Depuis qu'elle savait qu'elle n'était pas la seule futanari du lycée, Sayori se sentait nettement plus à l'aise. Pour la première fois de sa vie, elle avait des amies, des vrais, avec qui elle pouvait tout partager, y compris ses problèmes plus intimes. Et il n'y avait pas que ça. A travers le "Futa-club" qu'elle avait ouvert avec Cassy et Asuka-Sensei, sous les dortoirs et – ironiquement – à coté d'une cave investie par le Cercle, elles avaient attirées d'autres Futa, ainsi que des femmes normales dont c'était justement le fantasme. Seules les membres connaissaient l'emplacement exacte ainsi que le code d'accès, ce qui garantissait leur sécurité et leur anonymat. Même sa garde du corp ne trouvait rien à redire la dessus, alors que sa psychopathe de sœur aînée trouvait juste dommage de ne plus avoir de bons prétextes pour violenter ses camarades.
Le veille, le club avait atteint la barre des dix membres. Ce n'était peut être rien dit comme ça, mais c'était le premier nombre à deux chiffres. Pour marquer le coup, elle et les deux autres fondatrices étaient revenues dans les toilettes du second étage, là où tout avait commencé, avec la nouvelle membres pour une délicieuse partie de jambes en l'air à quatre, la femme se faisant ainsi prendre par tout ses orifices, les trois futanari changeant de trou à tour de rôle, dans plusieurs positions différentes. La seule chose qu'elles ignoraient, c'est qu'un pervers avait installé des caméras de surveillance un peu partout dans l'établissement. Le gang bang avait continué jusque tard dans la soirée, si bien qu'elles étaient toutes plus ou moins exténuées à la fin des ébats et Sayori du rentrer chez elle sur le dos de Motoko, qui dû la porter des toilettes jusqu'à la douche du domaine Yukihiro, la semence blanche collant à son uniforme.
De fait, le lendemain, Sayori était légèrement à coté de ses pompes et avançait un peu comme un zombie, rentrant dans les autres élèves, malgré qu'elle essayait de faire attention. Sa garde du corps elle, restait à bonne distance, s'étant travestie en élève elle aussi pour rester au plus près de sa protégée, mais restant à bonne distance tout de même. A un moment de la journée, Sayori du retourner aux WC pour une activité qui n'avait absolument rien de sexuelle. Mais lorsqu'elle ressortit, Motoko vit un jeune homme sortir peu après et suivre sa protégée d'un peu trop près. Il du cependant sentir la présence de la garde du corps dans son dos, car il changea de chemin, se déplaçant plus rapidement, comme pour lui échapper. Motoko le suivit du regard un moment, avant de reporter son attention sur Sayori.
Aussi, la garde du corps fut à peine surprise de le voir dans un couloir adjacent avec un portable à l'oreille, entrer en collision avec Sayori à peine quelques minutes plus tard. Clairement, il avait provoquer cette rencontre, de manière brutale et grossière, digne d'un amateur selon elle. Sayori en revanche – entrant dans les gens depuis le début de la journée – ne remarqua pas grande différence. Autrement, la jeune fille aurais sans doute remarquée que le dit portable n'était même pas allumé, contrairement à Motoko qui le vit de suite, bien que l'écran n'avait été visible qu'une fraction de seconde.
- Excusez moi, je suis si tête en l'air, vous n'avez rien ? Je suis franchement désolé, je n'aurais pas du décrocher mon téléphone dans les escaliers. Qu'est-ce que je peux faire pour m'excuser?
- Oh... Ce n'est rien, c'est plutôt à moi de m'excuser...J'aurais dû regarder où je mettait les pieds...
En bonne japonaise convenablement éduquée, Sayori s'inclina légèrement, les mains jointes, en signe d'excuse. Derrière elle, Motoko se rapprocha, un regard tueur braqué sur l'élève. Elle avait un mauvais pressentiment le concernant. Néanmoins, si la garde du corps souhaitait débuter des recherches sur lui, Sayori elle, semblait déjà détenir quelques informations.
- Vous devez être le fameux Louis de la Lavande, non ? Votre arrivée à Mishima à fait beaucoup de bruis parmi les élèves. Vous êtes très populaires.