Pas de remords. Tu es d'accord avec cette sentence, pas de remords pour une fille comme toi, après tout. Tu ne demandes que ça, il te l'offre de bon coeur. Les balivernes tu pouvais encore y croire, les bêtises sur la religion et la miséricorde ont encore un écho dans ton cerveau, mais ce n'est plus vraiment important. Pourtant, quand il te parle d'un travail de longue haleine, tu hoches doucement ta tête, un bout de ta langue passant sur tes lèvres et autour pour bien enlever le sperme. Tu es déjà à lui, tu t'es déjà abandonné, de toute manière, ton corps, ton esprit, tout est à lui, à son bon plaisir, pour son bon plaisir. Tu es à deux pas d'être devenu une esclave obéissante et tant que durera cet état où à ta folie pieuse se mélange ton plaisir, il n'a pas à avoir peur face à son pouvoir sur toi. Il peut soigner le mal par le plaisir. Cela n'est pourtant pas bien religieux, tu t'en rends bien compte ? Non, même pas. Si tu t'étais dit que tu le corrompais, tu aurais tout arrêté. Oui, folle, folle à lier, folle de plaisir et de piété, ce besoin de miséricorde face à ton statut te fait faire tant et tant de folies que tu en es ridicule. Tu ne le sais pas, mais tu le regretteras sans doute.
Obéissante, tu te relèves, lachant après une moue le membre que tu étais en train d'apprécier entre tes doigts fins, d'apprécier à sa très juste valeur. Un long frisson vient chatouiller ta colonne vertébrale, alors que tu poses tes pieds sur le sol en t'asseyant. Tes cuisses sont encore sur l'autel lisse et froid, le reste de tes jambes pendant un peu dans le vide. Tes fins sourcils se froncent un instant, avant qu'un mince sourire viennent prendre d'assaut tes lèvres salie par le foutre et la salive, collantes de ces liquides. Tu te retournes un peu pour voir ce qu'il ait, ton ventre nu se relevant lorsque tu respires. Tu as le souffle un peu court, c'est vrai. Il s'est allongé. C'est vrai, un autel d'église qui devient un lit pour une séance d'exorcisme sexuelle, c'est particulier. Pauvre église. Quand le prêtre priera demain, il touchera le sperme d'un esclavagiste et la cyprine d'une vampire, de deux ennemis de Dieu à leur manière. Touchant, n'est-ce pas, de se moquer ainsi du monde ? Tu fixes un instant ce membre qui te plaît maintenant tant, cherchant à comprendre pourquoi il s'est allongé de cette manière.
Tu te lèves, tes pieds sur le sol gelé, et un léger nouveau frisson monte de nouveau le long de ton dos alors qu'un tremblement te prend. Tu descends doucement ta culotte, la laissant sur le sol comme un vulgaire tissu inutile d'un coup de pied. Tu avances de nouveau vers l'autel, la pointe de tes pieds sur le sol, le talon un peu en hauteur pour ne pas ressentir le froid du carrelage. En avançant de cette manière, tu as un léger déhanché, fixant les yeux du "prêtre", y lisant un calme apparent, un désir que son sang et les battements de son coeur montrent, démontrent. Un léger sourire en coin, fin et minuscule plie tes lèvres quand tu montes sur l'autel, l'esprit tout occupé par les actions à venir, par le désir qui emplissait tes yeux pales, les faisant luire un peu bizarrement. Mais, l'idée de t'exorciser toi-même te parait bien intéressante. Plaçant tes jambes de chaque côté de l'homme, tu te tiens à genoux sur l'autel, son membre dressé, dur et chaud frottant par intermittence contre ton intimité qui paraissait vouloir l'avaler, ne plus lui laisser le temps de souffler. Les lèvres de ton pubis sont chatouillées par le gland du jeune homme, alors que tu places tes mains sur son torse, tes ongles un peu griffus chatouillant la peau chaude de l'homme, la paume de tes mains bien à plat sur le torse.
Après des années de perversion, tu connais la sodomie, qu'il ne s'inquiète pas. Aimes-tu ça ? As-tu du plaisir rien qu'à imaginer le futur ? Non, pas réellement, peut-être parce que ton expérience n'est pas des meilleures, mais tu ne parais effectivement pas enchantée à l'idée de te faire enculer. Mais s'il regarde bien tes yeux pâles, il lit sans aucun doute possible du désir. Du désir face à la nouveauté. Du désir, ton corps frissonnant … Et la douleur. Ouaip', il a bien raison. Tu le sens passer quand tu t'abaisses lentement sur le membre de Cyscek, Tu ne résistes pas, tu t'abandonnes … au seigneur ? Tu ne sais pas, tu ne sais plus, tu t'abandonnes au plaisir sexuel, ça c'est certain. Tu gémis doucement, le son de ta voix est rauque, tu te laisses pénétrer avec un plaisir douloureux, tes mains laissant le torse pour venir se placer sur les cuisses du jeune homme. Tu te laisses aller vers lui et vient chercher ses lèvres alors que joues un peu des hanches avec dextérité pour faire glisser doucement le membre en toi alors que tu gémis. Tes lèvres viennent suçoter celles du prêtre, ta langue s'infiltre dans la bouche de Cyscek, tu fermes les yeux, tu halètes légèrement.
<< - Comme .. comme cela .. ? Cela plaît .. au seigneur .. ? >>
La question a deux sens. Et tu souris légèrement en lui jetant un regard amusé, alors que tu retournes l'embrasser en commençant à bouger légèrement tes fesses et tes hanches, ton gémissement un peu étouffé par le baiser qu'elle est en train de donner à l'esclavagiste/prêtre, jouant avec la langue du jeune homme, ses mains revenant caresser le torse, deux doigts venant même pincer légèrement l'un des tétons du jeune homme, ta bouche embrassant le cou, d'une manière assez évocatrice, évoquant un suçon dans le cou, un suçon presque dangereux, mais tes dents restent calmes. Il le faut bien ... Pour toi, il reste quand même un envoyé de Dieu. Et mordre un envoyé de Dieu ... Bof. Alors, tu le lèches légèrement, jouant avec le torse de l'esclavagiste, avec sa langue, avec son membre, à un rythme assez lent. S'il veut augmenter la cadence ... Qu'il le fasse !