John fouillait éperdument le sexe da la psychologue. Sa bouche était partout à la fois. Même son petit trou reçu la visite de cette langue furtive. Les mains robustes malaxaient vigoureusement les fesses tendres de la jeune femme, amplifiant grandement son plaisir. Dylan ne se contrôlait plus. Elle perdait l’esprit, le souffle, ne faisant que gémir son extase quand le baiser s’interrompait. À quelques reprises, elle faillit mordre les lèvres charnues de son beau diable. Visiblement ses gestes étaient animées par le plaisir qu’elle recevait. Ses baisers dévalaient odieusement le corps sculpté du boxeur, y laissant des marques de salive ou de succion tandis qu’elle offrait sa croupe plus explicitement à John.
Je crois t’avoir démontré un sacré appétit hier, hum… ?
Elle fit comprendre à leur compagnon musicien qu’elle et Stephen étaient des amis qui soutirait des bénéfices. John riait contre son petit cul, assénant de nombreux coup de langue à l’entrée de son intimité avec insistance, la pénétrant presque. La cyprine abondait. Le beau musicien en récolta sur la pulpe de son pouce et le guida tranquillement vers son petit trou. Il y dessina de petit cercle, sans s’aventurer plus loin se contentant de la faire languir. Sauf que Dylan en quémandait, essayant de remuer ses hanches pour plus de sensation, l’encourageant à y aller plus franchement. Mais John était beaucoup trop fort, maintenant solidement sa croupe pour être le seul maître de son plaisir. Au bout de quelques minutes et presque par surprise, la douce fut subitement secouée par son premier orgasme. Trop alléchant pour la retenir, trop exquise pour l’éviter, elle ne put le contenir. Il transperça vivement son être suivit de soubresauts subits. La bouche habile de John aura eut raison de la chatte sensible de la psychologue qui eut peine à se remettre.
Loin d’en avoir terminé, Stephen se mit à se déshabiller, dénudant également Dylan. Elle hoquetait toujours de plaisir lorsque John récolta les gorgées de mouille qui coulait de sa chair rosé puis il embrassa une dernière fois son petit orifice avant de se redresser. À son tour, il ôta tous ses vêtements. Il colla doucement son torse brûlant contre le dos de la psy. Elle n’avait pas encore vu son pénis, ni son corps nus. Mais John lui fit deviner aisément l’allure de ses atouts. Ses abdominaux étaient fermes et imposante, défendant bien contre le corps de Stephen. Son chibre se mit à glisser entre ses fesses, regorgé de mouille et de salive, stimulant son petit trou. Sa taille était impressionnante. Son beau diable suçait le bout de ses seins dressés d’excitation, tel des friandises, ce qui mit bien vite la jeune nippone en appétit. John lui offrait le choix, demandant près de son oreille ce qu’elle désirait. Peu importe son choix, elle devra à présent assouvir ses deux mâles et leurs verges fièrement dressés.
J’ai d’abord envie de vous goûter…
Dylan pivota doucement vers le musicien, attrapant son visage pour l’embrasser langoureusement, goûtant enfin ses lèvres couvertes de sa propre excitation. L’une de ses mains glissa vers son torse, savourant sa force dilatée et dure. Elle ne laissa pas Stephen en reste, guidant son autre main vers sa verge, commençant lentement à le masturber. John profita longuement de sa petite bouche, insérant sa langue pour l’en bourrer de saveur salivante. La fougue du baiser transparaissait son désir d’y engouffrer son mandrin.
Enfin, elle se mit à genoux entre eux, en les regardant à tour de rôle d’un regard pénétrant. Dû à sa petitesse, elle garda ses cuisses hissées sur la longueur de son buste, permettant à sa bouche d’être au bon niveau, à la portée de ces chairs imposantes. Chaque main était occupée par un barreau de chair qui frétillant d’impatience et Dylan débuta enfin par happer l’un des glands, puis à tour de rôle, offrant un généreux coup de langue. Mais elle jouait avec le feu. John se démontra le premier à s’en irriter, donnant un coup de rein afin d’obliger la jeune femme à le prendre. Ses mains attrapèrent le sommet de son crâne et son menton, ramenant le joli visage de la métisse vers lui et engouffra son membre dans sa cavité buccale étroite. Il grogna, forçant un peu Dylan à l’avaler presque totalement. Il relâcha la pression en gémissant, faisant coulisser sa verge hors de la bouche de la belle avant de recommencer, agrippant les cheveux de son amante.
Mmmhhh… Comme ta bouche est étroite.
Il ondula langoureusement du bassin, glissant son gland profondément entre les joues de Dylan. Pendant ce temps, elle continuait à masturber vigoureusement Stephen. Aidé de sa salive, son chibre filait naturellement entre ses doigts fins. Elle massa également ses bourses, les pressant délicatement. John s’assouvit rudement son envie de lui faire goûter sa colonne de chair, écrasant des valses de pré-sperme sur la langue de son amante, signe évocateur d’une excitation sans équivoque. Il finit par délaisser la bouche de la psy, à regret, mais voulant partager cette bouche à Stephen.
Occupe-toi de ton ami, mais continue de caresser ma queue.
Obéissante, la métisse attrapa le chibre colossal du musicien. D’une taille démesuré, il lui remplissait bien sa main, comme celui du boxeur, mais légèrement tordu sur le côté. Il devait avantager certaine sensation. Tout en l’évaluant par des caresses, Dylan se tourna enfin vers Stephen. Il avait déjà visité sa petite bouche, mais elle le sentait tout aussi impatient, tout aussi excité. La tête relevée vers le sien, elle s’approcha de son magnifique phallus où perlait le liquide séminal. Sa langue glissa du frein jusqu’au sommet du gland avant que ses lèvres ne fassent disparaître le bout de sa verge. Elle commence à l’avaler, enfonçant son dard profondément, jusqu’à la base. Sa tête imprime de long va et vient, prenant une bonne partie de son membre en bouche.