Tu soupires. Un centenaire ? Un homme ... au sang héroïque ...? Un ...Pardon ? Tu souris, éclatant d'un rire cristallin. Un super-héros ? Tu viens de t'en prendre à un super-héros...Quelle idiote. Mais tu ne veux pas t'arrêter en si bon chemin. Non. 

"-Oh, je n'ai pas besoin ni de te tuer, ni d'avoir tes habilités. Je veux juste un peu de sang..."

Mais cette fois, tu deviens offensive. Tu lui souris, utilisant le peu de pouvoirs encore à ta possession par ta dernière cure de sang, pour faire apparaître une deuxième colombe qui vient lui donner un coup de bec assez près de l'oeil. Hitchcock s'est-il inspiré de toi pour un de ces films ? En tout cas, tes sourcils se froncent, alors qu'une idée vient se faufiler dans ton esprit. Quand tu veux quelque chose, tu arrives toujours à l'obtenir, de force ou pas...Mais il t'a déjà obligé à user de la force.

"-Une raison...?"

Tu claques des doigts, la deuxième colombe disparait. Il ne sait sans doute pas que tu n'as plus beaucoup de pouvoir, et si l'aperçu de colombe venant gentiment le bouffer à coup de becs ne lui fait pas peur, tant pis, tu n'auras plus de moyen de pression.

"-On pourrait...s'arranger ? A l'amiable. Contre ton sang, tu peux...prendre de moi ce que tu veux, me demander ce que tu veux."

Une fois ta victime trouvée, tu n'en changes pas. C'est ton habitude, tu es toujours comme cela. De vieilles habitudes, sans doute. Tu essais une dernière fois d'avoir du sang sans combattre. C'est toujours plus amusant.  Non ?
« Modifié: jeudi 07 novembre 2013, 18:03:40 par Lollipop Du Vivier »




N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

James Howlett

E.S.P.er

Logan grogna de douleur lorsque la colombe de la marquise se mit à déchiqueter son oreille droite ; il leva la main vers son épaule pour broyer l'animal dans son poing, mais lorsqu'il en referma les doigt il ne rencontra que du vide. En plus d'être vampire, il avait affaire à une prestidigitatrice... La plaie ! Wolverine préférait affronter des brutes épaisses que des mentalistes, il arrivait difficilement à trouver en lui la motivation de détruire une ennemi qui paraissait désarmé : cela lui semblait déloyal. L'oiseau avait disparu, mais quelques gouttes de sang avaient coulé sur le cuir de son blouson. Néanmoins son oreille ensanglantée commençait déjà à cicatriser, et la douleur à s'évanouir.

« Tu n'auras rien de moi sorcière, si ce n'est mes griffes en travers de ta gorge. »

Néanmoins, avant qu'il ne puisse mettre à exécution ses menaces. Un nouvel oiseau tout droit sorti des limbes marqua de l'éborgner, entaillant cruellement sa pommette, avant de disparaître à nouveau, sur un simple claquement de doigts de sa maîtresse. Wolverine eût une mauvaise grimace. Combien d'oiseau la Marquise pouvait-elle contrôler en même temps ? Son pouvoir pouvait paraître ridicule au premier abord, mais il était potentiellement redoutable. L'idée de se faire submerger par un nuage de volatiles affamée se disputant sa chair lui plaisait assez peu. Il fallait à son tour, passer à l'offensive. Néanmoins, l'attitude de la créature changea soudainement du tout au tout. Ce qu'elle souhaitait prendre l'instant d'avant, elle lui demandait à présent de l'échanger.

« Ma parole, t'es une véritable Junkie, toi. Tu peux pas simplement boire du sang de vache, comme tes congénères ? »

Depuis de nombreuses années, la  plupart des vampires dont l'espèce étaient en voie de disparition avaient vraisemblablement cessé de terroriser les humains pour essayer de vivre en bon intelligence avec eux, ou tout du moins de cohabiter sans trop de dégâts. Pour ce faire, ils avaient commencé à se nourrir de sang animal. Néanmoins, il ne présentait pas les mêmes propriétés que le sang humain, il affaiblissait considérablement le pouvoir des vampires et avec une curieuse tendance à les rendre dépressifs, voire suicidaires. Les rares vampires fiers et puissants qui demeuraient n'avait eux, jamais cessé de se nourrir de sang humain. La Marquise devait en faire partie.

De toute évidence, la « jeune » femme semblait avoir renoncé à l'idée de se battre avec lui ; peut-être s'était-elle rendu compte finalement qu'il surclassait bien trop l'être humain normal pour constituer une proie. Dans la nature, les prédateurs avaient généralement tendance à s'éviter, tant que la confrontation physique n'était pas inéluctable. La Marquise venait de le comprendre, et elle cherchait à pendre la tangente. Néanmoins pour Logan, le point de non-retour était franchi, et il était hors de question de la laisser s'en sortir à si bon compte. Fléchissant légèrement les jambes, il fondit sur elle en un instant et la plaqua contre le mur glacé de la ruelle, le regard fou, enserrant son cou entre deux de ses griffes en adamantium. S'il lui prenait de sortir celle du milieu, il pouvait lui perforer la gorge sans le moindre effort. Approchant son visage hirsute de celui de la Marquise, Logan eût un mauvais sourire.

« Et qu'est-ce qu'une créature comme toi pourrait bien avoir à m'offrir, hein ? Allez, si tu me dégotes dix briques, je te laisse prélever un peu de mon sang. Ou alors, je sais pas, faudrait que tu me fasse la pipe du siècle, je pense que ça nous permettrait de trouver un terrain d'entente ».

Wolverine avait besoin d'assouvir ses pulsions violentes. S'il ne tuait pas la Marquise – ce qui semblait pouvoir être évité -, il fallait qu'il puisse se défouler autrement, comme par exemple en la baisant sauvagement, ce qui risquait de secouer la pauvre fille. Sur le champ de bataille comme au plumard, Wolverine était une bête sauvage, un véritable monstre, non seulement parce que la nature l'avait extraordinairement bien doté, mais aussi en raison de son insatiable appétit sexuel. Et le monstre, louchant sur la poitrine de la vampire, commençait à bander salement.

Lollipop Du Vivier

Créature

C'est une belle scène. Une scène de théâtre, une pièce ou un acte ? Tu la joues cette scène, sans paraître le faire, une scène de duel, peut-être ? Improvises-tu chacun de tes gestes, chacune de tes paroles ? Où suis-tu le scénario pré-établi qui semble exister ? Tu suis sans doute la corde rouge qui te montre où aller, le long filet de sang qui luit dans tes yeux, ton coeur qui bat comme un tambour est-ce les trois coups ? Les trois coups qui débutent la pièce. Tu sais de quoi je parle ? La pièce que tu joues est dangereuse, ma Jolie Marquise, tellement excitante.

BAM, BAM, BAM !

Les trois coups. Est-ce ton coeur ? Une vampire a-t-elle un coeur qui bat ? Tu ne sais plus. Tu souris, doucement. Quelles menaces ! Elles te paraissent inutiles, tellement futiles. Que pourrait-il te faire, réellement ? Que crains-tu, toi, La Fatale ? Ton sourire est des plus habile. Il parait simple, mais reflète ton mental, il parait fou, mais reste calme et fragile. Décidément, c'est ce qui te définit. Tu hoches doucement ta tête de gauche à droite, niant les paroles de ce jeune super-héros dont les chairs se régénèrent. Comme les tiennes. Oh, nul.

Tu n'es donc plus unique ? Mais ce n'est pas grave. Cesser de se nourrir de sang humain ? Comment aurais-tu fait ? Tu n'avais jamais arrêté de gouter au sang humain, à ce gout acre qui réchauffe ta gorge et qui vient se placer dans le creux de ton cou, te redonnant toutes tes forces.

<<-Pourquoi boire du sang animal quand on peut avoir du sang humain ? >>

Bonne question. Très bien formulée. Bon auteur, dites-donc. La scène de duel avec le super-héros est importante dans cette pièce, non ? En tout cas elle est impressionnante. Il est impressionnant, cet homme. Il pourrait te faire peur, si tu ne voulais pas avoir peur. Alors il ne te fait as peur, malgré son aspect sauvage. Tu sembles toujours maître d'une situation qui t'échappe. Mais tant que tu as son sang, tant qu'il coule dans ta gorge, contre tes lèvres, tu resteras heureuse. Le bonheur est des plus simples pour toi. Et sans le savoir, il te l'offre, là, maintenant.

Tu es bloquée, oui. Bloquée entre des griffes de fer. Amusant. Intéressant. Prévu ? Pas vraiment. Mais tu vas improviser. Ca ne va pas lui plaire, ta petite improvisation, ton petit numéro. Mais tu vas apprécier de faire tes preuves. Un terrain d'entente ? Oui. Oh, Marquise, oh, petite marquise, un jour malgré ta fragilité de corps, quelqu'un ne pourra plus supporter ton caractère. Et tu le sentiras passer. Et si tu veux l'avis de ta narratrice, Lollipop, tu ne devrais pas jouer avec le feu. Tu vas te bruler à la flamme, la bougie va te faire prendre feu et torche tu deviendras.

Alors qu'il parle, ta main descend doucement vers l'entre-jambe du héros. Il te l'a proposé après tout. Tes doigts sont fins et font descendre la fermeture éclair qui cache l'objet de ton désir. S'il savait...Doucement, ta main passe par dessous le caleçon de ce jeune homme sauvage,  et vient légèrement faire pression sur le membre déjà dur. Tu soupèses la marchandise, tu sens son regard sur ta poitrine qui s'appesantit. Tu hésites. Tout ton corps glisse  contre le mur pour que ta bouche se retrouve au niveau de l'entre-jambe de ta victime. Tu es accroupie, alors que ta main guide le membre bandé vers tes lèvres.

Lentement, ta langue fait le tour de ce membre qui parait déjà bien excité par ton corps. Le membre est happé par ta bouche, tes lèvres se referment sur lui, l'humidifiant alors que tu commences des mouvements de va-et-vient, ta langue accompagnant toujours chacune de tes actions. Il va avoir un surprise. Tu le sens bien excité, assez pour que ce que tu vas faire serve à quelque chose. Vous savez pourquoi l'homme bande ? L'afflux de sang, tout ça, l'afflux de sang dans le pénis. Afflux. Sang. Vous commencez à saisir ? Tes mouvements se font plus rapides alors que ta main sur la garde de son membre s'agite en rythme avec ta bouche.

Tes canines se referment sur le membre du héros. En un suçon, il sent soudainement tes deux dents pénétrer la chair de son pénis. Ca ne lui fait pas réellement mal au départ, il sent juste un picotement là où tes dents entrent dans la peau, et il va s'apercevoir que tu lui suces le sang. Plus encore, que tu le fais débander. Et ce n'est pas le fait de le mordre qui le fait souffrir, mais bien le fait qu'avant, tu l'as encore plus excité. Il ne devait pas être très loin de jouir. Mais le sang t'aurait échappé. Tu le sens qui cule dans ta gorge, son sang. Lui, il sent de plus en plus une douleur mélangé au désir, tes lèvres pressent le membres de plus en plus mou que tu essaies de vider de son sang. Mais bien sûr qu'il le sent.




N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

James Howlett

E.S.P.er

A vrai dire, lorsque Wolverine avait proposé à Lollipop de lui tailler une pipe, il ne s'attendait pas à ce qu'elle obtempère aussi facilement. A peine avait-il refermé les lèvres que la jeune femme glissait sa petite main blanche vers sa braguette, l'abaissant pour dévoiler une demie-érection magistrale. A cet endroit aussi, la nature avait particulièrement bien doté le mutant : son phallus était proprement monstrueux, long, épais et surmonté d'un gland violacé des plus orgueilleux, duquel s'échappait déjà quelques gouttes de semence. Se laissant glisser entre ses griffes, le long du mur, la jeune femme s'était accroupie, ouvrant puis refermant des lèvres rouges et avides sur sa belle queue. La main d'albâtre de la vampire était fraîche et agile sur son membre, qu'elle ne pouvait toutefois enserrer entre ses doigts, tant la verge était volumineuse. L'étrange jeune femme l'astiquait avec adresse, jouant du bout de sa langue autour de son gland, pompant avidement son vît. A mesure que l'excitation l'envahissait, le sexe de Logan devenait plus dur, et plus épais entre les lèvres de son amante, lui déformant les joues.

«  Ah ! C'est... Très bien, suce ma grosse queue. Continue comme ça, vampirette. »

Logan n'avait pas encore flairé la ruse, et s'oubliait dans le plaisir, passant négligemment sa main massive dans la cascade de cheveux noirs de jais de la jeune femme, pressant légèrement sur sa nuque pour qu'elle engouffre encore plus profondément sa queue dans sa gorge pâle. De sa main libre, il avait fait chuter son jean sur ses bottines, sans autre forme de procès, se retrouvant les fesses à l'air en pleine rue, et au mois de novembre, ce qui ne semblait pas le déranger le moins du monde, étant donné les râles rauques qu'il laissait échapper. Lorsqu'une légère douleur lui remonta le long de l'épine dorsale, Logan ne s'en formalisa pas ; elle avait dû le mordre par erreur. Les secondes suivantes lui parurent durer une éternité. Les yeux rivés sur les lèvres de la vampire, Logan venait de s’apercevoir que non seulement elle ne le branlait plus, mais que d'autre part, elle semblait pomper son sexe avec une avidité renouvelée. Pourtant je n'ai pas joui, qu'est-ce que... Oh putain de merde...Logan était proprement sidéré par l'audace de la Marquise. Sachant pertinemment qu'il pouvait la tuer à tout instant, elle avait planté ses crocs dans son vit, dont elle drainait son énergie vitale. Sa queue, pourtant si vigoureuses quelques instants plus tôt se dégonflait à vue d'oeil, et le désir s'enfuyait, alors que la fureur l'envahissait peu à peu.

« Espèce de salope... »

Logan leva, puis abattit la main, sur le visage de la vampire. La claque fut d'une telle violence qu'elle envoya la tête de la jeune femme percuter le mur derrière elle, lui faisant voir trente-six chandelles, un léger filet de sang dégoulinant de la commissure de ses lèvres. Interdit, Wolverine baissa les yeux sur son membre débandé, percé en deux endroits par des petits trous rond d'où perlait encore l'hémoglobine. Néanmoins la blessures étant superficielles, son facteur guérisseur referma immédiatement ses plaies. Logan avait eu tort de faire confiance à cette malade, une fois encore, son appétit sexuel l'avait perdu. Fusillant du regard la pompeuse de sang, encore étourdie par le choc, Logan hésita un instant, sortant ses griffes par précaution. C'était le moment ou jamais de se débarrasser de la créature en la saignant à blanc. Néanmoins, alors que son regard s'attardait sur la peau blême de la jeune femme, sur ses lèvres carmins entrouvertes et sur sa poitrine avantageuses, manquant de s'échapper de son corset, il sentit son phallus gonfler à nouveau. Il existait un autre moyen de punir la vampire pour ses actes. D'un coup de griffes, le mutant fendit la robe de la vampire en deux, offrant sa poitrine au froid mordant, puis la força à se relever en la saisissant sous l'aine, avant de la plaquer à nouveau contre le mur.

« Debout ! »

Le regard troublé par la fureur et le désir, une main du mutant se referma sur l'un des seins de la jeune femme, le pétrissant doucement, excitant le téton érigé de la pulpe de ses doigts, alors qu'il glissait sa seconde main sous la robe de la vampire. *Ca mouille, une vampire ?* lorsque sa main rencontra la petite éminence que formait le pubis, l'homme y plaqua le bout de ses doigts, dessinant des mouvements circulaires et vigoureux sur son clitoris. Plongeant son regard fiévreux dans celui de la Marquise, Logan hésita un court instant, puis l'embrassa rageusement, plaquant ses lèvres contre les siennes si fort que leurs dents faillirent s'entrechoquer, glissant sa langue dans la bouche de sa partenaire. Il y trouva le goût de son propre sang, ce qu'il trouva curieux, mais pas excessivement désagréable. Pour l'heure, délaissé, son vit monumental se dressait entre ses jambes nues, agité de légers soubresauts, comme s'il était doté d'une vie propre.

« Je te promets que tu me demanderas grâce, pauvre tarée », lâcha-il. « Je vais t'épuiser, te pilonner, te souiller à un tel point que tu ne te reconnaîtra plus ».

Comme on pouvait s'en douter, parmi moult propriétés physiques invraisemblables, Logan était aussi un amant infatigable, et d'une violence peu commune.

Lollipop Du Vivier

Créature

Bien sûr que ça n'a pas pu passé inaperçu. Tu aurais été trop chanceuse s'il ne s'était aperçu de rien alors que tu lui pompais son énergie vitale par son membre le plus sensible. Et lui aurait été trop con pour que ça soit vrai, parce que ne pas s'apercevoir qu'une vampire est en train de lui sucer le sang alors qu'elle faisait semblant de le sucer tout court, c'est quand même être vachement bête. Mais tu a très bien compris qu'il n'est pas con, en plus de se régénérer et de vouloir t'étouffer avec sa queue. Oui, parce que malgré ta grande expérience des pénis (cette phraseeee), celui-là te parait assez énorme, ta main ne pouvant pas l'entourer totalement, tes joues se trouvant déformée par la largeur de cet engin. Dans ta tête, plusieurs pensées se télescopent, alors que la main du super-héros vient se perdre dans tes cheveux charbons, enfonçant de nouveau le membre dans ta bouche, l'amenant à toucher le début de ta gorge de son gland chaud d'où des goutes de semence s'échappent et viennent titiller ta luette, coulant dans ta gorge comme le sang que tu pompes.

Des pensées, disais-je. Triviale, bien sûr. Tu es en train de le masturber après tout. Et tu te dis que tu vas éviter de te faire baiser par ce membre trop proéminent pour ton petit corps fragile de petite nature. Malgré les siècles d'existence, ton intimité n'avais pas accueillie de membres pareils depuis un certain Dracula, et tes souvenirs restent plus ou moins mécontents de cette époque pas bénie. Mais bon, tu as été un peu trop agressive et entreprenante sur le coup. Tu avais pourtant bien compris qui il était, et il a fallu que tu fasses des tiennes. Et tu le sais aussi bien que moi, ta narratrice, tu vas le sentir passer. Mais bien fait. La Fragile Fatale que tu ai mérite une punition pour ce caractère rédempteur avec lequel tu joues sans jamais aller jusqu'au bout. Tu n'as même pas peur qu'il te tue, alors que sa main s'abat sur ton visage, t'envoyant contre le mur, ta tête tapant contre la surface plane avec un résonement sonore dans tout ton cerveau.

Et putain de merde ! Voilà ce que tu voudrais bien crier. Mais tu as mal. Ton sang s'échappe de ta lèvre que tu as mordue quand le coup t'es tombé dessus. Il se mélange à celui de ta victime, et coule le long de ton menton, sur ta gorge, entre tes seins serrés dans le corset. Une salope, toi ? Oh, si peu, si peu. Puis, c'est lui qui l'a demandé, sa pipe. Tu t'es juste fait payer. En nature. Tes dents se déserrent, alors qu'il réfléchit. Te tuer ? Il ne le fera pas. Tu n'en as pas peur. Il l'aurait déjà fait s'il avait voulu te tuer, et bien avant de te demander de le sucer. Non, malgré son super-héroïsme, c'est un homme doté de pulsions animales que ton corps déchainent. Et ses pulsions l'empêchent en partie de te couper sauvagement la tête. A part s'il avait été nécrophile, mais tu n'as pas pensé à cette solution. Donc, nous dirons que tu n'as juste pas peur de lui. Il ne te fera pas de mal. Enfin, il ne te tuera pas. Maintenant, la situation t'échappe de nouveau. Tu as bien sûr retrouver des forces. Certes. Mais le coup laisse prévoir que tu ne peux rien contre lui, n'ayant pas pompé assez de sang pour t'enfuir en colombe.

<< -Moi ? C'est toi qui voulais que je te suce. Je me suis payée en retour...HE ! >>

Ton corset vole en éclat, tes seins se retrouvent soudain nus dans le froid de novembre, attaqués de toute part par les léchouilles du froid sur ta peau et par la main de ce super-héros à l'attitude assez controversé.  Il te relève de force, ton visage aux traits fins se mue en une expression mécontente. Tu obéis à ses ordres, te tenant debout, contre le mur, les paumes de tes mains écrasées contre la surface place et froide. Est-ce que ça mouille une vampire ? Ben, c'est pas parce que c'est mort que ça n'en est plus une femme. Réaction physique normale. Et là, il ne tarderait pas à la faire mouiller. Excitée ? Une vampire qui suce du sang est par la force de l'action excitée par son acte. Le vampirisme est une sorte de sexualité après tout, sauf que c'est pus douloureux pour le partenaire, et plus dangereux. Les doigts de l'inconnu (lui ne s'était pas présenté après tout), sur ton téton t'arrachent des couinements de plaisirs honteux que tu retiens difficilement.

U
ne explication s'impose. Pourquoi ne pas mordre quand sa langue vient chercher la tienne pour un ballet  infernal, ses lèvres chaudes et humides contre les tiennes, son gout animal venant se mélanger au sang de ta bouche ? Son autre main est en train de préparer ton intimité, un murmure heureux arrêté de ta bouche par celle de cet amant d'un soir, ton corps un peu tremblant cambrant doucement contre le mur. Sa violence te plait-elle ? C'est un mélange de ça. Petite Orchidée, fragile vampire, obligée de te nourrir de sang pour survivre. Il est temps d'expliquer, oui. Tu deviens vampire en buvant le sang d'un autre vampire ou en te faisant tuer par un vampire. Simple ? Mais dans le cas ou tu bois le sang d'un autre vampire, esclave tu seras. C'est une règle. Et toi ? Tu as bu le sang de Dracula. Donc, en résumé rapide parce que la narratrice aime la rapidité, tu étais devenue dominée. Et à chaque fois que tu bois du sang, tu le sais aussi bien que moi, ton caractère de dominée réapparait étrangement.

D'habitude, tu ne t'en fais pas, tu laisses l'homme en état dans une ruelle, à moitié évanoui et tu t'en retournes à tes occupations. Mais là ? Là, il allait te prendre et te faire retourner à ton état de soumission qui te va si bien. Tu colles ton corps nu à celui de cet agresseur, ta main retournant s'occuper du membre abandonné par tes dents et par ta bouche. Tu es un mélange entre quelqu'un qui ne veut pas se faire prendre dans la ruelle et le fait que tu ai envie de voir ce qu'il peut faire. Tu lui obéirais bien, après tout, c'est ta nature. Marquise ? Non, juste Colombe obéissante, ce soir.

<< -Tu crois vraiment ... ? >> D'un mouvement lascif tu rapproches encore ton corps, tes lèvres venant de nouveau effleurer celles du jeune homme, tes dents mordillant sa lèvre inférieure, tes yeux si pâles se perdant dans ceux bleus du héros. Ton regard est provocant, ton sourire est calme, ton attitude est contrainte et amusée. << -Essaie donc. Mais n'y crois pas trop. >>

Ton baiser est plus doux que le sien, plus érotique, ta langue attrapant celle du super-héros pour un beau ballet, ta main continuant son petit jeu sur ce membre brulant et dur, alors que l'excitation se sent dans ta voix et transparait par la cyprine qui s'échappe de ton intimité.




N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

James Howlett

E.S.P.er

Logan n'avait pas pour habitude de violer ses partenaires. Bien que particulièrement sauvage, agressif et dominateur, s'accoupler avec des femmes qui ne le souhaitaient ne lui procurait aucun plaisir. Mais comme tout homme, il savait bien que chez la femme, la frontière entre le refus et l'acceptation pouvait être très ténue. En l'espèce, Logan pouvait le sentir : la vampire puait le désir. Elle devait avoir au moins autant envie que lui de s'envoyer en l'air, là, dans cette ruelle isolée, comme l'attestait l'humidité de son intimité. Mieux encore, la jeune femme s'était retournée, et répondait fiévreusement à son baiser, lovant son corps frêle et pâle contre le sien, le défiant du regard, sa main menue branlant son vit turgescent. « Pompe-moi encore la moindre goutte de sang, et je te tue », lâcha-il, entre deux baisers fougueux. Il la repoussa en arrière, dos au mur cette fois-ci. « Écarte bien les jambes ma jolie marquise. » Comme elle ne s'exécutait pas suffisamment vite à son goût, le mutant glissa son genoux massif entre ses cuisses pour les ouvrir davantage, puis lui vola un énième baiser, plus long et moins sauvage que le précédent, les mains des deux côtés du visage de son amante. D'un geste brusque et sans effort, il arracha la culotte de dentelle de Lollipop, et jeta le morceau de tissu en lambeau derrière son épaule. Puis s'éloignant d'un pas, il retira son blouson qu'il laissa chuter à terre et déboutonna sa chemise, dévoilant à la vampire un torse hâlé aux muscles massifs et puissants. La morsure du froid ne lui arracha qu'un léger froncement de sourcils. Sa température interne était bien trop élevée pour qu'il en fut gêné. Le souffle court, les yeux injectés de sang et les dents serrés, Wolverine s'approchait de sa proie, son membre colossal dressé vers le ciel, les bras le long du corps. Lorsque son nez pût toucher celui de la vampire, au lieu de la saillir, Logan se laissa tomber à genoux sur le bitume et enfouit sa tête entre les jambes de la jeune femme.

Logan avait envie de la goûter, de la dévorer. Il écarta les lèvres de la jeune femme du pouce, avant de commencer à lécher sa chatte de bas en haut, avalant avidement la cyprine salée qui s'en échappaient par petits filets qui venaient se perdre dans sa barbe broussailleuse. D'une main, il branlait sa grosse queue, la comprimant bien fort juste sous son gland violacé, de légères coulées de sperme brûlant dégoulinant sur ses phalanges, et tâchant par endroit son jean usé. Du pouce de sa main libre, il harcelait à présent le clitoris de la jeune femme, léchant et aspirant alternativement ses lèvres gonflées. Le bruits de succion qu'il produisait couplé à ses grognements rauques était on ne peut plus obscène, ce qui naturellement, ajoutait à ses transports. Il sentait la jeune femme se cambrer, se raidir et succomber sous ses assauts répétés. Sans doute n'allait-elle pas tarder à jouir, ce qu'elle fit, inondant la face fiévreuse du Wolverine de son jus. Après en avoir lapé jusqu'à la dernière goutte, le mutant satisfait, se releva promptement, plaquant à nouveau ses lèvres souillées contre celles de la jeune femme, partageant avec elle le goût de sa propre intimité. Déterminé à ne lui laisser aucun répit, Logan glissa une nouvelle fois sa grosse paluche entre les cuisses de la jeune femme, alors qu'il l'embrassait encore, pour glisser majeur, puis annulaire à l'intérieur de son sexe lubrifié. L'homme fut surpris de l'étroitesse de la jeune femme. S'agissant d'une prédatrice, il s'attendait presque à voir ses deux doigts épais aspirés par un gouffre béant. Il n'en fut rien, et l'homme du procéder avec précaution, phalange par phalange, pour habituer la jeune femme à l'intrusion. Dès lors qu'il les eût entièrement enfouit dans son intimité, l'homme courba ses doigts vers l'intérieur et la pilonna sèchement, sa main venant claquer vulgairement contre ses lèvres trempées. « Ah ah, petite salope, visiblement tu n'en n'as pas eu assez », lança-il, sa main libre refermée sur le cou d'albâtre de Lollipop, suffisamment fort pour légèrement compromettre sa respiration.

Logan aimait dégrader ses partenaires, les insulter copieusement et les voir s'abaisser plus bas que terre pour qu'il les prenne brutalement. Et s'agissant de la Marquise, elle avait bien mérité ce traitement, après tout. De plus, elle avait eu l'audace de le défier, de mettre en doute sa capacité à la briser, à la réduire à l'état de petite chose docile et implorante. Eh bien Lollipop allait voir de quel bois il se chauffait. « Foi de Logan, je veux t'entendre réclamer ma queue, sans quoi je te plante là, toute dégoulinante de cyprine ». Le mutant réalisa qu'il venait seulement de lui dire comment il s'appelait, ce qui ne manqua pas de l'amuser. La Marquise avait failli baiser avec un parfait inconnu. Sans relâcher son étreinte, Logan retira ses doigts trempés de l'intimité de la jeune femme, et avança le bassin vers l'avant, apposant son gland humide et gonflé à l'entrée de sa petite chatte. Doucement, un a à un, il desserra son emprise sur son cou, un doigt après l'autre. Néanmoins, malgré l'état d'excitation intense dans lequel il se trouvait, le mutant n'alla pas plus loin, se contentant de défier à son tour du regard sa belle Marquise. Si elle se jetait sur lui, elle pouvait s'empaler comme une grande sur son pieu. Sinon, elle allait devoir le supplier de la défoncer. C'était un des jeux favori de Logan ; soumettre sa victime, puis lui redonner l'initiative sans crier gare. Lui-même ne savait pas ce que la Marquise allait faire. Peut-être même allait-elle s'enfuir en courant ?


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