Queue faire ? Cette question me taraudait l'esprit. Je ne pouvais pas juste la laisser partir en lui faisant promettre de ne rien dire. Rien ne m'assurait qu'elle allait garder tout ça pour elle bien sagement. Et puis je n'ose même pas imaginer la tronche qu'elle tirerait si je lui avouais que je l'avais touchée par hasard en voulant écarter mon sexe de son entre-jambes. Qui croirait ça ? Si quelqu'un avouait m'avoir tripotée par erreur, je réagirai comment moi hein ? Je lui foutrai probablement une énorme baffe en traitant cette personne de menteuse et de perverse. Non décidément, pas moyen que je la relâche pour l'instant, mais hors de question que je la viole aussi ... Je ne suis pas un monstre comme ceux qui passent au JT merde ! Enfin, d'un côté j'étais en train de me comporter exactement comme eux, involontairement. Au moins, comme elle était nue, même si je la lâchai elle ne pouvait pas sortir directement, c'était déjà une inquiétude en moins. Mais le fait qu'elle soit complètement nue avait aussi un énorme désavantage, c'est que j'étais collée contre elle et que je recommençai à bander comme un âne. Mon pénis s'est dressé d'un coup, jusqu'à ce qu'il se colle contre son sexe, paniquée j'ai de nouveau essayé de le dégager avec ma main, mais rien à faire, tout ce que j'arrivai à faire comme ça c'était la caresser sans le vouloir. J'ai arrêté de bouger, essayant de reprendre mon calme, je ne devais plus penser à elle, juste penser à une solution et mon pénis allait débander tout seul. Enfin je l’espérai.
J'étais incapable de réfléchir. Excitée, je commençai à me dire *Oh allez, quitte à avoir des problèmes autant lui faire les fesses !*. S'il n'y avait pas de solutions autant en profiter non ? Mais d'un autre côté c'était ma voisine de table, j'allai devoir soutenir son regard tout les matins jusqu'à la fin de l'année, même si elle ne disait rien. Et si elle parlait là c'était encore pire. J'allai me retrouver en prison ? Ou, au mieux, à être la risée de l'école jusqu'à la fin de ma scolarité ? Je ne savais pas quoi faire, j'étais comme paralysée, à la fois excitée par la situation, rebutée à l'idée de violer une camarade de classe et apeurée par les conséquences à venir. À bout, j'ai commencé à pleurer, serrant Mélanie un peu plus fort dans mes bras pour qu'elle ne profite pas de ce moment de faiblesse pour reprendre le dessus sur moi. Tant que je la tenais tout allait bien, mais je serais bien obligée de la lâcher un jour ou l'autre et à ce moment là son silence ne dépendra que de sa bonne volonté. Lui faire confiance c'était prendre un énorme risque, un risque bien trop gros et j'avais déjà été trop loin. Les gestes que j'avais déjà effectués étaient un début de viol, c'était absolument indéfendable. Pleurant toujours je lui ai murmuré :
"Désolée Mélanie, vraiment désolée. Mais il faut que je le fasse tu comprends ? Si je ne le fais pas tu vas aller tout raconter dehors. Et il ne faut pas, personne ne doit jamais savoir. Donc je vais te violer, pour que tu te taise, pour que tu ais aussi honte que moi. Pardonne moi. Je vais faire en sorte que ce soit le plus agréable possible, détends toi, ferme les yeux si tu veux."
J'ai attrapé sa jupe et sa petite culotte, les roulant en boule pour les enfoncer dans sa bouche. Puis j'ai pris l'écharpe qu'elle venait de jeter, m'en servant pour attacher ses poignets ensemble, faisant un nœud solide qu'elle ne pourra pas défaire seule. Pour finaliser sa neutralisation, j'ai torsadé sa chemise pour en faire une sorte de corde rudimentaire avant de la lui enfoncer dans la bouche pour tasser son bâillon et de la nouer derrière sa tête en serrant bien fort. J'ai séché mes larmes, il était trop tard pour reculer de toute façon, il fallait que j'aille jusqu'au bout. J'ai aidé Mélanie à se relever, prenant au passage mes affaires sèches et ce qu'il restait des siennes et je l'ai poussée jusque dans une cabine. J'ai posé nos affaires sur le réservoir des toilettes, fermé le loquet, puis je l'ai plaqué contre la paroi, la forçant à poser son pied sur le rebord des toilettes pour maintenir sa jambe levée.
"N'ai pas peur Mélanie, je ne te veux aucun mal. Je vais juste te donner beaucoup de plaisir, tu vas voir tu vas adorer ça ma belle. Ah et ... Ce ... C'est ma première fois. Je tenais à ce que tu le sache."
Puis je me suis plaquée contre elle, léchant sa jolie poitrine tandis que mon sexe était prêt à la pénétrer, frottant contre sa petite fente. J'ai craché sur mes doigts, avant de les faire rentrer entre ses cuisses pour l'humidifier un peu, répétant l'opération jusqu'à ce qu'elle soit bien trempée, l'excitation fera le reste. Puis je l'ai pénétrée, plus de retour en arrière possible, j'ai commencé à aller et venir en elle, trouvant son adorable petit corps tout à fait à mon goût. Du bout de la langue je léchais ses tétons, tandis que mon membre limais son adorable petite chatte. J’espérai juste qu'elle allait aimer ça et se soumettre sans faire d'histoire, sinon je serais obligée de lui faire du mal pour qu'elle comprenne.