Asuka était resté après les cours car elle avait pas mal de matériel à ranger après l’épreuve d’endurance. Malheureusement cela prenait toujours plus de temps que prévu puisque le local de stockage est assez éloigné du terrain. Il y en avait bien un autre plus près mais ses collègues lui avaient prévenu que cette construction n’était plus utilisable car plus au norme. Logiquement, ce local aurait dû être détruit, Asuka pensait que c’était trop cher pour le lycée de le faire détruire plutôt que de simplement le laisser sur place.
Alors qu’elle venait enfin de finir avec ce satané matériel, elle vit une personne traverser le terrain. Or, il n’était plus du tout l’heure aux élèves. Enfin, Ayame supposait que c’était une élève car elle ne reconnaissait pas la fille parmi les adultes travaillant au lycée. D’ailleurs, elle était habillé d’une étrange façon cette fille, comme quoi la mode pouvait évoluer d’une drôle de façon. L’intruse entrait alors dans le cabanon, Auska se demandait ce qu’elle voulait à l’intérieur tout était qu’objet rouillé !
Le temps que la professeure de sport arrivait au niveau du cabanon, la fille était déjà entré. Elle rentrait aussi à l’intérieur pour engueuler cette personne, mais encore aurait il fallut la retrouver. La porte avait était laissé entrouvert, Asuka était arrivé moins de trente secondes après la fille. Elle aurait dû être là, impossible de sortir du cabanon en dehors de la porte vu qu’il n’y avait qu’un fin ventail où même un enfant de huit ans ne passerait pas.
Asuka allait jusqu’au fond du cabanon mais il n’y avait rien à de la poussière dérangé par sa présence et celle de son prédécesseur. La professeure se grattait la tête en ne comprenant rien de la situation tout en prenant appuie sur le mur du fond. Sauf que ce mur n’était pas vraiment solide, enfin dans le sens où Asuka tombait en arrière en le traversant comme s’il n’y avait jamais de mur.
Grâce à ses réflexe qu’elle avait obtenu par des années d’art martiaux, elle réussi à faire une roulade pour atterrir comme elle le pouvait sur ce qui semblait être de la terre tassé avec des morceau de pavé éparpillé. L’hermaphrodite se levait en regardant autour d’elle, elle ne comprenait pas du tout ce qui c’était passé. L’instant d’avant elle était dans le local de stockage désaffecté du terrain de sport exterieur, le suivant elle se retrouvait dans une ruelle d’une ville inconnue. En regardant la couleur du ciel, Ayame compris qu’elle était loin de son lieu de départ puisque le crépuscule avait bien commencé.
Mais qu’est ce que je fous ici moi ? Et où est ce que je suis bon sang ?