Visite de courtoisie et tasses de thé [PV: Sheogorath]

Arillë voyageait depuis maintenant quatre jours et il fallait le dire, elle en avait plus que marre de rester assise à voir le paysage défiler sous ses yeux. Pour lui tenir compagnie dans son carrosse, Arillë avait pris Svinah avec elle, laissant Luna s’occuper de la maison. L’esclave aux oreilles pointues s’ennuyait elle aussi et afin de trouver le temps moins long, Svinah était chargée de faire plaisir à sa maîtresse par une série de jeux. Et le jeu qui plaisait le plus à Arillë était de fesser  son esclave de plus en plus fort, cette dernière n’ayant pas le droit de crier. Au bout d'un nombre défini de fessés, et si l’esclave avait été sage, Arillë la récompensait en lui donnant le droit de donner un ordre à sa maîtresse. En revanche, si elle lui désobéissait, Arillë ajoutait à l’esclave un piercing à un certain endroit. Pour l’heure, Svinah avait été relativement obéissante : sa langue, le coin droit de sa lèvre inférieur et le bout de ses seins étaient ornés chacun d’un morceau de métal. Lors de leur dernière partie, l’esclave avait honorée sa part du contrat et Arillë fut obligée de lustrer les bottes de cuir de son esclave avec sa langue, ce qui dans le fond ne lui déplaisait pas.

« Cela reste entre nous, compris ? »

« Bien sûr maîtresse, insistez sur le bout du talon…, souffla-t-elle, Ça m’excite de vous voir ainsi et dans cette tenue. »

« C’est pour faire plaisir à notre hôte, et surtout, ne refuse aucune de ses avances. Si tu lui laisse une bonne impression, tu auras droit à une délicieuse surprise pendant le voyage du retour. »

***

Quelques heures plus tard, les deux femmes arrivèrent aux pieds du château de Dementia. Svinah se tenait très près de sa maîtresse, intimidée par les quelques sujets plus ou moins loufoques qui regardaient le couple de femmes. Arillë, bien qu’étant sa première visite sur ces terres ne semblait pas du tout impressionnée. Elles faisaient face au château de Sheogorath, attendant qu’on les invites à rejoindre le demi-dieu. Pendant que le cochet déchargeait les valises d’Arillë, qui avait emporté encore une fois trop d’affaires, l’elfe se dégourdissait les jambes suivit de près par Svinah, qui commençait à se sentir mal à l’aise dans sa tenue de soubrette plus que légère. Enfin, un petit homme ridiculement petit avec un chapeau bicolore ridiculement grand vint à la rencontre des invités du seigneur des lieux.

« Etes-vous la putain qu’attend sa Démence ? » beugla-t-il sur Svinah qui sursauta de peur, ce qui eut pour effet de faire rire doucement Arillë.

« Non, ce n’est que ma putain, Svinah tira doucement la langue vers Arillë qui sourit à sa propre plaisanterie. Dites au seigneur Sheogorath qu’Arillë Nerast est ici. »

« Oui vous êtes bien la putain qu’attendait Le Fol. »
 
Cette réponse eu pour effet de blaser Arillë, qui adoptait maintenant une mine aussi lasse que lors de son voyage. En revanche, Svinah ne pouvait se retenir d’afficher un grand sourire. Sourire qui s’effaça quand sa maîtresse lui donna une claque sur sa croupe dénudée. Les deux elfes suivirent alors le petit homme dans un long dédale de couloirs, avant de se rendre compte qu’elles tournaient en rond dans le même couloir pendant trois bonnes minutes. Le guide improvisé ouvra finalement une porte à la fin de son « cours » loufoque sur la création improbable du château, et du comté. Enfin, elles arrivèrent dans une salle où siégeait le demi-dieu.

« Devant vous gueuses, le grand, le magnifique, le joyeux-lurons, le fol, le dément, l’unique prince de la folie véritablement vraiment véritable, celui devant qui nous devons tous plier, non pas le genou mais la cheville, le comte Sheogorath ! » Il s’inclina et ajouta dans la foulée « Voici les putains que vous avez demandé, par contre, aucun signe de votre invitée elfique Arillë Nerast! »

 Il s’inclina encore une fois et sorti à reculons avant de claquer les portes. Arillë s’avança lentement, souriant avant de saluer Sheogorath en inclinant sa tête. Svinah pour sa part était derrière sa maîtresse, regardant ses pieds et à l’écoute du premier ordre donné.

« Sheogorath, cela fait une éternité et, à ce que je vois, pas une seule ride, comment vas-tu mon cher ? Cela fait une éternité ! Avant tout, cela ne te dérange pas si Svinah, mon esclave, reste parmi nous ? Tu verras, elle est délicieuse. »

A ces paroles, l’esclave était venue aux pieds de sa maîtresse, assise sur ses genoux. Elle gardait la tête baissée pour saluer le maître des lieux, ce qui n’empêchait pas Arillë de caresser ses cheveux blonds.

Le prince avait invité une elfe amie depuis peu à venir passé quelques jours en son palais. Elle lui avait répondu par l'affirmative, lui disant qu'elle arriverait d'ici quelques jours accompagné de sa servante. Enfin une personne qui partager ses goûts en matière de thé et de café !

********

Sheogorath discutait avec certains de ses concitoyens. Ils désiraient lui demandait une requête suite à des travaux que le prince effectuait dans la capitale. Le problème étant que les travaux de rénovations éloignaient les clients des commerçants. Le Prince les rassura à sa manière, leur dévoilant les retombés économiques une fois les travaux finis. Il leur annonça également qu’il les aiderait financièrement. Les manifestants parurent rassurés et ils le saluèrent en remerciant le prince avant de s'en aller.

Le prince se retrouva ensuite seul, soupirant pour se détendre. Il siégeait sur un trône assez modeste en bois avec des coudières et des renforcements en tissus là ou il appuyé ses bras. Le trône se situait sous un arbre plusieurs fois centenaire dont l'une des branches principales venait au-dessus du prince. Sur cette grosse branche il y avait souvent diverses créatures dont le chat de Catshire complétement fou. Le chat s'était installé la un jour sans nul justification mais son humour et sa présence avait conquis le prince. Il regardait les alentours en balançant sa queue. Juste a coté de lui il y avait un étrange animal, mi oiseau, mi poisson qui crachait des bulles avec sa bouche. La salle du trône se situait dans une petite cour intérieure dans un joli petit jardin. Tout autour se trouvait des alcôves réunissant des objets ou des statues étranges.

C'est alors que l'un de ses majordomes, grand chapeau fit son entré accompagné de deux jeunes femmes légèrement vêtue. le prince se leva de son siège, un sourire aux lèvres.

- Vous voila enfin très cher amie ! Je m'impatientais de votre venue ! Viens me faire un bécot !

Il vint embrasser la jeune femme sur les joues en l'enlaçant chaleureusement. Son regard se porta ensuite sur l'esclave de la jeune femme.

- Oh mais non, bien au contraire, tu connais le proverbe, plus on est de fou, plus on rit !

Il fit le tour de la jeune femme, avant de venir devant elle. Il souleva la tête de la jeune femme par le menton

- Allons montre moi ton joli visage, c'est dommage de le cacher...Saches qu'ici, les règles d'usages ne sont pas les mêmes et tu pourras dés lors profiter de ta maîtresse comme tu en as envie, car c'est moi qui dicte les règles.

Le prince qui portait un haut de forme, alors que celui çi se mit à vibrer. Il l'ouvrit avant de chercher quelque chose à l’intérieur. Il en sortit un gros réveil.

- Oh mais vous tombez bien, il est l'heure du troisième quatre heure ! Allons boire le thé !

Il les invita à les suivre. Le prince n'était pas trop pour les règles d'usages et les manières très carré qu'ils trouvait ennuyeuse au possible et pour lui il n'y avait rien de pire que l'ennui. Il montèrent trois marches avant de longer l'alcôve droite menant au fond de la cour. La ils passèrent une porte avant de traversé une salle et d'en passer une autre. Ils arrivèrent dans un jardin beaucoup plus grand que précédemment ou se dressaient plusieurs grands arbres. La jardin était parsemé d'une multitude plantes rares et bizarres, certaines ayant même des yeux et une bouche et qui pouvait parler. Certaines d'entre elles saluèrent les deux jeunes femmes et le prince au passage.

C'est alors que trois curieux personnages traversèrent le jardin armé de pelle et d'outils de jardins, l'un d'eux conduisait une brouette. Le premier, Alfred, était petit et plus vieux que les autres. Le deuxième, Gozu, était assez bedonnant, le visage joufflu et l'air heureux. le troisième, Bagi, était grand et maigre, l'air un peu endormi et idiot. Il s'agissait de sylvins, des hommes mi arbres mi humanoïdes, capables de se déplacer et de parler. Les frères malbranches étaient les jardiniers en chefs du comté du prince. Comme d'habitude, l'ainé des trois frères, Alfred, se plaignait de plusieurs choses et le prince lui demanda de venir prendre le thé avec eux, présentant les deux parties.

Sheogorath releva doucement le visage de Svinah, qui ne savait pas vraiment ce qu’il lui réservait. Elle croisa donc son regard, mordillant nerveusement ses nouveaux piercings.

« Allons montre-moi ton joli visage, c'est dommage de le cacher...Saches qu'ici, les règles d'usages ne sont pas les mêmes et tu pourras dès lors profiter de ta maîtresse comme tu en as envie, car c'est moi qui dicte les règles.

- C’est vrai ? »

Arillë soupira doucement avant d’ajouter

« Ta demeure, tes règles mon cher Sheogorath »

Soudain, son haut de forme se mit à vibrer, et il en sortit un réveil. D’après l’hôte, il était l’heure du troisième quatre-heures, une remarque qui fit sourciller la soubrette, regardant instinctivement sa maîtresse, haussant les épaules, comme pour lui dire que ça ne servait à rien de chercher une logique. Elles suivirent alors le prince de la folie, qui les mena en direction d’un jardin. Un jardin étrangement bien entretenu, entre chaos et ordre, qui trouvait son harmonie dans ce mélange. Les plantes, rares et en grande forme, étaient différente de ce que l’on pouvait trouver sur Terra, certaines, au loin, mangeait de la viande en quantité, alors que d’autres, regardaient le groupe passer tranquillement, se balançant en rythme de gauche à droite et de droite à gauche. Svinah avait l’impression d’être la princesse d’un Disney, si elle savait ce qu’était un Disney. La soubrette, qui tenait la main de sa maîtresse de peur de la perdre, lâcha sa main et en profita pour regarder les fleurs dotés de bouches et d’yeux pour pousser la chansonnette, suivi en canon par les fleurs. Puis elle se dépêcha de rattraper Sheogorath et Arillë, qui étaient simplement salué par les plantes. Les deux elfes répondaient naturellement aux salutations. Enfin, le groupe arriva à la table pour prendre le thé, tout était déjà prêt, l’eau chaude, et les petits gâteaux. Bonne joueuse, Arillë tira la chaise de son esclave, pour l’aider à s’assoir, avant de poser ses fesses sur la chaise, rembourrée d’un petit coussin. Le thé fut servi, Arillë avait pris du thé à la menthe, et Svinah, entre quatre biscuits secs fourrés au chocolat avait bafouillé pour avoir un thé nature avec un nuage de lait. Les deux demoiselles laissèrent leur hôte se servir, et la discussion débuta.

« Dis-moi Sheogorath, tu entreprends de faire de grands travaux dans ton comté ? »

Arillë, assise à côté de Svinah ne se privait absolument pas pour lui caresser les cuisses, ce qui ne gênait pas la soubrette, occupée à faire disparaître le stock de biscuit. Soudain, trois jardiniers sylvins passèrent près du gouter, et le prince, dans sa grande bonté, invita les trois frères à prendre une pose qui ne fut pas de refus. Arillë reposa sa tasse de thé, souriant aux trois frères et inclinant sa tête pour les saluer. Svinah, elle, regardait les trois curieux personnages, un gâteau sortant à moitié de sa bouche. Le silence s’installa, si ce n’est le bruit de la cuillère d’Arillë, qui venait rompre le havre de paix. Etonnement, c’est Svinah qui rompit le silence, en posant une question singulière avec sa voix pleine d’innocence

« Vous êtes les jardiniers de monsieur Sheogorath ? Ce jardin est merveilleux je trouve. Et… Vous êtes quoi ?

- Svinah…

- Qu’est-ce que j’ai dit maî- Arillë ?

- Tu pourrais poser la question un peu plus poliment… Je vais devoir revoir ton éducation ! »

Elle dit cela en souriant, et en posant son doigt sur le nez de la soubrette, lui soutirant un petit rire amusée. Un petit moment de complicité, avant que les silvins ne répondent aux questions de l’intéressée.

Sheogorath qui se tenait en bout de table se tourna vers Arille, lui glissant un mot.

- Allons, je suis sur que tu y trouveras ton bonheur, je ne suis jamais mesquin !

Il remarqua rapidement la main de l'elfe sur la cuisse de la jeune femme qui s'empiffrait de gâteaux.

- Eh bien on dirait que vous aviez faim, mais prenez votre temps, il y en a encore plein d'autres ! Prenez le temps de goûter à chacun d'eux.

Sur ces paroles le prince claqua des mains et un petit homme à tête de champignon fit son apparition cinq minutes plus tard portant deux assiettes remplis de gâteaux de toutes sortes.

- Ah Mr Toad, j'étais impatient de goûter à vos nouvelles créations !

- Vous m'en direz des nouvelles, Mr le prince, que de l'exclusif nouvellement crée.

Le petit homme s'en retourna à ses occupations. La jeune esclave posa des question sur les jardiniers.

- Nous ? ben sa se voit non, on est pas humain ! On est des sylvins de la race des arbres, ou plutôt de l’espèce arbre humanoïde. Moi je suis l'ainé et ces deux la ce sont mes deux frangins un peu abrutis.

- Mais, pourquoi tu nous traites toujours d'abrutis ?

L'ainé plus petit donna une claque sur la tête de son frère enveloppé

- Parce que vous êtes longs à la détente et  lent au travail ! heureusement que je suis la..

Le plus grand des trois frères mais également le plus jeune, à l'air bête se mit à croquer dans un gateau sans se rendre compte qu'il mangeait l'assiette avec. L'ainé se mit à soupirer.

- Parfois je me demande bien si on est de la même graine...


C'est alors que d'autres personnages apparurent venant s'assoir pour venir prendre le goûter : les jumeaux bedonnants Tomy et Tymo habillé de salopette, le liévre de Mars, le chat de Catshire et ses réponses loufoques, le capitaine vautour fumant sa pipe aidé de son aide de camp le lézard Marcel. Le prince leur présenta ses invités avant qu'ils ne viennent s'assoir autour de la grande table.

- Bien il est l'heure du goûter alors trinquons mes amis !

Tout le monde leva sa tasse de café ou de thé avant d'en boire une gorgée. Puis les conversations s'engagèrent entre les invités. Bien entendus, il manquait beaucoup de monde mais la plupart du temps, les gens reconnus ou importants ne pouvaient être présent du à leurs emplois du temps. C'est pourquoi, le prince invitait de temps à autre des gens du peuple à venir dîner avec lui. Le prince se tourna vers Arille.

- Alors cher amie, quels sont les nouvelles ?

Le prince remua son café avec sa cuillère avant de venir manger le bout.

- En tout cas je suis heureux de vous revoir, je sens qu'on va bien s'amuser tout les deux !

Dans tous les sens du terme bien entendu

Visiblement, la question de Svinah avait créé la zizanie au sein des trois frères. Si Svinah avait l’air passionnée par la discussion virulente des trois frères, Arillë, elle s’en moquait un peu. Elle était plutôt intriguée par l’arrivée de nouvelles têtes. Au final, un véritable bestiaire séjournait autour de cette table, bestiaire visiblement composé de gens du peuple. D’un coup la table était légèrement plus animée, tout le monde connaissait plus ou moins tout le monde, sauf les deux seules demoiselles, dont l’une faisait des papouilles à l’autre dans une indifférence générale. Sheogorath prit sa tasse à café et tapota sa cuillère contre celle-ci, à la manière des flutes de champagnes dans les réceptions mondaines, lorsqu’un invité désirait porter un toast à une personne. Le silence régna quelques secondes avant que Sheogorath ne s’exprime :

«  Bien il est l'heure du goûter alors trinquons mes amis ! »

Tout le monde leva sa tasse et prit une gorgée du breuvage qu’elle contenait. Après cette rasade générale, les discussions s’entamèrent dans un petit brouhaha. Seules Arillë et Svinah ne parlaient à personne et ces dernières continuaient leurs papouilles dans l’indifférence la plus générale. Soudain une personne, qui n’était autre que le propriétaire de ces lieux daignât, engager un dialogue avec l’elfe.

«  Alors cher amie, quels sont les nouvelles ?

- Et bien, les travaux d’agrandissement de ma demeure à Ashnard sont enfin terminés ! Moins de poussières et plus de place. J’en ai profité pour aggrandir la chambres des filles et je pense en acheter une nouvelle pour les aider dans leurs tâches ménagères. Qu’en penses-tu Svinah ?

- De quoi maî- Heu… Arillë ? Une nouvelle esclave ? Et bien… Tant qu’elle est jolie et gentille… »

Sheogorath et Svinah avaient visiblement tous deux une petite faim, la dernière reprenant un gâteau sec dans un léger soupire dû aux caresses osées d’Arillë. Par contre Sheogorath mangeât le bout de sa cuillère…
 
«  En tout cas je suis heureux de vous revoir, je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux !

- Moi aussi mon cher ami. Et la faute à ma nature curieuse, mais, puis-je savoir ce que vous avez prévu après ce gouter en plein air ? »

Arillë reposa sa tasse de thé après avoir pris une petite gorgée de son infusion.

- Oh mais c'est géniale, j'espère que tu me la présenteras !

Le prince souffla sur son café afin de faire partir la fumée. Il en bu une gorgée avant de reposer la tasse dans sa coupe. La jolie jeune femme lui demanda ce qu'il avait prévu par la suite. Il attendit un peu avant de lui répondre.

- Tu connais ma nature, j'ai tendance à changer d'avis

D'humeur changeante, il pouvait en effet vouloir faire une chose et quelques minutes plus tard, faire le parfait contraire.

- A vrai dire je n'ai rien prévu !

Oui c'était la vérité. il comptait se reposer un peu ou travailler sur ses recherches, mais vu qu'Arille et sa servante était arrivé plus tôt que prévu il devrait changer ses plans.

- On peut faire certains jeux...disons...pour adultes

Il avait bien envie de jouer avec les deux femmes, même si il savait que son amie préférait la gente féminine. Dans tout les cas il pourrait toujours se rabattre avec sa servante en petite tenue, drôlement bien foutue qui semblait bien innocente, un peu trop peut être. 

- Mais je ne voudrais pas imposer mes goûts. Si tu as des idées ou des envies particulières tu peux me le dire, je serais ravi de le faire. Après tout vous êtes mes hôtes et vous êtes en vacances !


Au fil de l'heure, les invités prirent congé, repartant à leurs occupations journalières si particulières pour certains dans ce pays de fou.